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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

 

Chapitre 1

 

Je me prénomme Marie, j’ai quarante ans, j’habite dans le Nord de la France, je suis mariée. Mon mari, fort heureusement, ne connait pas tous mes fantasmes, ni mes pensées les plus secrètes. J’aime ressentir une certaine liberté dans mes actions extraconjugales, elles sont nombreuses, car je suis insatiable, mon mari malgré ses efforts ne me suffit pas.

 

L’histoire un peu spéciale que je vais vous conter s’est déroulée au mois de juillet de l’année dernière, Personne n’en a rien su, ni à l’époque ni maintenant d’ailleurs, fort heureusement pour ma réputation.

 

Un jour de juin de l’an dernier donc, ma meilleure amie, Catherine, me téléphone pour me demander de garder son chien, Xenos. C’est un splendide Golden Retriever de couleur crème. Il est âgé de cinq ans, très gentil, très affectueux, un peu expansif. Elle souhaite me confier son animal durant ses trois semaines de vacances d’été.

 

Ce n’est pas la première fois que je le lui garde, mais je ne l’ai jamais eu pour une si longue période, seulement quelques jours par-ci par-là, surtout le week-end, toujours en présence de mon mari. Je suis plutôt contente de sa demande. Je la rassure donc. Bien au contraire, je suis ravie de lui rendre ce service. Cela me fera un compagnon pour mes longues journées solitaires de l’été, mon mari ne prenant ses congés qu’en août. Comme je suis femme au foyer, sans enfants, j’ai tout de même un peu de temps libre. Parfois, je me sens un peu seule. Même le surf sur certains sites très cochons ne suffit pas toujours à me distraire et surtout à me combler. Mon mari n’y verra sûrement aucun inconvénient, de toutes les façons, ma décision est déjà prise, j’en ai trop envie.

 

À la date convenue, Catherine amène donc Xenos à la maison. Nous sommes le vendredi 7 juillet dans l’après-midi. Il est convenu qu’elle couche le soir pour ne prendre la route de ses vacances qu’après le petit déjeuner du lendemain matin. Elle aura ainsi tout loisir de me donner les détails pour que cette cohabitation se passe au mieux, pour nous comme pour son chien. Pendant l’apéritif et le repas du premier soir, un barbecue préparé par mon mari, Xenos est en permanence près de sa maîtresse, souvent sous la table, couché à ses pieds. Il sollicite en permanence des caresses dont elle ne le prive pas. Le chien et sa maîtresse me semblent très proches l’un de l’autre, très complices apparemment. Je remarque également qu’il vient fréquemment poser son museau sur la cuisse de mon amie, recouverte du fin tissu de sa robe fleurie. À aucun moment elle n’esquisse un geste de refus, ni ne le repousse. Son chien se comporte un peu comme si son instinct canin lui faisait comprendre le prochain petit abandon dont il va faire l’objet. Cette marque de tendresse animale me trouble énormément. J’en éprouve comme un début de jalousie. J’aimerais bien que Xenos me montre à moi aussi qu’il apprécie ma présence en venant poser sa tête sur ma cuisse nue.

 

J’ai toujours été très attirée par nos amis à quatre pattes, les chiens bien plus que les chats. Cette passion est née à mon adolescence et ne m’a plus quitté depuis. Il est malheureusement difficile dans notre société hypocrite, de faire partager cet engouement un peu excessif. Peu de gens sont aussi sensibles que moi à la sensualité et surtout à la vigueur d’un beau et grand chien.

 

En attendant, un peu perdue dans mes pensées, je me console en me disant que je vais avoir le chien de mon amie pour moi seule, pendant au moins trois semaines, en dehors de tout témoin. Cette perspective me comble de bonheur. Je sens comme un début d’humidité sur le gousset de ma petite culotte. Lors des allées et venues du chien autour de la table, je ne me prive pas du plaisir secret de lorgner les lourds testicules gonflés qui apparaissent au milieu des poils fauves de son arrière-train. Ses grosses couilles pendantes me font vraiment rêver. Je les imagine pleines d’un chaud et délicieux sperme, cette pensée ajoute à mon trouble. Si j’avais été seule, à n’en pas douter, Xenos aurait eu droit à une gentille amabilité manuelle de ma part ! J’ai très envie de les presser délicatement dans mes doigts et pourquoi pas, les porter à mes lèvres, humer leur forte odeur… Je suis vraiment une incorrigible cochonne lubrique ! Ah si ce gentil toutou pouvait sentir les doux effluves évocateurs de mon entrecuisse ! Mais pour l’heure, seule Catherine est l’objet de ses attentions. En les regardant tous deux, je me demande si mon amie a la même attirance que moi, si elle s’est déjà livrée sexuellement à son chien... Il faudra que j’en aie le cœur net, que je fasse ma petite enquête.

