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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

 

Nouveaux ébats

 

Je pris une gorgée de Vodka, ma femme s’en vint m’embrasser, je lui transmis ma gorgée en un baiser chaud qui brûla nos papilles mélangées… Puis Irina dansa, tendrement enlacée avec la jolie blonde, dont le corps élancé se colla à notre rousse et enivrante Hôtesse… Chants et danses se sont là succédés, champagne et vodka à outrance ont entre nous coulés… Et l’on récita des poèmes, d’autres couples sont arrivés, c’était une nuit comme on les aime…

 

Moscou était tout enneigé, la buée faisait des reflets blêmes sur les carreaux blancs tout glacés… Irina me prit dans ses bras, une autre femme à nos côtés voulut partager nos émois… Françoise fit l’amour mille fois, avec le Comte, avec l’autre homme, avec des femmes et même aussi…un laquais…au vit sorti de sa culotte, tandis qu’il servait et que des Dames affamées de sexe au passage engoulaient, sucinaient, pulpinaient de lèvres ardentes…le sexe du Serviteur était luisant de salives qui coulaient sur ses bourses engluées, chacune pompounant ce vit passant à leur portée, y déposant une gorgée de champagne qu’elles s’empressaient aussitôt de déguster ou bien branlant entre deux doigts gantés le prépuce dilaté, dans l’espoir de le voir à la longue expulser quelque bon jet de foutrin blanc en leur flûte qu’elles présentaient comme un Graal …

 

Le laquais bandait comme un cerf, le vit sans cesse sollicité par de nouvelles sucées et branlées éphémères qui le surexcitaient… Il finit par décharger au passage en un haut verre que lui tendait une belle et noble débauchée qui but d’un trait le foutre mêlé  au champagne… Orgie, ô Orgie, comme tu es belle ouverte à tous les plaisirs consommés !!

 

Une vieille russe un peu fanée –soixante ans peut-être- vint s’asseoir sur mes genoux, cuisses et fesses malgré tout encore appétissantes, de beaux seins tombant un peu, bien aréolés et encore engageants…Je les suçai avidement, je tétai, enlanguai leurs aréoles, ils se dressèrent ; le sexe, beau triangle brun aux poils partiellement blancs était ouvert, les lèvres écartées…les cuisses étaient gainées de bas mauves tenus par un porte-jarretelles assorti du plus bel effet…

 

La couleur de ses bas et porte-jarretelles associée à son rouge à lèvres un peu violine, aux traits noirs cernant ses yeux et à son maquillage sombre, me fit soudain penser à quelque Papesse débauchée, dont j’avais vu un jour l’image en un livre désuet et coquin d’une très ancienne collection : en moi-même, je l’appelai :  

« Ma Papesse », drôle d’idée, mais cela m’excita…

 

 La femme mûre (ma Papesse) m’enlangua, je lui pris la bouche au goût de vodka, sa langue me visita, elle me tenait le visage, goulue, vorace, avide, un baiser profond… Je palpai les fesses, glissai un doigt dans le figne, elle se tendit, murmura quelque chose en russe et m’enlangua à nouveau… J’avais envie de la foutre, je lui tendis une flûte de champagne, elle la but d’un trait et la jeta par-dessus son épaule qui était dénudée, d’une blancheur satinée qui ne manqua point de me troubler… « Ma Papesse » était bien conservée, la peau ferme et nacrée, elle avait dû être très belle…

 

Je l’honorai de caresses osées, la cunnilingusai de fort bel appétit, le sexe étant d’un rose pâle, l’anus ferme bien serré, elle avait dû pratiquer la sodomie, mais l’anneau était de belle tenue et fort appétissant… Je la pris de devant, je la pris de derrière, épousai l’aréole large de ses seins d’une bouche gourmande, lui gobinai l’anus (elle aimait), tapotai ce petit insolent, elle jouissait, quémandait, voulait une autre sodomie… m’étant un peu reposé, je la lui fis, elle fut à son goût et me branla du trou de bien gente manière, il est de bien mûrs derrières qui ont souvent leur charme, je vous l’avoue !

