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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Il semblerait, au vu du nombre de fréquentations, que les histoires zoophiles vous plaisent beaucoup ! Ces textes battent des records de lecteurs !

Je vous en livre donc une nouvelle ce soir, afin de vous exciter… Dites-moi ce que vous en pensez !!!

 

Je me présente, Sylvie, jeune fille de vingt-six ans, qui aime le sexe, mais sans plus.


L’an dernier, je revins passer les vacances au calme, dans la maison de famille, où j'avais encore ma chambre. Je pouvais ainsi me ressourcer et penser à autre chose.
Mes parents possèdent une grande maison, ainsi qu’un terrain d’un hectare, isolé, à plusieurs centaines de mètres du premier voisin.
J'étais donc arrivée deux jours auparavant, et ce matin-là, je faisais une grasse matinée, étant seule à la maison pour toute la journée. Mes parents étaient partis toute la journée.

J'étais nue sous mon drap, m'étant laissée aller à la masturbation la veille au soir en repensant à mon ancien copain, pour qui j'avais encore une attirance physique. Je m'étais donné beaucoup de plaisir avec mes doigts.
J’étais encore dans endormie lorsque, me tirant de mes rêves, je sentis un frisson de plaisir me traverser de part en part, je sentais comme une langue entre mes cuisses, je mis quelques secondes à émerger et je fini par m'apercevoir que c'était Pirate, notre labrador noir qui me lapait, sa langue parcourait toute mon intimité.

 

Je sursautai, le repoussant vivement de mes deux mains. Je restai sur le coup de l'émotion un instant, assise sur mon lit, puis je repris mes esprits, j'enfilai une culotte et un tee-shirt, et je descendais à la cuisine préparer mon petit déjeuner. Ma mère avait m'avait laissé du café, je m'en servais une tasse avec du lait et je m'asseyais à table. Pendant que je portai la tasse à ma bouche, Pirate revint à la charge, il colla sa truffe sur ma culotte et me renifla. 

« Pirate, va t'en ! » m'écriais-je.


Je le repoussai une nouvelle fois, puis je me demandais pourquoi il était aussi excité alors qu'il m'avait vue des dizaines de fois. Je me disais qu'il sentait peut-être l'odeur de ma masturbation de la veille et que ça lui donnait des envies. Mon petit déjeuner fini, je n'y pensais déjà plus, je me levais de table pour aller prendre une douche rafraîchissante devant Pirate qui était toujours assis dans la cuisine et qui me fixait.
La douche me fit un bien fou, je restais sous l'eau ruisselante pendant un long moment.
Je sortais de la douche, une serviette autour de moi, que je fis glisser par terre, puis je remis ma culotte et mon tee-shirt.
Je regardais au loin par la fenêtre de ma chambre, le jardin donnait sur un bois dont la lisière était à cent bons mètres de la maison, je vis au loin Pirate couché au soleil, juste à côté de Cartouche, le tout jeune berger allemand du voisin qui venait souvent jouer avec son copain.

Plus tard dans la matinée, je me suis mise devant la télévision, je zappais sur toutes les chaînes pour finir par m'arrêter sur une chaîne musicale. Assise sur le canapé, j'étais perdue dans mes pensées.
Le passage d'un clip à un autre me sortit de mes songes. Face à moi, je vis Pirate, je ne l’avais ni vu ni entendu arriver, il était assis et me fixait, je baissais le regard vers son ventre, je vis son sexe en érection, il était tout rouge, d'une taille... impressionnante ! Je n’aurais jamais pensé pas qu'un chien pouvait avoir un sexe si gros, comparable à celui d'un homme. Je repensais à ce qu'il m'avait fait ce matin, et sans que je ne puisse m'en empêcher, un tas d'images me venait en tête, me voyant faire des choses avec mon chien. Je tentais tant bien que mal de me sortir ces idées de l'esprit, je me levais prestement et je filais à la cuisine, laver ma tasse à café, je n'avais pas vu que Pirate m'avait suivie.


