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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Léa est l'ancienne assistante du département ou je travaille. Elle a été mutée récemment à sa demande dans un autre service, elle a maintenant un travail plus intéressant et sans doute aussi un meilleur salaire.


Nous nous côtoyons moins que lorsque nous travaillions ensembles, mais nous avons néanmoins souvent l'occasion de prendre le café ou de déjeuner ensembles au restaurant d'entreprise.


Léa est une jolie femme d'environ 40 ans. Ses cheveux bruns tirant sur le roux sont mi-longs, légèrement ondulés. Elle a de très jolis yeux verts, très souvent pétillants de malice. Elle est mince sans être maigre avec de jolies formes juste la ou il faut. Elle est en plus, ce qui ne gâte rien extrêmement sympathique.


J'avoue que j'aime bien être en sa compagnie, et que j'ai souvent pensé que cela serait sans doute très agréable d'aller plus loin avec elle qu'une simple relation entre collègues. Mais il ne s'est jamais rien passé entre nous, je ne mélange pas la vie professionnelle et la vie sentimentale et de plus elle est mariée, amoureuse de son mari et donc fidèle.
Nous n'avions donc jamais eu l'occasion de nous côtoyer en dehors du boulot.

L'autre jour, en prenant un café, elle me dit que cela faisait longtemps qu'elle voulait m'inviter à diner chez elle avec son mari :
« Maintenant que nous ne travaillons plus ensemble, il n'y a plus aucun risque de mélanger vie professionnelle et vie privée. Qu'en penses-tu ? »


Son argument me parut fort convainquant et j'acceptais son invitation.
Quelques jours plus tard, vers vingt heures, je sonnais chez elle. J'avais avec moi quelques roses pour Léa, et une bouteille de bordeaux pour son mari.
« Bonsoir Léa
- Bonsoir Gérard, je te présente mon mari Jacques,
- Enchanté Jacques !
- Nous allons passer au salon pour l'apéritif », dit-elle.


Je la suivis, et ne pus m'empêcher de lui dire que je la trouvais particulièrement en beauté ce soir. Elle portait une petite robe légère beige clair, qui mettait joliment en valeur sa fine silhouette.
« Tu n'es qu'un vilain flatteur, me répondit elle en souriant.
- Pas du tout ajouta Jacques. Je crois que Gérard est un homme de gout tout simplement. »


Une fois installés au salon, Jacques nous proposa de prendre une coupe de champagne en apéritif.
« Pas de problème pour moi, dis-je.
- Et pour moi non plus, ajouta Léa. Tu connais parfaitement mes goûts, mon chéri. »


Nous trinquâmes à une santé qui, finalement nous était très chère : la nôtre.
Le ton de la conversation était donné. Légère décontractée. Beaucoup de sujets de conversations, un peu de boulot, des loisirs, des vacances.
Après la deuxième coupe de champagne, Léa nous proposa de passer à table. Proposition qui fut acceptée à l'unanimité !
Le diner se révéla succulent.
« Franchement Jacques tu es un homme comblé. Tu as une femme ravissante et qui en plus est une excellente cuisinière.
- Et en plus Gérard, tu ne sais pas, mais elle a aussi d'autres innombrables talents.
- Tu rougis Léa ! Cela te va à ravir. Je ne voudrais pas être indiscret, mais dis-moi Jacques, quels sont ces innombrables talents que possède Léa ?
- Et bien devine donc Gérard dit elle. On va voir si tu es perspicace !
- Ca se complique, je ne suis pas très doué pour les devinettes.
- Alors si tu en as pour longtemps à deviner, nous allons passer au salon, nous y serons mieux pour continuer à bavarder ! »


Jacques et moi suivons donc l'invitation de Léa, et nous dirigeons vers le salon.
« Gérard, viens t'asseoir à coté de moi sur le canapé, Jacques se mettra en face de nous sur le fauteuil.
- Maintenant que nous sommes bien installés tous les trois, je vais essayer de deviner quels sont tes talents cachés, dis je en souriant. Mais il faudrait peut être me mettre un peu sur la voie..
- Pas du tout, tu dois trouver tout seul comme un grand garçon que tu es, n'est ce pas Jacques ? »


