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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

L’Oncle ne disait mot et fixait de ses yeux bleus ceux de sa Nièce, ils échangeaient leurs âmes et ce, pour la première fois, rivés par le regard, troublés, l’on aurait presque dit déjà deux Amants cherchant là à se séduire… Le Tonton tendit la main vers le petit sexe encore légèrement entrouvert par où coulait toujours un filet de foutre à demi figé… il y mit un doigt… le porta à sa bouche et le suça, en regardant toujours sa Nièce dans les yeux… elle rougit un peu, mais ne cilla, sûre de sa jeunesse et de sa beauté de petite Faunesse jouant un peu de son charme sur le vieux Monsieur…

 

Il suivit à nouveau d’un doigt la belle fente offerte à sa convoitise et goûta une seconde fois au sperme qui en sortait, embroussaillant les fines soies blondes poisseuses et collées… Il s’agenouilla, écarta de ses deux mains les genoux de la nubile jeune fille et là se laissa aller à laper doucement le fin lait séminal de l’animal, écartant le petit con ourlé de rose, humide et parfumé de foutre et de cyprine… Il se régalait, comme au temps où son épouse, la belle et blonde Marquise de Villey partageait avec lui ce genre de caresse au débotté en un salon… La Petite commença à se tortiller légèrement, geignant, la tête de côté, abandonnée à son vieux vicieux d’Oncle qui se révélait soudain à la faveur de cette peu ordinaire situation… L’Oncle introduisit peu à peu sa langue dans le sexe, le pénétra, pliée en tuile, la charnue et linguale chair fit son office, un cunnilingus de qualité que la Petite semblait apprécier, d’autant plus qu’il était tout à fait imprévu venant de la part de son vieil Oncle jusque-là si réservé, bien que courtois et très affectueux envers elle…

 

N’avait-il pas eu jusque-là le rôle d’un père, d’un tuteur, d’un oncle, d’un confident et… à présent lui allait-il falloir jouer celui d’un… Amant, âgé, certes, mais encore fort guilleret et alerte, susceptible d’assurer une éducation sentimentale et sensuelle, auprès de cette jeune fille dont les sens s’éveillaient et qui lui avait caché jusque-là ses… activités zoophiles ? Prévenant, empressé, affectueux, cet Oncle devenait subitement par les événements un éventuel initiateur, cette intimité se faisant jour et réunissant ces deux êtres sous le même toit…

 

Le vieil Oncle se releva et se pencha sur le visage de la jeune fille, il lui baisa ardemment les lèvres et sentit sa fine langue s’insinuer en sa bouche… elle savait donc embrasser, la coquine… pensa-t-il, sans doute les baisers humides du chien l’avaient-ils initiée et la langue souple de l’animal l’avait-elle investie ainsi bien souvent en cachette… Cécile prolongea le baiser du vieil homme, y prenant un certain plaisir… elle soupira, laissa glisser une fine main au long de la cuisse de son Oncle jusqu’au genou, caressa l’étoffe soyeuse de l’habit, puis remonta et sentit la fermeté de cette cuisse demeurée nerveuse, ceci étant dû aux nombreuses chevauchées que dans sa jeunesse et encore fort tard, le vieil homme avait pratiquées, passant souvent son temps à cheval dans la campagne en des promenades sans fin et aussi une marche à pied constante qui le maintenait en forme… La main se hasarda jusqu’à la braguette qu’elle caressa délicatement du dos de ses doigts… elle s’y attarda et vérifia la fermeté du membre qui commençait à se dresser sous l’étoffe…

 

Son tuteur bandait et, ma foi, pour son âge, cela se révélait être plutôt encourageant… Le vieux Marquis enlangua plus fortement la jeune bouche, buvant littéralement le souffle de sa Nièce, leurs langues ne se quittaient plus, tourbillonnaient, se cherchaient, se trouvaient, se perdaient, se reprenaient et le tuteur n’en pouvait plus de baiser cette bouche si joliment tendue… La longue main blanche se crispa sur son sexe, le pelotina, l’inventoria, le soupesa… l’Oncle murmura dans un souffle : « Allez donc faire une toilette, ma Chère Petite et rendez-vous plus convenable pour une suite avec votre vieil Oncle, si le voulez… ». La jeune fille se leva d’un bond et s’en fut vers un cabinet de toilette contigu où elle demeura plusieurs minutes… Le vieux Marquis s’employait à recouvrer ses esprits, fort troublé d’une pareille mésaventure… il la désirait, mais en avait-il le droit ? Cela se saurait-il ? Après tout, n’était-il pas le plus désigné à faire l’éducation de sa jeune Nièce ?

