Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Mon papa chéri a fêté son anniversaire, je tairai son âge pour ne pas le froisser, ni moi d’ailleurs. Nous avons donc organisé une fête, pas grandiose mais à la hauteur de l’événement, dans la maison familiale avec une cinquantaine d’invités sur le week-end.
Parmi ces amis venus participer à cette fête, un couple d’amis de Suède a fait le déplacement. Même si mes parents étaient restés en contact avec ces scandinaves, je ne les avais pas revus depuis une dizaine d’années. Nous avions l’habitude à une époque de nous rendre là-bas, ou qu’ils viennent en France, mais depuis dix ans, je n’avais pas eu l’occasion d’accompagner mes parents.
Ce couple avait un fils de six ans mon cadet. J’avais dix-sept ans la dernière fois que je l’ai vu et lui en avait onze. Il m’indifférait un peu à l’époque. Mignon petit garçon, j’avoue que je ne lui portais que peu d'intérêt. Profitant de l’occasion pour visiter un peu la France, il avait fait le voyage avec ses parents. Je me souvenais d’un petit garçon un peu chétif, voire frêle qui me regardait avec de grand yeux et me collait aux baskets lorsque nous étions réunis. Je le considérais un peu comme un petit frère pot de colle.
A leur arrivée, je salue donc les parents et reste bouche bée à la vue de ce jeune homme que je découvrais. Le petit garçon maigrichon de mes souvenirs s'était métamorphosé en une espèce de bombe sexuelle, un apollon des temps modernes, blond aux yeux bleus, d’un mètre quatre-vingt dix, les épaules larges, engoncé dans une chemise qu’il avait dû garder du temps de son enfance et qui révélait une musculature impressionnante. Je remarque alors que lui non plus n’ose pas bouger en me regardant. Allons nous nous sauter dessus de suite, nous embrasser……….. Je dois avouer que je ressens alors un certain émoi, que je m’efforce de cacher. Mais je ne suis pas certaine qu’il n'en a pas senti les signes. Je l’embrasse alors en lui disant qu’il avait bien changé.
L’apéritif dînatoire battant son plein, je m’approche de lui pour entamer la conversation. Dans un mélange d’anglais et de français, je comprends qu’il avait pratiqué pas mal de sport pendant ces années, devenant un bon jouer de hockey et un nageur visiblement émérite. Je ne peux pas m’empêcher de le complimenter sur son physique impressionnant, compliments qu’il s’empresse de me retourner. Tout au long de l’après midi, entre les danses, les jeux organisés, les discutions familiales, nous nous observons et je ne peux m’empêcher de penser à lui dans des positions plus qu’équivoques et dignes d’un film visible uniquement le premier samedi du mois à partir de minuit sur une chaîne cryptée.
Le soir pointe son nez et nous continuons les festivités. Nous discutons à nouveau et après l’avoir quitté, je me consacre à mes parents.
Au bout d’une grosse demi-heure, l’envie me prend de me retrouver un peu seule, saoulée de cette cohue, et je décide d’aller m’isoler près de la piscine. La maison implantée dans un grand jardin, est agrémentée d’une piscine couverte. Cette couverture amovible permet d’isoler la piscine des regards et intrusions extérieures. Une série de stores obstrue les espaces vitrés et une sorte de sas, comme un vestiaire, peut être fermé à clé. Je décide de m’y rendre, accompagnée d'un jouet utile à mes jeux solitaires.
J’ai envie de m’amuser un peu, les pieds dans l’eau. Dans ce petit vestiaire, je me mets nue. Je me saisissant de mon gode, je passe le muret séparatif. Je m’avance alors pour me rendre au bord de la piscine, en tenue d’Ève. C’est alors qu’un corps sculptural sort de l’eau. Je reconnais ce jeune homme de 21 ans aujourd’hui avec qui j’avais discuté pendant quelques heures dans la journée. Le voilà tel Poséidon, Dieu marin, devant moi, dans le plus simple appareil.