 

En toute fin de soirée, nous  prenons congé, tous trois un peu fatigués par l’excès de boisson et de nourriture. Après les bises d’usages et les caresses au chien, Catherine et Xenos se dirigent vers la chambre d’ami ou tout a été préparé par mes soins pour eux. La panière du chien est au pied du grand lit qui attend Catherine.

 

 

 

Chapitre 2

 

La nuit s’écoule calmement. Avant de sombrer dans le sommeil, j’ai beau tendre l’oreille pour déceler des bruits venant de la chambre qui jouxte la nôtre, je ne perçois aucun son suspect. Au matin je constate cependant que la panière n’a pas été utilisée. Xénos a donc dû dormir avec Catherine ! Cette constatation évidemment me ravit, mais je me fais peut-être des idées fausses.

Tout le monde se retrouve au petit déjeuner que nous faisons un peu trainer pour retarder le douloureux moment de la séparation entre Catherine et Xenos.

Vers 10 h 30, bien plus tard qu’elle n’escomptait, elle nous fait un dernier signe de la main avant de passer la grille de notre propriété, au volant de son auto. Le Golden regarde s’éloigner le véhicule en gémissant un peu, mais cependant, il reste à mes pieds, comme le lui a ordonné sa maîtresse. J’apprécie énormément l’obéissance de ce chien, remarquablement bien dressé, voilà qui promet de bons moments.

 

Le week-end se passe sans histoire. Nous prenons nos marques, faisons mieux connaissance, Xenos et moi. Dès le départ de Catherine, il ne me quitte plus, me suit de partout. Dès que je me lève pour telle ou telle raison, il fait de même et me colle aux talons. Il semble avoir fait un transfert de Catherine vers ma personne. Mon mari lui ne s’en occupe pas le moins du monde, il me laisse l’entière responsabilité de la garde, ce qui ne me contrarie guère, bien au contraire.

 

Le lundi 10 juillet, je me lève vers huit heures, mon mari est déjà parti au boulot. Je trouve Xenos sagement allongé sous la table de la cuisine. Il se lève à mon apparition, remue la queue, viens me faire fête. Je suis en long tee-shirt, sans aucun autre vêtement. Le chien cependant redevient vite calme après cette petite effusion de bienvenue. Pour tester son état d’esprit, je saisis sa tête et dirige sa truffe entre mes cuisses, sous mon tee-shirt. Il me renifle longuement, mais ne semble pas y prendre goût. Ne n’insiste pas, un peu dépitée. Me serais-je fait des idées à propos des relations de Catherine avec son compagnon à quatre pattes ?

 

Je m’installe pour le petit déjeuner que mon mari m’a gentiment préparé. Xénos s’allonge sagement sous la table, entre mes pieds nus. De temps en temps, je lui caresse de la main le sommet du crâne, il me montre sa satisfaction en me la léchant, ce qui me fait un peu frissonner, mais je résiste. Entre deux biscottes je caresse son ventre de la pointe de mes orteils nus. Il les lèche également, mais sans grande conviction, comme une simple politesse. Je suis de nouveau un peu déçue de ce manque d’enthousiasme. Malgré tout, j’apprécie ses délicieux petits coups de langue de soumission entre mes orteils. Ma collation terminée, je me lève, me dirige vers la salle de bain pour prendre ma douche. Pendant que l’eau gicle sur mes seins, Xenos assis sur le pas de la porte me regarde faire, sans broncher.

Je me caresse un peu, mais sans insister, j’ai bien mieux à faire.

 

Je ferme les robinets, me sèche soigneusement. Xénos est toujours aussi attentif, à l’entrée de la salle de bain. Il doit sentir que ce domaine ne lui est pas réservé, il m’attend donc sagement. Toujours nue je m’approche de la porte. Le chien se lève pour me livrer passage. Je me dirige vers la chambre, il me suit. Je m’allonge sur le lit, mais une fois encore, il demeure sur le pas de la porte, comme intimidé. Dès que je l’appelle, il remue la queue et vient au pied du lit.

