Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Les jours qui suivirent furent marqués par le doute. Et durant quelques semaines, je n'eus aucune nouvelle d'Hélène.
Elle se reprochait fortement d'avoir joué avec le chien. Oh, certes elle même n'avait pas joui, ne s'était pas laissée léchée (encore avait-elle essayé) et encore moins pénétrée... Mais elle
avait eu ce sexe entre ses mains, et de ses doigts, elle l'avait fait jouir.
L'éjaculation du chien l'avait beaucoup marquée : elle était si abondante par rapport à celles de son mari. Elle voulait recommencer, mais cette fois-ci recueillir tout le sperme et le
liquide séminal de l'animal... dans un verre ! Juste pour mesurer à quel point le chien était supérieur à l'homme dans ce domaine.
Mais au bout d'un moment, Hélène revint à moi. Plus que jamais enfiévrée par des désirs les plus fous. Je la sentais évidemment troublée par son expérience avec le chien. Mais je sentais aussi
qu'elle désirait -contre sa propre morale- aller au delà.
J'étais moi-même bouleversé par ce qu'elle m'écrivait. Elle flirtait désormais avec un des tabous fondateurs de l'humanité... Rien que ça!
Et puis, comment dire ? Au fil de tous ces messages échangés, à mesure que nous nous sentions si semblables, tellement sur la même longueur d'onde... des sentiments naissaient en moi pour
elle. C'était absurde et je mettais cela sur le compte du désert sexuel qu'était ma vie de couple depuis des années. Je ne l'avais jamais vue, Hélène ! Ce n'était pas de l'amour évidemment,
mais une profonde affection, et l'envie de se tenir dans nos bras, de ressentir un peu de chaleur...
J'ai toujours pensé que la zoophilie pouvait être destructrice chez des gens comme Hélène. Elle ne saurait jamais se distancier d'elle même et se dire qu'un telle acte n'était que purement
physique comme de tenir une salière dans sa main: tu la reposes, et 10 minutes après qui y repense?
Alors, comme je la sentais chaude tout de même, je décidais d'orienter nos discussions vers des thèmes non-zoo, comme dérivatifs.
Je sais qu'Hélène a des désirs de soumissions parfois. Alors le fantasme que je lui soumis, portait sur ces couples exhibitionnistes.
Je lui fis lire plusieurs textes. Dans l'un deux, un couple racontait comment dans un quartier bien précis de Paris, l'on pouvait se donner en spectacle devant des voyeurs. Il suffisait à cette
femme d'écarter ses jambes pour se caresser, pour qu'une dizaine d'inconnus surgissent de nul part et se masturbent devant elle... Ou encore un autre couple entrant dans un sex-shop. Des hommes
se mirent à entourer la femme, à la toucher, les plus habiles passaient leurs mains sous sa culotte... et beaucoup éjaculaient sur elle, etc...
Cela semblait énormément plaire à Hélène, alors évidemment je lui parlais de ça... Je trouvais même une histoire où un couple illégitime vivait ce genre d'aventures. Les deux étaient mariés de
leurs côtés, mais se refusaient à consommer charnellement leur relation. Enfin, cela ne dépassait jamais les caresses réciproques... qui ne débouchaient que très rarement vers la jouissance.
Hélène aima beaucoup ce texte, en me disant que ce couple, finalement nous ressemblait un peu.
Je lui répondis, que ce qui nous différenciait vraiment par rapport au couple de l'histoire, c'est que nous ne nous étions jamais rencontrés, ni même vus...
Et cette réflexion sur le fait que nous ne nous étions jamais vus n'était pas venue par hasard. D'une part, je sentais que notre
relation et nos échanges plafonnaient, et d'autre part, je sentais Hélène désireuse de faire quelque chose de fou, de se laisser exploser. Moi aussi d'ailleurs, j'avais envie de me mettre en
danger, de prendre la tangente.
Comme je savais qu'Hélène passait relativement souvent à Paris, je lui proposais de nous rencontrer, mais juste pour nous voir enfin, nous découvrir, papoter. Un mois avant, jamais Hélène
n'aurait accepté. Je le savais, comme je la savais en roue libre et changée.
Entre le moment de ma proposition, et notre rencontre, il avait bien du se passer un mois pendant lequel nous avons cherché une date, annulé à plusieurs reprises, puis enfin c'est arrivé.
C'était l'été, nous nous étions donné rendez-vous près de la porte Dauphine. Je travaillais peu ce jour-là. Elle m'était apparue vraiment divine, fine et presque de ma taille. Elle était plus
blonde que je ne l'imaginais et ses yeux verts furent la surprise finale.
Pour elle comme pour moi, il s'agissait de la première rencontre "réelle", et cela faisait quelque chose. Même s'il n'était absolument
rien prévu entre nous, j'étais nerveux.
La discussion s'engagea sur des banalités, qui de fil en aiguille nous menèrent aux difficultés de nos couples... nous convenions qu'elles étaient peut-être toutes relatives par rapport à notre
devoir d'élever nos enfants respectifs. Est-ce que nos frustrations respectives nous donnaient le droit de remettre en cause de façon aussi radicale leurs cadres familiaux ? De faire peser
un risque aussi grand à l'unité de nos familles ? Pour des fantasmes ? Nous convenions que tout cela était effectivement dérisoire...
