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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

AVERTISSEMENT : ce récit peut choquer, car il relate une relation incestueuse.

 

 

 

Continuant de fouiller dans mes souvenirs de libertin, je me remémore une période qui remonte à une quinzaine d’années. Elle me revient en mémoire (je l’avais quelque peu occultée, vous comprendrez pourquoi en lisant la suite) car elle s’est produite à la même époque de l’année.

Veuf depuis quelques années déjà, je n’avais plus que quelques années de travail avant d’arriver à l’âge de la retraite. Les enfants et petits enfants dispersés en divers endroits de France, je m’efforçais de venir chez les uns et les autres pour fêter les anniversaires.

 

Un weekend prolongé auquel j’avais ajouté quelques jours de congés me permettait cette année-là de passer quelques jours dans la région de Royan chez l’ex d’un de mes fils et ses enfants dont la fille aînée, Stéphanie fêtait ses dix-dix ans. Le séjour se passait dans la bonne humeur et la joie des retrouvailles. J’avais toujours été complice avec Ingrid, l’ex de Louis, mon fils aîné. Et des années plus tard, elle me remerciait encore de n’avoir pas pris parti pour l’un ou l’autre au moment de la séparation.

 

Ingrid, comme son prénom peut le laisser supposer, a des origines nordiques. Elle est la fille naturelle d’une suédoise qui, jeune étudiante de vingt ans, s’est fait faire un enfant lors d’un voyage en Egypte. Le mélange des gènes a donné un résultat plus que séduisant. De ses origines scandinaves, elle a pris une silhouette longiligne avec une taille étroite, des cheveux blonds très pâles mais des yeux d’un noir profond, ses hanches juste un peu larges et une poitrine opulente mais bien ferme sont indiscutablement d’origine levantine.

Je ne comprenais toujours pas comment mon fils avait pu en arriver à la tromper outrageusement et à se comporter grossièrement avec elle, faisant preuve d’un manque d’éducation (qu’il n’avait pas) en sa présence. Je vous passe les détails.

 

L’avant dernière soirée du séjour, je l’ai passée à bavarder avec Ingrid alors que les enfants étaient couchés depuis longtemps. La fatigue de la journée de fête autour d’un barbecue avec les membres de la famille et les copains et copines et les cours qui reprenaient dès le lendemain en étaient la cause. Etant d’une manière assez libres dans nos propos, au cours de la conversation, nous avons évoqué notre sexualité : comment je faisais, veuf depuis plusieurs années, pour satisfaire ma libido, comment elle satisfaisait la sienne.

 

Sans trop entrer dans les détails, je lui ai avoué que depuis bien longtemps, j’étais un libertin convaincu fidèle à mon épouse qui ne partageait pas mes penchants mais qui était suffisamment ardente au lit. Depuis, sans l’oublier, je multipliais les liaisons et aventures plus ou moins longues et fréquentais les clubs échangistes. De son côté elle m’a avoué sans aucune fausse pudeur qu’il lui arrivait de se caresser sous la douche ou dans son lit. Elle n’avait jamais osé acheter des jouets de peur que les enfants les trouvent…

 

Bref, lorsque vers une heure du matin, nous sommes allés nous coucher, je pense que l’un et l’autre nous étions passablement excités. En moi-même, je me suis dis que dès mon retour chez moi, je me rendrais dans ce club que je fréquente assez régulièrement dans la périphérie de B… et j’en profiterais pour m’offrir une belle partie de baise avec celle qui voudrait bien se laisser faire.

