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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Virginie est un personnage rare. Elle est à la fois distinguée, presque timide, belle sans ostentation, on lui donnerait le bon dieu sans confession mais derrière cette Virginie-là, existe une femme au tempérament de feu, insatiable sexuellement, elle aime tout ce qui fait plaisir. Jamais cependant elle ne se montrera vulgaire.

 

Virginie est infirmière. Elle travaille de nuit dans le service de chirurgie orthopédique d'un établissement hospitalier. Quand je l'ai connue elle avait 25 ans. C'est un joli brin de fille de 160cm, aux cheveux longs et bruns. Elle est très sensuellement enveloppée et admirablement bien faite. Elle a une allure folle.

 

Pour vous la mieux décrire, imaginez une de ces splendides tahitiennes que l'on voit dans les pubs vantant le tourisme en Polynésie, ajoutez-y qu'elle donnait l'impression de danser le Tamouré en marchant. Pourtant, du plus loin qu'elle ait pu remonter, ces racines sont implantées dans un petit village auvergnat. Elle est douce, charmante et arbore un sourire presque timide.

 

Fait étrange, sous cet aspect idylliquement calme couve un feu ardent que nul jamais n'a pu éteindre. Cette jeune femme est un contraste vivant. Discrète, pas du tout exubérante, polie et douce, tendre et très câline, toujours à l'affut d'un service à rendre. Mais il suffisait de la lâcher dans un lieu ou une soirée à but érotique pour qu'elle révèle son autre visage.

 

Elle est la version « sexe » de Dr Jekkil et Mr Hyde. Elle nous apparaissait alors une jeune femme d'une impudeur totale mais naturelle sans aucun atome de vulgarité, demandant de l'amour comme on demande de l'oxygène. Elle aime la baise, sans gêne, sans honte et consommait du sexe avec un profond plaisir. Dans ces moments-là elle devenait Le Plaisir. C'est ainsi qu'un après-midi chez elle, deux copains et moi lui avons fait l'amour, longtemps, puis un peu fatigués, nous nous vautrons sur le canapé faisant face au lit de Virginie. Elle par contre, reste allongée, nue et ravissante, alanguie et heureuse. Elle nous regarde avec sur le visage un sourire de reconnaissance. Après cinq minutes, elle ouvre sa table de chevet et en sort un godemiché et se pénètre avec toute la douceur dont elle est capable.

 

Pas une seconde mes amis et moi n'avons pris ce geste comme un reproche devant une sorte d'incapacité dont nous aurions pu faire preuve. Non, elle était comme ça, notre Virginie, pas facile à rassasier. Dans le sauna libertin de notre ville, elle était connue. Quand elle y venait les soirs où elle n'était pas de service, heureux étaient ceux et celles qui étaient là, car tous chacun leur tour étaient consommés, et pour certains, plus d'une fois, par notre amie Virginie.

 

Il ne vint jamais à l'idée de quiconque de parler d'elle en termes vulgaires ou irrévérencieux, car Virginie était toute de douceur et de grâce. Jamais de vulgarité dans ses propos ou ses gestes. Non, elle aimait infiniment l'amour et le sexe et quand elle s'y donnait c'était à fond. La première fois que je lui ai proposé de venir avec moi dans un sauna, elle accepta mon offre avec plaisir. Je la savais gourmande, mais j'ignorais encore jusqu'où elle était capable d'aller.

 

Une fois entrés, elle se sentit parfaitement à l'aise, comme si elle était dans son milieu naturel. Ce qui était d'ailleurs le cas. Dans ce genre d'établissement, on distribue à l'entrée, une serviette que les hommes mettent autour de leur taille et une sortie de bains pour les dames. J'ai toujours trouvé curieux cette forme de fausse pudeur dans un lieu destiné au sexe sous toutes ses formes. Virginie refusa tout net le peignoir de bain et demanda à avoir comme moi une serviette avec laquelle elle ne ceignit jamais sa taille.