 

Le trouble l’habitait… Il passa une main ridée sur son sexe et sentit sous l’étoffe bombée, une belle rotondité qu’il n’avait point connue depuis longtemps, si ce n’était au lit où quand il essayait de serrer d’un peu plus près la Domestique en se frottant à ses hanches… La jeune fille revint, toute fraîche, pomponnée, parfumée, recoiffée et poudrée, vêtue d’une fine robe de nuit au satin vaporeux… elle avait gardé ses bas qui montaient haut et bellement jarretés de fines dentelles brodées et décorées de petites roses rouges du plus bel éclat… Le Marquis sentit une rougeur envahir son visage… et, ma parole, il banda derechef en proie à un bel émoi ! L’on s’assit sur ses genoux, on le câlina, bras autour du cou, le baisa, le rebaisa, prenant bien soin de frôler son membre encore voilé de l’arrondi d’une cuisse tiède, ce qui entretint l’érection déjà bien affirmée…

 

Le Tuteur la baisa en cou, pressa ses petits seins dardés aux becs roses, elle le baisa et reprit la ronde de sa langue en sa bouche… Il la fit disposer en la profonde bergère et, accroupi entre ses cuisses bien ouvertes, commença à étancher sa soif à la source pubère… lichant, suçant, aspirant, enlanguant, croquinant les fins poils, prenant littéralement de la langue le petit sexe parfumé et tiède à souhait, bien lavé, encore frais de l’ondée bienfaitrice l’ayant purifié…

 

Il croquina le fin clitoris qui gagnait en grosseur et sortait sa tête en haut du petit fendin écriné de fins poils blonds… Il dégustait, il savourait, prenant tout son temps, levant de temps en temps les yeux vers le visage de sa Nièce qui, renversée en arrière et abandonnée, geignait doucement en se pinçant la pointe des seins… Entretemps, le vieux coquin qui se réveillait en lui, lui avait intimé l’ordre d’ouvrir sa braguette… il en avait tiré un long et bien vénérable membre, encore noueux, charnu, couvert de veines gonflées par l’excitation : le vieil Oncle bandait fièrement !!

 

Il se prit à branliner doucement ce beau vit, faisant légèrement danser ses belles couilles, ma foi bien pleines et cet homme vénérable semblait là transformé, rajeuni par tant de soudaine luxure et caresses interdites… mais, après tout, personne ne les voyait et jamais l’on ne saurait les beaux élans et l’amour qui transfigurait ce bel homme encore que le temps avait malgré tout préservé… et ceci, grâce à un gentil toutou que sa jolie Nièce avait eu l’idée d’utiliser comme Amant en secret ! La Petite gémissait toujours, agitée de soubresauts et se trémoussant dans la bergère qui grinçait à chacun des mouvements de son joli petit cul…

 

Le vieux Tonton se repaissait de ce jeune con qui lui était ainsi offert, petit bénitier charmant ouvert s’en remettant aux caresses expertes du vieil homme… Un spasme plus fort que les autres souleva Cécile qui se colla un peu plus à la bouche et à la langue qui l’investissaient toute… Elle jouit bellement et posa ses longues jambes blanches sur les épaules de l’Oncle, dont la tête emperruquée disparaissait à présent entièrement entre ses belles cuisses qui la serraient comme dans un étau…

 

Elle râla doucement, prit la tête du Tonton, entre ses mains et voulut encore sentir le va et vient de son agile langue en sa jolie chatte… et retint la tête un long instant sur son minou, puis la lâcha… Le vieux se releva et, la queue raide, tendue, rouge et tressautante se laissa empoigner fermement par deux mains déterminées qui la mirent en bouche prestement… sa Nièce entreprit alors de le feller…

Un peu avant, elle lança à son Oncle dans un souffle : 

« Comme je le fais à « Phénix » mon Tonton chéri ! » et elle suça ardemment le vit, le prenant bien en bouche et le faisant coulisser entre ses lèvres d’adolescente qui semblait malgré tout experte et terriblement vicieuse pour ses… seize ans…

 

Le Marquis se laissa aller au-dessus d’elle, les mains posées sur le dossier de la bergère et, la fellation fut exquise… bien menée, nous dirions presque experte… « Phénix » intrigué s’approcha, les huma, couina, fit le tour de la bergère et poussa du museau entre les cuisses restées entrouvertes de la Belle Enfant felleuse…

 

Le vieux Marquis, tout excité, faisait aller et venir son sexe vigoureux en dépit de son âge entre les fines lèvres de sa Nièce, une belle fornication buccale qui porta ses fruits… Aux frémissements de la queue dans sa bouche, la petite pressentit l’averse prochaine et cessa de glouglouter de sa fine langue perverse le gros prépuce gonflé à l’extrême… le vieux allait jouir, non qu’elle n’eût voulu sentir en sa bouche le bon lait chaud de son Oncle, mais elle préférait lui donner plus bas son blond « bijou » frisé et sa virginité, bien que les nombreuses et répétées saillies du membre vigoureux de son chien et les intromissions fréquentes d’un vieux godemichet qu’elle avait retrouvé, oublié au fond d’une vieille malle au grenier sous les combles, ne laissent encore guère espérer que la voie fut entièrement vierge de tout… « outrage »…

Elle dit :

« Tonton, je sens votre plaisir si grand et si proche à venir que je voudrais vous accueillir plutôt en mon petit habitacle auquel, vous le savez à présent, mon « Phénix » goûte souvent et dont je voudrais vous faire présent, si le voulez… »

 

La queue bien raide du vieux était sortie de la jolie bouche et, palpitante, attendait, droite, fière, pareille à celle d’un jeune Amant…

L’Oncle bafouilla :

« Bien évidemment, ma petite Chérie… Mettez-vous confortablement, je vous prie, calez vos reins… là… un coussin… cela va-t-il ? Je suis prêt, le voyez, vous me rajeunissez, mon Enfant… »

 

La jeunette bien disposée, au bord de la bergère, cuisses écartées, jambes levées attendait l’incestueux assaut… Il vint. Le Marquis se plaça, elle écarta ses fines lèvres, l’introduisit, il poussa, un petit cri…

« Je vous blesse, dites-moi ? 

