Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Les Mémoires érotiques d’un Moine
Ce récit comporte quatre parties
---Première partie---
L’Initiatrice
Je débutai mon entrée en religion à quatorze ans au Monastère de Saint-Elme, où je fus novice pendant quelques années. Je connus, pendant une très courte période de mon noviciat, les convoitises d’un vieux moine envers mon jeune cul. Mais moi, j’aimais les femmes, les femmes avant tout ! Et ce que je vais vous narrer tout au long de ces Mémoires saura, je crois, vous le prouver, s’il en était besoin. Je devins plus tard le Frère Anselme.
Mon noviciat s’écoula donc partagé entre l’étude, les travaux au Monastère, la prière et la méditation. Je fus désigné pour administrer diverses tâches et essayai de m’en acquitter au mieux de mes possibilités. C’est ainsi que je dus un jour assumer la responsabilité du petit vignoble attenant au Monastère et qui donnait un bon vin que nous devions mettre en bouteilles, étiqueter, et vendre, afin que notre Communauté ait là des revenus supplémentaires, en dehors des autres produits habituels : légumes, fruits, miel, galettes, etc…
C’est sans doute de cette époque que je gardai un goût particulier pour la vigne, les ceps, le raisin et ce Vin, sang du Seigneur, dont je n’abusais point, mais qui me procurait un réel plaisir gustatif en plus de celui que j’avais à déguster les femmes, les deux se complétant fort bien. Mais ceci ne m’empêcha jamais de suivre mes convictions religieuses, de servir Dieu, d’aider, mais avec toutefois à côté un penchant tout épicurien pour les choses terrestres qu’elles fussent alimentaires comme charnelles…
A dix-huit ans, ma maturité se fit jour, j’étais homme et bien homme, mais encore vierge. Je n’avais pas eu encore commerce avec la femme, pourtant ce n’était pas faute de les apercevoir dans les jardins et potagers du Monastère quand elles venaient, ces belles Dames, acheter poireaux et pommes de terre, courgettes, concombres et autres cucurbitacées ; elles étaient parfumées, ces Dames, légères, coquettes, portant de belles toilettes, avec de petits rires, la taille bien prise et l’œil luisant.
Je devins l’Amant de la Mère Supérieure du Couvent qui se trouvait à quelques centaines de longueurs de vits du Monastère ; une femme belle, d’une bonne quarantaine d’années mon aînée et nous nous aimâmes dans le secret le plus parfait, une relation de chair certes, mais aussi spirituelle, intellectuelle, ma jeunesse faisant le reste. Elle fut donc mon initiatrice, ma découverte, mon épanouissement, l’Amour me fut révélé, à moi, le Frère Anselme sensé être voué à la chose religieuse !
Le corps réclamait son dû et les sens aussi, mais l’esprit, lui, restait tout dévoué et sans fausseté à la religion ; seulement, voilà, quand le corps réclame, le faire taire n’a jamais été salutaire pour la santé, je laissai donc parler mes charnelles passions et m’adonnai sans compter à mes forniqueries et n’en fus que plus libre et disponible après pour prêcher, prier et accomplir mes vœux.
La Mère Supérieure se nommait Marie-Anne, elle me venait visiter en catimini, trouvant quelque prétexte pour déchiffrer quelques vieux grimoires, parler de théologie, décider de quelque achat, bref, j’appréciais d’autant plus sa féminine compagnie qu’elle savait se montrer avec le jeune que j’étais, une Maîtresse avisée, une Prêtresse de mes sens, une meneuse ès coquineries… Elle m’a tout appris. Loin d’être triste et renfrognée, pâle et défaite, elle laissait parler en elle ses penchants amoureux, religieuse certes, mais aussi Amante discrète, attachante, caresseuse, charmeuse…
Parfois, lorsqu’elle approchait de ma cellule, je me tenais derrière les barreaux de celle-ci, anatomie en évidence, dressée, en insolence et là, rapidement, elle passait une main entre deux tiges de fer pour venir saisir la mienne, de chair celle-là, bien vivante, juteuse, palpitante, arrogante attendant la caresse furtive de cette longue main… Il s’en suivait une courte branlerie qui me mettait bien aise et puis, elle entrait dans ma cellule, pareille à un courant d’air, se dévêtait, ne gardant que ses bas noirs et ses jarretières et aussi son voile.