 

Elle préféra déambuler entièrement nue, la serviette négligemment posée sur son épaule. Nous visitions tous les coins et recoins de ce sauna, à la recherche de ceux ou celles avec qui nous pourrions nous amuser. La nudité allait à ravir à Virginie, elle se sentait à l'aise ainsi, marchant sans rouler exagérément des hanches.

 

Non, il lui suffisait d'être elle-même pour attirer et attiser les désirs. Nous passons devant le sauna finlandais. Il est assez vaste, on peut y voir six hommes, nus et silencieux, semblant attendre Éros sait quoi. Virginie me saisit le bras et me demande presque timidement :

« Bruno, tu me permets d'entrer et de rejoindre ces hommes, j'ai envie de m'amuser un peu ? 

- Je t'en prie ma chérie, fais ce qu'il te plait, je n'ai rien à t'interdire. Et si tu permets je n'entre pas avec toi, je veux juste me régaler de te voir faire ! »

 

Elle me tend sa serviette, et entre dans le local un grand sourire gourmand aux lèvres. Il y a deux bancs de bois qui sont contre le mur le plus long et l'un des deux autres murs. Les hommes sont tous installés sur le banc supérieur, laissant ainsi celui du bas entièrement libre.

 

Virginie, une fois entrée, marque un temps d'arrêt, regarde chacun des six hommes dans les yeux, puis s'approche d'eux, et leur fait à chacun une petite bise gentille mais appuyée sur la bouche leur laissant entendre qu'elle n'est pas sauvage pour un sou, puis s'allonge sur le banc du bas. Elle est allongée sur le dos. Les hommes sont un peu surpris comme le sont souvent les hommes lorsqu'une femme fait le premier pas.

 

Virginie trouve trop longues les secondes qui suivent son arrivée, et décide de brusquer les choses et de réveiller ces grands dadais. L'un de ses pieds va caresser l'entrejambe d'un des hommes, tandis que sa main saisit délicatement et en même temps fermement la queue la plus proche. Et avec son éternel sourire presque virginal et ingénu, elle prodigue des câlins appuyés à ce qui chez l'Homme l'intéresse le plus : Sa Bite.

 

Cela a provoqué un déclic chez les autres, et Virginie se trouva aussitôt encerclée par ces mâles en rut. La belle était à son affaire, on pouvait l'entendre ronronner de plaisir. Ce ronronnement est sonore. Il surprend d'abord, puis on se rend vite compte qu'elle indique ainsi son plaisir. Je ne sais si cela fait le même effet sur les autres, mais sur moi, c'est particulièrement aphrodisiaque.

 

Je n'arrive pas à faire autrement qu'être toujours étonné de voir Virginie se donner aux jeux du sexe avec intensité, mais sans aucune once de vulgarité. Elle ne prononce pas un mot. Seuls son ronron et ses gémissements parlent pour elle. De l'œil et de la main, ferme et douce, elle sait guider, laisser faire et en même temps discipliner les hommes qui l'entourent de manière qu'ils ne se comportent jamais comme des charognards.

 

C'est un spectacle de toute beauté qu'elle nous offre.

 

Quand enfin elle a achevé ses proies, elle s'échappe du sauna et vient vers moi, sa serviette à la main. Elle est couverte de sueur. Des mèches de ses longs cheveux noirs collent sur ses joues. Ses grands yeux noirs brillent d'un éclat extraordinaire. Elle se colle à moi, me prend la bouche puis me dit :

« Bruno, mon chéri, viens j'ai besoin d'une bonne douche ! »

 

Une fois rendus dans la grande pièce qui sert de douche commune, je l'aide plus par désir de la caresser que par galanterie. Virginie se colle contre moi en cambrant ses reins et me chuchote à l'oreille :

« Encule-moi, là!  Tout de suite ! J'en ai envie ! »

 

Comme elle ne doute pas un instant que je sois d'accord, elle appuie ses mains sur le mur et me tend son délicieux cul que je m'empresse de pénétrer.

 

Aussitôt, elle donne la cadence, faisant aller et venir son bassin sur ma queue tout en ondulant des hanches. A la voir faire, on a l'impression que cela fait bien longtemps qu'elle n'a pas eu de rapports. Et pourtant........

