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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Partie 6

 

La maison était non loin, à dix minutes à peine de celle de ses parents. C'était une grosse demeure bourgeoise de la belle époque. Son intérieur était cossu mais le regard de Nathalie était sensible à des fautes de goût assez évidentes, ces faux fauteuils Louis XV recouverts de tissus criards... Inacceptable, pour un homme de son rang social.

 

Elle se retrouva face aux six invités d'Alain de Rénal. Six juristes, six notables.

 « Notre jeune amie se prépare à devenir avocate pour rejoindre un cabinet américain ! lança Rénal amusé

- Faites du droit public mon enfant, c'est tout de même plus noble, répondit l'un...

- Vous ne vous rendez pas compte ma chère, que le droit des affaires peut être bien ennuyeux, dit un autre. Vous vous rendez compte, faire du copié collé de contrats ? »

 

Nathalie comprit bien vite qu'elle n'était pas tombée sur de fieffés capitalistes ! Elle les trouvait gentils et attentionnés, serviables, galants, et eux aussi assez paternels.

 

« Mais je dois ajouter que Nathalie a aussi d'autres qualités qu'académiques... déclara Rénal. D'abord elle est ravissante, et puis elle n'a pas froid aux yeux. Et son petit minet renferme un miel d'une douceur exquise, je suis bien placé pour le savoir. »

 

Il fit un clin d'œil à Nathalie qui lui répondit par un sourire timide. 

« Nathalie, ma chérie, veux-tu bien te dévêtir devant ces honorables messieurs ? » lui demanda Rénal.

 

Elle avait envie de plaire, d'obéir, de ce soumettre à toute ses volontés. 

«  Et je suis sûr que Donatienne qui est une gentille fille, suivra ton exemple », ajouta un autre.

 

Les deux amies se regardèrent, complices, et commencèrent à se dévêtir. Rapidement, elles se retrouvèrent à libérer de leurs soutiens-gorges leur petites poitrines bien fermes et blanches. Les deux pantalons tombèrent à leur tour sur le sol. A ce moment, Rénal se précipita vers elles : il tenait lui même à enlever les petites culottes de coton des jeunes filles.

 

Il fit descendre doucement la culotte de Nathalie, laissant apparaitre ses boucles d'or si délicates. Il contempla de près le dessin des lèvres, si fines, si roses.

 

« Il y a une enivrante odeur de coquillage ! » annonça-t-il, non sans émotion à ses collègues qui se rapprochaient des jeunes femmes. L'un d'eux ôta religieusement la culotte de Donatienne, laissant apparaitre un minou presque glabre et vierge, et fort humide.

 

Donatienne et Nathalie étaient comme envoutées par la situation, et étaient prêtes à faire presque n'importe quoi pour leur plaire. Déjà elles imaginaient parfaitement que tous devraient être satisfaits ce soir, mais il ne s'agirait pas que de ça...

« Messieurs, je vous prie d'ôter vos habits », dit d'un ton très solennel Rénal.

 

Tous s'exécutèrent, libérant de respectables bedaines couvertes de poils résolument gris. Les sexes étaient variés : longs et fins, courts et puissants, petits et faibles. Tout y était.

« Messieurs, reprit Rénal, nous avons un honneur exceptionnel ce soir d'avoir nos deux amies, alors il convient de proposer un menu exceptionnel. »

 

On invita Donatienne à s'allonger sur la table de la salle à manger. Les hommes la caressaient furtivement, toujours délicatement et avec beaucoup de respect. Et l'un deux surgit dans la pièce en tenant une anguille vivante dans ses mains.

 

L'anguille fouettait l'air en nouant des torsades d'une étonnante beauté. Donatienne était fascinée... L'homme, non sans difficultés, introduisit la queue de l'anguille dans le vagin de Donatienne, la déflorant au passage. Au fur et à mesure que l'anguille la pénétrait, elle s'enroulait sur elle même à l'intérieur de Donatienne. Il fallait lui tenir les jambes tant elle hurlait de plaisir et d'effroi. Le sentiment d'invasion était total. Donatienne poussa un hurlement de jouissance jamais entendu, puis s'évanouit presque. L'anguille s'était, sous l'effet de sa chaleur, calmée et on la retira...

 

Un honorable professeur de droit se présenta alors à l'entrée de son minou, qu'il flatta du dos de sa main. Il introduisit son gland épais dans les secrétions vaginales de la jeune fille, mêlées d'un peu de sang et d'odeur de l'anguille... Il s'enfonça avec un râle de plaisir qui fit plaisir à entendre, et se mit à lui faire l'amour. Donatienne sortit de son coma pour le serrer à elle et commença à gémir de plaisir.

 « Stop ! »

 

Décidément, Rénal était maitre chez lui.

« Nathalie, je t'en prie, mets- toi à quatre pattes au milieu de la pièce. »

 

Nathalie s'exécuta aussitôt, laissant apparaitre son minou bien trempé, si bien que ses lèvres s'écartèrent largement.

 

On ouvrit une porte et, ô surprise, un berger allemand entra en galopant. Il trouva directement Nathalie, la renifla et se posa non moins directement sur son dos. On guida le sexe canin dans la grotte de Nathalie, et aussitôt le chien la besogna ardemment. Son sexe était plus gros que celui d'Articho, et l'emplissait complètement. Il pompait mieux aussi, plus régulièrement, il allait bien au fond et ne ressortait pas.

 

A chaque coup de reins, ses seins, ses fesses frémissaient. A chaque coup de reins elle se rapprochait de l'orgasme.

Son regard décrivait de temps à autre un arc de cercle et constatait que tout le monde la regardait, Donatienne comprise...

 

Son ventre se contracta et se relâcha violemment, libérant un orgasme extraordinaire quand elle sentit à son tour le nœud du chien se bloquer en elle. Lorsqu'il atteint sa taille maximale, elle jouit une seconde fois et se posa sur ses coudes.

 

Elle se sentait bien, heureuse, nullement humiliée par la situation. Elle ressentait une forme de plénitude.

 

Lorsque le chien la libéra, un flot de sperme coula hors de son vagin et Rénal s'empressa de la pénétrer. Il voulait absolument mélanger sa semence à celle de berger allemand. Mais Nathalie sortait d'une expérience tellement forte qu'elle le sentait à peine. S'en rendant compte, Rénal redoubla d'ardeur, et elle simula un nouvel orgasme.

 

Elle fut elle aussi allongée sur la table et ce sont les six notables qui vinrent à leur tour l'ensemencer. Elle eut un ou deux orgasmes de plus. Lorsque tout fut fini, son vagin échaudé n'en finissait plus de regorger de sperme. Son pubis était entièrement pétrifié de sperme séché.

 

Si elle était consciente du caractère totalement extrême de la soirée, Nathalie était profondément heureuse du plaisir qui lui avait été offert, et du réel respect dont avaient fait preuve ces vieux hommes.

 

 

A suivre !

 

Par Très curieux - Publié dans : Zoophilie - Communauté : Zoo en fête
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