 

Je dormais profondément lorsque j’ai senti la couette sous laquelle je dormais nu, se soulever et un corps chaud se glisser près de moi. C’était Ingrid qui me rejoignait :

« Je n’arrive pas à dormir ! Prends-moi dans tes bras, cela me calmera. »

 

Quelle surprise ! Complètement éveillé, je l’ai prise dans mes bras. Au travers de sa nuisette, je sentais les courbes de son corps et soudain, je me suis mis à bander comme un cerf en rut. Je n’avais pas baisé depuis une quinzaine de jours et la conversation que nous avions eue en soirée ont vite fait de m’exciter. Elle l’a senti car presque aussitôt sa main est venue se poser sur mon sexe et une douce masturbation a commencé. Pour ne pas être en reste, j’ai quelque peu changé de position pour pouvoir caresser sa chatte à la toison touffue. Sa fente était chaude et humide. Quelques effleurements plus tard, son clitoris était complètement bandé et les deux doigts que j’avais introduits dans son sexe étaient inondés de cyprine. 

« Fais-moi l’amour ! J’ai envie que tu me baises ! Ce sera notre secret !

- OK. Si c’est ce que tu veux, je suis partant !

- Oui baise-moi ! Ne te prive pas, inonde ma chatte de ton jus ! »

 

Ce bref échange de paroles avait fait son effet ! Ma bite était désormais complètement bandée, dure comme du bois, prête à l’estocade. Ingrid m’a ouvert les bras et les cuisses et je me suis introduit dans sa chatte ! Waouh, qu’elle était humide et chaude ! Aussitôt elle a noué ses jambes dans mon dos en me soufflant : - « Vas-y, baise moi, je suis à toi ! »

Et là, c’est une véritable tornade qui s’est emparée d’Ingrid qui s’est agitée comme une furie sous mes coups de boutoirs qui faisaient claquer nos pubis l’un contre l’autre, essayant tant bien que mal de maitriser ses soupirs et râles de jouissance au fur et à mesure que celle-ci montait en elle. De mon côté, je me retenais d’aller trop vite à la conclusion… Mais c’est Ingrid qui est partie la première, lâchant plusieurs cris de plaisir au moment où je sentais son sexe palpiter autour de ma bite, fichée en elle au plus profond de ce que je pouvais :

« Ouiiii ! Je jouiiiisss ! C’est booon ! »

 

De mon côté, je n’avais pas encore pris mon plaisir, tout à l’idée de bien faire jouir ma partenaire qui dès que le calme est revenu, m’a désarçonné en me faisant rouler sur le dos. Dans le clair obscur de la chambre aux volets entrouverts, je l’ai vue faire voler sa nuisette par-dessus sa tête puis plonger vers ma queue dressée comme un « I » et l’emboucher pour quelques va-et-vient. Puis Ingrid m’a enjambé pour venir s’empaler sur ma queue, face à moi. D’un même coup d’œil, je voyais sa toison de poils châtains et drus et son opulente poitrine se balancer sous mes yeux. Quel spectacle !

 

Vous connaissez mon attirance pour les poitrines des femmes. Une main sur chaque sein, le téton au creux de ma paume, j’ai commencé un massage de ses globes doux et souples pour les faire dresser. Dès qu’ils ont été un peu sortis, je les ai fait rouler entre mes doigts :

« Oh oui ! C’est bon ce que tu me fais ! Continue ! »

 

Pendant ce temps elle remuait de la croupe pour faire aller et venir mon sexe dans sa chatte. Bientôt les tétons ont été sortis et ressemblaient à une petite fraise des bois ! Vision oh combien érotique qui montrait son excitation. J’ai laissé glisser mes mains le long de son corps et les posant de part et d’autre des hanches, Ingrid a ainsi pu faire les mouvements de bas en haut sur me queue, se baisant elle-même de plus en plus vite au fur et à mesure que sa jouissance montait.

 

Pris dans notre folie sexuelle, nous ne nous étions pas rendu compte qu’en plus des soupirs et cris de jouissance, le lit faisait du bruit… si bien que la porte de la chambre s’est entrouverte, laissant apparaître le minois oh combien étonné de ma petite fille ! Sa mère ne s’est aperçue de rien car elle tournait le dos à la porte, si bien que Stéphanie pouvait nous mater tout à loisir. J’étais bien évidemment excité mais aussi, gêné d’être surpris ainsi !

