Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
Nos fidèles Amis et complices Nicole et Albin d’Engerrey recevaient en cet après-midi du 15 Janvier 1740 aux belles froidures ensoleillées, tous les grands amateurs de plaisirs inavoués qu’ainsi nous partagions en pleine intimité au long de ces ébats par nous affectionnés. Nous avions grand plaisir à nous bien retrouver, dégustant de bons vins, buvant de nos compagnes les incessants baisers, étanchant là nos soifs de jouir sans plus tarder…
C’est dans le grand salon dit « des deux cheminées » où de grands feux dansaient, pareils à nos flammes (!), que nous nous retrouvâmes
avec les autres invités : Chantal de Cyrignac, la douce et brune débauchée et son époux Marcus, la belle et vicieuse Valérie de Versanges, la belle zoophile ne sachant se passer des plaisirs de
la chair, Nicole et Albin nos hôtes, le cocher de ces derniers et la domestique de nos Amis, l’ardente complice lesbienne de Nicole.
En cette fin d’après-midi, il fut donc décidé que nos Amours seraient uniquement faites de sodomie, chaque Dame n’ayant pour être ici
saluée que l’usage du séant pour chaque cavalier… Il y aurait sans doute aussi quelques joutées, faites de godemichets aux membres ivoirins, ou encore quelque chien – ici deux lévriers –
vaillants Amants canins aux belles chevauchées !
Chacun se mit en place, l’on se fit belle cour, connaissant de nos vices les merveilleux atours…
Des bas et jarretelles nos Dames étaient parées, parfumées et si belles et si fort excitées…
Des servantes oignirent nos vits bien dressés, enduisant nos prépuces d’une crème lénifiante, afin qu’ils glissent bien par ces voies
détournées aux plaisirs souverains…
Quelles chaudes bandées sous les doigts fort habiles de ces Manon, Ninon, Marion et autres filles qui riaient et gloussaient, car bien
émoustillées à la pensée de voir nos Dames ainsi prises… Chantez, riez, mes Belles, attendez nos Amours, peut-être serez-vous de Celles prises à votre
tour !
Ainsi donc débutèrent, nos chers accouplements.
Nous glissâmes ainsi voluptueusement d’anus en anus et de fondement en fondement, lovés en des abysses aux bien secrets satins… Ces
femmes qui gémissent, qui ondulent et se tendent, sous ces membres qui bandent et les prennent sans fin sont les belles servantes aux privautés câlines de ces dieux olympiens aux mœurs
libertines. Ô plaisirs infinis de belles sodomies où ces femmes se donnent, Amantes déchaînées qui sonnent de nos corps gentement les tocsins et nous veulent bien prendre nos semences chauffées
aux fourneaux de Vulcain ! Nous vous avons aimées par l’unique chemin où vous nous dirigeâtes en donnant à vos corps ces tangages sans fin nous laissant naufragés de vos charmants culins. Et vos
plages de chair tapissées de satins accueillirent les velours de nos dressés vitins qui vous sodomisèrent et vous prirent longuement ; vos houles ont bercé tous nos beaux éclairs blancs aux
foutres immaculés qui apaisèrent vos sens …
Et vous voici calmées, caressées par nos chairs restant en vous fichées, le temps que se libèrent nos tendresses et la chaleur de nos
baisers qui, en reconnaissance, sur vous s’en viennent se poser, lorsque toute licence, telle une mer calmée, retient encore nos corps restés à vous soudés. Nos lèvres-papillons s’en viennent
effleurer vos charmes, vos épaules, vos fesses et vos petits fossés où gardez les ivresses de vos Amants charmés. Ô liqueurs séminales en vos belles fleurs anales, comme autant de rosées
répandues en coulées qu’on dit subliminales !
Il vous eût fallu voir ici tous les jolis culins en harmonie danser sous les assauts divins de tels cavaliers, contempler ces beaux
vits en troufignons glissés, comme serpents en mue en leurs trous agités ; les belles de Sodome se voyant enfilées par quelque pressant vit d’un nouveau cavalier… Ainsi, à tour de rôle, les
partenaires changeaient, là c’était un Amant, ici un mari ou quelque chien ardent qui la prenait en figne, la Dame se trémoussait, ardente et pleine de semence poussée en ses entrailles, jusqu’à
ce qu’elle défaille de plaisir et n’éclate en des cris
trahissant ses jouirs…
Bien acalifourchée, ma femme ici se mit sur mon vit dressé qui aussitôt la prit donc ici par derrière, comme il était prévu et
bien recommandé au long de cette soirée ; elle chevaucha ainsi sur son arc de chair, son impatient mari, préparant son derrière à d’autres assauts ici… Son anus et ma chair aussitôt se marièrent
; la joute se fit bien et nous nous marièrent avec un bel entrain.