 

 

Etrange Soirée

 

Bien étrange soirée, étranges relations, images se superposant, partagées entre plaisirs, réflexion, bonne société et puis, Eros s’en mêlant, les fantasmes venant, tous les vices cachés faisant comme des ronds sur l’ambiance feutrée, équivoque… Imagination ? Perversion des idées, érotisation, désirs inavoués, envies, illusions… Le saurai-je jamais ? Une suite d’images entrecoupées, peut-être griffées, rayées, ayant dû exister, l’espace d’une émotion, fugitive, envolée… Un beau film muet, ne comportant que des cris et des râles.

 

Je revins à la conversation, j’étais en un tourbillon de voix, de mots, de rires, d’exclamations, étaient-elles de …plaisir ou non ? Avais-je eu quelque vision ? J’avoue que j’étais troublé… Ma flûte de champagne à la main, calé contre des coussins, je souris à Irina…voyons, nous parlions de quoi ?! C’est que j’étais parti si loin en de si charmants ébats (!) que je faillis demeurer coi devant son sourire divin… Mais elle ne m’en voulut pas et nous reprîmes l’air de rien notre étrange conversation…

 

Mon regard se posa sur un bas que dévoilait sa longue robe, je vis un long escarpin au bout de l’un de ses pieds fins qu’elle balançait en mesure… avec quelque désinvolture qui, je l’avoue, me séduisait… Elle s’approcha ainsi de moi, prit mon visage entre ses mains et sur mes lèvres appliqua un baiser des plus câlins ; la belle russe enveloppée de satins et de dentelles pour écrin, était ce joyau qu’on découvre, qu’on admire et n’ose caresser…

 

Rêve ou réalité ? Je voguais entre les deux, à la fois subjugué tout autant qu’amoureux, entre sentiments et orgie, désir et recueillement auprès de cette femme… Mon corps, mes sens l’appelaient, m’appelait-elle aussi ? Autour de nous, ces bruits feutrés, étouffés, ces corps pleins de vie et de luxure, ces folles postures, ces vices insensés, les regards de ces femmes énamourées, superbes, offertes et, à mes côtés cette Déesse droite qui me souriait, comme à l’écart en ces salons privés… Elle me tendit son verre…j’y bus…

 

Ainsi, allait-elle connaître -enfin- mes pensées…mes envies malhonnêtes, mes élans de jouisseur, de libertin satané, mais ses sens à Elle, que disaient-ils ? Je m’infiltrai en son regard, je fus vampirisé, brûlé de toute part et la chair irisée de ces frissons bizarres qui parcourent les Amants qui ne le sont pas encore, si ce n’est par les yeux, le trouble de ces corps qui se cherchent, se voudraient épouser, attendent, profitant d’une jouissance intérieure qui, dans l’instant, les satisfait…

 

Elle but où j’avais posé mes lèvres, passa sa fine langue sur les siennes en me fixant intensément… La belle russe m’envoûtait… j’étais à Elle, elle le savait, elle me tenait et dans les mots de notre conversation, c’était autant d’aveux que l’on se faisait… J’eus envie de la prendre, là, sur le long canapé, à deux pas de ma femme et du Comte qui la possédait sans discontinuer, corps en liesse, il prenait Françoise qui geignait ouverte à ses plaisirs, à ses caresses perverses…

 

Irina m’enlaça, nous basculâmes sur le côté, je pris sa bouche, ma main glissa vers ses hanches, se risqua vers ses fesses, elle se tendit, soupira et je connus l’averse d’un baiser d’une intense tiédeur, d’une douce humidité, sa langue me fourragea, je caressai ses bas, montai vers les jarretelles, elle m’attira, chaude, soupirante, langue dardée, AMANTE ! Je bandai, elle cerna de sa paume mon vit au travers de l’étoffe de mon habit, l’empauma rudement, branlina l’étoffe, mon vit se dressa de plus belle, je fis claquer l’une de ses jarretelles, elle geignit…

 

A nos côtés, la bergère craquait sous les assauts répétés de son mari en ma femme…comme il la prenait et comme elle jouissait…

A mon oreille, je perçus le murmure de la voix d’Irina qui, avec son bel et divin accent russe me susurra :

« Rrrregarrrdez-les, mon Cherrr, comme ils s’aiment sans nous… je veux aimerrrr,  je vous veux VOUS… encorrre et encorrre, votrrre chairrr… venez… »

