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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

Ma rencontre avec Lucie
par Electrohead



Cette nana, je l’avais rencontrée sur internet. Elle disait aimer les hommes virils mais gentils.
Je ne suis pas très viril mais j’ai une certaine carrure, 1m90 pour presque 100kilos, quelque uns en trop mais rien de méchant, et elle était plutôt mignonne : 1m72 65kilos, disait-elle, jolie visage, brune. Physique assez banal mais plaisant.
Après avoir pas mal discuté avec elle, nous nous somme décidés à nous rencontrer dans un pub pour faire plus ample connaissance.


Arrivé la bas, je vis qu’elle n’avait pas spécialement fait d’effort pour moi, ce qui me vexa un petit peu. Jean-basket, petit haut, rien qui ne puisse laisser penser qu’elle avait envie de plaire ou de se faire draguer. Une foi posés autour d’une table, je remarquai qu’elle me laissait diriger la discussion. Cela dura quelques heures et des pintes se vidèrent. Aussi lui proposais-je de rentrer avec moi pour éviter de rentrer seule alors qu’elle habitait en banlieue, ce qu’elle accepta. J’habitais un pavillon en banlieue, encore chez mes parents à vrai dire, mais j’étais installé au sous sol et j’étais relativement indépendant.
Une fois chez moi, je lui proposais de nous regarder un film, moyen pour moi de me rapprocher… je lui proposai de venir dans mes bras.


Elle n’était enthousiaste pour rien, mais ne refusait rien non plus. Quelque peu vexé malgré tout : je m’exclamai : « je ne te plais pas ? » ce qui

C’eut pour conséquence de la rendre rouge pour comme tomate, ce qui me fis de m’attendrir, mais aussi me rassurer. Je restai quelques minutes devant le film sans trop m’aventurer sur son corps, puis je me mis à lui caresser doucement les bras. Je remontais puis descendais le long de sa poitrine, caressais ses cuisses par-dessus ses vêtements. Elle se laissait faire sans rien dire. Je l’embrassais alors dans le cou et passais mes bras sous son haut pour lui masser les seins à travers son soutien gorge. Je lui pris le cou pour maintenir sa tète en arrière alors que ma main déboutonnait son jean et s’y glissa.


Je découvris alors que sa chatte était complètement épilée et qu’elle portait un beau string en dentelle ! Elle me sembla beaucoup moins coincée d’un coup. Et le fait qu’elle se laissait complètement faire m’encanailla, d’autant plus que je bandais et que mon sexe me faisait mal dans mon short. Je lui massais gentiment la chatte. Comme elle mouillait je lui mis un doigt, puis un deuxième. Ma position n’était guère pratique vu que j’étais assis derrière elle, mon poignet était un peu tordu. Elle ne bougeait pas trop mais je sentais son souffle s’accélérer légèrement.
Ne tenant plus, je l’ai fait glisser doucement du canapé. Ainsi, elle était assise par terre devant moi. Je descendis mon short et mon caleçon, mis ma main derrière sa nuque et l’amena à mon sexe dressé.


Je forçais légèrement l’entré de sa bouche et m’enfonçais en elle. Sans conviction, elle me suça, me laissant imprimer le rythme. Devant sa docilité, j’imprimai un rythme soutenu, pénétrant sa bouche comme si c’était sa chatte, lui maintenant plusieurs fois ma bite entière dans la bouche. Ses bras tentaient alors de me repousser en prenant appui sur mes cuisses, mais elle ne disait rien quand je sortais mon sexe de sa bouche. Alors, je lui remettais immédiatement jusqu'à la garde en imprimant un rythme élevé. Elle bavait beaucoup, et cela coulait sur mes bourses ce qui m’excitait toujours plus. Aussi, je sortis de sa bouche, serrais les boules et lui mis dans la bouche.