Jacques acquiesça en souriant
« Bon je vais me lancer. Je parie que ce sont des talents bien cachés que tu ne dévoiles pas vraiment, sauf à ton chéri.
- Effectivement tu es sur la bonne voie !
- Et que tu ne dévoiles vraiment que sous la couette… »


Elle éclate de rire en rougissant un peu.
« Très souvent sous la couette, oui mais pas forcement que là !
- Et dans beaucoup d'autres endroits ?
- Oh oui un peu partout, lorsque j'en ai l'occasion… »


Pendant cet échange, Jacques nous regarde simplement en souriant.
Quand à moi, je sens que la conversation prend un tour très particulier, mais qui n'est pas forcément malgré tout pour me déplaire.
« Alors je pense chère Léa que tu dois être très douée pour les câlins !
- Ah tu vois que tu n'es pas si mauvais que ça pour les devinettes. Tu t'approches à grands pas. Mais il faudrait que tu trouves de façon un peu plus précise. Jacques a parlé d'innombrables talents ! »


Et elle éclate à nouveau de rire
« Alors je vais être un peu plus direct !
- Vas-y nous verrons bien si tu trouves…
- Et bien pour commencer, je pense que tu dois être très douée pour… les fellations ! »


Jacques acquiesce :
« Tout à fait je confirme. Et elle est très inventive sur le sujet … »
Léa rougi un peu :
« Mais c'est tout simplement mon chéri que j'adore te faire plaisir comme ça.
- Et je dois dire que tu y réussi très très bien ! »


A cet instant, je pense que la conversation a pris un tour assez coquin, et que toute la fin de la soirée va se poursuivre ainsi.
« Mais dis-moi Léa, comment arrives-tu à être aussi inventive sur le sujet ?
- Tout simplement parce que j'adore jouer avec son sexe, que je trouve très beau.
- Et comment joues tu avec ?
- Je le caresse doucement du bout des doigts. J'adore lécher lentement son gland, le prendre entièrement dans ma bouche. Je me caresse aussi le visage et les seins avec son gland, c'est super. Il a aussi des boules très douces, et c'est un vrai plaisir aussi de les caresser et de les lécher. Il faut te dire aussi qu'il m'a fait l'immense plaisir depuis pas mal de temps de se raser régulièrement le sexe. Je n'aime pas beaucoup les poils à vrai dire.
- Alors tu es épilée aussi ?
- Oui bien sur. Il me reste juste un petit timbre poste pour ne pas faire petite fille. Et toi Gérard ?
- Ben moi, pour faire plaisir à une amie, il y a quelques temps, je me suis aussi rasé le sexe. Et finalement je trouve ca très agréable.
- Tu as bien fait, car en général les femmes qui soignent leur corps aiment bien que leur partenaire le fasse aussi.
- Mais dis-moi Léa, tu vas jusqu'au bout de la fellation ?
- Que veux-tu dire par aller jusqu'au bout ?
- Et bien est ce que tu… avales ?
- Bien sur ! J'adore le gout du sperme de mon chéri. Et je lui ai même déjà fait gouter en l'embrassant alors que je n'avais pas tout avalé !!!
- Oh ! Et tu as aimé ç,a Jacques ?
- Bien sur ce mélange de sperme et de salive était très bon.
- Je comprends maintenant quand tu disais qu'elle était très inventive…
- Alors je suppose que tous les deux vous devez pratiquer des 69 d'enfer!!
- Pas vraiment, tu sais. Lorsque Jacques s'occupe de ma chatte, je suis toute a mon plaisir et me sens incapable de lui en donner. Alors je le laisse faire. Et il fait ca super bien, » dit-elle en riant.


