Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
J’ai enfin le temps d’écrire mon histoire qui se déroule actuellement en 2008, je me nomme Ricci, j’ai vingt-cinq ans, grand châtain et plutôt sportif, sans aucune prétention, la nature m’a bien doté, ma bite atteint vingt-deux centimètres pour une largeur de cinq. Lorsque je suis très excité, elle peut être plus épaisse. Pourtant, ma bite ne plait pas particulièrement à toutes les femmes, ce qui me vaut d’être encore célibataire depuis quelques temps.
Cela fait quelques semaines que j’héberge ma sœur aînée Virginie vingt sept ans, un corps de déesse grecque aux gros seins fermes, une vraie blonde jusqu’à son entre cuisse que j’ai aperçu
lorsqu’elle sortait un soir de ma salle de bain que l’on partage durant notre collocation imprévue car elle avait rompu avec son petit ami qui cherchait désespérément à la reconquérir, … il avait
osé la tromper…
A vrai dire, je l’observais souvent du coin de l’œil car elle est bonne, très bonne, même si elle est ma propre sœur, elle est super bonne et je me demande toujours comment son ex ami l’a
trompée. Je lutte chaque instant pour ne pas l’imaginer dans mes fantasmes, mais elle apparaît soudainement en lingerie coquine car vous vous doutez bien que je ne peux pas ignorer son tiroir de
lingerie et quel paradis l’imaginant vêtue dedans. Cela me déclenche de forts orgasmes où j’éjacule très copieux.
Au réveillon 2008, nous avions fait fête à part, je l’avais vue sortir dans une tenue affriolante, une paire de bottes à hauts talons, habillée d’un collant épais noir, d’une très courte jupe
serrée en Jean’s délavé tenue par une ceinture en cuire blanche ; son blouson en cuir marron était court, bien fermé, tendu par sa grosse poitrine et ses cheveux étaient tirés dans une magnifique
queue de cheval. Elle était vraiment très bandante puis avant qu’elle ne parte rejoindre ses amis, je lui avais dit en riant de ne pas rentrer trop tard, elle avait souri de ma remarque et
m’avait répondu d’être sage avant de disparaître.
Après ma soirée plutôt banale, j’étais rentré plus tôt que ma sœur, je m’étais douché rapidement. En me séchant, j’aperçu un tanga en soie et dentelle rose et blanc dépasser de la corbeille à
linge, comme un trésor. Je l’avais saisi par le bout des doigts en sentant mon érection se lever, j’en avais frissonné d’excitation.
Le froufrou en soie était ondulé, la dentelle était merveilleuse et la courte ficelle qui allait dans ses fesses était très fine.
Du coup, mon érection était dure, pleine et dégoulinante de secrétions. Je suis allé nu dans sa chambre, son tanga enroulé autour de ma bite et je m’astiquais doucement voulant savourer ce moment délicieux couché sur son lit l’imaginant me monter comme une cavalière déchaînée.
Cela faisait plus d’un quart d’heure que j’astiquais vigoureusement ma bite suintante, créant un bruit audible, « fuuuiiit,fffuuuiittt,fuuiiitt » mon éjaculation gargouillait, mes hanches s’opposaient à mes poignets. Je les variais dans leurs vitesses et leurs vrillages, par mes fantasmes imaginaires et interdits. Je pressentais une grande charge de sperme arriver. Alors j’ôtais son tanga de ma bite pour ne pas le souiller, je le mis sur ma tête, en soignant à installer l’entrecuisses sur mon nez. A ce moment-là, j’ouvris le tiroir de sa commande pour chercher des mouchoirs et je tombais sur son journal intime soigneusement écrit et le dernier en date :
31 décembre 2007, 20h45
« J’espère rencontrer un type qui me fera monter au septième ciel et qui me nettoiera de mes fantasmes interdits car je l’ai encore aperçu sortir de la douche et il ne m’a pas vue. Sa teub était belle, longue, circoncise et il n’était même pas en érection. Cela me rend folle, j’aimerais lui dire de me faire l’amour, de me faire du bien, je l’aguiche mais il ne comprends rien du tout, bref bon réveillon, petite Virginie. »
Son récit était chaud et excitant, je me demandais qui était ce « il », qui était ce veinard. Je lâchais donc ma bite qui tombait sur mon ventre et je lisais son journal en marche arrière.