 

Elle était retroussée jusqu’en haut de ses bas qui gainaient ses cuisses magnifiques, la culotte en dentelle laissait par son ouverture passer quelques fines soies de son épaisse toison… Je m’accroupis, elle s’ouvrit… Je saisis  mon verre et arrosai de vodka le beau sexe tapi…je mouillai les dentelles, elle gémit…

 

La fendelle  blonde fut piquée par l’alcool, les lèvres s’entrouvrirent et aussitôt, je me mis à laper cette rose et haute bouche entrouverte aux fins poils mouillés… QUEL DELICE ! Le fin ventre se mit à houler sous les assauts répétés de ma langue qui se fit insistante, pénétrante, orvet dévergondé possédant la charmante beauté aux cuisses ouvertes, aux bas tendus, aux jarretelles tirées, d’une chaleur exquise qui m’empourprait les joues… Je lichai jusqu’à la dernière goutte…elle jouissait, m’embroussaillant les cheveux de ses longs doigts carminés, serrant ma tête entre ses mains longues, sans fin…

 

Après ce petit cunnilingus improvisé autant que soudain, elle voulut un baiser, je mêlai donc mes lèvres et ma langue à sa bouche, elle ingéra sa propre intimité, m’enlanguant sans compter, ardente, à son tour fouilleuse… Elle sortit mon membre de sa cachette et l’empoigna, le frotta, tournant en sa paume ce haut mâtin de chair en pleine dignité, décoiffa, recoiffa mon prépuce, insista sur sa veine, courut au long de son corps musculeux, gagna les couilles, les prit en sa paume, ne les lâcha plus, chercha mon cul, haletante…

 

Le Comte venait de jouir pour la troisième fois en mon épouse, il haletait, geignait, la serrait, leurs ventres s’épousaient, lui ferait-il un enfant ? Etait-ce qu’il voulait ? Ce qu’elle voulait aussi ? Le bel Aristocrate nu, ondoyait sur le corps de ma femme, ils m’excitaient… Irina murmura :

« Je veux l’amourrrr, mon Cherrr… prrrenez-moi, je vous prrriee… je n’en puis plus… »

 

De ma queue, elle se saisit, ouvrit les jambes, fit crisser érotiquement ses longs bas et ouverte déjà à ma queuline, se l’enfila prestement, terrible gourmandine, aussi racée que vicieuse… et dit :

« Ouiiii, c’est cellllaaa… mon Cherrrr Chérrrii, alleez, allez bien… le Comte et votrrre femme m’excitent…   l’amourrrr… viiiitte… »

 

Je la prenais si fort qu’elle gémit tout de suite, folle, débordante d’envie, elle me griffa les reins, me mordit, faisant aller ses hanches en mouvements infinis qui me tiraient le bas-ventre….

« Faites-moi un enfant… un Frrrrançais… un petit qui vivrrra en Russie… notrrre enfant… celui de cette orrrgie, celui de notrrre Amour… Arrrmand… »

 

Je la pris de plus belle, j’étais à fond en elle, elle se soulevait, montait, descendait, comme une balancelle, superbement arquée, jouisseuse démesurée, j’étais en Elle, elle allait recevoir ma becquée, ma jutelle et nous aurions, peut-être, un héritier de nos Amours si belles et si fortes à la fois !

 

A présent, des couples s’étaient à nouveau formés : deux femmes s’occupaient de Françoise, deux belles et longues lesbiennes qui s’employaient à lui donner du plaisir, étroitement serrées contre elle, leurs bouches allaient et venaient en chaque partie de son corps… Françoise, les hanches relevées, cuisses ouvertes laissait boire à sa chatte une superbe blonde aux petits seins bien dessinés, à la croupe ondulante, au ventre plat, aux joues creusées, une belle prêtresse de Sappho… Le chignon bien tiré, un profil de Déesse, elle officiait avec adresse, ses mains courant sur mon épouse, buvant à la fente sans discontinuer, tandis que l’autre prêtresse la baisait en bouche, buvant son souffle et Françoise était folle de plaisir, geignant, se tordant, se tendant, prête à mourir de se laisser ainsi aimer…

 

Je jouis en Irina qui se redressa, arquant les reins, nos poils mêlés, mon vit aux tréfonds de son joli con si bien enfoutré… Elle mordit ma langue, je pris la sienne, la croquinai, nos langues s’entrelacèrent, bataillèrent joyeusement, je bus toute son haleine… Elle voulut du champagne…je lui en servis… Son mari vint vers nous, se pencha, la baisa et dit :

« Êtes-vous heurrreuse, ma Mie ? »

 

Elle ouvrit les yeux, prit sa bouche et dit :

« Tout comme vous, mon Ami, Arrrmand est un Amant de grrrande qualité… ».