Là, je la caressais, la savourais, goûtant à ses muscs intimes de femelle divine et quand elle avait couru un peu ou avait simplement pressé le pas, les odeurs intimes entre ses cuisses me ravissaient, une fine sueur perlait, mouillait à peine les fins poils bruns frisés, parsemés de quelques fils blancs qui paraient son joli con ; alors, je la mangeais toute, gloutonnement, m’en repaissais, gobais littéralement sa moulette, introduisant ma langue fureteuse en son sexe humide au rose corail satiné… elle jouissait à petit cris légers qu’elle étouffait sous son voile et se laissait ainsi fureter par son jeune Amant…
Puis, elle me fellait, bien attentive à mon plaisir, ne me quittant pas des yeux, pelotinant mes couillines rondes et pleines de bon jus, tutoyant mon jeune anus à la corolle fine qui, bien qu’elle fût forcée quelques fois par le vieux Moine débauché, n’en gardait pas moins sa fermeté, son œil plissé rose et ardent… Son long médius alors me pénétrait, allait et venait en mon jeune culin, me sodomisant, mais là de noble et belle façon, celle que j’aimais… Je déjutais dans sa bouche, elle avalait ma gourmandeuse sève – « sa gourmandise préférée », me disait-elle ! – suçait son médius au bon goût de cul jeune et satineux et me prenait aussitôt en bouche pour que l’on partageât pleinement foutre, odeur de phallus et humeurs culines sur son médius parfumé.
Parfois, je me hasardais à la prendre en cul, sur le bord de ma couchette et là, j’étais aux Anges, il me poussait des ailes, je la prenais aux pleins fonds de son escarcelle, elle tanguait, se laissant enviter, jusqu’à ce que je l’inondasse de ma foutrine impétueuse, lave sulfureuse aux blancs remous… Elle essuyait d’une serviette (que je gardais précautionneusement par devers moi, pour la mieux humer pendant des jours avant qu’elle ne revinsse me voir !), son odeur m’excitait et je bandais et devais me satisfaire en solitaire sur ma couche, le soir venu, branlant mon brandon de chair jusqu’à ce que je déchargeasse…J’ai souvent usé de ma main, mon vit aurait-il pu seulement compter le nombre de mes branlis depuis que j’étais tout petit et par le sexe torturé ?! Car, j’aimais la masturbation, la liberté de ma main sur ma chair…
Je lus très tôt des livres interdits avec de belles descriptions qui me faisaient bander, parfois avec de vieilles images érotiques accompagnant les textes ; je tirais mon foutre à grandes branles qui m’épuisaient et me laissaient hagard, haletant, mais satisfait… Ces vieux livres étaient rangés dans une vieille malle dans le grenier de mes parents. Ce furent mes premiers apprentissages du sexe et je découvris ainsi toutes les exigences de ma nature, profondément attirée par l’érotisme, le libertinage et la recherche des plaisirs.
Avec Marie-Anne, nous prenions bien garde d’être vus et gardions notre « relation » bien secrète, ce qui n’en donnait que plus de plaisir, de désir, de frémissements intimes… J’écrivais des poèmes sur nous deux que je gardais bien cachés et lorsque bien apaisés et sevrés de caresses, nous les lisions parfois à deux… cela nous excitait, mes descriptions coquines nous redonnant de l’ardeur… Elle me disait alors :
« Quand je serai seule ce soir au Couvent, je me caresserai, mon jeune Amour… » et ces mots m’enflammaient à l’idée que l’on pût penser à moi, une telle femme…
Je l’aimais.
Je savais cependant qu’elle avait eu une relation plus qu’intime avec une Sœur, elle me confia que les femmes ne lui déplaisaient point et que, de temps en temps, elle aimait à y goûter avec un appétit non dissimulé ; elle me conta même un jour, par le menu, ce qu’elles faisaient toutes les deux, folles d’ivresses saphiques, gourmandes, licheuses, vouées aux démons de Lesbos… Je n’étais point jaloux, au contraire, cela m’excitait et je ne l’en aimais que plus encore, étreignant à travers elle, le corps anonyme de quelque belle religieuse lesbienne…
Je me disais, elle a baissé et sucé ces seins, sa langue a pénétré ce beau vagin, elle se sont engouinées, peut-être même ont-elles consommé leurs vices à l’aide de quelque cierge à la chaude cire qui pénétra leur conin avec délice, ce beau membre blanc entre leurs cuisses s’allant et venant et puis, elles le léchaient, le cachaient ensuite sous leur matelas pour la suite, demain, après-demain, la nuit suivante… Des Religieuses n’en sont pas moins femmes et le manque de sexe, le cloisonnement, la proximité des chairs, la vie en communauté poussaient souvent à se donner du plaisir, soit qu’il fût solitaire, soit qu’on le partageât avec quelque complice féminine ou même avec un jeune…Moine ! L’habit n’ayant rien à voir dans tout cela. Moine j’étais, mais Amoureux, je vivais !