Jacques confirme :
« Oui j'adore sa chatte, elle est douce, chaude et très humide. Elle mouille beaucoup et j'adore boire sa liqueur, introduire lentement ma langue et titiller doucement son clito du bout de ma langue.
- Voila, et quand il m'a bien fait jouir je prends le relais. Je lui fais une superbe fellation. Et souvent j'ai un nouvel orgasme lorsqu'il jouit dans ma bouche.
- Bref vous pratiquez le 69 avec option chacun son tour !
- C'est exactement ca ! Et moi je suis une petite privilégiée, puisque j'arrive à jouir deux fois !!
- Et bien je ne pensais pas que tu étais aussi coquine ma petite Léa.
- Et encore Gérard tu ne sais pas tout…
- Alors là Léa, tu me mets vraiment l'eau à la bouche. Tu disais tout à l'heure que tu ne faisais pas ça seulement sous la couette !
- Bien sur que non ce serait trop monotone ! Partout ou l'envie nous en prends. Déjà, dans toutes les pièces de la maison, de la cuisine au salon. Tu sais que le canapé sur lequel nous sommes assis en a vu de toutes les couleurs !
- Ca, je m'en doute !
- Et aussi sur la table de la cuisine et celle où nous avons diné tout a l'heure.
- Et sur la machine à laver aussi, en position essorage bien sur ! Vous avez essayé ça ?
- Tiens non ! Chéri il faudra qu'on essaye ça ! Je pense que les sensations doivent être géniales ! »


Et nous éclatons de rire tous les trois.
« Mais dis-moi Léa tu as une position favorite ?
- Non j'aime des tas de positions ! Ca dépend de l'endroit et des circonstances.
- Et dans des endroits très insolites ?
- Des tas bien sur. Ce serait beaucoup trop long de te les citer tous.
- Tiens, dit Jacques, raconte-lui la dernière fois dans le petit chemin.
- Tu veux vraiment ?
- Oui je suis sur que ça va lui plaire.
- Et bien nous étions en voiture dans un petit chemin à la recherche d'un endroit pour s'arrêter et aller se balader un peu en foret. Mais avant que Jacques ait trouvé à s'arrêter, j'ai eu envie de le caresser. Alors, pendant qu'il conduisait, j'ai ouvert sa braguette et sorti sa verge.
- Mais c'est un peu dangereux non ?
- Rassure-toi, je conduisais doucement, et le chemin était désert, dit Jacques.
- Et bien sur, je me suis penchée sur lui, et j'ai commencé à le prendre dans ma bouche.
- Heureusement, j'ai vite trouvé une place pour m'arrêter !
- Jacques m'a relevée, et glissé sa main sous ma robe. Et il est aussi très doué avec ses doigts. Cela m'a terriblement excitée. J'ai eu envie qu'on sorte et qu'il me prenne contre un arbre. Je lui ai dit mais il n'y avait pas vraiment d'arbre accessible à proximité. Nous sommes sortis de la voiture. Il a baissé mon string, m'a couchée à plat ventre sur le capot les jambes écartées et m'a pénétrée. Ca a été un vrai délice. J'étais tellement excitée que j'ai joui presque instantanément et lui aussi d'ailleurs. C'était une levrette d'enfer.
- Heureusement que personne n'est arrivé a ce moment là !
- Oui mais le risque de se faire découvrir augmente encore l'excitation…. »


La conversation était ainsi devenue de plus en plus chaude, mais visiblement aucun de nous trois n'avait envie qu'elle s'arrête. J'étais évidement assez excité mais en regardant mes amis je constatai qu'il en était de même pour eux
Les joues de Léa étaient légèrement rouges, elle avait le souffle un peu court. Elle croisait et décroisait très souvent les jambes faisant remonter sa petite robe sur ces cuisses, sans qu'elle juge utile de la baisser.

Quant à Jacques sa braguette semblait un peu gonflée, tout comme la mienne d'ailleurs.
« Je vais encore être très indiscret, ma petite Léa.
- Oh vas-y ! Au point où nous en sommes, on ne risque plus rien, dit elle en riant.
- Beaucoup de femmes n'aiment pas la sodomie. Et toi ?
- Et bien Jacques m'a fait découvrir ça il y a déjà pas mal de temps. Il a su m'y amener avec beaucoup de douceur. Et j'aime beaucoup ça. Je pense que si certaines femmes n'aiment pas ça c'est que leur partenaire n'a pas su leur faire aimer en voulant aller trop vite.
- Alors je ne dois pas vraiment savoir faire, dis je en souriant. Explique-moi comment il est arrivé à te faire aimer ça.
- C'est très simple je pense ! La première fois, il m'avait beaucoup excitée, j'étais trempée. Il m'a doucement caressée en insistant de plus en plus sur mon petit trou et en profitant de ma mouille pour me lubrifier. Il a lentement introduit un doigt puis deux de façon a élargir le passage.