 

J’ai laissé Ingrid jouir empalée sur mon sexe qui a lancé quelques beaux jets drus au fond de sa chatte. Stéphanie s’est exclamée :

« Oh Maman ! Comme c’est beau de te voir faire l’amour ! Montrez-moi comment vous faites ! »

 

Ingrid s’est retournée vers sa fille en disant :

« Ca fait longtemps que tu nous regarde ?

- Oh oui ! Depuis que grand-père a descendu ses mains sur tes hanches. C’est le bruit qui m’a réveillée !

- Veux-tu te sauver ! Nous en reparlerons tout à l’heure !

- Non ! Je veux que tu me montres comment on fait l’amour ! Je ne l’ai jamais fait, tu dois bien t’en douter puisque je n’ai pas de copain ! »

 

Gêné mais aussi excité par cette situation, j’ai dit alors :

« Maintenant que Stéphanie nous a surpris, pourquoi ne pas lui expliquer ? Çà ne peut pas lui nuire. Elle est assez grande maintenant. A son âge, beaucoup de filles font l‘amour depuis longtemps.

- Oh oui ! Ça je le sais ! Lorsque mes copines de lycée parlent de ça, je me trouve bête car j’ignore l’essentiel.

- Bon ! Puisque vous êtes tous les deux contre moi, approche ! »

 

Stéphanie est venue nous rejoindre sur le lit et je me trouvais entre deux femmes désirables, l’une dans la maturité de ses quarante-deux  ans et l’autre, jeune jouvencelle aux formes déjà bien dessinées, visibles sous sa chemise de nuit qu’elle a ôtée en nous rejoignant. Elle avait des seins pointus comme des demi-citrons, des hanches étroites et une toison à peine développée qui découvrait sa fente plus qu’elle ne la masquait...

 

Sa mère pris la parole :

« Puisque tu veux apprendre, je vais te montrer une caresse qui t’évitera de faire l’amour avec un garçon tout en lui donnant du plaisir. Les hommes aiment beaucoup cela ! »

 

Ingrid s’est penchée vers mon bas ventre où ma queue, à moitié bandée paressait doucement. Elle l’a prise entre ses mains et montant et descendant le long de la hampe, elle a commencé à me masturber en donnant de temps à autre des coups de langue sur mon gland :

« Voila, tu peux commencer de cette manière, ensuite tu peux la prendre en bouche pour la sucer, je vais te montrer ! »

 

Aussitôt Ingrid plonge ma bite dans sa bouche où, après l’avoir copieusement enduite de salive, commence une caresse buccale faite de va-et-vient profonds et d’aspirations plus ou moins fortes qui me rendent rapidement une superbe érection :

« Tu vois Stéphanie, si ta mère continue ainsi, je vais jouir dans sa bouche ou alors, si elle ne veut pas, elle pourra me masturber à la fin pour me faire gicler à l’extérieur, dans le vide ou sur les seins... Pour l’homme, c’est très jouissif et excitant car cela peut se faire rapidement dans une cachette improvisée. En même temps que tu suces, tu peux aussi caresser les bourses pour faire rouler les testicules mais ne serre pas trop car ils sont sensibles. Viens aider ta mère ! »

 

Stéphanie s’approche encore et d’une main timide commence à caresser mes bourses et suivant mes indications griffe doucement la peau ! Waouh que c’est si bon ! La mère et la fille qui me font une gâterie en même temps, que j’oublie qui sont ces deux femmes… si bien que je dois arrêter Ingrid :

« Arrête Ingrid, tu vas me faire juter. Je pense que Stéphanie a compris le principe. Elle nous a vus baiser en amazone, maintenant on va lui montrer autre chose.

- Oh oui, Maman, montre-moi vraiment comment on fait l’amour.