 

Un peu plus loin, sur une bergère recouverte de velours vert et brodée de fils d’or, un trio s’agitait : un religieux et un valet prenaient à tour de rôle une belle femme-chienne les cuisses écartées ; le religieux sous elle faisait aller et venir sa grosse queue en son cul, tandis qu’un valet au-dessus la fouinait prestement en con, en maintenant ses jambes haut levées, enserrant ses mollets. La femme jouissait, se trémoussait, mise à fond par les deux jouteurs qui se démenaient comme forcenés, ahanant et soufflant… Il n’était point d’usage normalement qu’un serviteur se joignit à la fête, mais le délire et les débordements des sens entraînaient parfois des exceptions que les pulsions commandaient. Et puis, quelque mâle de plus, n’était point à dédaigner, tant les exigences charnelles se faisaient là sentir…

 

Je savais qu’Irina n’était point insensible au(x) charme(s) de ma femme, des regards appuyés le prouvaient. Nous aimons ces plaisirs si souvent partagés et lorsque je la vis gentement enlacer ma femme, la bien baiser en bouche et risquer des caresses que certains trouveraient osées entre deux Dames (!), j’en fus ma foi flatté et tout émoustillé… Il est vrai que Françoise est une femme délicieuse et qui plaît, aux hommes comme aux femmes, elle aime aussi séduire et sans doute exciter, là quoi de plus normal quand on aime l’Amour et veut le partager ! 

 

Ma femme était en cour, ma foi bien engagée, gouinée avec amour par la belle Irina, à l’inquiétante beauté… Elles firent donc l’amour, ici, devant mes yeux et j’en fus fort troublé et devant d’autres gentes Dames et Seigneurs, de caresses appuyées en baisers prolongés, en des poses coquines, nanties d’une autre femme pour les bien dorloter…

 

Entre elles, je me pressai, de fait fus comblé, passant de Dame en Dame, pour de nouveaux effets… Aaaahh, comme étaient belles, toutes trois enlacées, leurs bas et jarretelles finement emmêlés !! Les langues de ces Belles sur ma chair agitées, firent des étincelles aux longs flots chauds nacrés… dont les chaudes Oiselles surent ici goûter…Et de se pourlécher comme de belles chattes, lichant la dernière goutte sur mon vit dressé…

 

Je vis des arcs en ciel aux chatoyants effets, tête entre des jarretelles et des bas qui crissaient, mettant feu à mes joues et tant de petits trous où ma langue rebelle s’amusa tant et prou ! Et je les vis chanter, je fus griffé par elles, à mon tour j’entonnai de belles romancelles sur un lit de péchés aux fossés pour venelles… Aaaahhh, femmes,  femmes belles, vous m’avez tant donné !! Et puis, elles ont goûté à d’autres ritournelles, faisant ici appel à des… « coursiers » aux courses ma foi belles et qui les ont comblées… L’Homme n’est point le seul à les savoir aimer.

 

 

Les Destriers d’Amour

 

Des valets servirent vodka et champagne, des pâtisseries… Des chiens furent introduits… superbes Dalmatiens, des femmes furent aussitôt séduites, les caressèrent, leurs firent mille invites, s’étendirent, et les chiens les léchèrent, élégants, élancés, robes aux couleurs claires, de fort beaux destriers, fins, mais musclés, museaux renifleurs, fouineurs, de nouveaux Amants pour les plus enflammées…

 

Irina en fit venir un à ses côtés, un Dalmatien blanc de noir tacheté, le caressa amoureusement, langoureusement, voluptueusement, était-elle une habituée de ce genre d’accouplements ?