30 décembre 2007 - 21h15
« Il m’a réveillée ce matin, j’étais couchée sur mon ventre, le drap au sol, avec une jambe repliée. Mon shorty en soie tirait fortement dans mes fesses, et devait bien les écarter. J’ai fait mine de gesticuler lorsqu’il est entré, j’étais prête et consentante, j’ai même gémi doucement, il est resté là sans bouger, me regardant. Moi, je feignais de dormir, j’ouvrais légèrement mes cuisses, je pensais qu’il allait me sauter dessus, mais le bruit de la porte me fit sursauter et soupirer de ras le bol !»
Sa confession me scotchait, je secouais ma tête me disant : « Mais c’est moi !!! »
26 décembre 2007 - 03h10
« Avant de me coucher je suis passée en trottinant dans le salon pour aller dans la cuisine en petite nuisette noire assortie du shorty noir en soie transparente, il ne m’a même pas regardée car il mâtait sa télé, je me suis couchée tristement en suçant mon pouce et me suis faite jouir en mordant mon oreiller »
J’étais abasourdi de ses confessions intimes qui parlaient de moi.
24 décembre 2007 - 08h30
« Il va venir me réveiller car je feins de dormir, je vais m’étendre sur le dos, le drap sous ma poitrine nue avec mon visage tourné vers la fenêtre pour lui laisser le champ libre. J’espère qu’il me sautera dessus… »
Oui, je me souvenais de ce matin chaud dans mon caleçon. Si j’avais su…
Puis j’ai continué à lire ses confessions ; je n’en revenais pas, elle m’allumait volontairement et attendait une réaction de ma part. Je me traitais d’imbécile, je ne bandais plus car je savais maintenant qu’elle désirait mon corps et ma teub comme elle disait dans ses récits.
Je décidais de continuer à ne pas remarquer son attitude et d’attendre le bon moment pour lui sauter dessus comme elle le souscrivait.
Après avoir passé une courte nuit à penser aux multiples rêves incestueux qui pourraient dorénavant se concrétiser, je sortais de mon lit avec une érection du tonnerre qui tirait sur l’élastique de mon caleçon, j’allais dans la cuisine me faire couler un café et j’aperçus son sac à main posé sur la table, elle était rentrée.
J’avançais doucement vers sa porte, je l’entrebâillais, là étendue sur son dos, nue, encore maquillée de sa sortie. Elle était divine et excitante, sa chatte touffue blonde m’appelait, mais je
sirotais mon café en la regardant probablement simuler son sommeil. J’étudiais son regard et le pli de ses yeux. Elle jouait bien son jeu. Elle m’excitait vraiment, mais je refermais la
porte.
Le soir du premier jour de l’année 2008, elle sortit boire un verre avec son amie et me dit qu’elle reviendrait assez tard. A sa sortie, je filais très excité dans sa chambre afin de lire sa
confession.
01 janvier 2008 - 08h55
« Il ne m’a pas réveillée et n’a même pas ouvert ma porte. Dommage pour lui, il aurait pu commencer une bonne année. J’étais totalement nue et étendue sur mon lit, j’avais mis des capotes sur ma table de nuit et j’étais restée maquillée. Quel dommage pour nous deux ! »
Sa confession était hallucinante et je n’avais même pas remarqué les capotes sur la table ! Je faisais beaucoup d’efforts pour ne pas me masturber furieusement sur son lit, et lui laisser une preuve que son petit manège fonctionnait.
