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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je m'appelle Pascal et j'ai trente-cinq ans. Il y a un petit peu plus de dix ans maintenant, j'étais en Fac. J'avais un copain, Jonathan qui usait avec moi ses fonds de jeans sur les bancs des amphis. Nous nous étions liés d'amitiés grâce à notre goût commun pour les randonnées pédestres. Nous en avions fait trois ou quatre, sans que jamais nous ne nous soyons confiés sur ce que nous aimions dans la vie. Vint un jour où nous sommes partis passer le week-end de Pentecôte autour de la célèbre dune du Pilat.

 

Sacs à dos, une canadienne à deux places, un TGV sans grève, ce qui était un indice favorable pour notre week-end, et nous voilà très vite rendus à destination. Un terrain de camping peu fréquenté à cette époque de l'année nous accueille. Nous sommes le vendredi, il est quinze heures. Nous installons notre tente, nous débarrassons de ce qui ne nous est pas utile et partons nous balader.

 

Il fait très beau, le soleil nous donne cette année là un petit 28°c de très bon aloi. Polo, short et baskets sont notre uniforme. La mer est à deux ou trois kilomètres, nous les parcourons assez vite. On a hâte de la voir cette mer, ou plutôt cet océan, nous l'avions quitté en Septembre dernier et il nous manque. Les derniers 500 mètres nous font traverser une pinède. Nous quittons la route pour nous promener sous les pins.

 

Nous marchons en silence, ce qui nous permet, soudain, d'entendre des bruits bizarres, des sortes de gémissements. Curieux, nous nous approchons de leur source. Ce sont trois personnes, deux hommes et une femme, en train de faire l'amour. Ils sont nus et l'un des deux hommes est pris en sandwich entre la jeune femme et l'autre homme. Autrement dit, on lui fait ce qu'il fait à cette, ma foi, jolie femme.

 

Jusque là, je n'avais jamais vu »'en direct » deux hommes faisant l'amour. A ma grande surprise, ça m'excite, moi qui suis hétéro. Jonathan et moi nous regardons en silence. Je constate qu'il est tout excité lui aussi. Nous nous installons confortablement et assistons à ce spectacle en silence. Nous sommes de plus en plus excités, tous les deux. Au bout d'un moment, je n'en peux plus, je baisse mon short et me caresse la bite toute dressée.

 

Jonathan, que j'appelle toujours Jo, après un moment d'hésitation fait comme moi. Et nous voilà, nous branlant, sans un mot, les yeux fixés sur le trio en train de jouer. Les deux hommes sont maintenant tous deux dans leur copine. Leur show n'en est pas moins bandant. La jeune femme est à son affaire si l'on juge par ses gémissements assez bruyants.

 

Ils ont joué ainsi pendant un peu plus d'une heure. Quant à nous deux, nous avons joui un peu avant « nos artistes », et sommes partis sans nous faire remarquer. Nous avons repris notre balade en faisant juste quelques remarques sur ce que nous venions de voir et de faire. Je constate alors que nous sommes tous deux un peu timides. J'ai beau trouver ça ridicule, je n'arrive pas à surmonter cette bête gène.

 

J'ignore ce qu'il en est de lui, mais ce que nous avons vu dans la pinède me hante, je ne cesse d'y penser. Et je bande. Mon short, fait d'un tissu léger, n'arrive pas à le cacher. Il en est ainsi tout le reste de l'après midi. Avant de rentrer au camping, on se fait une crêperie, puis on s'attarde un peu à la terrasse d'une brasserie où nous dégustons allègrement un petit vin du coin.

 

Une fois rentrés au camping, une bonne douche qui n'arrive pas à dissiper les vapeurs de son petit pinard et nous nous enfermons dans notre canadienne. Il fait assez chaud, nous sommes à poil et hésitons à nous mettre dans nos duvets. La faible lueur de notre loupiote au gaz éclaire suffisamment pour que nous puissions nous voir. J'ai encore en tête la séance de cet après-midi et je recommence à bander. Je me caresse la queue et les couilles.

 

« Ben dis-donc, Pascal, Tu bandes ? Qu'est-ce qui t'arrive ? Et pis j'aime beaucoup ta bite,me dit Jo, avec à la fois un peu d'ironie et de trouble dans la voix.