Marianne me confia quelques-unes de leurs folies de femmes seules, sans homme, mais avec des désirs légitimes de fornication qui les hantaient jours et nuits… Elle me conta comment, elles eurent l’occasion de se procurer –je ne sais comment !- un beau godemichet, de belle taille (peut-être par l’entremise à l’extérieur de quelque coquine de leur famille ?), toujours est-il qu’elles en usèrent sans modération, à chaque fois qu’il leur était donné de se retrouver seules, à l’abri de tous regards, en la cellule de l’une ou de l’autre… Alors, elles se montaient, me disaient Marie-Anne, Tribades déchaînées étouffant leurs cris, leurs râles, l’une jouant le rôle du mâle et l’autre soumise recevant l’envitée promise à toutes les joies…
Les murs du couvent étaient épais, sourds, calfeutrés, mais néanmoins parfois, certains bruits sourdaient d’une cellule à l’autre, des petits bruits furtifs, discrets, des gémissements, longs, atténués, retenus certainement : une Sœur seule ou avec une compagne, se donnant du plaisir d’une gente façon… Marie-Anne me confia que sa lesbienne complice à l’époque (elle était partie depuis) était une vaillante monteuse qui l’éreintait de ses assauts répétés, de ses caresses les plus insanes, mais si bonnes à recevoir et ensuite à redonner…
Sœur Marie-Anne aimait aussi à monter une femme, se masculinisant par ce vit intrépide dressé au bas de son ventre et se balançant tout comme le mien, raide, parfaite saillie qui ne demandait qu’à officier… Elles se mariaient alors, le beau membre d’ivoire glissé au fond du sexe de la « femme » qui le recevait, donné par son « monteur » féminin qui claquait ses fesses, la pinçait, lui murmurait des horreurs dans le cou pour l’exciter, et la mieux faire se donner toute entière à sa compagne qui la prenait… Quelles belles baiseries cela devait-il faire et comme j’aurais aimé me joindre à elles, voire même me faire enviter, une fois au moins, par l’une de ces deux Maîtresses… Connaître les ivresses d’un trio déchaîné, partageant sans compter ses caresses, jusqu’à plus soif de la chair !
Plus âgé à présent, je bande encore, mes Ami(e)s, toujours, raide comme un cerf, comme je vous l’ai conté dans le récit « Les Moniales » et que, j’espère, vous avez su apprécier… Quand je repense à Marie-Anne, cette femme de mes premiers vices, cette complice, cette dive Maîtresse de mon corps et de mon âme, je ne puis m’empêcher presque de verser une larme et mon vit dressé la réclame, bourdonne et sonne, tape mes draps, ses tocsins résonnent.
Il attend sa branlée, cyclope démentiel en dépit de son âge, il ne vieillit point, le mâtin, il dirige ma vie, il s’érige et qu’il sente une femme et le voilà sous ma bure qui se gonfle, se tend, soulève en avant ma robe, sous ma cordelière, il n’a point de repos, il est fier, il veut son cul, sa vautrée journalière…serais-je un Moine perdu ?! Marie-Anne où êtes-vous, ma Chère, vous ma Dame de fer, ma dresseuse de vit, mon flot de semence, mes belles émotions de l’adolescence ?!