— Non, non, poussez mon Oncle, je vous sens bien, vous êtes fier, dur comme fer, mais quel âge avez-vous donc ?!! »

 

Le Tonton s’introduisit à long coups de vitin et sa jeune Nièce commença, à petits coups de reins à l’avaler entièrement, petit conin gourmand, plein d’adresse et de beaux élans… Il fut bien vite à fond le jeune con et sa belle Diablesse de Nièce l’envulva prestement, faisant frotter ses poils blonds frisés contre ceux du ventre de son Oncle qui s’allait et venait comme un jeune, assurant l’envitée de façon magistrale… Il n’avait rien perdu en dépit des années, de cette grande habileté à bien fouir cons et séants qui faisaient les plaisirs de sa prime jeunesse de séducteur inné. Dame, c’est que la Marquise aimait baiser que ce fut avec lui comme avec leurs amis intimes en des soirées galantes !

 

La Nièce gémissait, se tordait, montait, descendait, agrippait son Oncle, le repoussait, l’attirait, plaintive, amoureuse, s’allant au-devant du vit quand il se retirait, pour venir de suite à plaisir enviter sa fendine sur le vieux membrelin raide, noueux, nerveux et joliment arqué… Elle le griffa même aux épaules et au cou, le baisa en bouche, se colla à lui, le marqua de ses jeunes dents… Le vieux déchargea abondamment à flots saccadés qui mouillèrent bellement le petit con entier…

Elle murmura tout en jouissant :

« Mon Oncle, si me faites un enfant, il sera l’héritier de nos Amours céans que nous tiendrons secrètes, là, vous vous en doutez… L’Amour est une fête avec vous mon Amant, mon ardent destrier, vous chevauchâtes si bien votre coquine Nièce que ma foi, je vous veux chaque jour en ma pièce introduit joliment ! »

 

Le Marquis donna un ultime coup de reins en sa Nièce qui gémit longuement… ils restèrent accouplés… Il la baisait longuement, caressait son visage aux jolis yeux cernés, les joues rouges, quelques mèches blondes affolées descendant sur son front de gamine apaisée… Ils se séparèrent, s’en furent en un Cabinet et, bien secrètement, y firent toilette consciencieusement, car il n’eût point fallu, du moins de suite, que la petite tombât enceinte des œuvres de son vieil Oncle, car il eût fallu pour cela trouver quelque explication et qu’elle sortît plus souvent en société, bals et autres cérémonies et ainsi approchât pour cela quelque jeune galant… Poires, canules, belles ondées furent données à discrétion pour effacer toute semence en ces flancs interdits et pourtant appréciés…

 

Ils se séparèrent. L’Oncle redescendit… Il gagna la bibliothèque et lut… La tête lui tournait… il était à nouveau jeune, comblé, les années s’envolaient… Quel don lui avait-on fait là, lui, le vieil homme qui n’espérait plus rien ayant déjà tout eu dans sa folle existence !! Quelques instants après, la domestique s’en revenait par l’allée de la roseraie, poussant une brouette qui couinait, chargée de roses… qu’elle disposa en des vases… quelle gaieté ! Et puis, elle se mit aux fourneaux… Le vieil Oncle lut encore jusqu’au souper. En la salle à manger, assis en face de sa Nièce, ils parlèrent, rirent, goûtèrent à tous les mets, nantis d’un bel appétit (!), burent du vin, conversation respectueuse mais aussi familière, détendus, amoureux (?). Qui aurait pu là soupçonner un seul instant que ce couple était devenu un couple d’Amants ?! Le chien les regardait, seul témoin, muet, couché près d’eux au pied de la grande table… La Nièce avait ainsi à présent, deux Amants en ces lieux.


Un jour, elle serait l’unique Héritière de la Gentilhommière de son Oncle, tuteur et Amant… Elle trouverait un galant, un parti de choix qu’IL lui présenterait, l’homme acceptant, sans sourciller, « leur » enfant… ainsi vont les Temps… Pour l’instant, tout à leur joie, ILS S’AIMAIENT de façon singulière certes, mais si belle à la fois… Le plus difficile serait à présent d’en garder le secret et que domestique et autre chambrière n’en sachent jamais rien…

 

D’ici là, mes Chères et mes Chers, j’ai bien l’honneur de vous saluer…

 

Le Marquis de Chair

Par Marquis de Chair - Publié dans : Le Boudoir du Marquis - Communauté : Les récits érotiques
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