Je déculai d’icelle et jutai sur l’anus qui fut auréolé d’un pâle et blanc jutin. Etait fait le chemin, Marcus époux de la dive
Chantal, vint s’accroupir ici sur le cul de ma femme et aussitôt la prit, en ce facilité par mon foutre tout frais qui maculait son trou…il entra d’un seul coup dans le cul de Françoise qui salua
d’un cri, ce bien rapide assaut et ce furent des tressauts qui n’en finirent point, tant notre Ami au trot prit le joli culin… Je chevauchais déjà depuis quelques instants, notre dive Chantal en
son beau fondement…celle–ci se cabrait et me tendait ses reins, de jolies fesses fermes qui appelaient le sperme de ce vieux libertin qu’elle savait que j’étais…
Elle serrait son anus, petit anneau divin étranglant mon prépuce en ses sauts de coquin, donnait des coups de reins à m’arracher le
vit, déchaînant ma poursuite en son fin popotin ! Ses longues mèches frisées et bouclées voguaient sur ses épaules, une belle brune enfilée qui appréciait son… « drôle » qui la sodomisait ;
par-dessus son épaule ainsi elle me donnait des baisers et des langues qui me faisaient dresser, je remuais dans sa geôle presque à me déqueuter.
Je jouis comme un forban au bout de ses entrailles, elle releva la tête, comme une fière cavale, son œil brun brillant, la langue sur
les lèvres, elle mordit à ma bouche, donna un coup de reins, me tira mon jutin et resta envitée, retenant mon vérin…
J’adorais la baiser quand nous nous retrouvions, elle avait un beau fion que j’aimais tout après, déguster sans façon, la langue
en troulinet, suçant son trou mignon, ô combien parfumé !
Nicole d’Engerrey était, elle, prise en mains par son vaillant cocher et homme de membrin qui, malgré son vieil âge, la savait enculer
à fond de cul sans fin ! Je la voyais danser, tendre son popotin, ses fesses qui glissaient au long du gros membrin aux poils ébouriffés ; il la maintenait bien, Maîtresse dominée qui lui donnait
son fion ; ainsi donc le cocher faisait claquer ses mains sur les fesses agitées, comme il eût fait d’un fouet… elle gémissait, se tordait, remontait le culin, s’éloignait, revenait s’enviter,
impudique, rageuse, Marquise un peu catin s’encoquinant avec un cocher libertin, sodomite et fripon aimant le cul tout autant que le con de sa belle Maîtresse…
Je quittai les fesses de Chantal –et pris le temps, comme à mon habitude, de licher ma semence en l’orifice anal aux bien rosés
tréfonds- tout prêt à rebander dans le fossé anal de quelque charmant cul à portée de membrin ! Valérie de Versanges me fit signe de la main, venant d’être enculée par notre Ami Albin, le mari de
Nicole, elle me voulait en figne… Elle ne changea point de position et je la mis en fion, m’enfonçant bel et bien en son joli troulin tout humide d’Albin ayant joui comme un étalon…
Je la poussai bien et je fus vite au fond, gardai mon trot, elle cria, se tortilla, me retins de la main pour que je la prisse bien et
restasse en son trou au plus loin… Valérie de Versanges qui pratiquait l’Amour d’une belle expérience, coquine, vicieuse, gourmandine queuteuse, aimant tous des plaisirs, savourant de son chien
le lévrier Phébus, les beaux assauts sans fin… Je la mettais bien, la sentais, fesses au ras de mon ventre, serrant bien son anus sur mon vit dodu…une belle enfilée, dont jouissais pleinement au
fins fonds de son cul . Nicole avait joui, poussant un long cri quand son coquin de cocher lui donna l’hallali au fond du culbutin…
Chantal était à présent prise par le lévrier « Uranus » de Nicole et Albin ; ce chien avait la ruse – je dirais même l’astuce - de
s’introduire en nos plaisirs libertins, choisissant là la femme qu’il enfilerait bien, humant, léchant un anus, un prépuce puis, se mettant en position, faisant jouer ses reins dans le vide, sa
mince et fine échine mimant le trot coquin sur quelque Muscadine attendant qu’on la prît avec un bel entrain…
Le cul de Chantal ondulait sous le chien, dont le plaisir anal semblait lui convenir ; il prenait à loisir ce petit cul divin, les
pattes sur ses reins enserrant la jolie, la retenant sous lui, impérieux à la fois, mais bien aussi câlin… Son vit glissait bien, long, rose, élastique, dur, l’anus lui rendait ici ses va et
vient, courant au long du vit en un trot là divin ; Chantal gémissait et courbée sous le chien, toute à lui se donnait en jolis coups de reins… Elle me regarda, ferma les yeux, les
rouvrit, elle jouissait sous lui, par lui et ahanait de plaisir, le souffle court, les cheveux sur les yeux, déhanchée, prise, comblée, assouvie, poignardée, empalée jusqu’au fond de son être…
Une belle baisade aux beaux canins effets ! Cet Amant canidé était donc remarquable.