Nous restons figés l’un en face de l’autre, notre nudité nous éclatant au visage. Mes yeux se fixent alors sur son anatomie que je vois irrésistiblement se dresser et plus il se raidit, plus il me semble d’une taille plus que respectable. Mon regard quitte cette vision de rêve pour me fixer sur ses yeux et je découvre qu’ils étaient eux mêmes fixés sur cet objet que je serrais inconsciemment dans ma main. Saisissant l’embarras de la situation, je couvre de mes mains mes parties intimes. Une main sur ''l’origine du monde'', la seconde sur mes seins. Le jouet se retrouve alors juste au niveau de mes lèvres. Réalisant le symbole, je lâche l’objet. Lui, réalisant aussi sa nudité cache ses attributs et prend le large en courant pour plonger là où la piscine se faisait plus profonde. Je plonge pour me cacher aussi.
Se confondant d’excuses de cette présence dans la piscine de ses hôtes dans le plus simple appareil, il m’explique en balbutiant qu’il avait eu envie de nager mais qu’ayant oublier de s’équiper de ses accessoires de baignade, il pensait que l’isolement du lieu et la relative fraîcheur de la soirée le préserverait d’une éventuelle surprise. C’était sans compter sur la petite Miss K, qui, sans le vouloir se retrouve toujours là où il ne faut pas (ou justement là où il le faut!!!!!!). Je le rassure alors, lui disant que ce n’était pas grave et que c’était à moi de m’excuser. Irrésistiblement, nous nous rapprochons. Je joue les ingénues.
Gênée au départ de la situation, j’entrevois maintenant tous les avantages que je peux en tirer. Tout proches l’un de l’autre, nos regards se croisent. Nos mots se font plus légers et il m’avoue avoir toujours eu des sentiments pour moi et avoir souvent rêvé de nous deux dans des positions inavouables. Je le remercie d’un air gêné de l’intérêt porté à ma personne. C’est alors qu’il pose ses mains sur mes épaules et m’embrasse. Je le repousse, lui disant que ce n’est pas bien et me retourne dos à lui. Mon attitude est suffisamment ferme pour lui faire comprendre que je ne suis pas une fille facile mais pas trop non plus pour lui faire comprendre que je ne suis pas fermée à ce qu’il continue.
Il se colle alors derrière moi, m’enlaçant, son sexe tendu caresse mon dos. Ses mains courent sur mon corps, mes seins, mon intimité. Ses mains douces commencent à m'électriser. Mes seins se tendent rapidement.
Me retournant face à lui, il me prend alors par les hanches pour me poser sur la margelle de la piscine, assise les pieds dans l’eau, et commence à me prodiguer un cunnilingus des plus réussis. Je rends alors compte que le petit garçon était devenu un jeune homme visiblement plein d’expérience en la matière. Ses lèvres, sa langue, ses doigts se succèdent alors sur mes lèvres, mon clito, ma chair intime. Je sens sa langue me pénétrer comme un sexe. Ses doigts qui me fouillent me cambrent de plaisir. C’est un véritable délice.
Cambrée an arrière, je pose mes pieds sur ses épaules larges et je m'abandonne à ces traitements. Il est si doué que ma jouissance ne tarde pas à trahir le plaisir qu'il me procure. Il s'enhardit alors et me dévore de plus belle, récoltant ma cyprine si convoitée. Au bout d'un moment, il me redresse, pose ses mains sur mes fesses et me soulève littéralement, sans difficulté. Je me retrouve à 1m90 du sol, les jambes sur ses épaules et sa tête entre mes cuisses. Il me lèche encore, ses mains agrippées à mes fesses. Je suis dans ses mains comme une plume dans le vent. Tout à coup, l’équilibre me quitte et je me retrouve au fond de la piscine.
Au sortir de l’eau, je vois mon Jonas s’asseoir sur le rebord de la piscine. Une fois en place, il me montre du doigt son sexe bandé pour me signifier en souriant que c’était à mon tour de m’occuper de lui. Je ne me fais pas prier et m’engage dans une fellation dont j’ai le secret. Je l’entends gémir, me disant en anglais que je suis une sacrée suceuse, m’encourageant à continuer. D’autres mots que je ne connaissais pas, certainement dans sa langue natale, ne me semblant pas être des noms de fleurs.