Alors que j'étais au dessus de l'évier, je sentis à nouveau le museau du chien venir se poser sur ma culotte, il l’enfonça et huma fortement mon odeur. Je le repoussais une nouvelle fois et il passa un grand coup de langue sur ma culotte. Je me retournais vivement, Pirate se coucha sur le côté, son sexe toujours en érection, toujours en me fixant. Je le regardais un court moment, les images revenant dans ma tête, je me décidais à m'accroupir à côté de lui.


Je caressais son poitrail, et je descendais lentement, puis, après un moment d’hésitation, je passais doucement mes doigts sur son sexe. A nouveau, je saisis son fourreau entre mes doigts et je me mis à faire des va et vient. Le chien ne bougeait pas, hormis son bassin qui faisait de légers mouvements, il se laissait faire. Je continuais de le branler lorsque très vite, il éjacula. Une bonne quantité de sperme gicla de sa bite si fort que j’en avais sur mes doigts, sur le pied, sur le mollet et même sur la cuisse sans compter ce qui avait atterri sur le carrelage. J’eu un instant de dégoût, puis je retournais à la salle de bain me laver la jambe laissant Pirate où il était.
Toute la journée des pensées honteuses me vinrent à l’esprit, je me revoyais masturber mon chien et le faire jouir. Du coup, je l’imaginais même en train de me faire jouir également. J’étais complètement déconcertée et j’avais honte de voir qu’en réalité, je n’avais pas vraiment de regrets. Je me demandais même si je n’avais pas un peu perdu la tête.

Le soir, mes parents débarquèrent juste pour le dîner, je tentais tant bien que mal de cacher mon trouble.
Ils me demandèrent si ma journée s’était bien passée, je ne savais pas quoi leur répondre de peur qu’ils ne se doutent de quelque chose. Pourtant, il était impensable qu’ils s’en doutent vraiment.
Je vérifiais régulièrement du regard l’endroit où se trouvait Pirate et la plupart du temps il était assis ou couché à quelques mètres mais toujours en train de me regarder.

Exténués par leur journée mes parents allèrent se coucher assez tôt.  Moi, j’étais allongée sur mon lit, je regardais un jeu à la télévision tout en me caressant par dessus ma culotte. Je ne pus m’empêcher de repenser à cette journée, je me touchais doucement en m’imaginant caresser mon chien. Puis j’écartais ma culotte et glissais un doigt à l’intérieur de ma chatte, rapidement rejoint par un second. Je fermais les yeux et en quelques caresses bien appliquées, je me fis jouir gentiment.

 

Le lendemain matin, je me réveillais relativement tôt. J’étais déjà pleine de pensées malsaines, je fis le tour de ma chambre du regard, Pirate n’était pas là.
Je me levais après avoir rêvassé un moment, pour aller illico m’affaler sur le canapé, mes parents étaient déjà partis travailler.
Pirate arriva quelques minutes plus tard, il s’élança vers moi et me fit la fête quelques dizaines de secondes comme il le faisait souvent. Son museau se dirigea d’un seul coup vers le bas de mon ventre, il reniflait mon odeur avec insistance. Assise sur le canapé, je repliais mes jambes contre ma poitrine, j’enlevais ma culotte que je jetais à terre et je présentais mon sexe au chien. J’écartais mes lèvres de mes doigts et Pirate vint y poser sa langue sans hésiter. Il me lécha à fond, m’arrachant un gémissement, sa langue parcourait tout mon abricot affolé, allant même jusqu'à frotter mon petit trou. Je gémissais de plus en plus et je mouillais abondamment, je me cambrais à chaque fois qu’il titillait mon clitoris, Ses coups de langue s’insinuaient partout, jusque dans ma fente que j’ouvrais des mes doigts.
Le chien se régalait de ma cyprine qui coulait de ma chatte sur mes fesses, n’en laissant pas échapper une goutte.

Ses vigoureux coups de langue eurent raison de moi, et je jouis en criant sous cette caresse indécente, mais si bonne. Jamais je n’aurais cru qu’une langue de chie soit si bonne, si puissante, mais  caressante. Elle est bien plus longue que celle d’un homme, et elle ma pratiquement baisée la chatte…. Mais je n’en n’avais pas encore assez. Je me relevais et me baissais à côté de Pirate qui se coucha sur le côté.  Je saisis sa pine entre mes doigts et je recommençais à le branler. Bientôt, j’eu envie d’y goûter… AU point où j’en étais, je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin !


J’approchais alors prudemment ma bouche, je déposais ma langue sur le bout rouge vif que mes lèvres vinrent ensuite encercler. La bite de mon chien était presque entièrement dans ma bouche, je m’appliquais à lui prodiguer une fellation comme je le ferais pour un homme, aspirant bien son membre.
J’étais à genoux près de lui son sexe maintenant au complet dans ma bouche autour duquel je serrais bien mes lèvres. Il ne mit encore que très peu de temps à jouir, sans que je le sente venir, son liquide se déversa à flots dans ma bouche, j’en avais tellement que j’en avalais une partie pendant que le reste dégoulinait de mes lèvres. Je dois bien avouer que la chose me plut, ainsi que le goût que j’avais maintenant dans la bouche.

De plus en plus folle d’excitation, je restais à genoux en posant mes mains sur le sol et je me présentais comme ça face au chien, il ne mit pas longtemps à comprendre ce que j’attendais de lui, il remit sa langue un instant sur mon sexe et s’éleva pour poser ses pattes sur mes épaules. Je tournais ma tête pour le regarder, il faisait des petits mouvements de bassin dans le vide, d’une main, j’attrapais son pénis que je guidais jusqu’à mon vagin. Dès l’instant où il sentit mon trou devant son sexe, il entama de grands mouvements, il me pénétra d’un seul coup et s’enfonça jusqu’au plus profond qu’il pouvait. Sous la poussée brusque, je hurlais mon plaisir, à tel point que je crains d’avoir alerté le voisinage !


J’étais devenue une chienne, une vraie ! La femelle du chien… Pirate me limait à une cadence infernale, il me faisant crier bruyamment à chaque aller et retour. Je mouillais comme jamais, j’étais tellement lubrifiée que son pénis sortait plusieurs fois de mon antre pour s’y renfoncer toujours plus fort à chaque fois.


Son sexe était encore plus gros que la veille, écartant bien mes parois vaginales à chaque passage et me procurant probablement le plus grand plaisir que je n’ai jamais eu. J’atteignis l’orgasme au moment où il déchargea tout son sperme chaud à l’intérieur de mon vagin. Il expulsa encore une quantité impressionnante de liquide qui remplit mon ventre. Il eut un peu de mal à se retirer après avoir éjaculé, et lorsqu’il y parvint le liquide s’échappa de mon sexe et coula par terre, moi je roulais sur le côté et m’étendit au sol, complètement nue, après m’être offerte à mon chien, un filet de sperme coulant encore de mon sexe que Pirate vint nettoyer de sa langue pour finir le travail.

Je me relevais et ramassant ma culotte, je prenais la direction de la salle de bain pour me nettoyer, une main sur mon sexe pour ne pas laisser tomber des traces douteuses au sol.
Après la douche, je m’étendis sur mon lit puis je m’endormis pour me réveiller en début d’après midi.
Lorsque je redescendis, Pirate était couché dehors, Il courut vers moi lorsqu’il me vit et se coucha sur le côté à mes pieds qu’il lécha, visiblement il n’était pas rassasié.


Je me baissais à ses côté et mis ma main sur son fourreau, son sexe n’était pas encore en érection, mais le contact de ma main refit émerger cet énorme pénis rouge.
Je le branlais lentement, je voulais qu’il tienne un peu plus longtemps sous mes caresses. Je me mis à genoux et j’avalais délicatement sa bite, que je me mis à sucer lentement.

Je sentis tout à coup une autre langue se poser sur ma culotte, prise par surprise, je me suis mise à pousser un cri, en me retournant je vis que c’était Cartouche, le chien du voisin qui à son tour était venu, probablement par attiré par l’odeur du sexe.
Sans même y réfléchir, je fis descendre ma culotte jusque sur le bas de mes cuisses et retournais à la fellation que j’avais entreprise.


Le berger allemand ne perdit pas une seconde pour me monter, il s’écrasa de tout son poids sur mon dos, ses griffes me faisant mal sur les épaules puis il commença à avancer son bassin lui aussi dans le vide, jusqu’au ce que seul, il trouve mon entrée déjà prête à l’accueillir.
Je me rendis vite compte que son sexe était encore plus gros que celui de mon chien, Cartouche me pénétrait de son long et épais membre, il me faisait jouir comme une dingue, pendant que j’avais le pénis de Pirate dans la bouche.