- Je vais baiser ta mère en levrette et t’expliquer qu’il peut y avoir une variante. »

 

Ingrid prend aussitôt la position souhaitée, les mains en appui sur la tête de lit, la tête relevée et tournée vers le grand miroir du placard. Qu’elle est belle ! J’ai sous mes yeux un dos à la taille étroite qui s’élargit en montant vers les épaules et s’évase pour former des hanches pleines qui s’offrent, fendues par le sillon fessier où palpite son œillet plissé.

Je glisse aussitôt mon sexe dans le vagin d’Ingrid et je commence à la baiser doucement. Elle m’a tellement bien sucé que si je n’y prends pas garde, je vais jouir rapidement :

« Approche-toi Stéphanie, je vais te montrer autre chose. Tu as certainement entendu parler de sodomie ! Cette position en levrette est la plus facile pour sodomiser une femme. Tu vois le sphincter ? Et bien quand il est préparé correctement, les sensations sont encore meilleures que dans le vagin. Mais quand un garçon veut passer par là, il doit impérativement mettre un préservatif pour des raisons d’hygiène. D’ailleurs, même si tu prends un contraceptif, oblige-toi à utiliser une capote à chaque fois pour me pas être contaminée par une maladie sexuellement transmissible. »

 

Tout en expliquant cela à Stéphanie, je furetais avec mon index droit dans la raie culière d’Ingrid, frôlant son anus mais il était impossible d’y entrer ne serait-ce que la première phalange. Visiblement, le passage arrière n’avait jamais été ouvert. Cette coquine de Stéphanie se masturbait en nous regardant ! Elle avait au moins deux doigts qui allaient et venaient dans sa chatte et son autre mains caressait ses seins, faisant rouler les tétons entre ses doigts comme elle me l’avait vu faire à sa mère.

 

Pendant ce temps je continuais d’aller et venir dans le sexe de sa mère qui faisait travailler ses muscles intimes autour de ma queue quand elle était bien au fond. Elle devait avoir une chatte profonde et ma bite plutôt courte mais trapue ne venait jamais frapper sa matrice. Cela ne l’a pas empêchée de prendre une nouvelle fois un pied d’enfer, rugissant de plus belle au moment où le plaisir déferlait en elle. Comme je me retenais, je me suis lâché immédiatement, lâchant quelques giclées dans sa chatte mais surtout, j’ai achevé de me vider sur ses reins. Je crois que Stéphanie n’attendait que cela car elle s’est précipitée sur le dos de sa mère pour lécher ce que j’y avais répandu.

 

Je dois avouer que cette séance d’initiation à trois nous avait bien échauffé les esprits et les corps. Au lieu de nous séparer comme nous aurions pu les faire, nous nous sommes mis à bavarder tous les trois, parlant de l’amour, des pratiques diverses, minant avec Ingrid certaines positions en disant quels avantages on en retirait, mais à aucun moment je n’ai touché le corps de Stéphanie. Lui montrer ou lui décrire les choses était suffisant. En fait, c’était une demi vierge car son hymen était déjà déchiré : c’était arrivé lors d’une séance d’équitation, le soir en se déshabillant elle avait trouvé des traces de sang dans le fond de sa culotte. Ce sont des choses qui arrivent dans certains sports. Il ne reste plus à Stéphanie qu’à trouver le copain qui fera d’elle une femme à part entière : Désormais, elle sait comment faire.

 

Chacun a regagné discrètement sa chambre au petit matin et plus jamais nous n’avons reparlé de cette nuit mémorable. Après la route de Royan à chez moi, j’ai rapidement pris un bain relaxant, puis je me suis rendu dans ce club où j’ai mes habitudes. J’étais dans un des jacuzzis quand une métisse sculpturale est venue m’y rejoindre. Nous avons batifolé quelques instants avant qu’elle ne me propose une séance des massages. Très douée, elle a achevé de dénouer tous mes muscles par de savants attouchements, avant qu’elle ne me demande de la sodomiser, aboutée sur la table de massage. J’ai ensuite quitté le club et moins d’un quart d’heure plus tard, j’étais dans mon lit et je sombrais dans un sommeil sans rêve.

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Récits Erotiques X
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