... mais il était évident que l'un et l'autre étions ravagés par le désir et l'envie de transgresser, de s'abandonner. Comment, quoi, nous n'avions pas d'idées précises.
Nous marchions le long des boulevards et nous remémorions nos échanges par internet, nos scenarios inventés... Hélène me confia que leur seule évocation mettait le feu en elle. Je sentais du coup
une certaine excitation monter en moi.
Nous approchions du boulevard Lannes, là il y a une rue où des couples s'offrent au voyeurisme d'inconnus...
« Tu veux y aller ? » lui demandais-je.
Elle sembla quelque peu désarçonnée... d'un regard je lui fis comprendre que nous y allions pour voir ces couples, essayer de capter de leur adrénaline. Et non en tant que couple, quoique notre comportement était ambigu.
L'obscurité commençait à nous entourer, et l'air était chaud. C'était l'été. Plus nous nous rapprochions, moins nous nous parlions. La
tension était palpable, car nous quittions les discussions oiseuses pour une réalité bien concrète de chair et de sang. Et d'autres substances encore.
Nous arrivâmes derrière l'ambassade de Russie, dans une petite rue tranquille... Mon cœur commençait à battre de plus en plus fort, et Hélène aussi s'était tue, elle semblait comme
concentrée.
Je ne sais pas s'il était un peu trop tôt, mais il n'y avait que 3 ou 4 types qui aussitôt nous accueillirent, pensant que nous venions nous exhiber. Je sentis Hélène effrayée et je passa
mon bras autour de ses épaules et leur fis "non" de la tête. Ils comprirent parfaitement et nous laissèrent tranquilles.
Ce qui était frappant, c'est qu'ils semblaient totalement anonymes. J'entends par là, qu'aucun d'entre eux ne portait son vice sur le visage... ni aucun d'entre eux n'avait de prestance
particulière.
Cela faisait dix minutes que nous attendions, nous disions que ce n'était pas le jour et que tant pis... un des hommes rompit le silence pour nous dire d'être patient.
Et effectivement, une voiture arriva. Une Renault Laguna... la voiture s'arrêta et nous furent stupéfaits Hélène et moi de voir les voyeurs sortir instantanément leurs engins ... et leurs lampes
torches !
La femme était assise à la place du passager, elle était nue mais assez grosse et vulgaire. Nous étions déçus. D'autres hommes continuaient d'arriver et Hélène se tenait contre moi pour bien
signifier qu'elle était là en voyeuse également.
Assez rapidement arriva une autre voiture, et là, la femme était vraiment belle. 45 ans environ, très très élégante. Comment une femme de cette classe pouvait-elle atterrir ici ?
Elle et son chauffeur ne semblaient pas vraiment habitués à ce genre d'exercice. Cela se voyait, et cela m'excita d'emblée. Cette peur mêlée d'excitation dans leurs regards.
La femme s'effeuilla... et son sexe nous apparut à travers les vitres fermées de la voiture. Les hommes autour de nous commençaient à s'astiquer frénétiquement... Hélène était captivée. Je la
voyais regarder ces queues raidies, qui commençaient à luire de présperme dans la lumière du couchant.
Plusieurs hommes se présentèrent à Hélène, J'étais derrière elle et elle se recula contre moi. Je posais mes mains sur ses épaules et dis à nouveau que nous n'étions là que pour voir, et non pour
montrer. Je fus surpris de leur docilité.
Nous étions tout près de l'action. Les voyeurs n'économisaient pas leurs mots crus... cela me mettait mal à l'aise mais ne semblait pas
indisposer Hélène qui était comme hypnotisée par cette décadence.
J'avais toujours mes mains sur ses épaules pour la maintenir hors de ce manège. Elle s'appuyait contre moi. Nous étions collés l'un à l'autre et... elle ne pouvait pas ignorer mon état. Mon sexe
était raide et collé contre la raie de ses fesses.
A la demande insistante des hommes, l'homme de la voiture ouvrit la fenêtre de sa femme. Elle se malaxait frénétiquement la chatte tandis que les premières éjaculations et râles de plaisir
apparaissaient. La femme ne cachait pas son orgasme imminent et miaulait sa jouissance. Soudain un homme passa la main à l'intérieur et lui attrapa le sein qu'il se mit à pétrir...
effrayée, la femme s'exclama mais ne fit rien pour se libérer.
Je serrais) ma bite contre tes fesses le plus fort possible et te tenais fermement par les épaules. Je te demandais si tu étais mouillée...
Tu me répondis « oui », d'un hochement de la tête. J'aurai pu descendre mes mains vers ton minou pour le constater, que tu ne
l'aurais pas empêché. Je ne le fis pas. De même que tu ne passas pas tes mains dans ton dos pour saisir mon sexe.
La femme laissa exploser un énorme orgasme. A ce moment-là son "masseur" lui éjacula sur elle une quantité phénoménale de foutre. Un autre sur le tableau de bords, et la voiture repartit en
trombe.
C'était fini. Nous étions sonnés, KO par ce que nous venions de voir. Et moi, j'étais enivré de ton parfum, gorgé de la douce chaleur de ton corps.
SIgné : Tès Curieux
Derniers Commentaires