Elle croisa mon regard, n’étais-je pas déjà excité  de voir une telle femme recherchant d’autres plaisirs ?

 

De l’une de ses fines mains blanches, elle frottait doucement déjà le fin sexe bandé de l’animal qui se laissait faire, langue sortie… Elle pinçait délicatement le sexe, le préparait à quelque joute que je devinai, caressait gentement les couilles belles et fermes, devant être bien pleines et donner ainsi toute satisfaction… Le Dalmatien bandait, haletant légèrement, langue sortie, vit cramoisi, long, superbement long, élastique, souple, une vraie petite dague de chair tressautante

 

 Irina se mit à le feller, mouillant bien de salive le sexe dardé, belle, vicieuse, surprenante ; elle paraissait gourmande, lichait, picotait de sa langue pointue le long sexe tendu, allait d’un bout à l’autre, se hasardait sur les couillines, se laissait baiser en bouche par le bel animal qui, de temps en temps se retournait vers son visage… Je bandais… Irina s’étendit sur le canapé où nous nous étions aimés, je vis son beau conillon encore tout humide de mes jutées, se tendre vers l’animal qui, lové entre ses cuisses, la reptilisait et pointait déjà son sexe vers la fente adorée qui m’avait donné tant d’ivresses… Allais-je être jaloux de ce nouvel Amant ? Point non… et ma curiosité, bien que j’eusse déjà vu bon nombre de ces fornications en nos salons ou en ceux de nos Amies adeptes de ces accouplements, ma curiosité disais-je était malgré tout titillée et j’attendais de voir cette union entre cette belle Aristocrate et son Amant quadrupède distingué…

 

D’autres femmes là-bas, des plus belles, se faisaient monter par deux ou trois coursiers, passant de l’une à l’autre, faisant leurs assauts bels, éreintant là ces Dames qui se voyaient comblées, de fins et délicats Amants aux serments beaux et muets, une fois les quittant…Chevauchées des plus belles, ébats des plus charmants pour Dames et Demoiselles aux sens en tourments… De cachées foutreries en bien secrète société…

 

J’étais abasourdi, je n’aurais jamais prêté de tels vices à Irina… Femme superbe, racée, intelligente, cultivée, elle se donnait, épanouissait ses sens, pareille à ces roses accueillant leurs bourdons…

 

La chose ne se fit point attendre : Irina fut aussitôt montée et de belle façon ! Le Dalmatien,  jeune et déchaîné, s’employa à la pénétrer de bien gente manière, il la prit prestement, flancs creusés, arrière-train arqué, fine échine, queue repliée sur son derrière, ses fines pattes avant bien rivées à ses hanches, le vit allait venait d’une franche cadence et je voyais la chatte, cette chatte adorée, prise, enfouinée, les bords des lèvres roses intimes sans cesse fourragés, étirés, la dague rose s’enfonçant profondément entre les soies blondes humides ; mon foutre devait certainement être pour quelque chose dans une aussi rapide envitée…

 

La queue de l’animal y glissait à merveille…je décidai de me branler aux côtés de ma belle russe qui apprécia ma présence, tenant le chien entre ses bras, pressant son étroit poitrail contre ses seins et se laissant de temps en temps baiser en bouche par une langue longue et rose qui s’infiltrait entre ses lèvres… Ma masturbation me satisfaisait, mon vit était de bonne tenue… Ma femme plus loin se faisait monter par un autre Dalmatien de toute beauté, aérien, souple, beau coursier sachant bien monter les Dames à une cadence effrénée…

 

Ma femme jouissait, aux Anges, variant ainsi ses plaisirs : hommes, femmes et chiens… Irina jouissait :

« Aaaahhh, mon Ami, me dit-elle, quel plaisirrrr ! », les yeux renversés, souffle court, elle se tendait, se donnait, les couilles du chien reposant sur son conillet tout rempli de foutrin canin qui débordait des lèvres de sa fente…

 

Ma belle Amante était aussi zoophile –et je n’en savais rien !– C’était décidément la nuit de toutes les découvertes !