Mon vagin était tellement lubrifié que la queue de Cartouche sortait sans arrêt. Lorsqu’il entreprit de me pénétrer à nouveau, c’est contre mon anus qu’il buta. Sans faire la différence, il s’appuya une fois puis une deuxième fois sans succès, la troisième fois, quand il appuya plus fort, mon petit trou céda et libéra le passage à ce gros pénis.

Je relevais d’un coup ma tête, hurlant de douleur, je tentais de faire descendre Cartouche en le repoussant de mes mains, en tentant de me redresser, mais rien n’y faisait, il était trop lourd et il s’accrochait. J’avais si mal, mon anus n’avait encore jamais été visité, et le dépucelage était violent, je criais encore de douleur, commençant même à pleurer en continuant à essayer de faire descendre le chien.


J’abandonnais finalement et acceptais ma soumission, je le laissais me sodomiser, sa queue s’enfonçant entièrement dans mon petit trou beaucoup plus étroit que cette dernière. Il faisait de puissants va et vient, poussant à chaque fois sa queue aussi loin que possible, ses testicules butant sur mon vagin.


Peu à peu, je cessais de crier, la douleur commençait à disparaître, je recommençais à sucer Pirate qui n’attendait que ça, Cartouche me prenant toujours par derrière à une cadence infernale ce qui commençait à me donner un léger plaisir.
Pirate fut le premier à jouir, malgré tout ce qu’il avait lâché comme liquide auparavant, il remplit une nouvelle fois ma bouche, suivi peu de temps après par Cartouche qui déversa tout son sperme dans mon anus, limant encore quelques coups dans mon conduit anal. Après quoi il descendit de sur mon dos.


Je mis ma main sur mes fesses, examinant les dégâts, mon anus était bien ouvert, laissant échapper du liquide blanc, j’en recueillis un peu sur mes doigts que je portais à ma bouche pour voir si le goût était différent, ensuite je remis ma culotte et je filais dans ma chambre examiner une nouvelle fois mon petit trou. Je fus rassurée car il avait commencé à se resserrer. Je glissais un doigt à l’intérieur, ce qui me procurait un plaisir jusqu’alors inconnu et ce qui malgré la douleur récemment ressentie, me donnait envie de recommencer.

 


Ce soir-là, ma tante et ma cousine arrivèrent à l’improviste, peu après que mes parents ne rentrent du boulot. J’avais déjà en tête ma journée du lendemain que je comptais bien passer avec les chiens, mais mes plans étaient maintenant contrariés puisque je ne serais pas seule à la maison. Le soir, ma cousine entra dans ma chambre alors que j’étais assise sur mon lit.
« C’est moi Sylvie, je peux entrer ?
- Bien sur, Valérie, entre. »
 
Elle me rejoignit et s’assit sur mon lit. Nous commençâmes à discuter de tout et de rien, de nos copains, de nos boulots, jusqu'à ce que la conversation en vienne au sexe.
« Depuis combien de temps tu n’as plus couché avec un garçon ? Me demanda Valérie.
- Plusieurs mois, depuis que je me suis séparée de mon mec et toi ?
- Ca fait juste quelques jours, j’avais rencontré un mec au boulot, il m’a invité à boire un verre et il m’a ramené à son appartement. Et sinon, qu’est ce que c’est le truc le plus fou que t’aies fait sexuellement ? »

Je me gardais bien de lui révéler mon secret, pour la peine, je lui en avouais un autre.
« Le truc le plus fou, je ne sais pas trop, mais une fois j’ai couché avec un prof qui m’avait mis une mauvaise note, et pour ne pas rater mon examen je suis rentrée dans la salle quand il était seul, et il m’a sautée sur le bureau.
- Ah pas mal, et il a remonté ta note ?
- Bien sûr, j’ai même du être un bon coup puisqu’il m’a mis un 20. Et toi qu’as tu fait ?
- Une fois, j’ai recouvert mon sexe de miel qu’un mec à léché, j’ai aussi laissé deux mecs me sauter dans un train, en rentrant un soir. Et aussi, au boulot, j’avais emmené un gode et je me suis masturbée alors qu’un collègue était assis en face de moi. Tu as déjà essayé la pénétration anale ?
- Non jamais, j’ai peur que ça fasse mal…
- Crois-moi, si le mec s’y prend bien ça ne fait pas mal, ou alors juste un peu au début et après tu prends ton pied, c’est super. »