 

Elle me les lécha, et toujours plus chaud, je lui faisais aussi lécher en dessous. Mon cul finit par y passer. Son manque d’initiative mêlée à sa docilité me porta vers un comportement dominateur que je n’avais jamais eu. Je me mis à la traiter de salope, de petite chienne. Je pris sa main afin qu’elle me branle en me léchant le cul, puis je me retournai et lui repris la bouche avec force. Elle salivait beaucoup et je sentais que j’allais exploser. Je lui intimais de se maintenir à genoux et lui demandais où elle voulait que je jouisse Je ne lui laissais comme choix que sa figure ou sa bouche. Dans un murmure, elle me répondit qu’elle voulait que je jouisse sur son visage. Je me branlais alors en lui mettant des coups de queue sur les joues, avant de jouir longuement sur son visage…

J’avais joui, mais ce n’était que le début de la nuit, et je me mis rapidement en tète de me faire à nouveau plaisir. Je lui proposais une douche afin qu’elle s’essuie le visage et que nous puissions nous coucher après…
Alors que l’eau commençait à couler sur nos corps, je la pris dans mes bras et la remercia pour la superbe fellation qu’elle m’avait offerte (bien que je la lui avais prise plus qu’autre chose). Son « de rien » fut accompagné d’un sourire comme à aucun moment, elle ne m’en avais fait avant. J’eus alors envie de lui faire plaisir et accompagnant le jet du pommeau de douche, je descendis lui lécher un peu la chatte. Elle s’adossa contre le mur de la douche et passa vite une jambe par-dessus mon épaule.

 

Afin de me faciliter les choses,  je lui introduisis à nouveau plusieurs doigts puis je la retournais et lui lécha la rondelle un petit moment avant d’y enfiler mon pouce… elle gémissait peu mais je savais au gout de mes doigts qu’elle mouillait fortement.
Je lui intimais alors de sortir de la douche, je bandais à nouveau comme un fou, l’amenais sur mon lit. Je la positionnais en levrette avant d’y rentrer d’un coup, ce qui lui arracha un petit cri malgré la lubrification naturelle de sa chatte. Je commençais alors à la pilonner comme un fou. Ma bite rentrait et glissait dans sa chatte jusqu'à ce que mes couilles tapent contre son ventre. Comme pour la pipe, elle ne disait rien, me laissant faire à ma guise sans me laisser percevoir du plaisir de son coté.

 

Mais encore un peu enivré par les bières du début de soirée, je pensais surtout à mon plaisir à moi, et au plaisir de sauter une nana aussi docile. Ma main claqua sur ses fesses plusieurs fois, elle semblait plus réagir au fur et à mesure que je devenais vulgaire, voire brutal. Les claques sur son cul tombèrent en même temps que les « sale chienne, salope, tu aimes ma bite, hein, petite pute ! »

 

Je m’enfonçais en elle et lui tirais les cheveux en arrière et je pilonnais encore comme ca quelques minutes. J’avais de plus en plus envie de jouir, mais le souvenir de mon pouce dans son cul dans la douche me chauffait trop, je voulais la sodomiser ! Je mouillais alors deux doigts et lubrifiais son petit trou. Pendant que je prenais sa chatte, je rentrais rapidement un doigt puis un second sans trop de difficulté. Je sentais que ses réactions étaient différentes maintenant. Je lui dis de bien écarter ses fesses avec ses mains, et lui appuyais sur la tète avec ma main droite.

 

Je m’aidais de ma main gauche pour placer ma bite devant son petit trou et en pris possession doucement. Je sentais qu’elle avait un peu mal, mais j’étais décidé à la lui mettre. De plus, si elle eut un petit moment de recul quand je la pénétrais, elle ne tenta pas une foi de se soustraire à moi.


Je progressais centimètre par centimètre au début, puis commençais un très léger mouvement de va-et-vient pour l’aider à ne plus avoir mal. Mais je rentrais aussi sec les derniers centimètres et m’enfonçais jusqu'à la garde. Son cri de douleur fut étouffé dans l’oreiller et j’entrepris de la fourrer carrément, désormais. Elle étouffa à nouveau sa douleur pendant que je lui limais le cul, et cette fois, bien serré, je ne mis pas plus de deux minutes à jouir, lui tapissant l’intérieur de mon foutre. Je m’affalais un peu sur elle, lui bisant le cou et les épaules, lui caressant la nuque et les cheveux, reprenant mon souffle…


Je sortis de son cul et elle s’excusa avant de sortir du lit et de courir aux toilettes. J’en profitais pour nettoyer rapidement ma bite et remettre un caleçon.
Quand elle revint, elle sembla hésiter une seconde avant de me rejoindre. Je l’invitais à se mettre dans mes bras ce qui lui décocha un sourire aussi beau que celui que j’avais eu dans la salle de bain.


Elle est toujours docile et soumise, pourvu que la tendresse suive derrière. Je reste un de ses plans cul préféré principalement pour ça.

Par Electrohead - Publié dans : Vos contributions - Communauté : Les libertins des Antilles
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