Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Ce soir, je vais essayer de vous décrire l’évolution de mon épouse Maguy. Très hard, mais pas de gangbang, ni de boite, étant très sélectifs. Nous sommes des gourmets, sans doute.
Mais commençons par le début !
Maguy est très jolie à mon gout, genre Sophia Loren, sensuelle, gros seins naturels, beau cul large, une taille fine, de longues cuisses. Lorsque je l’ai rencontrée dans le sud, en boite, elle avait une réputation sulfureuse, de « fille facile », ce que je cru. Je la draguais, et l’on sortit ensemble de suite.
Croyant que j’avais là une vraie vicieuse, je l’entrainai dans un coin tranquille, où je la pelotai, relevant sa mini pour la déculotter. Elle se laissa faire, me sortit le sexe et me suça pendant que je tripotais ce cul épanoui, sa chatte rasée et ses gros seins….
Au fur et à mesure que les jours et les semaines passaient, on inventa des jeux, je la pris en photo, la sodomisai, elle était très
sensuelle. On se fiança quelques jours plus tard, et peu après, elle vint me trouver en mini-robe. C’était l’été, elle était venue en stop.
« Je dois te dire quelque chose de grave, je ne savais plus si je t’aimais, ou si c’était le sexe, alors j’ai couché avec le gars
qui m’as prise en stop. »
J’étais partagé par deux sentiments contraires : la jalousie et l’excitation de savoir qu’un autre l’avait tripotée, baisée,
qu’elle avait sucé, voire joui...
« Je comprendrai si tu ne veux plus de moi…
- Oui, mais elle était trop jolie, pensai-je alors.
- Je ferai ce que tu veux… »
Je m’approchai et commençai à la tripoter :
« Mets-toi à poil, assise et écarte ta chatte en te branlant. Regarde-moi, et dis-moi tout en détail. T’en as eu beaucoup, des
hommes ?
- Oui des tas avant toi…
- T’en as sucé, des queues, salope, et t’aimais ça ?
- Oui j’en ai sucé, je me régalais, » dit-elle en me regardant de ses yeux verts d’un air vicieux.
Elle se tripotait la chatte et les seins, les léchant…
« Sors ta queue, tu bandes ! Il y en a qui l’ont prise, ma chatte, et m’ont fait sucer leurs queues. Ils ont dit que je suis la meilleure pipeuse de la région ! »
Elle sortit sa langue en me disant ça, de façon indécente.
« Mais je n’ai jamais rencontré un homme comme toi. Les autres avaient mes trous, pas mon cœur. Je n’aime que toi, tu me rends folle. Même les grosses bites que j’ai prises ne me faisaient pas jouir comme toi ! Tu veux que je te raconte ? » dit elle en me tripotant les couilles, en me les suçant.
« Tu veux vraiment ?
- Oh oui ce qu’elle est bonne, ta bouche ! Quelle pute tu fais !
- Eh bien, il m’a peloté les cuisses dans sa voiture, je me suis laissé faire. »
« T’es pas timide, tu me fais bander avec tes gros seins et tes cuisses à l’air, me dit-il en remontant ses mains sur moi.
- Elles t’excitent, mes cuisses ? » lui dis-je en les croisant bien haut.
Il se gara prés de la forêt à Vence et tres excité, sortit son sexe, me pris la tète.
« Vas-y salope, suce, dit il en me mettant à poil, me tripotant. Quel cul !: Et tes gros nichons… Je vais te baiser ! Viens sur ma queue ! »
Je m’empalai sur son membre raide
« Doigte-moi le cul, et traite-moi ! »
Il se déchaina en me fourrant à grands coups, suçant mes nichons, puis il sortit et me pencha sur le capot :
« Ecarte-ton gros cul, ouvre-toi ! On t’a déjà cassé ton cul ? »
Et sans attendre la réponse, il m encula en me claquant le cul me traitant de chienne… »
Je restai bouche bée de ce récit si cru, venant de la part de la femme que j’aimais….
A suivre, peut-être !
Signé Gaël
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