 

Le Dalmatien ayant quitté le beau conin, je vins présenter mon vit tressautant à la splendide fente entrebâillée, humide, dégoulinante  d’un beau sirop visqueux autant qu’épais qui se perdait plus bas dans le fossé culin, mouillant l’anus généreusement… Je poussai en cette belle caverne tapissée de soies roses et prit gaillardement la place du chien, sans même laisser le temps de souffler à la belle zoophile encore haletante de la saillie ardente reçue… Elle gémit, m’accueillit, leva les jambes, s’ouvrit, quelle douceur, quelle chaude conine où je glissai avec délice, m’enfonçant jusqu’aux bourses, ma queue cernée du foutre doux juteux du chien…

 

Je bandais, mes Ami(e)s, je pris tout mon plaisir et en donnai le plus possible à ma partenaire, tant je sentais qu’elle aimait à être ainsi fouillée par mon vit, se sentant toute humide de cyprine et de foutre de l’animal qui l’avait si bien montée quelques instants plus tôt ; elle jouissait, yeux bleus grands ouverts, me fixant, poignardant mon âme d’Amant, puis refermait les paupières, les fines narines de son nez se pinçant ou se dilatant au rythme de son souffle…

 

Elle me mordit les lèvres et je poussai plus loin en elle, pénétrant toute sa chatte au comble de la jouissance, ses lèvres intimes se dilatant, s’ouvrant au long de ma queue, orchidée rose douce et chaude m’avalant, carnivore bouche aux spasmes latents qui faisaient s’iriser ma bite…Je glissai mes mains sous ses jolies fesses, l’attirai un peu plus à moi, j’étais planté en elle comme un pieu de chair aux raides insistances… Nous jouîmes en même temps, feu d’artifice éblouissant qui me brouilla les yeux, je ne quittai pas sa bouche, ma langue la fouillant, je la buvais toute, assoiffé dans ma quête d’Amour toujours plus exigeante…

 

Françoise équipée d’un gigantesque godemichet, prenait comme une démente, le conin écarté d’une belle femme mûre, d’un blond-roux qui donnait bien du con sur le vit artificiel qui fort la besognait ; un Dalmatien monté sur les fesses  de ma Mie, forniquait, coups de vit dans le vide, au-dessus du fossé et bandé à l’extrême par les frôlements de cul de ma Mie à chaque fois qu’elle soulevait les hanches pour mieux enfiler sa lesbienne comparse, il raidissait un peu plus à chaque contact avec les belles fesses ; l’animal bandait, un vit long et rouge, suprêmement dilaté, une bite de choix…Il parvint au bout de quelques instants, à planter dans le fossé culin son boutejoie, faisant danser ses couilles entre les deux fesses…

 

Le chien geignait demandant à ce qu’on le guidât, ma foi, sans tarder, l’excitation de la bête étant à son paroxysme… Françoise s’arrêta d’enfouiner sa belle gouine, glissa une main entre ses fesses et le ventre du chien, se saisit de sa bite, la tâta de ses doigts et de l’autre main, s’écarta le fion, pointa le vit dans l’anus… le chien poussa, comme un forcené,  geignant, heureux de parvenir à enfiler cette femme qui l’avait mis en de si  belles dispositions… Il forniqua en cul… Ma femme reprit ses envitements dans sa lesbienne et le trot fut mené, godemichet en conin et le chien qui enserrait ses hanches, et je voyais le cul de ma divine épouse, bellement balancer au rythme des envitées de l’animal puissant qui la dominait toute, excité par les muscs intimes de ces deux femmes en train de se baiser, là, sous son museau… Ma Chère Mie avait décidément bien donné du séant tout au long de ces ébats.

 

Je déconnai du beau sexe d’Irina, la retournai doucement et lui dis à l’oreille :

« Amante chérie, je vous voudrais sodomiser, goûter une fois de plus à votre si joli cul, ce paradis satiné… », tout ceci assorti d’un essoufflement et d’une émotion sensuelle des plus vifs…

 

Elle souffla :

« Prrrenez mon cul, mon  bon Seigneur, crrrevez la fleur que vous aimez tant… je veux vous donner du plaisirrr…allez…vite chérrriii… ». Je m’installai sur ses fesses, les écartai, l’œil était là, rose, épanoui, bouche pincée, anale cavité aux trésors enfouis… Je la pris…délice et volupté…je m’enfouis…poignardant cet œil rose où déjà mon prépuce glissait, sa grosse veine distendant les si délicats tissus qui s’écartaient peu à peu sous ma poussée souveraine…

