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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

C'est à huit heures du matin, en ce vendredi de juillet, que j'ai rendez-vous aux Saintes Maries de la Mer, pour le traditionnel marquage des taureaux. Les gardians m'ont réservé un accueil des plus chaleureux, dans la pure tradition camarguaise. C'est toujours un réel plaisir de chevaucher à travers les étangs, et les marais.

 

Après une dure matinée sous la canicule, nous regagnons la ferme. Un apéritif léger, et nous passons à table. Il est treize heures.

« Tiens, Michel, l'amour de ma vie, dit Angélica. Bisous, je peux m'asseoir à côté de toi ?

- Mais bien sur, » je lui réponds en l'embrassant.

 

Angélica est une magnifique gitane, à la longue chevelure noire, avec un corps de rêve. C'est une amie d'enfance, avec qui j'ai fais les quatre cent coups. Pendant dix ans, nous avons été élevés pratiquement ensemble. Les bains, les noëls, les anniversaires. Nous avons trente-cinq ans aujourd'hui, et elle n'est toujours pas mariée.

« Je t'attend, me répète-t-elle sans cesse. »

 

A table, nous nous remémorons ces années bonheur.

« Tu te rappelles quand on allait jouer au cabanon, évoque Angélica. On se mettait tout nu, on se battait, pour rire. Je t'attrapais par ta petite queue. Elle a du grandir maintenant ? On avait quel âge ? Dix ans ? Moi, j'étais plate, avec une toute petite fente. Maintenant, à peine tu la touches, elle devient toute mouillée. Comme on était innocent à cette époque ! »

 

Je la regarde en souriant. Et dire qu’on n’a jamais couché ensemble !

Le repas terminé, les femmes débarrassent la table, pendant que les gardians vont faire un brin de sieste. Je me retrouve seul, perdu dans mes pensées, regardant la campagne endormie sous la chaleur estivale.

Je suis dans la torpeur de la sieste, quand Angelica s’approche de moi :

« Tu veux qu'on aille faire du cheval ? On pourrait aller jusqu'au cabanon, et... »

 

Je la regarde, et découvre un air canaille.

« Si tu veux, ça nous rappellera des souvenirs. Allez, on fait la course. »

 

Nous préparons deux superbes étalons Camarguais, et nous voilà partis. J'arrive le premier au cabanon. Rien n'a changé, le coin cuisine, les toilettes, le canapé qui permet aux gardians de se reposer, ou de faire autre chose. L'intérieur est sobre, mais très bien entretenu. Les souvenirs ressurgissent. Machinalement, je me déshabille, entièrement, quand la porte s'ouvre, brutalement. C'est Angélica.

« Tu as encore gagn...putain...si elle a grandi, dit-elle en regardant un endroit précis de mon anatomie.

- Mais elle est normale, tout simplement. »

 

Lentement, elle ôte ses vêtements, et s'approche de moi. Elle est superbe dans toute sa nudité. Nos lèvres se frôlent. Elle prend ma main.

« Allons chevaucher la Camargue comme ça, murmure-t-elle. Ne prenons qu'une monture. »

 

J'enlève la selle du cheval, et le monte. Je saisis Angélica par le poignet, Et la fais grimper, face à moi. Elle se cramponne à ma taille. Nos corps brulants ne font qu'un. Je tape des pieds sur les flancs du cheval.

« Allez, Vagabond, va doucement. »

 

La situation est excitante, nous sommes seuls dans cette immensité. Chevaucher dans l'odeur iodée des étangs, accompagnés par un nuage de flamand rose. Quel érotisme !

Très vite, les secousses provoquées par les galops du cheval, font leur effet. Mon sexe, jusque là relativement calme, se dresse contre le ventre de ma cavalière. Je sens ses seins gonfler contre ma poitrine, ses bouts durcir. Je croise son regard pétillant entre ses longs cheveux noirs. Puis les yeux se ferment, elle attend.

 

Je la saisis par les hanches et la soulève légèrement. Je sens le bout de ma queue contre la chatte humide. Elle jette sa tête en arrière dans un râle de plaisir, quand elle coulisse lentement sur mon membre. Elle me prend par le cou, et se plaque contre mon torse. Je sens sa respiration s'accélérer. Soudain, elle relève la tête. Sa bouche est grande ouverte. Des larmes perlent sur ses joues.

« Bon sang, gémit-elle, je vais jouir... Que c'est bon, se faire prendre sur un cheval... Si on m'avait dit !!! hou...hou... »

 

L'orgasme d'Angélica est fort, le cri de plaisir traverse les marais, à tel point, que les taureaux tournent la tête, et découvrent cette scène inhabituelle pour eux. Ma semence s'éjecte en jets puissant dans la grotte chaude de ma partenaire, dans un « han » de bucheron.

« Vas-y mon chéri, vide tes couilles dans mon ventre, fais-toi plaisir. »

 

Nos lèvres se rejoignent dans un long baiser. J'arrête le cheval près d'un point d'eau. Il faut qu'on se rince.

C'est elle qui tient absolument à s'occuper de ma toilette.

« Hum... Mais tu es une petite vicieuse toi. Hé, doucement ! Mais tu me tailles une pipe là, ma belle garce... »

 

Ma queue toujours dans sa bouche, on s'allonge au sol. Je glisse un doigt entre ses cuisses, excite le clitoris, puis le suce. Angélica se tord comme un ver sous la caresse, envoie des coups de reins.

