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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

 Le vieil homme sommeillait, assis en un profond fauteuil, la perruque de travers, un beau septuagénaire ne manquant point d’allure, ayant la superbe d’un noble Aristocrate. Le Marquis de Villey était en sa Gentilhommière en Sologne, vivant seul avec sa jeune nièce, une belle jeune fille de seize printemps, fille de sa sœur et dont il était le tuteur depuis la disparition de ses parents avant l’heure. Il fut tiré de son assoupissement par un ensemble de petits cris et d’aboiements répétés…

 

C’était à l’étage et semblait provenir de la chambre de sa nièce, montée se reposer en ses appartements pour une sieste peut-être… la domestique n’ayant point entendu, occupée au jardin à cueillir quelques roses au fond de la roseraie, pour fleurir, comme à son habitude, le Grand Salon, l’homme se leva donc et monta lentement le grand escalier de marbre, se tenant à la large rampe au verni noir et brillant. Parvenu à l’étage, il souffla un instant… plaintes et aboiements reprirent… entrecoupés de sanglots étouffés ; le vieux colla une oreille à la large et haute porte décorée à l’or fin… écouta… rien… Des pleurs comme retenus assortis de gémissements couineux de chien se faisaient entendre, en sourdine, à travers le bois épais de la porte… « Phénix » serait-il avec elle ? pensa le vieux Marquis…

 

Il tendit à nouveau l’oreille… mêmes petits sanglots et reniflements et plaintes du chien… Aucun doute, sa nièce était bien avec son chien, un beau lévrier au pelage clair, élancé, racé, fier, musclé… un chien que lui avait offert son « Tonton » voulant ainsi la gâter et faire en sorte qu’elle ait toujours de la compagnie, un Ami à quatre pattes en somme… peut-être même un « confident » muet pouvant tout entendre et ne rien répéter…

 

Cécile, c’était son prénom, avait l’habitude d’être accompagnée par son chien pour les promenades dans le parc, les sorties en carrosse et il la suivait bien évidemment en ses appartements, pour lire, se reposer, faire de la musique ou écrire… Elle composait des poèmes, ma foi de belle tenue, fort bien tournés. Ne tenait-elle pas cela de sa mère, la sœur du Marquis, Poétesse de renom, connue jusqu’à la Cour ?!

 

Le Marquis frappa des petits coups sur le battant de la porte et attendit ; personne ne répondit… il perçut cependant de petits froissements d’étoffes, encore des reniflements et de petites plaintes venant du chien… Il frappa de nouveau, plus fort cette fois-ci… Un « Ouuuiii » faible, lascif et sangloté lui parvint… Il entrebâilla la porte et vit… là un tableau… des plus coquin autant que surprenant… Le museau de « Phénix » pointu, effilé reposait entre les petits seins dressés de l’adolescente qui, demeurée là bien troussée, cuisses ouvertes et finement jarretées, serrait encore contre elle le lévrier, dont l’on pouvait apercevoir les… attributs bien enfilés en une petite fente dilatée, sertie de poils blonds follets… Il ne bougeait plus, à première vue bien entré, mais ne sachant plus ressortir…

 

La position coquine de sa Nièce émut le vieil Oncle qui se rappela qu’en pareille situation, l’on donnait à quelque chien de ferme du seau d’eau pour le mieux décoller, mais là, c’était hors de question et le choix en était délicat… Très gênée, l’on s’en doute vis-à-vis de son vieil Oncle, la belle Cécile dit :

« Il m’a prise depuis un moment, Tonton… il était très excité et très gros… j’étais excitée aussi… Il m’a couverte de suite et m’a bien besognée, mais à présent qu’il a joui, il ne dégonfle plus et s’énerve… il me fait mal… c’est la première fois que cela m’arrive… aidez-moi, mon Oncle, je vous en prie… »

 

Des larmes étaient sur ses joues de belle adolescente qui, toute chagrinée en oubliait son plaisir…

 

Évidemment, la situation était très gênante pour le vieil Aristocrate qui sentait là le trouble l’envahir à la vue de ce jeune corps fin, nu et élancé, ainsi pénétré par un bel animal, certes, mais tout cela ajoutait à la surprise et à l’émotion du vieil homme, peut-être amoureux de sa nièce, depuis longtemps déjà… Le Tonton essaya de retrouver ses esprits.