Bien qu’elle soit encore assez jeune puisqu’elle venait à peine de fêter ses vingt ans, elle avait déjà beaucoup d’expérience, plus que moi même.
Nous avons continué à discuter pendant une partie de la nuit, jusqu’à ce que nous finissions par être trop fatiguées. Valérie devait dormir avec sa mère dans la chambre d’amis, mais finalement elle est restée dormir dans ma chambre, mon lit étant suffisamment grand pour toutes les deux.
Quand je me suis réveillée, Valérie dormait encore, je me suis lever doucement pour ne pas la réveiller, puis j’ai enlevé ma nuisette et ma culotte. Pendant que je m’avançais pour prendre mes sous vêtements dans ma commode, je sentis une drôle de sensation. En me retournant je vis que Valérie était éveillée, elle me regardait attentivement.
« Je ne t’ai pas réveillée ?
- Non ne t’en fait pas. Tu sais que tu as un très beau corps.
- Merci. »

J’étais tout de même un peu gênée, même si elle m’avait déjà vue nue auparavant c’était il y a longtemps, quand nous étions encore petites filles.
J’enfilais mes sous vêtements quand elle me dit : « Tu as de super belles fesses, les mecs doivent être dingues que tu ne les laisse pas en profiter. »

Je souriais toujours en étant gênée. Valérie s’est ensuite levée et nous sommes allées prendre notre petit déjeuner dans la cuisine, ma tante était déjà là.
« Alors les filles, bien dormi ?
- Oui très bien. Lui répondis-je.
- Vous avez encore bavardé toute la nuit je suppose ? »

Nous la regardions en souriant, même pas la peine de répondre tellement c’était une évidence.
Alors que je prenais mon café, je vis Pirate qui passait dans le jardin, je ne pus m’empêcher de jeter un regard sur sa bite, rangée dans son fourreau. Décidée à ne pas changer mes plans, je dis à ma tante : « Je vais aller voir une amie au village tout à l’heure, j’en aurais pas pour longtemps.
- D’accord, je vais aller me laver, me répondit ma tante. »

Je remontais dans ma chambre, et enfilais un petit short en jean ainsi qu’un tee-shirt, ma cousine était derrière moi à ce moment là.
« Je peux t’accompagner ?
- Oh non, tu va t’ennuyer, c’est une vieille dame chez qui je passe de temps en temps pour lui faire des courses.
- Ok, je vais rester là », me répondit Valérie visiblement déçue.

Mon mensonge semblait marcher, je ne pouvais vraiment pas l’emmener mais peut-être que je lui raconterai un jour mon secret. Je mis mes chaussures et sortis de la maison, je m’avançais dans le jardin en direction du bois, j’appelais Pirate qui me suivit immédiatement. Bientôt, nous fûmes rejoints par Cartouche que je n’avais pas vu arriver. Je pensais dans ma tête qu’il avait du apprécier la fiesta de la veille…

J’arrivais à la lisière du bois vers lequel je m’enfonçais, déjà la tête à mes pensées cochonnes.
Je ne voyais plus la maison, avançant toujours dans le bois, je choisis de m’arrêter sur une petite parcelle d’herbe au milieu de nulle part où je ne risquais pas d’être dérangée.
A peine assise par terre, les deux chiens tournèrent autour de moi, je caressais leur pelage puis mes mains descendirent chacune sur une bite. Les deux chiens se couchèrent au même moment, chacun d’un côté, mes mains faisaient leur travail, les deux sexes étaient déjà bandés bien durs.
Je m’arrêtais un instant, le temps d’enlever mes habits, que je déposais au pied d’un arbre.
Pour la première fois, j’étais complètement nue dehors, je m’abaissais alors à côté des chiens et reprit la branlette que je leur faisais.
J’approchais lentement ma bouche de Pirate que je commençais à lécher tout en continuant de branler Cartouche. Puis je me tournais de façon pouvoir sucer Pirate pendant que j’offrais mon sexe aux coups de langue de Cartouche. Il ne tarda pas à se mettre au travail, et fourra sa langue entre mes cuisses me faisant encore trembler de plaisir.