Le début d’année était difficile, et je l’avais laissée jouer son petit jeu coquin. Les occasions n’avaient certainement pas manqué, ma sœur était vraiment douée. Je ne peux vous réciter toutes
ses confessions tant il y en avait depuis le début de cette année.
13 février 2008 - 13h45 (Nous sommes tous les deux en congés)
« Demain, c’est la saint Valentin, il n’a pas trouvé de petite amie, il doit avoir les couilles et la teub en feu. Moi, je n’ai encore rencontré personne. Au petit matin, je ferai semblant de traîner au lit, habillée uniquement d’un mini string ayant en guise de nœud cadeau, à la naissance de ma raie du cul. J’aurai aussi un oreiller installé sous mon bassin, mon cul sera très aguichant, j’espère qu’il osera ! »
Le jour de la St Valentin, je me lève plein de bonheur. Je bande vraiment dur. Je ne suis jamais resté aussi longtemps à me masturber. La journée est ensoleillée, j’hésite à réveiller ma sœur qui doit m’attendre dans sa petite tenue sexy, car je crains lui sauter dessus.
Je vais uriner difficilement tant je bande. Puis je reste à traîner dans mon lit en dégustant mon déjeuner, tout en regardant ma télé. Je bande toujours comme un cerf. Vers le milieu de la matinée, j’entends la douche et la voix de ma sœur qui chantonne dessous l’eau. Je vais vers la porte de la salle de bain, je lutte pour ne pas ouvrir et lui sauter dessus dans la douche. Je vais dans sa chambre, l’oreiller est au milieu de son lit, je pense qu’elle devait être dessus. Alors, je prends son journal intime pour voir si elle a écrit une remarque sur ma non-venue.
14 février 2008 - 9h50.
« Je l’ai entendue pisser et je suis très déçue, je l’attendais excitée comme une puce. J’avais même prévu de la vaseline dans mon chevet en cas de sodomie. Je vais dans la douche en chantonnant du Madonna qui résonne du poste radio situé dans la salle de bain, j’espère que cela le gonflera de m’entendre chanter, et qu’il viendra me le dire. S’il me voit nue, il osera peut-être me sauter dessus car je l’attends »
Pour moi, s’en est trop, j’ôte mon caleçon et me dirige nu, la bite aussi dure que jamais vers la salle de bain. Mes sécrétions gouttent sur mon passage. La voix de ma sœur se fait plus claire,
elle chante « Like a Virgin » de Madonna.
C’est trop excitant. Je suis au pied de la porte, je frotte délicatement ma bite débordante d’envie, j’ai très envie de gicler. J’entre, la voix de ma sœur se s’arrête, mais la radio continue, il y a plein de buée dans la pièce. J’avance, très excité comme jamais avant, sur la pointe des pieds vers la porte en verre de la douche, j’ouvre sèchement, l’eau très chaude coule, mais la cabine est totalement vide.
Je reste figé, bouche bée, personne à l’intérieur, je me retourne car je l’entends ricaner dans mon dos et elle me dit
« Et alors, on veut violer sa sœur ??? »
La buée s’évacue, elle était derrière la porte, mouillée, les cheveux trempés tombant sur son torse, elle est magnifique. Elle est habillée d’un porte-jarretelles noir trempé aussi, sans rien
d’autre. Elle tient les bas assortis dans ses mains car elle allait sûrement les enfiler, sa chatte blonde ruisselle, ses poils sont plaqués.
« Whaou ! Virginie !!! dis-je la bite toujours dans ma main, et maintenant pointée vers elle.
- WHAOU !! ENORME TA TEUB !!! » crie-it-elle les gros yeux verrouillés dessus.
