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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

J'entame aujourd'hui la publication d'une histoire à épisodes, rédigée à quatre mains, avec Louis M., que je remercie pour sa belle plume...

 

Louis :
 
J'arrive par avion en fin de journée. J'ai vingt ans. Je suis déjà bronzé par le soleil d'autres latitudes, mais cette terre exotique me donne faim. Ma chair bandée dans mon pantalon m'a gêné durant tout le voyage. J’hésitais en permanence à caler ma bite à droite ou à gauche tant elle me démangeait, dure et impérieuse, tandis que l'hôtesse de l'air arpentait le couloir de l'avion en remuant un cul impeccablement gros et harmonieux.
 
Je descends de l'avion vêtu comme il convient ici, avec un pantalon de toile léger et une chemise ouverte. Je me précipite dans un petit hôtel pour abandonner mes affaires et aller prendre un verre.
 
La nuit bien tombée, je bois encore au comptoir tandis que le bar désemplit. Je sors prendre l'air, histoire pisser un peu pour me désengourdir la queue. Un homme de dos décore déjà le mur de son épais sexe noir. Je m’avance, un peu éméché, observe son sexe. Je lui siffle :
« Belle bête », en titubant à côté pour dégainer mon propre engin et arroser le mur.
 
Il me sourit en remballant son outil, me retourne le compliment d'un œil complice, puis il passe derrière moi comme pour rentrer au bar… mais je sens brutalement sa main attraper ma bite. Il me murmure :
« Tout doux » à l'oreille.
 
Je m'immobilise, raidi par la brutalité de son geste. Je sens la paume dure de sa main autour de mon sexe. Il me dirige adroitement la bite pendant que je pisse, puis cela s'interrompt, et il fait aller sa main sur ma peau pour me branler, serrant bien fort au niveau du prépuce avec son pouce.
 
Je bande immédiatement très dur. Et je devins plus fébrile tandis que je sens son corps me coller et sa bandaison cogner contre le bas de mon dos. Je me retourne et je m'agenouille, ressortant de son short l'épais sexe noir. Je lui suce délicatement le gland, puis je titille le bout de sa bite de ma jeune langue avide, l’aspirant.
 
Il met sa main sur ma tête et me donne de grands coups de queue pour que je prenne sa bite plus copieusement en bouche, ce que je fais immédiatement, enfournant au fond de ma gorge l'épais sexe. Je bave de plaisir en faisant tourner ma langue pour le pomper.
 
Ma main attrape ses couilles pour les malaxer tandis qu'il me baise la bouche. Je le suce d'une langue de plus en plus affamée, lapant la moindre goutte de plaisir qui suinte de son gland, salivant par terre de plaisir. Mes mains tiennent désormais ses fesses pour accompagner ses coups de reins. Je l'entends râler et cela décuple mon plaisir. Il gémit alors que je sens dans ma bouche son sexe gonfler. Il répand un liquide amer et épais qui me gicle jusqu’au fond de la gorge…
 
Je retire ma bouche en donnant un coup de langue au passage. Je reçois le reste de son foutre sur mon visage comblé tandis que la petite porte du côté du bar s'ouvre. Tu arrives.
« Sophie, dit l'homme noir à la fin de son râle qui me zèbre le visage de sperme.
— Regarde ça, j'en tiens un mignon là. Il a l'air docile », ajoute-t-il en plantant de nouveau sa bite dans ma bouche pour que je la lui nettoie sagement.
 
Ce que ma langue s'applique à faire, tandis que du coin de l'œil je te regarde, souriante sur le perron, belle et grande.
« Regarde sa queue, ajoute l'homme noir. Il bande bien le salaud. »

Il sort sa bite de ma bouche tandis qu'il débande doucement. Je tourne alors mon visage maculé de son sperme vers ton sourire...
 
