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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Comme j’ai abordé le sujet de l’infidélité dans un jeune couple, dans un commentaire, après le récit des aventures de jeunes mariés d’Agde, je viens vous conter ma propre histoire.

 

Je suis mariée un beau jour du mois de mai, comme beaucoup de jeunes couples. Les relations sexuelles n’étaient pas le fort de mon mari, mais je me faisais une joie de l’amener à toutes sortes de jeux sensuels et érotiques. Je comptais beaucoup sur notre voyage de noces, pour être enfin seuls sur une longue période, et faire tout plein de choses très excitantes… il était routier, moi, commerciale. Tous les deux sur les routes toute la semaine, et pas dans la même région. Nous étions donc peu ensemble. Dix jours de lune de miel, j’en rêvais depuis des mois !

 

Je rêvais d’une nuit de noces exceptionnelle… j’avais réservé une superbe suite dans un château-hôtel de la région. Je la voulais torride, amoureuse, pleine de surprises pour mon mari tout neuf.

Premier choc : il a tout annulé, réservant une chambre à proximité de l’aéroport au motif qu’on serait plus près pour l’avion le lendemain. Résultat : une « nuit de noces » bâclée, rien dans la chambre anonyme et glaciale, pas une intention de l’hôtelier, un coup rapide, quasi contraint de mon homme « j’suis fatigué… »

 

Je n’ai pas pu dormir, pleine d’amertume et de frustration... Beau début, pour une vie de couple ! Le lendemain, je trainais, seule encore dans l’aéroport, je suis tombée sur deux livres que je voulais lire. Sur une impulsion, je les achetais. L’un était la bio de « Liane de Pougy », à lire d’ailleurs absolument….

Nous partîmes pour notre ile de rêve. Je passe les détails de ce voyage de noces cauchemardesques : nous avons fait deux fois l’amour en dix jours, DEUX FOIS. Et en moins de quinze minutes chrono !

 

Pour moi, la femme amoureuse, hypersexuelle qui plus est, j’étais au bord de la crise de nerf. Morale et physique. Plein de doutes sur mon futur mariage, et mon mari. J’ai pu lire tous les livres que je voulais : un comble, lors d’un voyage de noces, non ? Des hommes m’ont draguée, j’ai refusé leurs avances. Ma morale, mon envie de bien faire les choses avec mon mari, m’ont retenue…

 

Vous pouvez imaginez ça, vous,  un voyage de noces où on ne fait que deux fois l’amour car « monsieur est fatigué » ??? 

 

Nous repartîmes dans notre région, fîmes une halte chez ses parents (il ne m’aura rien épargné) pour finir par me dire de rentrer seule chez nous, il avait à bosser dans ce coin-là. Je suis donc rentrée seule de voyage de noces, seule chez « nous », frustrée, triste, humiliée, en colère.

Le lendemain, je repris ma route, et allais passer la nuit à Montargis, pour mes affaires commerciales.

A l’hôtel, je sortis diner sur la terrasse, en cette fin mai très chaude. Toute les tables sont occupées par des personnes seules, comme souvent en semaine dans ces hôtels de chaine. Que des hommes, et une autre femme.  Je commande et me plonge dans mon livre. Pourtant, je sens un regard insistant. Je lève les yeux, et face à moi, un homme blond comme les blés sourit, ses yeux bleus sont des épées qui me transpercent le corps.

Je ne réponds pas, replonge dans mon livre, très troublée. Le manège dure tout le diner.

 

A la fin, vous vous en doutez, il est venu me parler. Aussi froidement que j’ai pu, je lui ai dit que je ne voulais pas discuter avec lui, et j’ai rejoint ma chambre. Pourtant, tout m’attirait chez cet homme : ses yeux, ses mains puissantes, ses bras si accueillants…

Mais je venais de me marier !!!!