 

L’instant de surprise disparu, il s’approcha lentement, ne voulant point effaroucher le bel Amant canin de sa Nièce, lequel montrait les dents sous des babines retroussées et grognant par instant craignant qu’on ne le délogeât (!), ne voulant sans doute point lâcher là si bonne prise, mais souffrant de la dilatation exagérée de son membre, due à l’intensité du plaisir qu’il avait eu en sa saillie… Le chien sortit une longue langue rose qu’il tendit vers les lèvres de la fine bouche de Cécile qui le laissa faire ; elle lui caressa affectueusement, voire amoureusement, la tête en murmurant quelques mots d’apaisement :

 « Oui, mon chien, oui, calme, l’on va t’aider… Tonton est là… gentil le chien… »

 

C’était attendrissant et dit sur le ton d’une Amante. L’Oncle tendit la main et caressa prudemment l’animal qui grogna encore un peu… la présence masculine s’opposant à la féminine beaucoup plus significative pour la bête qui se laissa néanmoins caresser encore par le vieil homme… Les doigts noueux de celui-ci frôlèrent ceux de sa Nièce… il s’en saisit, la regarda au fond des yeux où quelques reliefs de larmes tremblaient encore… « Calmez-vous, mon tout Petit, ma Cécile, il va dégonfler et vous libérer… » et il l’embrassa sur la joue, presque au coin des lèvres… Il voyait les petits seins aux fines coupoles roses dressés, se soulevant par intervalle au rythme des émotions d’une poitrine encore secouée de quelques légers sanglots…

 

Elle retint sa main, la garda et baisa le bout des doigts du Marquis qui en fut tout troublé… Il n’avait bien sûr jamais vu la quasi nudité de sa nièce et encore moins celle-ci en pareille position, découverte dans ses pratiques zoophiles et ce, par la force des choses… Il l’avait bien entrevue, un jour, furtivement, nue dans une bassine, tandis que la domestique l’arrosait d’eau tiède pour la rincer et l’essuyer ensuite en lui frottant langoureusement le dos, les reins, les jeunes fesses, s’attardant entre les jambes, à la fourche du plaisir, là où le fin sexe pubien se cachait… ses cheveux décoiffés et partiellement humides tombaient sur ses épaules… une Belle Enfant, oui, une bien belle enfant en vérité… mais il avait voulu chasser cette vision de sa mémoire, même si une fois au lit, le soir – il était jeune encore à cette époque et vigoureux ! – il revoyait sa Nièce blanche et nue et s’employait alors à satisfaire une chair exigeante dressée sous le drap… en pensant fortement à elle et revoyant son image… C’était son secret, sa joie, son unique plaisir, sa fantaisie…

 

Le vieux Marquis risqua un regard et une main vers le sexe et les testicules du chien qui, toujours figé dans le charmant conin, laissait échapper un peu de son foutre et sans doute de cyprine de la Chère Enfant si bien montée… Le chien grogna un peu, sa Nièce sursauta quand elle sentit contre l’une de ses intimes lèvres, le doigt noueux de son Oncle… un peu inquisiteur en cet endroit ; le doigt se retira, puis revint, à nouveau frôleur… elle dit :

« Ooohh, mon Tonton, cela m’apaise et me fait du bien… va-t-il enfin dégonfler et laisser libre mon petit conin ?! »

 

À ce mot, l’Oncle tressaillit… se troubla… ravala sa salive, au comble de l’émoi… il resta donc, un doigt près de la lèvre distendue par le sexe encore gros de l’animal et leur chaleur à tous les deux contribua à faire là bander ce vieil homme qui, veuf depuis des années maintenant, n’avait plus comme dérivatif que la masturbation nocturne ou quelque troussée rapide d’une servante complaisante voulant s’attacher les faveurs du vieux Maître…

