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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je suis un adepte de l’autostop. Malgré les aléas de ce moyen de déplacement, j’y trouve mon compte et il m’arrive de belles aventures comme celles vécues lors du trajet pour descendre au camping de Menton où je devais retrouver les copains et copines ou encore lorsque je suis allé voir des parents à Toulon.

 

Après trois semaines passées sur la Côte, je dois remonter sur Paris car j’ai décroché un job d’été pour tout le mois d’août. J’ai le contrat en poche et il n’est pas question que je laisse passer les 1 500 euros de salaire qui me sont promis.

 

A l’accueil du camping j’ai mis une affichette : « Jeune homme cherche transport retour sur Paris samedi prochain – participe aux frais de carburant – emplacement n°215 ».

Le vendredi à midi, je n’ai aucune proposition. Je m’apprête donc à me rendre au péage de l’autoroute dès le soir même pour tenter ma chance. Au retour de la plage, je trouve, épinglée sur une des tentes mon affichette m’indiquant d’être à vingt et une heures quarante-cinq à la sortie du camping.

 

A l’heure dite, sac à dos bouclé, j’attends avec un peu d’impatience pour voir qui va me prendre pour faire la route, quand je vois un van à la peinture rutilante, pleine de décors artistement réalisés, s’arrêter devant moi. Une femme entre trente et trente-cinq ans est au volant, le siège passager est occupé par un homme du même âge.

« C’est toi qui va à Paris ?

- Oui, je pense que c’est vous qui avez répondu à mon affichette !

- OK ! Fais le tour et monte par la porte latérale. »

 

Lorsque je découvre l’aménagement intérieur du véhicule, je me dis en moi-même que le voyage va être génial. Derrière une table rabattable, il y a deux fauteuils avec un dossier inclinable très confortables. De part et d’autre de la cabine, il y a des rangements aménagés, et tout à fait à l’arrière, un lit surélevé occupe tout la largeur.

 

Je m’installe dans un des fauteuils et nous bavardons alors qu’une musique d’ambiance se répand dans l’habitacle, couvrant le bruit du moteur qui ronronne régulièrement sur l’autoroute. Stéphanie et Eric sont deux musiciens qui, après un mois de contrat dans une boite de la côte, remontent sur Paris où d’autres engagements les attendent. L’aménagement de leur véhicule leur permet de voyager confortablement et de n’avoir pas recours systématiquement aux hôtels pour se loger.

 

Eric et moi nous avons somnolé, car c’est au moment où Stéphanie quitte l’autoroute que nous prenons conscience que nous arrivons sur une aire de service :

« Premier arrêt : Aix en Provence ! s’écrie Stéphanie, pause café et détente ! »

 

Environ une demi-heure plus tard, nous reprenons la route pour une nouvelle étape. Eric prend le volant et Stéphanie vient près de moi à l’arrière. Aussitôt installée, elle incline les dossiers de sièges et nous recouvre tous les deux d’un vaste plaid en disant qu’ainsi nous serions mieux pour dormir...

 

Nous roulons depuis quelques temps déjà quand je sens une main venir explorer le devant de mon pantalon. Cette coquine de Stéphanie aurait-elle eu une idée derrière la tête en venant se mettre à l’arrière ? Elle prend ensuite ma main gauche et vient la poser sur le haut de ses cuisses que je trouve nues. Elle a remonté sa jupe au dessus de la taille. Oulla, çà va être chaud !

 

Devant la tournure des choses, mon sexe se dresse instantanément dans mon slip au point de me faire mal tellement je bande. C’est vrai que Stéphanie a tout pour plaire, grande brune aux cheveux abondants et très longs noués en queue de cheval qui arrive au creux de ses reins, un beau visage à l’ovale parfait éclairé par des yeux noirs et une bouche pulpeuse et des hanches, je vous dis pas !!!

 

La fourche de ses cuisses est chaude et douce. Au travers du tissu de son string (du moins c’est ce que je crois), je sens l’humidité de sa chatte. Je commence à la caresser ainsi et elle se tourne vers moi pour me faciliter le mouvement de mes doigts mais aussi sortir ma bite de mon slip et de mon pantalon.