Pendant ce temps, il me rassurait en me murmurant des mots doux et en m'embrassant sur la nuque et le dos. Et à un moment, il a retiré ses doigts et j'ai senti sa verge me pénétrer lentement sans forcer. C'était super agréable, il a commencé de doux va et vient, et j'ai fini par jouir assez rapidement.
- Et c'est la même jouissance que par… la voie normale ?
- C'est différent ! Mais je ne sais pas trop l'expliquer. Il faut le vivre tout simplement.
- Ok merci de tes conseils. Je tacherai de m'en servir a bon escient la prochaine fois que j'en aurai l'occasion. Mais bon comme en ce moment je suis seul, il faut déjà que je trouve la partenaire.
- Je te le souhaite ! Il y a longtemps que tu n'as pas fait l’amour ?
- Oui deux mois !
- Ca doit te manquer terriblement
- Oui bien sur…
- Je suppose que tu compenses, dit elle en riant.
- Bien sur, sinon ce serait intenable. Mais toi tu ne dois pas avoir besoin de ça.
- Détrompe-toi, ça m'arrive aussi. Même quand Jacques est là. C'est encore un plaisir différent quand on se le donne soi même. Et d'ailleurs, il m'arrive même de le faire devant lui.
- C'est vrai, dit Jacques qui participait peu à la conversation, mais n'en perdait pas une miette. Et ça m'excite beaucoup de la voir faire. »


Léa me paraissait de plus ne plus excitée par cette conversation. Sa robe était largement remontée sur ses cuisses qu'elle croisait et décroisait de plus en plus souvent. Jacques en face d'elle, semblait beaucoup apprécier ce spectacle. Et j'avoue que je regrettai un instant de ne pas être à sa place. Mais elle commençait aussi par ses mouvements a se rapprocher de moi.
« Mon chéri, j'ai l'impression qu'il n'y a pas que me voir me caresser qui t'excite. C'est quoi ce gonflement de ton pantalon ?
- Tu t'en doutes bien ma chérie ! »


Elle se tourna vers moi :
« Mais dis donc, Gégé, toi aussi, tu as une belle bosse a ton pantalon !
- Ben oui tu ne veux quand même pas que toute cette conversation m'ait laissé de glace.
- Oui ça aurait été dommage pour toi.
- Et j'ai l'impression douce Léa que tu n'es pas vraiment indifférente non plus !
- Tu as raison Gégé je ne suis pas de marbre ! »

Et en disant cela, elle posa sa main sur ma braguette. Je restai sans voix quelques secondes. Je ne pensais pas qu'elle irait jusque là. Je regardais Jacques qui me fit un petit sourire amusé, une sorte d'encouragement.
« Écoute Gégé, tu ne peux pas rester comprimé comme ça ! Ça va te faire mal !
- Ben…. »


Et sans attendre plus de réponse de ma part elle dégrafait ma ceinture, faisait descendre la fermeture éclair et glissait sa main dans mon pantalon.
Je n'ai pas pu retenir un petit gémissement qui visiblement lui fit très plaisir.
« Tu as l'air de bien aimer ça, mon Gégé.
- Tu as déjà vu un homme qui n'aimait pas ce que tu es en train de me faire ?
- Bien sur que non ! »

Et pour confirmer elle glissa la main dans mon caleçon ce qui me fit réagir une nouvelle fois.
« Tout ceci est beaucoup trop à l'étroit Gégé… »
Et la elle me baissa carrément pantalon et caleçon. Je ne résistais évidement pas et je l'aidais plutôt en me soulevant légèrement. Je me retrouvais donc avec le pantalon sur les chaussures.
« Il faut que tu enlèves tout ça. Tu te sentiras beaucoup plus libre après. »