- Je pense encore à ce qu'on a vu tout à l'heure, ça m'a vachement excité. Surtout de voir les deux mecs s'enculer. C'est la première fois que je vois ça, je n’arrête pas d'y penser !

- Moi je l'ai déjà vu et déjà fait. D'ailleurs, y a que comme ça que je baise, je suis homo. Ça te gène ? Et toi, mon Pascal, tu l'as jamais fait ?

- Non ça me gène pas du tout. Pour moi l’occasion ne s’est jamais présentée, c'est tout. Et je dois dire que je suis encore tout troublé de ce que j'ai vu tout à l'heure. »

 

C'est la première fois qu'on se fait des confidences aussi intimes lui et moi. Et c'est curieux, mais nous ne nous sentons pas du tout embarrassés d'en parler. Allongés, nus, côte à côte, chacun de nous se caresse le sexe. Nous nous parlons en regardant le sexe de l'autre. La queue de Jo me plaît, je la trouve belle. Circoncise on voit bien son gland plus gros que la hampe. Jo approche sa main de mon visage et me caresse la joue, presque tendrement. Ça me fait comme un frisson dans tout le corps.

 

Alors, sans même réfléchir, je tend ma main vers Jo et me saisit de sa queue. C'est la toute première fois que j'en touche une, à part la mienne, bien entendu. Elle me fait un drôle d'effet. Elle est toute chaude. Sa peau est si douce. C'est très agréable de la caresser. Ma main l'enserre bien et je la branle doucement. J'adore ce que je suis en train de faire. Je crois que je pourrais le faire longtemps s'en m'en lasser.

 

Jo aime ce que je fais, je l'entend soupirer de plaisir. Imperceptiblement il s'est rapproché de moi et sans que je m'y attende il me prend la bouche. Une langue d'homme dans la mienne. La première. Étrange, je ne suis pas dégoutté, et même je peux dire que j'aime. J'en bande encore plus. Bon sang, si on m'avait dit ça il y seulement une semaine, je me serai mis en colère en gueulant un tonitruant '' chu pas pédé moi!!! ''

 

C'est con comme on peut changer tout de même! Nous nous jetons l'un sur l'autre comme des morts de faims, nos mains parcourent nos corps et nos bouches se dévorent. Jo interrompt nos effusions et se penche sur ma queue pour la sucer. Je pousse un grand gémissement de plaisir qui a du s'entendre dans tout le camping.

 

Bon sang, il suce bien mieux que mes copines. Et il y met une douceur toute féminine. Je jouirai presque si je ne me contrôlai pas. De sa main libre il me caresse le corps, ça me donne des frissons partout. Puis il fait glisser sa main entre mes fesses. Pendant un moment, ses doigts frôle et titille le pourtour de mon petit trou. Qu'est-ce que c'est bon ce qu'il me fait. Je ne peux m'empêcher de cambrer légèrement les reins. Jo en profite pour glisser un de ses doigts dans mon cul. Il le fait aller et venir. J'adore cette sensation.

 

Un gloussement de plaisir fait comprendre à Jo que j'apprécie Il décide donc de glisser un second doigt entre mes fesses. Grâce aux mouvements de sa main, je subis ma première sodomie. Oh ! Bien sûr c'est une sodomie toute légère et gentillette, mais elle me donne un tel plaisir que j'éjacule dans la bouche de Jo.

 

Quand je pense que jamais je ne m'étais doigté tout seul. Si j'avais su que c'était si bon, je me le serais fait très .souvent. Jo apparemment s'est régalé de mon sperme. Il me complimente sur son goût. Euh...Il a raison, quand je me branle, je récupère mon jus et l'avale. J'aime beaucoup ça. Complètement conquis par ce que me fait Jo avec ses doigts, je remue du bassin pour que ses doigts me donnent plus de plaisir.

 

Jo, voyant ça, me retourne, me fait mettre à quatre pattes. Il enfile une capote et présente son gland à mon trou de balle. Mon excitation et le petit pinard du dîner m'empêchent de réfléchir. Aussi quand je sens son gland forcer un peu l'entrée, je ne me crispe même pas. Jo, sympa et doux y va doucement. Je sens sa bite s'enfoncer en moi, centimètre par centimètre. J'en éprouve de plus en plus de plaisir.