Ma langue tourne avidement autour de son gland de bonne taille. Je m'amuse à le tapoter sur ma langue en le regardant dans les yeux, souriant de le voir apprécier. Je lis dans son regard qu'il réalise les rêves qu'il faisait dans son adolescence et qu'il y prend autant de plaisir. Je ne laisse pas ses testicules en reste et commence à passer ma langue dessus, laissant son sexe posé sur mon visage. Je les gobe, les aspire, les relâche. Elles sont douces et bien dures. Il saisit son sexe et le caresse, le tapote sur mon visage. Il me demande en anglais de lécher son anus. Peu adepte de ce genre de chose, l'excitation me pousse pourtant à m'exécuter et lui faire ce plaisir. Il semble au paroxysme du plaisir.
Au bout de quelques instants, décidant qu’il était temps qu’il me prenne, il me fait comprendre que je dois m’arrêter. Il descend de son perchoir et me colle virilement à lui. Je sens sa main se poser sur mes fesses. Elle s'insinue entre mes deux lobes et me soulève. De cette main, il me suspend dans l’eau et de l’autre, saisissant son sexe, il m’empale sans ménagement. S’engage alors une série de va et vient sauvages. Il me baise alors comme un fou, semblant vouloir rattraper toutes ces années où je n’étais pour lui qu’un fantasme.
Oubliant son anglais et son français, il se lance alors dans des borborygmes dans la langue d’IKEA, dont je soupçonne la vulgarité. Je sens son sexe, devenu plus dur et plus gros qu'il ne m'avait semblé dans ma bouche, profaner mon intimité avec vigueur. Je le sens m'écarter mon vagin sans management. Je jouis une seconde fois. Il me sent me contracter et convulser sur son sexe. Souriant il redouble alors de vigueur, m'arrachant des hurlements de jouissance extrêmes. Mes bras autour de son cou, je m'affale sur lui. Mais il continue à me pilonner comme si sa vie en dépendait.
Ne me rendant pas compte que nous nous déplacions dans la piscine, je ne prends conscience du mouvement que lorsque je sens quelque chose se poser et titiller doucement mon petit trou. Pensant d'abord à son doigt, je reconnais la forme phallique de mon jouet. Je le regarde surprise, lui me sourit. Je m'appuie alors un peu plus sur ses épaules et enserre son bassin de mes cuisses, ouvrant un peu plus ma petite rose.
Avec douceur il joue de la pointe de mon gode pour la dilater lentement. Petit à petit le gode me pénètre. La brûlure se transforme en plaisir et me laissant profaner, le gode se retrouve bientôt entièrement enchâssé tout au fond de son fourreau. Une fois l’objet en place, il se concentre sur son mouvement de piston, accélérant au fur et à mesure. Ses mains accrochées à mes fesses empêchent le gode de ressortir d'un millimètre de mon petit cul.
La friction de son sexe contre le gode au travers de la paroi me procure une jouissance énorme. Provocant une troisième vague de jouissance. Il me pistonne de plus belle et, en anglais, il me dit alors que je suis vraiment une petite pute en jouissant en moi. Je sens sa verge se contracter et propulser au fond de mon vagin des jets puissants. Il râle de plaisir. Il me semble ne plus pouvoir s'arrêter. Nous restons quelques instants dans cette position en s'embrassant.
Son sexe se ramollit lentement sans quitter ma petite grotte, et il nous emmène près du bord. Il quitte alors mon corps, laissant le gode en place. Alors que je pose ma main sur le gode pour me le retirer, il me l'interdit avec véhémence mais en souriant.
Après quelques minutes de petites caresses, il pose sa main sur le gode et tout doucement me le retire. Il le présente à mes lèvres et me demande de le lécher. Je m'exécute.
Nous décidons de rejoindre la fête et de faire comme si de rien était.
Miss K.
Derniers Commentaires