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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

L'histoire se passe fin juin. Fabrice, vingt-trois ans, et Laura, vingt ans, partent en voyage de noces à Agde, dans le sud de la France. Ce sont les parents de Fabrice qui ont gracieusement prêté leur appartement, un petit deux pièces en rez-de-chaussée, avec jardin. Le matin, après avoir fait un gros câlin, ils vont se baigner à la plage toute proche.

Ils n'ont qu'à traverser la rue piétonne pour être sur la plage. Ils en reviennent vers midi. Un petit apéro, un repas léger, suivi d'une sieste coquine. Pendant une heure, les nouveaux mariés vont honorer leur voyage de noces.


« Salaud chéri, soupire-t-elle, ça fait trois fois que tu me niques depuis ce matin !

- Tu es tellement polissonne, sourit Fabrice. Je n’ai pas fini de te faire couiner toute la semaine…. »


En fin de soirée, vers dix-sept heures, ils retournent prendre un bain, jusqu'à dix-neuf heures.

Les jeunes époux s’amusent dans l'eau, comme des fous, sans se soucier des vacanciers qui gravitent autour d'eux. Leurs baisers sont torrides, ils nagent en plein bonheur.

« Arrête, dit Laura, sors tes doigts de ma chatte. Tu vas voir quand je vais te choper les couilles salaud.

- Essaie toujours, défie Fabrice. Si tu n’y arrives pas, tu auras un gage, d'accord ? »


Bien sur, dans l'eau, Laura n'a pas la même endurance que son mari. Elle abandonne en sachant que de toute façon, le gage sera érotique, qu'il sera négocié dans le lit. Elle en salive déjà…

Bien sur, elle a perdu. Et maintenant, elle attend avec impatience de savoir quel sera son gage…

 

En rentrant de la plage, les jeunes époux vont directement à la salle de bains. Fabrice en sort le premier, vêtu d'un short, s'installe dans la cour et sirote une bière.

Laura fini de se doucher, rince les maillots, et enfile une robe ultra courte. Elle sort pour étendre le linge. En se hissant sur la pointe des pieds pour atteindre le fil de fer, sa robe remonte à la hauteur des hanches.

Fabrice a devant lui, les petites fesses de sa femme, partagées par une raie parfaite. Et si de derrière, on voit les fesses, de devant, on doit voir la chatte, sans nul doute possible ! Cela lui donne une idée…

 

Le jardin est séparé de la rue piétonne par un petit muret surmonté d'un grillage. Un semblant de haie masque la visibilité. Fabrice ne peut résister à l'envie d'envoyer une main entre les cuisses offertes de sa charmante épouse.

« Arrête, gronde-t-elle, çà va pas enfin. Tu ferais mieux de réfléchir au gage que tu vas me donner.

- Justement, tu ne perds rien pour attendre, ma chérie… »


Attirées par les voix, trois personnes se collent au grillage, et se figent devant le spectacle, yeux grands ouverts…

Un homme d'un certain âge, soixante cinq ans environ, et deux jeunes blacks, vingt-deux ans, pas plus.  Par politesse, Laura leur dit bonjour, sans se douter qu'ils ont une vue imprenable sur son intimité. En voyant l'effet produit, l’idée vicieuse prend forme dans l’esprit de Fabrice.

« Et si j'offrais ma femme aux mains de ces piétonniers. Je saurai si je suis seul capable à savoir la faire vibrer.  Et puis, ce serait un super gage… Je vais l’obliger à accepter toutes les demandes de ces trois hommes…»


Fabrice se lève, saisit le bas de la robe, et la soulève jusqu'au cou de Laura. Il lui prend les seins à peines mains, et les caresse.

Ce matin, elle a épilé son minou pour bien dégager la fente, en prévision du gage. Les curieux peuvent tout à loisir, admirer son corps superbe. D'abord surprise, Laura se débat pour remettre sa tenue en place. Mais avec les bras en l'air, elle n'est pas dans une position favorable.

« Tu es fou, gronde-t-elle, baisse ça, dépêche-toi, tu n’as pas honte de me monter comme ainsi ?

- Chérie, un gage c'est un gage. Tu dois exécuter celui que j'ai choisi… Tu vas devoir faire tout ce que ces messieurs vont te demander.. Tu as ma bénédiction ! »


Fabrice la pousse vers la grille. Elle essaie de freiner avec ses pieds, en vain. Petit à petit, ses jambes s'écartent. Elle arrive à portée des trois voyeurs qui n’en espéraient pas tant ! C'est le papy qui se montre le plus entreprenant. Il engage une main à travers le grillage, et la glisse entre les cuisses de Laura.  Celle-ci est en larmes, offerte aux mains de cet inconnu.