 

La domestique et femme de confiance de son train de maison n’avait-elle pas déjà essayé de le circonvenir en voulant s’offrir à lui un soir, sur une bergère, au coin du feu ? Ma foi, elle était encore désirable, la cinquantaine, le derrière rond, la cuisse ferme sous les jupons et le gorgeton bien fourni… peut-être qu’un jour… sait-on jamais…

 

Le chien s’agita, se trémoussa sur le jeune con, les cuisses jouèrent un peu, le ventre se détendit et, d’un seul coup, le vit canin sortit de sa tanière, comme propulsé par une force, peut-être suite à une contraction inopinée du jeune con qui fut soudain libéré… Et s’écoula une longue et blanche rivière d’un foutre transparent et clair, sirupeux, miellé qui coula à l’intérieur des jupons de dentelles de la Belle, poissant les poils et s’infiltrant jusque dans le petit fossé du cul où il mouilla l’anus pourtant bien embusqué… L’Oncle, prévenant, tendit à sa Nièce un mouchoir délicatement parfumé qu’il tira de la poche de son habit et avec lequel elle s’essuya sans façon entre les cuisses et dans la raie des fesses, en soulevant ses fines hanches…

« Pardonnez-moi, mon Oncle, une telle vue, une telle indécence… j’en suis toute émue et confuse à souhait… »

 

Le vieux lui tapota la main, lui reprit le mouchoir qu’il glissa dans sa poche… il s’approcha, tira une chaise à lui et vint s’asseoir aux côtés de sa jeune coquine… car, les choses étant ainsi, ils devraient parler et ne point cacher à présent des secrets qui n’en n’étaient plus… Il prit le menton de sa Nièce, la regarda dans les yeux et dit :

« Que de doux secrets, mon Enfant… que de caresses surprenantes m’avez-vous cachées là ! Je ne vous savais point aussi pécheresse mais… ne m’en dites rien, je ne veux point vous gronder… Allez-vous mieux maintenant ? Comment vous sentez vous ? Le bougre « d’Amant » et il appuya sur le mot Amant, après bien du plaisir, vous a donné bien du tourment… l’ingrat ! »

 

Cécile excusa bien sûr son chien auquel elle devait tant — car ce n’était pas évidemment la première fois qu’elle menait pareil commerce en catimini sous ce toit avec l’animal… et son Oncle s’en doutait bien… Le beau et long « Phénix » jouissait de bien des privautés en compagnie de sa jeune Maîtresse, caressé, choyé, dorloté, baisé, incité à faire des caresses de plus en plus intimes et appuyées, jusqu’à ce qu’un jour, l’animal devienne son Amant, son coursier intrépide, exigeant, hautain, ne sachant plus se passer de ces rapports amoureux avec sa belle et jeune Maîtresse…

 

De fait, il savait la monter superbement et dès qu’ils étaient dans le parc, dans la chambre de la petite ou en quelque recoin d’un salon obscur, il la voulait immédiatement mettre et s’excitait follement, haletant, impératif, volontaire, déterminé à la bien baiser sur le champ… Alors, elle se retroussait prestement, ouvrait sa fine culotte en dentelles et le laissait trouver le chemin de sa chair, petite vicieuse, curieuse de sensations et surtout de secrètes saillies qui l’apaisaient un temps… Elle faillit d’ailleurs ainsi un jour être surprise par la domestique qui s’aventura un peu plus loin dans les étages et elle eut à peine le temps de se ressaisir, interrompant son plaisir, ce qui la laissa insatisfaite, tendue, nerveuse et de mauvaise humeur… Le chien lui, la lécha, tourna autour d’elle, bandant, puis la suivit penaud, attendant sans doute le soir pour recommencer sa cour…

 

A suivre...

Par Marquis de Chair - Publié dans : Le Boudoir du Marquis - Communauté : Zoo en fête
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