Un bruissement m’interrompit. Je relevais ma tête, persuadée d’avoir entendu un bruit, terrifiée à l’idée que quelqu’un me surprenne. Je fus incapable de bouger, prise de panique lorsque je vis ma cousine sortir d’un bosquet en souriant. Elle venait de me surprendre, la queue d’un chien dans la bouche pendant qu’un autre me faisait un cunnilingus.
« Ah ben ça, c’est un truc que j’ai jamais fait ! me dit-elle en rigolant.
-Je… Je…, pitié… Ne dis rien, je t’en supplie… »

J’étais complètement abattue, la tête basse, je n’attendais que ses moqueries, ou pire qu’elle coure prévenir tout le monde.
« Tu me montres comment on fait ? »

Je relevais la tête, elle avait déjà posé sa main sur le sexe de Cartouche, je repris le sourire immédiatement et je la laissais faire en la regardant quelques instants.
« Quel goût ça a ? me demanda t’elle
- Tu peux essayer, tu verras ce n’est pas désagréable, » lui répondit-je, tout en mettant ma main sur sa nuque et en dirigeant sa tête vers la queue du berger allemand.
Arrivée à quelques centimètres, elle sortit sa langue, puis elle lécha timidement le bout du sexe.
J’appuyais une nouvelle fois sur sa nuque, l’invitant à prendre le bout entier dans sa bouche, ce qu’elle fit immédiatement.
Pendant ce temps, je recommençais à branler Pirate, en prenant un certain plaisir à voir Valérie sucer l’autre chien.
Il se passa moins de deux minutes lorsque Cartouche éjacula, Valérie recula de dégoût et recracha le liquide par terre.
« Tu dois bien faire les pipes, il a joui rapidement !
- A toi, essaye sur l’autre ! » me dit elle.

Je baissais ma tête et pris le pénis de Pirate d’un seul coup dans ma bouche, puis j’aspirais son sexe, une fois sa bite dans ma bouche je la léchais avec ma langue.
Pirate aussi mis moins de deux minutes à jouir, il lâcha une rasade de liquide blanc dans ma bouche, en me relevant je montrais à Valérie que j’avalais tout.

« Enlève tes affaires, ils vont te lécher si tu veux ! »

Valérie s’exécuta sur le champ, laissant tomber ses habits un par un sur le sol, en finissant par baisser un joli string noir, qui cachait sa chatte fine, arborant un joli buisson de poils noirs bien taillés.
Elle se coucha sur le dos, je saisissais ses jambes que je relevais légèrement puis je les écartai.
Sa vulve était complètement offerte, in décente, rouge, brillante de mouille. Pirate s’approcha et enfourna sa langue entres les cuisses de Valérie, il se mit à la lécher comme une friandise, la faisant gémir fortement.

 

Elle se tordait dans tous les sens à chaque lapée, elle finit même par expulser un puissant jet de cyprine qui mouilla la tête de Pirate. J’en profitais pour caresser ses seins, qui étaient magnifiques, deux beaux obus bien fermes que je malaxais avec plaisir. Je la fis pivoter légèrement sur le côté, ce qui mit son anus juste en face de la truffe de Cartouche qui ne perdit pas une seconde pour passer sa langue dans la raie de ma cousine.


Je regardais la scène avec envie, ma cousine sur le côté, léchée des deux côtés par les chiens, prenant un plaisir monstre.
Je m’allongeais à mon tour sur le dos, jambes repliées, Pirate approcha immédiatement et colla sa langue sur mon sexe, et le parcourut en entier. Pendant que mon chien me faisait du bien, je regardais ma cousine, aux anges, pendant que Cartouche lui faisait un anulingus de folie.
Elle était en train de se caresser en même temps, insérant ses doigts dans sa chatte et le donnant à lécher au chien.
Valérie se releva, et vint s’agenouiller à côté de moi alors que Pirate était toujours occupé à me lécher. Tout naturellement, elle glissa un doigt dans ma vulve excitée, puis elle le ressortit et le lécha.
Elle reprit la même opération plusieurs fois, puis elle s’approcha de ma poitrine, qu’elle caressa à son tour.