Valérie de Versanges me tira mon foutrin de ce long coup de reins dont elle avait le secret, le Cher Ange débauché ! Je me
vidai…pourrais-je encore bander ? Ma foi, je n’en savais rien, ces assauts répétés appelaient du repos… Je déculai de ma Belle et m’en fus faire une toilette minutieuse en un privé Cabinet… Je
jetai un regard sur nos superbes vicieuses qui se déchaînaient, insatiables par les hommes montées tout autant que par les chiens qui appréciaient ces Dames sachant là leur donner des caresses
infâmes, mais combien appréciées par ces Amants quidams préférant à leurs chiennes… nos Dames…
Les couples, qu’ils soient humains ou canins (!) se séparèrent pour procéder à une toilette bienvenue, tout comme je le fis et
prisèrent fort quelque bon vin et gourmandises qui les remirent en forme pour les suivants desseins…
Au Salon, quatre Servantes nanties de magnifiques godemichets attachés à leur taille par de fines lanières de cuir arborèrent leur «
virilité » dont les détails, finement reproduits, à nos vits de chair en tous points ressemblaient ! Elles avaient auparavant pris grand soin de bien garnir les grosses bourses de
quelque bon liquide chaud et sucré, lait, miel, sirops superbement concocté par nos charmantes « gouines » qui allaient pouvoir exercer leurs talents… Elles ne manquèrent point de oindre
savamment leurs beaux vits galants d’un bel onguent crémeux, adoucissant, qui faciliterait l’intromission en de si délicats endroits…
Nicole, Françoise ma Mie, la douce Valérie, la belle Chantal de Cyrignac se mirent donc en position pour recevoir l’envitée de ces
Muscadines –nous, Messieurs, ne devant en aucun cas intervenir au cours de ces « montées » entre femmes– la vue était des plus excitantes et nous n’en perdions aucun détail. Les quatre
officiantes, dont la Servante et Maîtresse de chair de Nicole, prirent donc place et se postèrent chacune sur un cul bien relevé, chacune de nos femmes ayant reçu un épais coussin glissé sous son
ventre ; les fesses ainsi relevées donnaient un aperçu intégral de la sodomie par les charmantes « godemicheuses » bellement armées…
Les fesses furent délicatement écartées, les vitins d’ivoire furent lentement glissés dans l’anal conduit de chacune qui le reçut avec
empressement, les avalant gentement et nos Dames commencèrent à jouer des fesses, à se tortiller, prises fermement par les hanches par chacune des « monteuses » ; des bribes de phrases venaient à
nos oreilles : « Allez, beau croupin, avalez bien ce vit, comme il est doux, comme il est bon ! » ou : « A fond, ma Belle Dame, laissez-vous bien enviter, il glisse, vous le sentez ? » ou encore
: « Ah, le beau cul, Ma Dame, comme il se fait bien enfigner ! Regardez, je le pousse ce vitin que vous aimez, sentez-le…Il va, il vient, il encule si bien ! ».