Deux jours avant, j’étais dans la Caraïbe avec mon mari ! Je ne pouvais pas parler avec un autre ! Encore moins céder à ses avances…

 

J’étais dans un hôtel C**, vous savez, ceux qui dont les chambres donnent toutes dehors sur le parking. J’ai laissé la porte ouverte, il faisait trop chaud. Je me suis mise à travailler sur le bureau, sous la fenêtre. Un moment plus tard, un papier est glissé dans la charnière de la porte…

Une lettre. Une très belle lettre, comme jamais mon mari ne m’en a écrit une…

C’est lui, l’homme du diner. Il me parle d’amour, de ses envies de moi, de son attirance folle, alors que je lui ai tout de même dit que j’étais mariée depuis 10 jours exactement…

Cette lettre ouvre les vannes. Je pleure un long moment, je pleure sur toutes mes illusions perdues. Je suis prostrée sur mon lit, l’oreiller baigné de mes larmes de rage et de désillusion…

 

Une main effleure mon épaule, Je ne bouge pas. Je sais que c’est LUI. Il a signé sa lettre Yann.

Il frôle mon bras d’une caresse légère comme une plume. Il m’électrise, littéralement. Sa main descend sur mes flancs, il avance ensuite sur ma cuisse à moitié découverte par ma jupe retroussée. Je suis couchée en chien de fusil sur le lit. Ses doigts sont magiques, ils m’envahissent toute entière. Un vague sentiment de culpabilité me traverse le cœur, la honte traverse fugitivement mes pensées. Et plus rien.

 

Il n’existe plus rien que cette main aux doigts d’or, qui me caresse tout le corps, sans qu’un mot ne soit prononcé.

 

Je suis dans cette ile, de nouveau, mais avec un homme amoureux et plein de désirs pour moi. D’un geste un peu plus ferme, il me fait me retourner, écarte ma chemise, pour saisir un sein resté libre. Je n’avais pas remis de soutien-gorge après ma douche. Il pointe vers le ciel, insolent et dur. Yann se penche et aspire le têton dardé. Je ne suis plus que ce sein, aspiré par cette bouche gourmande.

 

C’est le signal. Le signal de plusieurs jours de folie pure. Sa main saisit mon autre sein, la mienne remonte directement vers son entre-jambe. Il bande. Il bande comme un taureau. Sa braguette cède rapidement sous la poussée.

En quelques secondes, nous voilà nus sur le lit. Il nous faut un éclair de lucidité pour aller refermer la porte de la chambre, restée grande ouverte sur le parking.

Ce soir-là, pas besoin de voyeurs.

 

Yann se couche près de moi. Il me caresse comme si j’étais la chose la plus précieuse au monde. Sa langue prend le relais de ses mains. Elle court sur tout mon corps, douce, agile, ferme… Il n’oublie aucune parcelle de peau, qui se hérisse sous cette diabolique agression. Je frémis de désir, je suis prête à exploser. Il atteint enfin ma vulve, congestionnée, gonflée de désir exacerbé, de toutes les frustrations ressenties depuis dix jours…. Il a à peine effleuré mon bouton d’amour érigé, que j’explose. Jamais je n’ai connu cela : en moins de dix secondes, il me procure un orgasme phénoménal. Je crie, je hurle, je déchire mes cordes vocales dans une longue plainte de jouissance.

 

A tel point que moins d’une minute après, le téléphone sonne. Ce sont les gérants. Ils s’assurent que tout va bien… Et que je m’exprimerai moins à l’avenir….
Ce sera un vœu pieux…

 

Yann est tout aussi surpris que moi par la violence de ma jouissance. Je lui explique brièvement mon voyage de noces. Il me coupe la parole en m’embrassant fougueusement. Sa langue joue un ballet interminable avec la mienne… Nous nous avalons, nous dévorons sans fin. J’adore sa bouche, ses lèvres, son corps…

J’ai tout oublié. Il ne reste plus que nous deux sur terre.

 

Il m’allonge sur le dos, reprend ses caresses et vient ouvrir ma chatte de ses doigts si doués… Je suis humide, que dis-je, trempée… J’en profite pour saisir son sexe, une belle hampe épaisse, dure, douce, parfaitement à mon gout. Je le masturbe fermement, je m’accroche à l’objet de mon désir. Il se met au-dessus de moi, et dans un accord parfait, j’accroche mes jambes autour de son bassin, alors qu’il s’enfonce enfin en moi. Sa bite dure me perfore d’un seul coup. Enfin, je me sens prise, possédée, remplie. Il commence lentement ses va et viens puissants. Je reste arrimée à son bassin. Il accélère, je l’accompagne. Nos hanches sont soudées Ses va et vient se sont transformés en sortes de cercles internes, qui massent tout l’intérieur de mon vagin. Je sens son gland proéminent frotter mon utérus. Il me remplit à fond. Comme j’aime. Je jouis une nouvelle fois, plus lentement, plus profondément. Il me cloue sur le lit, accentue ses coups de boutoir, et jouit dans un cri animal. Je sens sa semence me remplir, déborder, couler entre mes cuisses… Le bonheur à l’état pur.