Elle rougit légèrement de mon étonnement et croise timidement ses jambes, mais laisse quand même un espace entre ses superbes cuisses galbées. J’ai envie d’éjaculer sur place, et même si elle est
à trois mètres de moi, je pense que mon sperme l’atteindra. Alors, je me masturbe furieusement car je n’ose pas lui sauter dessus.
Elle est ma propre sœur !!!
« Oh Ricci mais que fais-tu avec ta grosse teub ? » dit-elle d’un ton triste en regardant ma teub comme elle la prénomme.
Ces mots venant de sa bouche m’excitent à un plus haut point, je me masturbe durement en la dévorant des yeux.
« Non Ricci, viens, viole-moi, viens !! » implore-t-elle.
Je ne résiste plus, je me jette sur elle. La plaquant dans l’angle du mur, je lui soupèse et serre ses gros seins que je mène dans ma bouche. Les deux tétons se touchent, et je les grignote en regardant ses émotions sur son visage.
Elle est soulagée et embrasse doucement mon front. Puis je cherche sa bouche pour l’embrasser sensuellement, je sens ses mains me caresser le dos. Je niche ma bite entre ses cuisses, mon gland touche l’angle du mur, les lèvres chaudes de sa chatte épousent ma hampe. Longuement, j’aiguise ma bite, on gémit dans nos bouches scellées.
Ma sœur danse sur ma teub très dure, puis après ce long moment délicieux, elle glisse contre le mur faisant tendre ma bite vers le sol. Je recule, ma sœur s’accroupit et se prend une gifle de ma queue sous le menton. Elle ricane, l’empoigne, la gobe voracement et me suce avidement.
Elle est incroyable, sa pipe est hors norme, elle est surexcitée… Mon gland bute dans sa gorge, mais elle insiste en empoignant mes fesses. J’attrape ses cheveux et baise sa bouche. Elle voulait ceci car elle se laisse faire en me regardant droit dans les yeux.
Je baise tour à tour ses joues qui se déforment, elle glousse, bave, gémit et me griffe les cuisses. J’essaye de faire rentrer plus profondément ma bite dans sa bouche bouillante. Elle tourbillonne sa langue, grandit son cou et glougloute, sa gorge se détend, je donne des va et vient qu’elle encourage, mon gland coulisse dans sa gorge, l’effet est impressionnant, ma sœur se retire, inspire fortement
« On y est presque p’tit frère ! » souffle-t-elle.
Je pousse à nouveau dans sa gorge offerte, j’insiste. Elle force en amenant mes fesses vers son visage et son nez s’écrase dans mes poils. Ma sœur a avalé entièrement ma bite de vingt-deux
centimètres !
Je suis aux anges, car elle cligne son œil et se met à me sucer sauvagement et profondément. Je suis appuyé contre le mur, je souffre de plaisir en baisant sa bouche. Ma sauce blanche monte et je le crie de tous mes poumons :
« Je vais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiirrrrrr ! »
Elle dégage ma bite de ses entrailles buccales :
« Giiiicclle sur moi dessus, ggggiiiiiccle !!! »
Son visage exprime une belle furie, elle fait des bisous sur mon gland lorsque je me branle puis installe sa tête dans l’angle du mur et ouvre sa bouche aussi grande que possible et tortille sa
langue autour de ses lèvres puis ferme ses yeux au premier jet de sperme.
Mes jambes vacillent tant j’éjacule abondamment. Je lui tartine son visage de petite blonde, elle ricane des jets qui fouettent sa figure. Elle en avale certains qui arrivent dans son palais et
se prend d’autres jets sur les lèvres.
Virginie, ma sœur, est peinte de sperme, elle ne peut même pas ouvrir les yeux. Elle me demande de l’aider à se lever,
et je la regarde accroupie au sol, elle est trop bonne, je veux la baiser comme jamais.
« Inceste ou pas Virginie, je vais te violer » lui dis-je attrapant ses mains pour l’emmener dans la douche.
« Il serait temps Ricci !!! » répond-elle en rentrant dans la douche.
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