Et ce n’était que « Aaaahhh, ouiiii, alleeez, plus loiiiin, montez bien mon cul, ma Chèèèère, à fond, presseeeez le jutin… » et de
fait, les belles Cavalières d’accélérer le train, de bien presser les couilles arrondies de liquide ; les culs avides buvaient, s’exhaussant joliment, les Servantes déchaînées montant à fond
leurs montures, Tribades libérées qui forçaient leur allure, véritables « enfileurs » aux masculins attributs luisants et patinés qui allaient par les culs, comme des chevaux emballés… Ces
enviteuses bien membrées ici se faisaient hommes, fières, elles n’étaient plus servantes, mais bien dominatrices, enculant joliment, satisfaisant les vices, pinçant ici les cuisses, faisant
claquer les jarretelles, donnant des claques vives sur le cul de nos Oiselles, tout en les chevauchant comme des Walkyries aux débridées folies, aux grands écarts sensuels…
Nous nous branlions, les yeux écarquillés, dévorés de désir, admirant nos Amours se faisant enfiler, là, sous nos yeux, ivres de
luxure, dévergondées, prosternées sous leurs lesbiennes dominatrices effrénées… Chacun a joui, vidant tout son plein de foutre entre ses pieds, sur ses doigts, sur ses cuisses, en de fortes
branlées qui semblaient ne pas pouvoir s’arrêter… Une ou deux Servantes s’agenouillèrent et vinrent prendre leur offrande, accroupies, retroussées, bas tirés, jarretelles tendues, lichant,
s’abreuvant de nos foutres mêlés, chiennes en chaleur ne se contenant plus… Allions-nous résister à quelque désir de promptement les enviter ?
Nos épouses ne pouvaient être prises que par le cul – souvenez-vous du thème de la soirée -, alors que les deux Servantes qui
s’occupaient de nous avaient, elles, là toute liberté, de se voir prises en cul, mais aussi bien en con et nous n’allions point hésiter à les bien honorer en la situation…
Albin s’étendit dos au sol, la première Servante s’en vint sur lui, guida son vit en son con, Marcus s’accroupit derrière elle et
pointa ferme en cul, un vit cramoisi, poussa et le trot à trois se fit…la Belle joliment envitée se mit à danser en même temps sur les deux verges bien poussées…et apprécia le trot de cette
double envitée !l
A mon tour, je m’étendis, la seconde Servante sur moi se mit et se fit prendre en con, tandis que le Cocher de Nicole et Albin,
derrière elle posté, introduisit son large membrin en son joli troulin qui le reçut fort bien et coulissa sans tarder ; ainsi, chacun de nous avait-il son plaisir, tout en satisfaisant ces deux
charmantes Oiselles en bas et porte-jarretelles ayant pitié de nous et voulant nous combler… Nos sodomies durèrent quelques bonnes minutes, nos positions changèrent, partageant nos culbutes, ceux
du dessous passèrent derrière, découvrant l’autre trou et nos chevauchées singulières continuèrent, tandis que là-bas, nos Compagnes poursuivaient leurs godemichées, montées sans désemparer par
les déchaînées Tribades qui les envitaient.
Et ce n’était que cris et plaintes, qu’injonctions à plus loin pénétrer, les culs étaient en feux, les belles enculades durèrent encore
un peu… Et puis, les trots s’atténuèrent, les belles Femmes en sueurs aux suints révélateurs enfin se séparèrent, retombant anéanties dans les fauteuils et les bergères, pâles, défaites… les
Belles Godemichettes descendirent de leurs montures, le vit en ivoire balançant, humide, gluant, les bourses flasques…Le silence ne fut troublé que par de faibles gémissements encore, des bruits
de baisers, des froissis de bas et jarretelles ou jarretières, corps abandonnés, aux poses alanguies… des roses brisées d’Amour sous le vent des plaisirs…
De longues toilettes s’en suivirent et puis, un souper fut servi : vins capiteux et mets choisis, car Nicole et Albin savaient là
recevoir et combler leurs Amis, après d’aussi intensifs festins…de chair… Vers deux heures du matin, nous quittâmes leur Gentilhommière et montâmes en carrosse pour rejoindre céans l’un de nos
pied-à-terre niché en bords de Loire…
Françoise s’endormit tout contre moi serrée, ma divine Marquise aux si beaux yeux cernés souriait à la nuit sous un rais de ménure dans
ses cheveux dorés…
Lectrices et lecteurs, mes fidèles Amis, je vous souhaite la bonne nuit…sachez bien vous aimer tout au long de vos nuits… et surtout me
lisez, l’Amitié, c’est la VIE !
Signé : le Marquis de Chair
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