 
 
Sophie :
 
Fred et moi étions sortis en ville, dans l’espoir de trouver un bel homme à nous mettre sous la dent. Nous sommes un couple de sex-friends très complices, et Fred étant bi, il aime partager avec moi mes amants d’un soir. Il n’y a rien que j’aime plus que de le voir baiser un autre homme !
 
Nous sommes allés prendre un verre aux « Palmistes » sur la grande place de Cayenne. Fred, pris d’une envie pressante, me fit signe qu’il sortait. Je savais qu’il aimait aller se soulager dans l’arrière–cour, où d’autres hommes, gays ou bi trainaient aussi parfois.
 
Le temps passait, et il en prenait bien plus que nécessaire pour un simple « pipi »… Curieuse, je me décidai à jeter un coup d’œil dans la cour. Mon instinct ne m’avait pas trompée : il était debout dans un coin, un jeune blanc à genoux devant lui, tétant vigoureusement le pieu de Fred. L’excitation m’envahit aussitôt, et je devins humide comme une rosée matinale…
 
« Tu as fait une bonne pêche, on dirait... Il suce bien ?
- Pas mal, il doit avoir l’habitude ! me dit Fred avec un large sourire.
- Comment tu t’appelles ? demandai-je au jeune homme.
- Louis, répondit le jeune suceur.
- Eh bien Louis, je veux tester aussi tes capacités ! »
 
Il eut l’air interloqué, ne sachant visiblement pas quoi répondre.
Par bonheur, j’avais mis ma grande jupe ample en madras, à la façon des créoles.
 
Je m’avançais prés des deux hommes, et embrassait fougueusement Fred. Il me rendit mon baiser de façon…  vorace, comme j’aime !
Je me tournais vers Louis :
« Viens dans le coin sombre. Tu vas me lécher mon petit minou. Il a très soif de bonne salive de France !
- Vous voulez que je vous lèche là, maintenant ? murmura-t-il, plutôt surpris.
- Oui, et si tu te débrouilles bien, on t’embauche pour des parties de sexe de feu ! »
 
Il ne répondit pas, mais se releva pour m’entrainer dans l’endroit le plus sombre de la cour. Une touque était posée au sol. Je posais un pied dessus, de façons à bien offrir ma chatte en feu à cet inconnu.
Il se mit à genoux, et je rabattis ma jupe sur lui Fred se colla à nous, afin de nous « cacher » au mieux.. Même si je n’étais pas contre le fait quelques voyeurs nous surprennent…
 
J’en profitais pour saisir sa bite, et la raidir à nouveau.
Je sursautai en sentant la langue de Louis. Elle était gourmande, avide, créative... il me gobait, me dévorait comme si sa vie en dépendait. Bref, il me léchait divinement bien, malgré la position inconfortable.
 
Je branlais le chibre de Fred en mesure de ma propre excitation qui ne cessait de monter. Je me sentais couler, je mouillais comme une folle. La situation, d’avoir vu mon ami se faire sucer, l’imagination de ce qui allait se passer avec ce jeune homme, tout contribuait à me faire jouir vite. J’explosais dans un cri silencieux, me cramponnant pour ne pas tomber sous la violence de l’orgasme.
 
Louis refit surface de dessous ma jupe, le visage maculé de cyrpine, mélangée au sperme de Fred.
« Tu as bien joui, ma chérie ? me souffla Fred.
- Oh oui, peinai-je à répondre. On continue avec lui. Il me semble assez doué et docile. »
 
Je me tournai vers Louis, qui s’essuyait le visage avec sa chemise.
« Tu es d’ici ?
- Non, je viens d’arriver par l’avion de quinze heures. Je suis en vacances pour trois semaines.
-Ok, ca te dit de devenir notre partenaire sexuel pour la durée de ton séjour ?
-Oh oui, repondit-il, les yeux brillants.
-Alors, on y va de suite. Il nous faut continuer de te tester… »
 
 
A suivre....

Par Louis M. et Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : Couples candaulistes
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