 

Je le regarde, il me regarde, essayant de comprendre ce que j’attends de lui. Du plat de la main, je l’invite à monter sur le lit. Il n’ose pas, malgré mon insistance. J’ai beau le solliciter du geste et du verbe, il est encore intimidé ou tout simplement trop bien dressé. Pourtant, je suis sûre qu’il couche avec Catherine, cela ne fait plus aucun doute dans mon esprit.

Je vais devoir l’attirer d’une façon ou d’une autre. Je passe mes doigts sur ma chatte et les lui présente, tout parfumés de mon désir. Il renifle sans enthousiasme, donne un coup de langue rapide, simple politesse et repose son arrière-train sur la moquette.

 

Il va me falloir utiliser les grands moyens. Je me lève, me dirige vers la cuisine, Xenos me suit. Je fouille les placards et finis par dénicher un pot de beurre de cacahuètes, dans le bas du réfrigérateur. Je le passe quelques secondes au micro-ondes, histoire de le ramollir et de le réchauffer un peu.

Je plonge mon index dans le beurre, l’enduis grassement, le présente à Xenos qui ne se fait plus prier… Ravie de ma bonne idée, je fais un bref détour par la salle de bain, me saisis d’une serviette, retourne dans la chambre où je l’étale sur le lit. Xénos bien plus empressé, la queue battant la mesure ne m’a pas quittée d’une semelle, lorgnant le pot avec intérêt… La gourmandise va être ma meilleure alliée, tant pis pour les recommandations de Catherine au sujet de son régime.

 

Je m’allonge sur le lit, cuisses ouvertes, je me tartine la chatte de beurre encore tiède, sur le pubis, entre les lèvres, dans le vagin, sur mon anus que j’enduis copieusement, sans oublier la raie des fesses. Cette tartinade consciencieuse me chauffe un peu les sangs. Je présente dans un premier temps mes doigts gras au chien qui se charge de les nettoyer en trois coups de langue… Il est à ma merci !!!

 

Xénos me regarde pour en avoir encore. Je n’hésite pas, je m’allonge sur la serviette, au bord du lit, j’écarte les jambes au maximum et j’attends le museau de Xenos avec excitation. Mes seins sont tendus, je sens que je coule, ma mouille se mélange au beurre d’arachide. Je caresse mes seins, je pince légèrement mes tétons, tire dessus, les graissant de cacahuète. Xénos lèche timidement, au début. Son museau appuie sur mon sexe, sa langue large et puissante se régale, moi de même. Par moment elle vient frôler mon bouton, me procurant un long frisson de bonheur. J’ouvre mon sexe de mes doigts. Je sens la langue du chien sur mes lèvres coulantes, mon clitoris est bandé comme un arc, je le sens durcir, la truffe de Xenos le titille avec rudesse, ce qui déclenche des spasmes de plaisir dans mon ventre. Je ne veux pas que cela cesse, je donnerai tout pour qu’il poursuive son délicieux festin.

 

Avec une main j’essaie de maintenir les lèvres ouvertes, pendant que je calme mes seins avec l’autre. La langue de Xenos me procure un plaisir extraordinaire, j’ouvre ma raie, la langue du chien lèche entre mes fesses, une nouvelle extase m’envahit lorsqu’il insiste sur mon anus. Xénos se retire, je le prie de continuer :

« Allez, Xenos, sois gentil, lèche-moi bien mon toutou ! »

 

Il replonge son museau entre mes jambes, je pense que je vais défaillir de bonheur. Je me glisse au pied du lit, la croupe relevée, fesses offertes, fesses ouvertes, à quatre pattes, la joue sur la moquette, comme une chienne en chaleur. Xénos tourne autour de moi sans comprendre ce nouveau jeu, me laissant dans un état de frustration insupportable. Je l’incite à revenir entre mes jambes, avec de petites claques sur mes fesses.

 

Il revient, et repart, revient, repart, c’est horripilant. Toujours à quatre pattes, je glisse une main entre mes cuisses, enfonce trois phalanges dans mon vagin et me masturbe pour parer à l’urgence. Xénos cherchant mes doigts encore parfumés se place derrière moi. Je ne le vois plus, je suis absorbée par ma branlette. Soudain je sens de nouveau sa langue, il me lèche l’anus et l’ensemble de l’entrejambe. Je me masturbe plus violemment, sa langue insiste alors sur mon anus qui n’est pourtant plus enduit de beurre. La joue posée sur la moquette, je glisse mon autre main entre mes jambes et titille mon bouton. Une explosion de jouissance me secoue, cela part de mon entrecuisse et remonte à l’intérieur de mon ventre vers mes seins.