« Assez, supplie-t-elle, tu ne peux pas me faire ça, je suis ta femme !!! »


Fabrice reste apparemment de marbre. Mais il est excité comme un fou de la voir see faire peloter par un vieux vicelard…

Mais le vieux a de l'expérience, il connait les parties sensibles, érogènes d'une femme. Laura est troublée par les caresses de plus en plus vicieuses du vieil homme. Il joue avec les lèvres légèrement humides. Son corps raidi jusque là, commence à se détendre.

« Oh… comme il m'a décalotté le clitoris, gémit Laura, comme il me chatte ce salaud... ha… je suis toute mouillée. A non, pas çà vicieux, pas mon petit trou, cochon !!! Ah... çà y est... il me le doigte à fond ! Que c'est bon… il va me faire jouir...

- Tu ne veux que je lui dise d'arrêter ? demande Fabrice, un peu inquiet de la tournure des évènements.

- Non… surtout pas, soupire Laura. Il me fait les deux trous en même temps… c'est trop... ah, putain… je jouis, chéri… je crache ma mouille pour lui !!! Oui... oui… Demande aux deux jeunes de me faire voir leurs queues. J'ai toujours eu envie de voir une bite de black ! »


Sur un signe de Fabrice, résigné, les jeunes baissent leur bermuda. Laura n'est pas déçue. Ils bandent comme des taureaux. Leurs bites forment des barres verticales, qui touchent leur nombril. Chacune ne mesure pas moins de vingt centimètres, pur un calibre appréciable.

« Wouaou... Comme ils sont montés… Ca, c'est da la queue, et quelles paires de couilles !

- Hé, dit l'un d'eux, ce soir on va prendre un verre au "Bar Live", tu peux nous prêter ta meuf ? »


Fabrice ne se doutait pas que les choses en arriveraient là. Il accepte, un peu malgré lui… Il se dit que c’était peut-être un accident, que sa femme jouisse avec un autre !!!

Laura fini de se préparer, il est vingt-trois heures. Elle est vêtue d'une minijupe qui lui arrive au ras de la matte, et d'un chemisier noué sur le nombril.

« Tu es sure que c'est çà que tu veux ? demande Fabrice. Soit prudente ma chérie. Et ton string, tu ne le mets pas ?

- Ce n’est pas nécessaire, mon amour, puis je ne vais pas m'éterniser. Je prends juste un verre.»


Fabrice accompagne sa jeune épouse jusqu'au "Bar Live", situé en bord de mer, puis la regarde s'éloigner, un pincement au cœur.  A peine arrivée, Laura est prise en charge par les deux blacks.

« Je m'appelle Doc, et voici Doumé, on t'offre un verre ? »


Elle accepte, et elle se retrouve sur la terrasse, un cocktail au rhum dans la main. Le sable crisse sous ses pieds, le vent lui caresse les seins qui pointent sous le petit haut léger. Les deux jeunes hommes l’entourent. Très vite, ils lui demandent de quitter le bar, bien trop éclairé pour leurs projets…

Laura accepte. Depuis l’après-midi, elle ne pense plus qu’à ces belles bites aperçues tout à l’heure. En un mot, elle a envie de se faire bourrer à fond par ces gros engins blacks !


Les deux jeunes noirs sont bâtis comme des athlètes, vêtus d'un short moulant qui laisse deviner de sérieux atouts. Ils l'attirent au bord de l'eau. D'entrée, Doc glisse une main entre les jambes de Laura. Elle n'esquisse aucun mouvement de défense. Elle en a trop envie, même si un vague sentiment de culpabilité traine au fond de son cœur… Après tout, c’est son mari qui a voulu cette situation !


Moussa passe derrière elle, ôte le chemisier, et lui palpe les seins déjà durcis par le désir. Doc fait glisser la mini-jupe. Ils quittent leur short. Laura saisit les imposantes bites encore au repos. Trois, quatre va et vient, et les voilà opérationnelles. Doc s'allonge sur le sable, et force Laura à s'empaler sur son membre. Laura est trempée, le pieu la pénètre dans aucune résistance. Elle glousse de plaisir. Jamais un homme ne l’a possédée aussi vite, aussi durement, sans caresses préalables. Et pourtant, elle aime ça !


Moussa, toujours derrière elle, fait rouler le bout ses seins entre ses doigts.

« Oh… ma petite chatte... tu te fais mettre... Quel coup de queue tu es en train de prendre ! Tu es toute mouillée ! Salope… tu sens comme il est monté le black… çà te change hein... il va te faire jouir ce salaud… oh… oui… nique-moi… j'y suis… oui…

- Tiens, petite pute, râle je jeune noir. C’est bon de se vider les couilles dans la chatte d'une blanche… han... prend ça ! »


Il est secoué d’un violent orgasme, et jute son foutre dans l’utérus de la jeune mariée.