 

Enfin, sa jolie queue est toute entière dans mon ventre. Jo et moi restons immobiles. Seules ses mains bougent et caressent mon dos. Je suis aux anges. Ses caresses font monter la pression, je sens qu'il me manque quelque chose. Alors je donne un petit coup de reins et mon ami se met à m'enculer. Pas une seule seconde je n'ai éprouvé une petite douleur. Je n'ai senti que du bond, du très bon, du très très bon.

 

Je comprends mes copines qui ne peuvent s'interdire de gémir sous le plaisir. J'en fait autant. Ce que j'éprouve se répercute sur ma bite qui bande à nouveau. Tout en m'enculant, Jo qui s'en est rendu compte, me branle doucement tout en me ramonant. Ma première sodomie dure très longtemps. Non seulement celui qui est devenu mon premier amant baise sans précipitation, mais en plus il est très endurant. Je suis vraiment heureux qu'il ait été mon initiateur.

 

Toute résistance a ses limites. Le rythme de Jo s'accélère, ses halètements aussi. Il sort de mon ventre très vite et présente sa queue à ma bouche et la force à s'ouvrir. Il décharge une belle quantité que j'avale avec plaisir. Son sperme est plus salé que le mien, j'adore. Instinctivement, je le nettoie avec ma langue. Je me rends compte que j'adore vraiment ce que nous venons de faire, que je n'en éprouve aucune gène et que je renouvellerai ça le plus souvent possible.

 

Pour lui prouver que j'ai aimé, je prends la bouche de Jo et nous échangeons un long baiser, puis allongé tout contre moi et serrant ma main dans la sienne, il me dit:

« Pascal, tu m'as étonné, tu sais, par ton comportement ! Tu as agi comme si tu étais un vieil habitué. Et puis, tu ne t'es pas plain quand je t'ai pénétré, je te félicite. Ton trou de balle est naturellement très souple. Si par hasard, tu décides de continuer comme ça, je te promets beaucoup de plaisir…

- Je te remercie mon Jo. J'ai tellement aimé ça que je ne suis pas prêt de m'arrêter de baiser avec des mecs. C'est vraiment trop bon ce qu'on a fait là. Ça ne me venait même pas à l'idée qu'un jour je puisse avoir un rapport homo, et je ne m'attendais pas à aimer autant ça. C'est vraiment extraordinaire. »

 

J'avais à peine fini de parler que Jo me prend dans ses bras et me prend encore la bouche. Je réponds à son baiser. Je sens l'excitation monter encore en nous. Ma main gauche glisse sur son corps et arrive à sa bite. Elle est déjà bandée. C'est un très beau bâton que je tiens en main. Il doit avoir presque cinq centimètres d'épaisseur, ce machin. Sa douceur et sa chaleur me font envie. M'étonnant moi même, je me penche vers elle et me mets à la sucer. C'est la première pipe que je fais. Je suis un peu empoté. Ne sachant pas trop comment faire, je pense à celles que me faisait ma dernière copine et tente de l'imiter.

 

Je ne sais si je fais plaisir à Jo, mais moi j'adore ce que je fais. C'est tellement excitant de sentir une bite dans sa bouche, la titiller de sa langue, lui mordiller doucement le gland que je suis certain, sans savoir sur quoi je me base, que c'est loin d'être la dernière queue dont je m'occuperais.

 

Et en effet, durant ce week-end de Pentecôte, Jo et moi avons beaucoup plus baisé que fait des randos. Et personnellement je ne le regrette pas du tout. Avec le temps, je me dis que Pentecôte, si mes souvenirs de catéchisme sont bons est le jour où l'esprit saint est venu visiter les apôtres. Peut-être qu'au cours de cette fameuse pentecôte, c'est une sorte d'esprit, saint, à sa façon, qui orienta ma vie sexuelle.

 

Depuis, je suis devenu un homo à tendance bi, et comme je n'ai jamais pu oublier la beauté et les trésors cachés d'un corps féminin, je suis devenu un hétéro à tendance bi. En un mot je confirme la véracité de la phrase de Woody Allen qui dit qu'être bisexuel c'est avoir deux fois plus de chances de ne pas rentrer seul le samedi soir !

Par Bruno Bi - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : Communauté gay
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