 

Il faut savoir que Virginie adore la sodomie, qu'elle pratique aussi souvent que possible. Étrangement malgré cela, son petit trou est serré, très serré comme celui d'une pucelle. Elle éprouve une douleur à chaque pénétration mais même celle-ci lui plait car elle sait qu'elle est annonciatrice de jouissances à venir.

 

Alors, là dans la salle des douches, appuyée au mur elle se laisse enculer et me montre son plaisir par ce ronronnement qui là prend de l'ampleur, tant elle est submergée par le plaisir. Un couple et un homme entrent dans la salle, mais au lieu de se laver, ils nous entourent ,Virginie est ravie d'avoir des spectateurs.

 

Elle leur fait un grand sourire. L'un des deux hommes a la chance d'être à portée de mains de la belle qui tend une main pour s'accrocher à sa bite et l'attirer à elle.

 

Docile et heureux, celui-ci se laisse faire. Quand elle l'estime à point, de ses deux mains elle prend sa proie par la taille, et gobe sa queue qui aussitôt prend des proportions très avantageuses. Le couple resté là en spectateur semble apprécier la scène.

 

La femme se place légèrement derrière moi et passe une main entre mes jambes, elle me caresse les couilles puis mon trou de balle alternativement. J'adore ce qu'elle me fait. L'homme quant à lui, caresse les seins de Virginie, ce qui a pour effet d'accroitre son ronronnement si stimulant…

 

Une femme qui me caresse l'anus, une autre qui se déchaine sur ma queue, il n'en faut pas plus pour me conduire au point de non retour, surtout que j'étais déjà chauffé à blanc par la séance de Virginie dans le sauna finlandais. Je la préviens que je ne vais pas tarder à jouir. Alors elle se déhanche encore plus et accélère ses va et vient et nous jouissons quasiment ensemble.

 

Je sors, presque à regret de ce délicieux cul. Virginie, quant à elle, prend enfin la douche dont elle avait tant besoin. Mais elle le fait sans quitter des yeux les trois partenaires d'un moment. Elle fait signe à la femme de s'approcher d'elle, la prend par la taille, et l'embrasse à pleine bouche, sans même se demander si cela va lui plaire.

 

Surprise, la femme se raidit un très bref instant, puis enlace Virginie, et les voilà toutes les deux qui s'embrassent, s'enlacent, se caressent. Un instant, elles se parlent à l'oreille, et semblant être tombées d’accord, se dirigent vers les deux autres hommes que Virginie entraine, en tenant leur queue dans chacune de ses mains, dans une pièce éclairée comme en plein jour et où un grand matelas occupe toute la surface.

 

Là les deux femmes s'allongent et se gouinent de la belle manière. Bien sûr, leur idée première est des nous échauffer, mais pas seulement, car visiblement, elles veulent se faire jouir et elles y parviennent assez vite.

 

Les deux hommes et moi, excités par ce show improvisé nous nous jetons sur les deux belles comme des rapaces sur leurs proies. Les proies en question, belles d'autant plus que le plaisir se lit sur leurs visages, nous accueillent bras et jambes ouvertes.

 

Virginie, égale à elle-même, semble avoir grand hâte de se faire saillir comme après un long jeûne, et pourtant elle vient d'avoir de nombreux orgasmes. Nul ne saura jamais décrire la manière qu'elle a d'attirer ses partenaires ni de leur faire faire ce qu'elle veut. Est-elle capable de nous guider par la pensée ? A moins que peut-être tout soit devenu soudain naturellement naturel. C'est le « mystère Virginie ». Elle laisse dans les corps des souvenirs indélébiles et dans les cœurs, un sentiment voisin de l'amour.

 

Il faudrait un roman pour parler de cette très jolie jeune femme. Je voulais ici, avec ces quelques lignes lui rendre un hommage discret et lui dire que où qu'elle soit maintenant, je garde d'elle un souvenir impérissable.

 

Par Bruno Bi - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : Récits Erotiques X
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