Je suis malgré tout inquiet de la situation. Son mari est là, tout près…

« Ne t’en fais pas, il sait ce que je fais, me dit-elle tout bas à l’oreille. A la prochaine pause, nous allons faire l’amour tous les trois. »

 

Je suis tombé sur un couple de libertins. Décidément, ces vacances sont pleines de belles surprises sexuelles. Nous restons ainsi, Stéphanie sa main droite enroulée autour de mon sexe qu’elle masturbe lentement dès qu’elle sent la raideur faiblir et moi, la main gauche coincée entre ses cuisses à la limite de sa fourche.

 

Nous nous endormons ainsi, presque comme deux amants qui viennent de prendre du plaisir ensemble. Une fois encore, c’est l’entrée sur une aire de service qui nous réveille. En faisant le plein de carburant, Eric nous dit que nous avons dépassé Lyon. Comme convenu, je donne les 50 euros et nous allons tous les deux à la cafétéria.

 

Quand nous revenons au van, nous reprenons nos places mais Stéphanie est allongée sur le lit. Elle s’est couverte avec le plaid. Eric dirige le véhicule vers un coin isolé du parking, tire les rideaux à l’avant et vient nous rejoindre dans la partie arrière. En soulevant le plaid il dit :

« Regarde, elle nous attend ! »

 

Effectivement, Stéphanie est intégralement nue, allongée dans une pose alanguie sur le lit transversal.

« Déshabillons-nous, me dit Eric et rejoignons-la ! »

 

Malgré l’exiguïté des lieux, en un rien de temps, nous sommes nus tous les deux, la bite dressée devant nous, prêts à rejoindre Stéphanie qui, s’étant redressée, nous attend avec un grand sourire…

« Viens, dit-elle à son mari en tendant la main vers sa bite. Je vais achever de te préparer. Il y a longtemps que je n’ai pas fait de double… Je vais en profiter ! »

 

Et en se tournant vers moi :

« Tu as une jolie bite, fine et bien longue, tu vas m’enculer pendant que je chevaucherai Eric. »

 

Le programme que Stéphanie propose me convient tout à fait. Elle commence tout d’abord par une fellation bien baveuse sur son mari puis quand elle juge qu’il bande suffisamment, elle se recule pour qu’il puisse s’allonger sur le dos. Aussitôt elle le chevauche, introduisant d’elle même le sexe d’Eric au plus profond sa chatte.

 

Après quelques mouvements en amazone, Stéphanie s’allonge sur le buste d’Eric. J’enfile rapidement un préservatif et je vais me placer entre les jambes emmêlées de mes deux complices libertins.

 

Dans la demi-clarté qui règne dans l’habitacle, je vois les fesses largement fendues et la chute de reins de Stéphanie sur laquelle ses longs cheveux noirs sont répandus. Je m’approche encore et je pose le bout de mon sexe à l’orée de son anneau plissé. Elle vient au devant de moi et c’est sans forcer qu’en une seule poussée, je suis au fond de l’antre interdit.

 

Eric et moi, nous accordons nos mouvements. Pour moi, c’est une première. Je n’avais jamais participé à une double pénétration… Que c’était chaud, d’un érotisme torride de savoir une femme prise ainsi. Au travers de la fine paroi, je sens battre le sexe puissant d’Eric ce qui m’excite au plus haut point.

 

Notre plaisir commun monte. Stéphanie prononce des mots sans suite et des grognements de satisfaction quand l’un ou l’autre de ses fornicateurs l’éperonne un peu plus sèchement. Puis notre jouissance arrive. Pour moi, c’est violent ! Je me tétanise littéralement quand mon sperme jaillit au fond du préservatif.

 

Nous restons enlacés l’un sur l’autre de longues minutes, puis je sens mon sexe sortir du cul de Stéphanie. Je retire le préservatif et elle vient gober ma bite en disant, comme si elle s’adressait à elle, combien elle lui a fait du bien. Eric se redresse à son tour et présente son sexe à peine débandé pour que Stéphanie lui fasse sa toilette.

 

Cette coquine nous fait une fellation en double en introduisant les deux bites dans sa bouche écartelée. Mais elle n’achève pas ! Visiblement elle se contente de sentir les deux sexes qui ont pénétré chacun de ses orifices en même temps dans sa bouche.

 

Nous nous allongerons ensuite tous les trois sur le lit un peu étroit, Stéphanie prise en sandwich entre nous deux et nous nous endormons quasi instantanément.

 

Quelques heures plus tard, nous nous réveillons et nous poursuivons notre route vers Paris…

 

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Couples candaulistes
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