« Prends-moi encore... Je suis encore novice dans ce domaine ! Apprends-moi, s'il te plait. »

 

J'avais remarqué qu'Angélica n'avait pas encore tout connu, même si je ne suis pas un dieu. Le, ou les amants, n'ont peut être pas su s'en servir. J'ose des positions inconnues pour elle. Et la coquine apprend vite. J'ai sans doute réveillé la cochonne qui sommeillait en elle.

Toujours est-il, que nous allons tout essayer, cunni, levrette, tout. Nous allons jouir plusieurs fois.

« Quel amant merveilleux, soupire-t-elle. On m'a jamais niquée comme çà. Tu m'as rendue heureuse tu sais. 

-Toi aussi, et tu es si belle. Viens, allons au bord de l'étang. »

 

Je me place dans son dos, et l'enveloppe dans mes bras. Nos corps nus, encore chaud, sentent l'amour.

« Regarde, tu vois le taureau qui s'approche la bas? Il vient en éclaireur. Après, il va se retourner, comme pour faire signe au reste du troupeau, qu'il n'y a aucun danger, qu'ils peuvent venir boire. »

 

On reste un moment à contempler ce spectacle hallucinant, sans dire un mot. C'est Angélica qui rompt le silence.

« Tu sais ce qui me surprend ? Pendant nos ébats, tu m'as jamais dis je t'aime, ou ma chérie.

- Chut... Tais-toi, profite de l'instant présent. »

 

Nous regagnons le cabanon, et nous rhabillons.

« Michel, tu veux qu'on passe la nuit ensemble? Je n’ai pas tout compris tu sais. J'ai besoin d'un cours de rattrapage. Tu sais que je ne connais pas la sodomie.

- Ah bon. Minuit, ça te va ? Je te rejoins dans ta chambre, polissonne que tu es ! »

 

Le baiser est langoureux, annonciateur d'une nuit extrêmement chaude.

 

Le soir, une quarantaine de personnes sont conviées à une soirée. Ma tante a prévu une rouille avec aïoli, et une gardiane de taureau, au cas où certains invités n'aimeraient pas l'ail.

 

Après le diner, deux jeunes guitaristes gitans animent la soirée sur une musique tsigane. Déguisée en Esméralda, Angélica entame un diabolique flamenco. A chaque passage, elle me fusille du regard, passe sa langue sur ses lèvres pulpeuses. Sûr, elle m'allume.

Minuit pétante, je pousse la porte de la chambre d'Angélica, personne. Le lit est vide. Tiens, elle a du avoir un imprévu. Du coup, je regagne mes quartiers. Dans la demie- obscurité, je distingue une forme sous le drap. Je m'avance en souriant, et m'allonge sur le dos.

« Ah tiens, un peu de repos. Une bonne nuit de sommeil me fera le plus grand bien.

- Quoi, bondit Angélica, non non non, mais tu n'y penses pas ?

- Mais tu es là?  Je ne savais pas. »

 

Aussitôt, je sens le poids d'une jambe sur mon ventre. Je sens la chatte humide sur ma cuisse. Petit à petit, ma queue s'étire, grossit.

Doucement, Angélica glisse le long de mon torse. Elle me décalotte le gland, et le prend en bouche. Délicatement, je sors le clitoris de sa capuche, et le doigte. On part dans un soixante neuf de folie.

 

« Laisse toi faire mon chéri, je veux être ta chose cette nuit. Tu ne vas pas être déçu. »

 

Finalement, elle suce divinement. Sa langue s'enroule autour de mon gland, ses mains soupèsent mes couilles. Puis, elle se relève, et vient se plaquer dos à moi, jambes écartées. Elle saisit ma bite, et la place contre son petit trou. J'ai un mouvement de recul.

« Si si, j'y tiens, soupire-t-elle. Fais sauter le verrou, déflore-moi, mouille-le un peu. »

 

Je récupère un peu de mouille dans sa chatte onctueuse, et en barbouille le petit orifice brun. Je pousse doucement, pour ne pas lui faire mal. Je sens l'œillet se dilater, céder sous la pression de ma queue tendue au maximum.

« Ha, ho… Ca y est… Tu m'encules, salaud ! Vas-y, c'est bon, tu sais ! Doigte-moi... Oui, oui, mes seins, caresse mes seins. Oh oui ! Viens toi aussi, vide-toi !

- Ha, je crache...Ha, hum, hum... Merci ma gitane chérie...

- Quoi ? Tu peux répéter ? C'est pour moi ??? »

 

Angélica se retourne et m'embrasse. Nous roulons enlacés sur le lit, soudés par nos lèvres. On va passer une nuit d'enfer. Nous allons faire l'amour dans toutes les positions, tout l’éventail des jeux sexuels va y passer.

 

Il est dix heures du matin quand je rejoins le groupe. Je tombe sur ma tante Maria.

« Bonjour, tu n'as pas vu Angélica ?

- Si, ce matin, elle sortait de ta chambre. Elle devait chercher les toilettes. Elle a du se tromper, » ironise Maria.

 

Légèrement honteux, je me baisse pour prendre la selle de mon cheval, quand je sens mes jambes se dérober.

« Qu'est-ce qu'il t'arrive ? demande ma tante.

- Ben, je sais pas, je vois tout trouble.

- Julien, viens vite, Michel se sent mal, je ne sais pas s’il ne fait pas un malaise. »

 

D'un coup, je vois le sol se rapprocher de mon visage, puis, plus rien.

 

Par L'Amoureux - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : les blogs persos
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