 

Nous retombons côte à côte un bref moment. Il me câline, m’embrasse, il fait exactement tous les gestes que j’attendais vainement de mon mari tout neuf pendant le voyage de noces. Il me fait craquer.

Il est marié depuis peu, lui aussi. Il a les mêmes manques que moi. Nous nous sommes trouvés. Plus un seul remords ne nous atteint.

Trêve de bavardage : il a envie de moi, moi de lui… En quelques secondes, nous repartons dans une copulation sauvage, presque dure tant elle est brusque. Il me reprend en levrette, martyrise ma chatte à grands coups de rein violents. Nous avons besoin de cette violence extrême. Plus aucune tendresse durant quelques minutes. Juste deux corps qui luttent pour leur plaisir, qui se cherchent, se trouvent  se heurtent pour enfin jouir quasiment ensemble, dans un nouveau cri qui déchire la nuit de l’hôtel. Son sperme m’envahit de nouveau, je viens le cueillir du bout des doigts. Je le porte à mes lèvres, puis je viens embrasser Yann à pleine bouche. Il a un mouvement de recul, puis se laisse faire. Nous dégustons ensemble son sirop d’amour épais et salé.

 

Il doit y trouver goût, car il plonge soudain entre mes cuisses, pour me lécher à fond, comme j’aime… Sa langue ne me laisse aucun répit. Il ne me lâchera qu’après m’avoir fait jouir deux fois avec sa langue. Cet homme est magique, il a des dons incroyables. La nuit va passer ainsi, à faire l’amour sans répit. Il ne débande pas. Il semble s’en étonner lui-même.

Au petit matin, il faudrait nous séparer. Nous devons travailler, voir nos clients respectifs. Mais c’est impossible. D’un seul regard, nous décidons de faire grève… Nous avons passé la journée au bord d’une rivière à faire l’amour sans interruption, ou presque. Je ne me reconnaissais pas. Jamais je n’avais autant baisé de ma vie. Ma chatte commençait à souffrir. Sa queue aussi. Il ne débandait pas, mais son gland était devenu rouge vif.

Sur le chemin du retour à l’hôtel, nous avons du passer à la pharmacie, acheter de la biafine. Il nous a fallu passer de longues minutes à calmer les échauffements de nos sexes surmenés.

 

Ainsi, nous avons pu passer une deuxième nuit de folie, à faire l’amour tant et plus. Nous étions comme deux affamés qui trouvent enfin à manger après des mois de disette. Le jour suivant, il nous a fallu aller travailler. Journée courte, comme les deux suivantes. Nuits encore plus courtes. Jamais nous ne nous sommes rassasiés l’un de l’autre.

 

La dernière nuit de la semaine arrive. Nous avons eu le temps de parler de nos fantasmes. Je lui ai dit mon envie devoir des hommes se branler devant moi. Après le diner, alors que je me dirige vers notre chambre, il me retient par le bras : « Non ma puce, on ne va pas là… Viens. »

 

Il me fait monter en voiture, et après quelques kilomètres, nous arrivons devant une grande maison bourgeoise. Tout est illuminé, mais l’endroit semble désert.

« Ne pose pas de questions », me dit-il.

 

J’obtempère et le suis. J’ai une confiance aveugle dans cet homme. Il m’entraine dans un grand salon, vide, à l’exception d’un grand lit à baldaquin. Sur le couvre-lit, une grande boite est posée. Elle est pour moi. J’y trouve une guêpière noire, qui laisse les seins libres, des jarretelles, de bas noirs, de vertigineux escarpins de cuir, noir aussi…

Yann me désigne une pièce, au bout du salon. J’y vais me changer, passer cette tenue qui m’excite déjà follement. Yann est un miracle pour moi… Il devine mes moindres désirs. Je rentre dans le vaste salon désert, sure de moi, sure d’être attirante et sexy dans cette tenue de péripatéticienne de luxe… Je ne me trompe pas. Yann me regarde arriver, la queue dressée vers le ciel de lit. Comment peut-il encore autant bander après quatre jours et quatre nuits de copulation intensive ???