 
Heureusement qu'on était en été. J'avais eu la bonne idée de mettre des mocassins sans chaussettes. Je les enlevai rapidement et elle fini de m'ôter pantalon et caleçon. Je me retrouvai juste vêtu de ma chemise que la coquine vraiment très experte en effeuillage m'enleva en moins de deux.
Je me retrouvai donc complètement nu.
« Tu vois Gégé que tu te sens beaucoup mieux ainsi !
- Mais certainement Léa un vrai plaisir d'être nu entre tes mains… »


Elle avait repris ma verge dans sa main et me caressait doucement. Je jetais un œil à Jacques qui semblait beaucoup s'amuser de la situation. Et il me fit signe de m'occuper aussi de Léa.
Ce n'était pas la peine de me le dire deux fois. Je passais mes mains dans son dos et fis glisser la fermeture éclair de sa robe jusqu'en bas. Elle me regarda avec un sourire qui valait tous les encouragements à continuer. La robe glissa sur ses épaules, elle se mit debout et la robe tomba sur ses pieds.

 

Elle était dans un ravissant ensemble de sous vêtements. Soutien-gorge et string en satin coordonnés. Un vrai plaisir à admirer.
Elle se rassit à coté de moi en reprenant ses caresses. Je ne voulais pas être en reste et lui dégrafais son soutien gorge qui libera deux adorables seins bien fermes, dont je voulus immédiatement vérifier la taille en les prenant dans mes mains. Mais la caresse des mains n'était pas, à mon gout, suffisante. Et je me penchais pour lécher doucement ses tétons qui durcirent instantanément.

Pendant ce temps, mes mains descendaient le long de son corps et très lentement je retirai son string.
« Et toi Léa, est-ce que tu te sens mieux aussi maintenant ?
- Oh oui j'adore être nue et sentir des caresses sur tout mon corps. Et les tiennes sont douces. Continue ! »


En disant cela, elle s'allongea sur le canapé, écarta les cuisses et m'offrit ainsi une délicieuse vision de sa petite chatte.
« Elle t'inspire ma chatte ?
- Oui elle est très belle et sans doute très bonne aussi
- Alors goutes y vite, elle n'attend que ça. »


J'approchai ma bouche de cette vulve offerte, chaude, humide et accueillante. Je commençai à la lécher et à boire son délicieux nectar. Lorsque j'introduis ma langue elle gémit de plaisir et cria carrément lorsque le bout de ma langue caressa son clito. J'avoue que mon régal à cet instant était immense, je ne songeais plus qu'à lui donner un maximum de plaisir en oubliant totalement la présence de Jacques. Mais en levant mon regard, je vis qu'il était là. Il lui caressait les seins et l'embrassait tendrement. Il s'était aussi déshabillé, et elle caressait son sexe.

Elle jouit rapidement sous nos caresses et nos baisers, et nous demanda de la laisser reprendre son souffle. Ce qui fut fait très rapidement.
« Merci mes chéris, vous avez été supers, j'ai adoré ça. Mais rassurez vous ce n'est pas fini. Il faut que vous aussi ayez votre plaisir
- A ta disposition Léa c'était déjà un plaisir de te faire jouir ainsi lui dis je.
- Merci Gégé. Alors je commence par toi !!!
- Comme tu veux Léa. Tu vois que je suis encore très en forme. Ta mouille est un fortifiant génial.
- Alors allons-y, dit elle, mais c'est moi qui prends l'initiative
- Oh, pas de problème.
- Assieds-toi sur le canapé et je vais venir sur toi, j'aime beaucoup aussi être au dessus.
- Pas de problème, jolie Léa… »

Sitôt dit, sitôt fait, je m'assieds, elle vint à califourchon sur moi et doucement vient s'enfiler sur mon sexe dresse. Je lis tout son plaisir dans ses yeux. Elle se mord la lèvre inférieure, comme pour ne pas crier trop vite.
« Tu es bien Léa ?
- Oui Gégé super. On va doucement hein ?
- Oui pour faire durer !
- Oui… »