Elle n’avait pas remarqué qu’elle était en position idéale pour Cartouche, à quatre pattes, comme la veille. Une fois de plus,  il ne manqua pas l’occasion présente, je le vis s’approcher, se relever sur ses deux pattes et s’appuyer sur Valérie.
« Ah !! Mais qu’est ce qu’il fait ! Dis-lui de descendre, il est trop lourd !
- Non attends tu va voir c’est bon. »

A peine ai-je dit ces mots que Cartouche enfourna son pénis dans le vagin de ma cousine qui couina de plaisir. Elle se laissa prendre, comme une petite chienne et elle semblait adorer, tout en faisant monter mon envie de me faire prendre également. Je me mis également à genoux, la tête posée sur l’herbe et j’invitai Pirate à venir me prendre. Je n’eu pas besoin de guider son sexe qui trouva l’entrée immédiatement.
Les deux chiens étaient en train de prendre leurs femelles, toutes deux jouissant à l’extrême, faisant un bruit pas possible.
« AH ! AH ! OH, c’est bon! Mhummm, le bon chien, encore, baise-moi ! »

Valérie exprimait vraiment son plaisir !!!

Elle fut la première à avoir un orgasme géant, elle se crispa au sol et expulsa une nouvelle fois du liquide vaginal. Les deux chiens déchargèrent leur semence presque au même moment au fond de nos vagins.
Valérie s’allongea dans l’herbe, sa belle touffe engluée dans le mélange de sperme et de mouille, que je vins lécher, puis elle fit de même avec moi et nettoya tout le contour de mon sexe.
« Oh, c’était vraiment trop bon ! Je regrette pas, me dit Valérie.
- Oui, j’ai adoré aussi !
- J’ai déjà envie de recommencer !
- C’est vrai ? Remets-toi à quatre pattes, c’est Pirate qui va te prendre ! »

Valérie s’exécuta, une fois offerte, j’appelais Pirate qui approcha rapidement, il comprit aussi vite ce qu’il devait faire et d’un mouvement vif du bassin, s’enfonça dans son sexe en entier.
Il la lima de longues minutes lui faisant prendre beaucoup de plaisir, puis je mis ma main sur le bassin du chien pour l’arrêter, je pris son pénis en main afin de le diriger droit vers l'anus de ma cousine.
«  Non, Sylvie p... »

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase, le sexe de Pirate s'enfonça dès qu'il sentit la résistance du petit œillet qui cédait facilement ! Le sexe anal était certainement pratiqué plus d'une fois par Valérie.
Le pénis allait jusqu'au bout, quasiment sans difficultés. Je voyais Valérie prendre son pied comme une folle, elle haletait, donnait des petits coups de bassin vers l'arrière pour faciliter la pénétration.
Le chien ne tarda pas à déverser son jus dans le cul de Valérie, il se retira et s'éloigna, laissant ma cousine dans sa position, l'anus plein de sperme bien chaud.
« Oh Sylvie, si tu savais comme j'ai aimé !
- Ne t'en fais pas, j'ai vu ça. Et les chiens ont aimé aussi !
- A toi, mets-toi par terre qu'il te sodomise !
- Non, Cartouche me l'a fait hier, c'était ma première fois et j'ai encore mal.
- Alors la prochaine fois promis ?
- C'est d'accord. »

Nous nous rhabillâmes puis nous nous mîmes en route vers la maison.
« Tout va bien les filles ? Nous dit ma tante.
- Oui, très bien !
- Allons qu'avez vous encore fait, c'est quoi ces mines réjouies ?
- Oh rien, on s'est juste promenées... »

Nous nous sommes regardées toutes deux d'un air malicieux et nous sommes montées jusque dans ma chambre.

Inutile de vous dire que la fin des vacances s’est passé dan une orgie perpétuelle, avec nos deux chiens, baiseurs sans fatigue, qui nous ont donné un max d’orgasmes, comme peu d’hommes savent le faire !!!!

Par Anonyme - Publié dans : Zoophilie - Communauté : Zoo en fête
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