Laura s'écroule sur le corps du jeune homme, lui force les lèvres avec sa langue. Ses seins s'écrasent sur le torse musclé. Mossa, attiré par les fesses cambrées de la jeune femme, s'avance, mouille le bout de sa queue à la fontaine de foutre de son copain, mélangé à la mouille de Laura. Il beurre la rondelle frémissante de cet onctueux mélange. Laura se tord d’excitation. Son anus est vierge, elle devait le garder pour son mari... Tant pis pour lui ! Elle rêve de se faire enculer par ce monstre noir… Il place son mandrin raidi contre le petit trou, et la pénètre d’un seul coup de rein...

« Ah… il m'encule… oh putain… quelle bite il a lui aussi… vas-y… bourre-moi le cul... remplis-le… oui... »


Mossa est trop excité par cet étroit conduit, et crache son venin dans les entrailles ouvertes de Laura. Elle jouit aussi, très fort, d’autant que Doc lui malaxe le clito avec habileté.

Seule la clarté de la lune éclaire la plage. On voit nettement le corps à peine bronzé de Laura, s'agiter entre les deux blacks. Le contraste est saisissant… Pendant deux heures, les hurlements de plaisir vont déchirer la nuit. Bien qu’elle ait les deux tours en feu, et la mâchoire contractée de trop de pompage de bite, elle en veut encore… Laura insiste pour que ses deux amants d'une nuit, la raccompagne chez elle, pour prendre un dernier verre.


Fabrice, qui s'était assoupi, est réveillé par des bruits qui ne laissent aucun doute sur leur origine. Il est trois heures du matin. Furieux, il se lève, passe dans le salon, et reste cloué sur place ! La scène qui se déroule devant lui est irréelle : Laura, entièrement nue, est à quatre pattes sur la table, jambes écartées. Devant elle, Doc se fait tailler une pipe par sa femme adorée. Ses joues sont déformées par l’énorme gland du jeune homme, pendant que Moussa la prend par derrière.


« Mais chérie, bégaie-t-il, que fais-tu ? On est marié depuis une semaine, et déjà tu me trompes ???

- Oh… tu ne vois pas que je me fais enfifrer... Si tu savais comme ils se sont amusés avec moi !!! Mhumm... quels coups de queues  ils m’ont mis… trois, quatre chacun, sans débander… regarde ce salaud ce qu'il me met dans le cul… tu vas voir comme il va prendre la petite chatte de ta femme… il sait s'en servir, lui ! Ca fait quatre heures que mon clitoris est décalotté… il est en sang ! Mon chéri, c’est toi qui m’as dit que mon gage consistait à tout accepter de ces hommes… »


Fabrice est anéanti. Jamais il n’aurait cru qu'elle irait jusque là !

Laura reprend l'énorme queue de Doc, juste au moment où celui-ci éjacule un foutre toujours aussi abondant.  La semence du jeune black déferle dans la gorge de la jeune mariée.

« Ben dis-donc, sourit Laura, tu as de la réserve. A toi Moussa, vide tes couilles dans mon petit trou, pour une fois qu'il sert… »


Fabrice, sans réaction, est affalé sur une chaise, les bras ballant le long du corps.

« Fais pas cette tête, sourit Doc, on ne lui a pas fait mal, au contraire. Je reconnais qu'elle est bonne, quelle pute !  Tu ne dois pas t'emmerder avec elle, salaud !

- On s'est juste amusés avec elle, poursuit Moussa, en lui tapant sur l'épaule. »


Laura saisit les deux blacks par les testicules, et les soupèse en les faisant rouler entre ses doigts, ce qui provoque une nouvelle érection.

« Elles sont pleines encore, remarque Laura. Chéri, çà ne te fait rien de prendre le canapé ? J'irais bien au lit avec eux, hein mon trésor ? J'ai encore envie de me le faire mettre. Pour une fois que j'ai deux grosses queues rien que pour moi. Ah, au fait, je t'ai pas dis : pour te faire plaisir, j'ai décidé de prolonger ton gage toute la semaine !!! »


Fabrice assiste, impuissant, à la sortie majestueuse de sa femme, tenant ses deux amants par les couilles. Il sait que son calvaire a commencé… Mais après tout, il l’a bien cherché !!!


Pourtant, quelques secondes plus tard, elle lui donne le coup de grâce :

« Mon amour, si tu ne veux pas me laisser seule avec eux, je suis d’accord. Mais à une condition : que tu les suces à fond devant moi, voire même plus… »

Par L'Amoureux et Sophie de R. - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : Couples candaulistes
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