 

Elle gémit, se colla plus étroitement au lit, je venais à elle, ses fesses me recevaient, calmes, ouvertes, tièdes à souhait…ses longs bas et jarretelles crissaient délicieusement sous les mouvements de mes cuisses et de mon corps qui la couvrait… J’étais collé à elle, plus rien autour de nous ne nous importait, les râles, les cris, les mots osés, je l’enculais, divine et belle…

 

Mon jet bouillant inonda son culin qui se redressa soudain sous l’ondée, elle serra l’anus, me retint, montant son figne sur mon vit, gagna mes couilles, les rondeurs de ses fesses venant les emprisonner… Je la foutai, raidissant ma queue, la bandant bien qu’ayant déchargé, mon prépuce fouillant ses entrailles, l’on ne savait plus qui prenait l’autre… Je la baisai en cou, la mordillai, lui fit un suçon des plus fort qui subsista au creux du cou et de l’épaule…je la retins entre mes dents… comme un Lion à sa Lionne… Nous ne bougeâmes plus, nous étions soudés, elle mit la tête de côté sur le drap, yeux fermés, soupira, serra encore les fesses, mon arc se tendit, expulsant encore un peu de foutre en son fondement…

 

Je déculai d’elle et m’étendis sur ses fesses finissant de bander sur elles, mon vit pareil à un animal mouillé, repliant sa détresse… Il resta blotti sur son fossé…Nous restâmes ainsi, étrangers à TOUT… ELLE m’avait tout donné, je n’étais pas près d’oublier cette Femme !

 

Les couples se séparaient… Deux heures du matin… Chacun faisait une abondante toilette en de privés cabinets où eau, parfums et serviettes, assortis de canules pour des clystères en des endroits retirés très souvent visités au long de ces ébats et salutaires à leur hygiène…

 

Peu à peu, les invités réapparurent, habillés, ayant noble figure en habit d’apparat, un peu fatigués peut-être… mais joyeux et apaisés, affichant un bienêtre, heureux de vivre de tels instants privilégiés… Les Dames aux yeux cernés étaient encore plus belles…

Et puis, ce fut le Grand Souper, l’Apothéose ! Chacun soupa de fort bon appétit, l’on but, l’on rit, l’on devisa, les chiens prenant part au festin…

 

Les carrosses et traîneaux furent amenés, les invités prirent congé, l’on se congratula, assauts de civilités, l’on se baisa, l’on s’étreignit et puis…fouette cocher…

 

Nous dormions au palais. Le lendemain matin, nous partîmes aux aurores… collation… tristesse…tendresse… larmes dans les beaux yeux de ces Dames… jurant de nous retrouver… J’étreignis avec flamme ma belle Irina qui me baisa à tout cœur, sa langue faisant un serment en ma bouche, je sentis sa chaleur et l’une de ses larmes sur ma joue coula… Irina murmura :

« Aurrrai-je, mon Aimé, un bel enfant de toi ? »

 

C’était la première fois, par émotion sans doute, que l’on se tutoyait… Mais je sus par la suite, de la bouche de Françoise, que le Comte lui avait murmuré :

« Frrrançoise… prrrends garde à notrrre enfant… »

 

Que dire après de si émouvants instants ? Nous emportions l’AMOUR en nos bagages.

Nous montâmes en carrosse. Irina me tendit un billet qui venait d’arriver, dépêché par l’un de leurs Amis vénitiens… un nommé… Giacomo (?) nous priant à le venir visiter en faisant un détour par Venezia… Il y comptait. Nous allions rencontrer le grand Casanova…

 

Quelques flocons de neige dans les cheveux blonds d’Irina… la fièvre me gagnait… Françoise d’une petite voix au Comte murmura :

« Au revoir, mon Aimé… »

 

Et Moscou s’éloigna tout écriné de neige…

 

(A suivre)

 

Bien érotiquement vôtre,

 

Votre Marquis de Chair,

Armand, Marquis de Coubressac

Par Le Marquis de Chair. - Publié dans : Le Boudoir du Marquis - Communauté : les blogs persos
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