Pendant ce temps jacques s'est mis debout derrière elle. Il lui caresse les épaules et promène sa bouche sur tout son dos. Et puis ses mains descendent et il commence à lui caresser les fesses. Ses caresses se font de plus en plus précises. Il en est maintenant à lui caresser l'anus. Je sens même ses doigts venir chercher un peu de sa mouille. Je suis à peu prés sur qu'il commence à lui introduire les doigts. Je vois sur le visage qu'elle adore ca. Ses yeux sont emplis de plaisir.
Et d'un seul coup :
« Oh oui Jacques chéri, tes doigts sont bons, mais s'il te plait, viens avec ta queue ! »


Je crois qu'il n'attendait que ça. Il s'approche vraiment d'elle et doucement la pénètre par derrière. Sous cette pénétration, Léa commence à gémir comme jamais encore je ne l'avais entendue ce soir.
Et lorsque Jacques semble être entré à fond elle se met à onduler doucement d'avant en arrière. Je commence moi aussi des va et vient et Jacques semble en faire autant tout en lui caressant les seins.


Léa gémit de plus en plus fort. Ses yeux s'embuent de larmes de plaisir. Et d'un seul coup un long cri de jouissance s'échappe de sa bouche. Ce cri déclenche mon éjaculation et je jouis intensément. Il en est de même pour Jacques. Nous arrêtons nos mouvements. Léa se serre contre moi et Jacques se serre contre elle. Nous restons un long moment enlacés ainsi pour reprendre nos esprits sans rompre le contact de nos corps.


Au bout de quelques minutes, nous commençons à nous séparer. Jacques se retire en premier, s'assied à coté de moi. Léa se soulève, libérant ma verge. Elle s'allonge sur nous, la tête et le haut du corps sur les genoux de Jacques, et le bas du corps sur les miens. J'ai ainsi encore la chance d'avoir sous mes yeux sa chatte et ses jambes. Nous restons ainsi un bon moment sans rien dire simplement pour savourer l'instant présent.
Léa commence à parler la première. Elle s'adresse à son mari :
« Merci mon chéri de m'avoir offert ça. »


J'avoue être un peu étonné de l'entendre dire ça, et je le lui dis.
« Mais non Gégé, ne t'offusque pas.
- Tu sais Léa, après ce que nous venons de faire, et le plaisir que nous avons eu, il serait très mal venu de ma part de m'offusquer.
- C'est très simple tu sais. Faire l'amour avec deux hommes est un fantasme que j'ai depuis très longtemps. Nous en avons souvent discuté d'ailleurs car nous ne nous cachons rien. Et un jour lors d'une de nos discussions, Jacques m'a dit que si vraiment je voulais le faire il voulait bien. Il voulait quand même être l'un des deux.
- Ca me parait normal, dis je !!
- Oui bien sur. Et pour le deuxième il voulait me laisser le choix. C'était à moi de le trouver. Et je t'ai choisi, parce que nous avons toujours eu d'excellents rapports, et que je t'aime bien. Et comme maintenant nous ne travaillons plus ensembles c'était moins gênant. Voila je suis rentré l'autre soir en lui disant que je t'avais choisi, et il a été d'accord.
- Je ne peux que te remercier de m'avoir choisi, car ce fut pour moi un moment intense inoubliable.
- Et moi, je ne regrette pas non plus. Ca a été encore plus géant que je me l'imaginais. Ce fut vraiment un plaisir que je n'avais encore jamais ressenti.
- Et tu avais prévu qu'on ferait tout ce que nous avons fait ?
- Non je n'avais pas vraiment prévu, je voulais laisser les choses arriver. Mais j'avoue que votre pénétration ensemble, c'est vraiment géant. Tout ce que j'avais prévu, c'était de te "chauffer" un peu.
- La "chauffe" a été très réussie. Avec une telle discussion, c'était impossible de la rater !
- Oui, mais tu as été très doué pour ça Gégé… et pour la suite aussi d'ailleurs !
- Merci Léa c'est très gentil de me dire ça.
- Bon ce n'est pas tout ça, dit Jacques, je crois qu'il serait temps d'arroser cet instant. »

