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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

1. Surprise.

 

Une fois de plus mon travail pour cette grande société agroalimentaire internationale m’avait conduit en terre étrangère pour trois journées de contrôles sur le terrain et de rencontres avec les responsables locaux.

 

Le dernier soir de ma tournée d’inspection, mes hôtes espagnols m’ont invité pour une sortie en boîte de nuit. Antonio, le responsable du secteur est venu me chercher à mon hôtel du centre d’Alicante. Il était accompagné de Juanita sa femme et d’une copine de cette dernière, Amalia.

 

Les deux femmes se ressemblaient beaucoup. Grandes brunes aux cheveux longs relevés artistement en chignon, elles portaient toutes les deux des robes légères qui, dans un décolleté généreux, laissaient voir une poitrine de taille moyenne mais bien galbée maintenue par un soutien gorge qui la relevait. La taille étroite prise dans une large ceinture s’évasait ensuite sur des hanches larges pour Juanita (elle avait deux enfants) et plutôt étroite pour Amalia.

 

Après avoir bu rapidement un pot au bar de l’hôtel pour faire connaissance, nous nous sommes installés dans le cabriolet d’Antonio et au bout d’une vingtaine de minutes, nous sommes arrivés devant la boîte de nuit située en bord de mer.

 

Antonio, qui semblait bien connaitre le personnel, a pu nous obtenir une table située sur la mezzanine d’où nous dominions la piste de danse principale. Il y avait beaucoup d’ambiance et les séquences musicales s’enchainaient rapidement, alternant le disco et les danses latines. La plupart du temps, je dansais avec Amalia. C’était un plaisir de la faire danser, de la guider dans les figures diverses. Vers deux heures du matin nous avons quitté la boîte. La nuit serait courte avant la réunion finale du groupe de travail à neuf heures.

 

Lorsque nous sommes arrivés devant l’hôtel, j’ai pris congé de mes hôtes, mais la surprise a été totale lorsqu’Amalia m’a embrassé amoureusement.

« Viens, je t’accompagne, j’habite aussi cet hôtel. »

 

Nous sommes entrés, bras dessous, bras dessus, comme n’importe que couple. Nous avions chacun notre pass électronique. Dans l’ascenseur, Amalia s’est collée à moi et elle a continué de m’embrasser. Je sentais contre mon torse ses seins durs, ses hanches dansant d’une manière lubrique contre mon bassin. Jamais au cours de la soirée elle n’avait manifesté une quelconque attirance et de mon côté, même si elle me plaisait beaucoup, je n’avais jamais envisagé que la soirée se terminerait ainsi.

 

Arrivés dans ma chambre, Amalia a continué de m’embrasser de plus en plus chaudement, mêlant sa langue à la mienne dans des baisers ardents tout en ôtant mes vêtements. Lorsque j’ai été nu, n’ayant plus que mon boxer, elle fit voler sa robe par-dessus la tête et fit sauter l’agrafe de son soutif. J’avais devant moi une femme magnifique à la peau ambrée des filles du soleil. Je la contemplais désormais avec envie.

 

Ma bite était dressée dans mon boxer et le gland dépassait de la ceinture. Nous étions à égalité. Plus qu’une pièce à enlever pour être intégralement nus. Amalia se mit à genoux sur le tapis et elle fit glisser mon boxer. Prenant ma bite dans une main, elle l’inclina vers ses lèvres et d’un seul coup, je me trouvai au fond de sa gorge. Je caressais ses seins menus en faisant rouler les bouts saillants entre mes doigts. Elle me suçait avec application, alternant les aspirations profondes et les léchouilles le long de la hampe.

 

J’en voulais plus, une fellation aussi bonne soit-elle ne vaut jamais une bonne baise. Je sortis de sa bouche et je la conduisis vers le lit pour qu’elle s’y allonge. Roulant sur le ventre, elle me présentait une belle chute de reins bien cambrée mais elle ne semblait pas pressée de faire descendre sa culotte. J’étais un peu surpris car elle n’était pas assortie au soutif. En tissus opaque rebrodé, elle moulait étroitement ses fesses. Amalia se retourna enfin avec un grand sourire et un regard coquin. C’est là que j’ai compris en voyant son pubis encore masqué. Il était très proéminent et entre les jambes, je distinguais une grosseur.

« Ça ne te gène pas de me faire l’amour ? Je ne suis pas un travesti mais simplement la nature m’a donné une belle paire de seins et une bite ! »

 

En disant cela en français avec un accent inimitable, Amalia descendit sa culotte et dévoila une queue pas très grande à moitié bandée.

« Viens, me dit-elle en prenant la position de la levrette sur le lit, tu vas me prendre par derrière. »

 

Ce n’était certainement pas ma première sodomie, mais là, j’allais baiser un être mi-femme mi-homme. Cela ne m’était pas encore arrivé et rien que d’y penser, j’étais complètement excité.

« Tu peux y aller franchement ! Je suis ouverte, tu entreras facilement ! »

 

Selon ma bonne habitude (on ne sait jamais quelle bonne fortune nous attend), j’allai chercher son mon oreiller un préservatif que je glissai rapidement sur ma bite désormais bandée à l’extrême. Entre ses jambes, je pouvais voir ses bourses et sa queue qui balançaient doucement et son anus plissé. Je pris sa taille entre mes mains et d’une seule poussée lente mais puissante, je pris son petit trou.

 

Si j’étais entré facilement, une fois à l’intérieur, j’ai senti les muscles intimes se resserrer autour de ma bite et commencer leur savant massage. Mes va-et-vient arrachaient des soupirs d’aise à Amalia qui me disait combien c’était bon de baiser ainsi. Dans un des grands miroirs de la chambre, je voyais notre accouplement.

 

Derrière elle, je la besognais avec vigueur. Je voyais ses seins balancer sous son torse pendant que d’une main elle masturbait sa bite qui bandait. Waouh, quel spectacle. Cela a achevé de faire monter mon excitation et je n’ai pas tardé à jouir et à déverser dans la capote quelques bonnes giclées de sperme. Amalia jouit du cul en même temps. Elle avait attendu que je parte pour s’éclater à son tour.

 

Nous nous sommes désunis et Amalia s’est couchée sur le dos. Sa bite était toujours dressée et elle la masturbait encore si bien qu’un jet de sperme en est sorti pour s’écouler sur ses doigts. Elle s’est levée, est passée par la salle de bains. Lorsqu’elle en est revenue habillée, elle m’a à nouveau embrassé amoureusement en me disant combien elle avait apprécié notre soirée et que je l’avais bien baisée.

 

Elle quitta ma chambre en me souhaitant bonne nuit. Oui elle a été bonne !

 

 

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  A suivre demain !

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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