J’ai eu, par la suite, vous vous en doutez, une belle conduite, le cul m’a guidé et nombre de religieuses ou autres femmes de bonne société, m’ont aimé…leur ai-je même donné des enfants (?), je ne sais, je ne les ai jamais revues pour certaines, dont le seul souci était de « coucher » avec un Moine, ressource de virilité, car privé (en principe) de toute activité charnelle…
Moi, j’ai choisi : « Je veux BAISER ! », baiser icelles, belles oiselles de lignée, celles toutes excitées par ma fricarelle, mon vitin bien élevé qui salue, puis crache en leur bénitier toute sa semencelle…elles aiment ces putines joliment se coucher sous un Moine retroussé qui se glisse en elles et les font crier, démentielles, charnelles crucifiées que je plante de mon clou et dont je me sauve à tire-d’aile, mon office fait…
Oui, j’aime les femmes, je prie après, je redeviens cet homme humble agenouillé, j’applique les recommandations de Dieu, je suis un homme de foi, mais qui aime la queue, la queue à tout va, le foutre, la semence sont là mes eaux bénites à moi, quand ne suis point en prières ou en quelque occupation requérant l’attention, j’aime mon prochain, mais aussi ma prochaine, prochaine séduction, religieuse, noble ou souveraine de quelque petit domaine châtelain où cacher nos passions ?
J’eus par la suite l’occasion d’effectuer mes bandaisons en petit comité entre gens de bonnes Maisons, aux vices à l’unisson et que nous partagions au cours de nos fredaines, dont vous lirez sans doute encore quelques versions… Ma queue est humaine, elle aime le con, le cul aussi ma foi, tout comme les tétons entre lesquels elle flamboie, se démène et larmoie à foison, de son foutre énergumène en de belles bandaisons finissant en une bouche qui la nettoie de ses autans qui demeurent en traînes sur mon gros boutillon…
C’est que je l’aime mon gros boutillon, il demande sa moisson, a ses moussons, d’abord bandant doucement, se redressant peu à peu, ensuite exigeant, dardant, pointant, mât de misaine…Ô folle queue et folles bandaisons, je brûle de mon âme jusqu’à mes…aines ! Bander de déraison !
L’âge venant, je me fais de plus en plus cochon, mais les Dames aiment cela, elles le veulent, le demandent, l’exigent, elles aiment aussi la tige, la fourbissent, se la glissent que ce soit en cul comme en con, nous sommes leurs hommes-liges, nous les honorons et ma foi, quoi de plus beau ! Marie-Anne avait un fion de belle proportion, pincé au fond du fossé d’un petit cul fripon –ô combien mignon– véritable petit tabernacle qui, à chaque fois me tentait le bougre, son œil s’écarquillant, la Belle s’étirant les fesses pour qu’il fut plus à ma portée et que je le prisse ensuite sévèrement ou au contraire tout doucement, à petite vitée, car elle aimait cela la bougresse, avait bel appétit de ces choses de fesses, ma Belle Religieuse…
Je la voulais licheuse, elle se faisait vicieuse, déchaînant mes averses, elle devenait perverse, elle me pinçait les fesses et devenait honteuse, avec une petite moue sur de si tendres lèvres que j’étais aussitôt en proie à une fièvre nous dévastant tous deux ! Je ne fus point Raspoutine, Marie-Anne n’était point de toutes les Russies quelque Tsarine, mais nous avions tous deux cette entente féline, j’étais le Lion, elle détenait le Con et moi, j’avais la Queue !
Quoi de plus merveilleux, dans une pareille union à l’eau bénite du péché, que de joyeusement forniquer avec cette belle femme mûre, à la fois très religieuse dans ses actes et ses convictions, mais aussi queuteuse, quêteuse d’amours singulières, feutrées et cachées qui donnaient tout leur suc à nos relations de chair… Je vous en parlerai souvent, car cette « première » femme, comme pour tout homme, a profondément marqué ma vie et surtout ma vie de Moine, vous le comprendrez…
A suivre...
Signé : le Marquis de Chair
Tu as bien résumé la chose !
C'est l'auteur qu'il faut remercier....
Au point de culbuter.. ou de te faire culbuter ???
Moi qui suis un athée gay je découvre que j'aurais pu être moine et me faire copieusement bénir par les goupillons des autres moines et qu'après avoir été initié j'aurai pu devenir à mon tour initiateur.
Ah!!! les délices de la vie monacale.
Je suis ravie que tu trouves du plaisir à cette si belle écriture !
La vie sexuelle et parfois débridée des couvents m'avait bien excitait, tout jeunot, en lisant la Religieuse de Diderot.
Toit ceci,très excitant et bandant, prouve une fois de plus que ces gens en soutane ou robe de bure ont raison d'avoir Foi en le Sexe. Ceci n'est pas incompatible avec leur ministère.
Tu as raison, mais les autorités de l'eglie pensent autrement !