 
Il revint quelques instants après avec une bouteille de champagne et trois coupes. Nous trinquâmes joyeusement en échangeant encore nos impressions sur ce formidable moment.
« Bien Léa et Jacques, il ne me reste plus qu'a vous remercier, mais les mots me manquent pour exprimer ce que je ressens. Il est très tard, il va falloir que je pense à vous quitter.
- Gérard nous avons partagé un moment de plaisir intense pour nous trois, les remerciements sont inutiles. Mais pense quand même à te rhabiller avant de partir ! »


J'éclatai de rire, car nous étions encore nus tous les trois. Nous nous sentions tellement bien qu'aucun de nous n'avait ressenti le besoin de passer un vêtement.
Je me rhabillais, embrassais Léa, serrais la main de Jacques, et rentrais chez moi, en me demandant quand même si j'avais bien vécu ce moment, ou si ce n'était qu'un rêve.

 

Signé Gérard M.

Par Gérard le Matou - Publié dans : Les plaisirs du candaulisme - Communauté : Couples candaulistes
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Commentaires

Qui ne voudrait pas avoir une telle collègue ? tu as eu bcp de chance, mon vieux !
commentaire n° :1 posté par : Sami le: 10/03/2011 à 21h20

Souvent, il faut mieux regarder autour de soi....

réponse de : Sophie de R. le: 17/03/2011 à 00h18
Chaude, la garce. Je devrai regarder mieux mes collègues femme. j'aime bcp, je bande comm un turc.
commentaire n° :2 posté par : Selim le: 10/03/2011 à 22h06

Je veux des preuves !!!! lol

réponse de : Sophie de R. le: 17/03/2011 à 00h19
Offrir de tels moments à son épouse, c'est une preuve d'amour inoubliable. Je te souhaite ma chère Sophie de connaitre aussi de tels moments. Ton chéri y est disposé je crois
commentaire n° :3 posté par : Olga le: 11/03/2011 à 08h28

Oui, mais nous ne "pratiquons" pas assez, faute de candidats !

réponse de : Sophie de R. le: 17/03/2011 à 00h21
!!! Quel veinard ce Gérard !!!
commentaire n° :4 posté par : brunobi le: 12/03/2011 à 08h21

Et tu es bien placé pour savoir ce qu'il a pu ressentir, n'est-ce pas ?  ;)

réponse de : Sophie de R. le: 17/03/2011 à 00h26
A la lecture de cette aventure j'aurais aimé m'appeler Gérard,
commentaire n° :5 posté par : brunobi le: 12/03/2011 à 08h42

Tu es Bruno, et tu as aussi vecu de bien belles aventures...  ;)

réponse de : Sophie de R. le: 17/03/2011 à 00h28
il a bien de la chance une histoire d amour ou le mari a su rendre sa femme heureuse
commentaire n° :6 posté par : romain57 le: 12/03/2011 à 09h13

Le secret des couples heureux est de savoir satisfaire les desirs l'un de l'autre...

réponse de : Sophie de R. le: 17/03/2011 à 00h29
Si vous ne pratiquez pas "assez" c'est dommage, mais ça veut dire que vous avez déja pratiqué! Tu nous racontes? J'aimerais beaucoup que tu aies connu ce bonheur que de s'offrir avec la complicité, le regard et les encouragements de l'homme de sa vie
commentaire n° :7 posté par : Olga le: 17/03/2011 à 07h21

Les "volontaires" manquent, et il faut rester discrets, compte-tenu de la taille reduite de la communauté...

réponse de : Sophie de R. le: 23/03/2011 à 21h14
Rendons à César ce qui lui appartient ! Je ne suis pas l'auteur dette histoire ! Par contre, félicitations à ce dernier pour cette belle aventure !
commentaire n° :8 posté par : Gérard le Matou le: 27/08/2012 à 17h28

Merci de la précision, et de ton souci de l'exactitude !

réponse de : Sophie de R. le: 14/09/2012 à 20h36
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