 

Je m’allonge sur le lit, une musique douce joue au loin. Yann ferme les rideaux du lit. Nous sommes dans un écrin de blancheur, où seul notre plaisir est maitre.

Il se penche sur moi, me caresse, ouvre les lèvres de mon abricot ultra irrité, mais qui réclame encore et encore ses mains, sa langue, son pieu adoré…

 

J’entends des bruissements dans le salon, mais il prétend que c’est la musique. Je me laisse aller à ses attouchements érotiques, qui m’enflamment, une fois de plus. Soudain, je vois les quatre rideaux s’ouvrir en même temps. Et là, surprise, une bonne douzaine d’hommes sont présents, entièrement nus. Je crie de surprise.

« Chut, ma chérie... tu voulais des hommes, tu vas en avoir…

- Mais je ne peux pas les prendre, je suis hors service, je ne peux en recevoir aucun !

- Ne t’inquiètes pas, mamour, ils suivront tes ordres à la lettre... »

 

Je suis ébahie, chavirée par cette vision de rêve : douze hommes bien bâtis, certains masqués, de belles bites à la main, toutes bandée bien comme il faut.

Yann reprend des caresses et fouille mes lèvres intimes de sa langue. Il prend bien soin de montrer aux hommes ce qu’il me fait. Certains se rapprochent. Partout où je porte mon regard, je ne vois que des mains qui masturbent des queues raides. Je jouis à cette seule vue. Je jouis de l’excitation que je leur procure… Un flot de cyprine inonde le visage de Yann, et coule sur mes jambes. Un homme d’enhardit, et vient chercher ma mouille de ses doigts. Je l’autorise d’un regard.

Une idée folle me traverse l’esprit : « Yann, tu m’as bien dit qu’ils obéiront à tout ?

- Oui, mamour.

- Alors, je veux que chacun vienne me lécher à tour de rôle. Je ne veux que leurs langues, et leurs mains.  J’en veux un sur ma chatte, un sur chaque sein. Et toi qui m’embrasse….

- Messieurs, vous avez entendu ? A vous de jouer.  Juste vos langues, vos mains. »

 

Les hommes obéissent. Comment sont-ils aussi dociles ??? Pendant plus de deux heures, je vais être caressée, léchée, sucée, branlée sans répit. Je ne sais même plus combien de fois j’ai joui…. D’autant que certains, sans doute un peu frustrés, ont entrepris de se sucer entre eux. Mon bonheur est à son comble : je suis exhibée, caressée, et j’assiste à mon spectacle préféré : voir des hommes baiser entre eux ! Les voyeurs jouissent aussi, le sperme coule partout… Ca sent le foutre à plein nez. La débauche est totale.

Le final approche, je le sens… Yann me fais mettre en levrette, il ouvre ma chatte baveuse à la vue de tous… Il écarte mes fesses pour titiller ma rosette qui ne demande que ça…

Un mec vient se coucher entre mes cuisses, et entreprend de sucer mon clito toujours bandé. Un autre vient au-dessus, et de sa langue, ouvre mon anneau brun…

Yann, lui, commence à me posséder fortement, de sa queue tant aimée. Quel plaisir fou ! Deux langues sur moi, une bite ancrée dans ma chatte. D’autres mains viennent me caresser, torturer mes seins lourds. Une queue courte vient devant ma bouche. Je la gobe, et la recrache. Après tout, ils sont là pour mon plaisir, pas pour le leur !!! Je suis hyper égoïste !

 

J’ai un orgasme énorme, qui me fait hurler à la mort. Je tremble de tous mes membres, je me sens possédée à fond, mangée, avalée. Je  sais que j’ai perdu connaissance, Yann me l’a confirmé.

Quand je reviens à moi, il n’y plus personne. Juste nous deux. Je me demande si je n’ai pas rêvé. Mais l’odeur de foutre est bien là, produit de maintes éjaculations. Je n’ai pas rêvé. J’ai eu mon cadeau de mariage. J’ai eu mon voyage de noces. Mais pas avec mon mari.

Le lendemain nous nous sommes séparés à regret, et le mot est faible. A mon retour, personne à la maison. Mon « mari » n’avait pas jugé utile de rentrer pour le week-end… Avec Yann, notre histoire a duré trois mois, jusqu’a ce que je sois enceinte… De lui ? De mon mari ? Je ne savais pas….

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : Histoire érotique
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