 

Je bave de plaisir, c’est trop bon. Xénos entre deux coups de langue tourne autour de moi, indécis. Je reste dans cette position, à le regarder. Il est beau, avec ses muscles saillants, ses grands beaux yeux tendres. Je reprends mes esprits après un long moment. Mon calme revient peu à peu, il s’allonge près de moi.

 

Je m’assois à côté de lui, enserre son cou entre mes bras. Il se redresse sur se pattes, me lèche le visage, je mêle ma langue à la sienne et me relève en embrassant sa truffe.

 

Alors qu’il est près de moi, je profite de son calme pour passer ma main sur son ventre. D’abord près de la base de son poitrail, puis comme il semble n’y trouver rien à redire, de plus en plus bas entre ses pattes arrières. Ma main caresse son ventre à présent. Ses poils se font de plus en plus doux au fur et à mesure de la progression de mes doigts. Ma main passe près de son sexe, le contourne sans le toucher. Elle atteint ses testicules gonflés, je les presse doucement avec une infinie précaution, j’en rêvais depuis hier ! La queue de Xenos qui battait l’air cesse soudain son mouvement de métronome.

 

Le chien s’immobilise, attentif à ce que je lui fais, surpris de cette caresse incongrue. Je pense qu’il a compris que le repas est terminé, que j’attends de lui une prestation bien différente. Mes doigts malaxent ses boules grosses comme de belles prunes. Elles sont couvertes d’un fin duvet très agréable au toucher. Je les sens vivantes sous mes pressions. Je les imagine pleines d’un bon sperme chaud et épais, abondant. Mes sens chavirent à cette perspective.

 

Les papillons familiers investissent mon bas ventre qui se contracte. Je me sens devenir femelle en chaleur au contact de ce mâle docile qui se laisse tripoter, à l’écoute de ses propres sensations. Il a un peu écarté les pattes arrière. Ma main abandonnant ses couilles, glisse doucement vers son fourreau poilu. Je le saisis, il est d’une incroyable douceur. Je le presse en un lent mouvement de masturbation. Xénos lève un peu la patte gauche en un mouvement saccadé, il a l’air d’aimer ça. Je presse davantage, j’accélère encore, j’ai une furieuse envie de voir sa bite sortir de son étui de peau poilue. Mes efforts sont enfin couronnés de succès lorsque je vois une jolie tétine rose pointer enfin, faisant un magnifique contraste avec ses poils fauves.

 

 

La suite très bientot...

Par Xenos69 - Publié dans : Zoophilie - Communauté : Zoo en fête
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Commentaires

belle histoire je suis impatient de decouvrir la suite
commentaire n° :1 posté par : romain57 le: 03/07/2010 à 11h09

Elle va venir bientot... Mais j'alterne un peu les genres...

réponse de : Sophie de R. le: 04/07/2010 à 16h53
bonjour, tres bonne petite histoire , je pense que tu ne vas pas tarder à le prendre en bouche
commentaire n° :2 posté par : michel592 le: 03/07/2010 à 13h40

Serais-tu devin ?

réponse de : Sophie de R. le: 04/07/2010 à 16h54
bravo Marie. Ton récit est bien excitant. Il me tarde d'en arriver au moment où Xénos va te saillir.
J'ai hâte de lire ton aventure
commentaire n° :3 posté par : brunobi le: 03/07/2010 à 14h21

Et tu n'es pas au bout de tes surprises, mon cher Bruno.

réponse de : Sophie de R. le: 04/07/2010 à 16h54
Marie,
ça me rappelle la seule fois, malheureusement, où j'ai branlé un chien et qu'il a jouit dans ma bouche....
la suite, vite, je mouille
bisous
Laure de la Marne
commentaire n° :4 posté par : laure51100 le: 03/07/2010 à 15h39

Il te faudra etre un peu patiente...

Mais je me demande si je ne vais aps créer un blog specifique...

réponse de : Sophie de R. le: 04/07/2010 à 16h55
Ja euis horrifiée.. et très excitée ! J'ai une curiosité sans doute malsaine à connaitre la suite.. C'est pour quand ?
commentaire n° :5 posté par : Hermionne le: 04/07/2010 à 06h09

Sentiments frequents, devant une telle experience !

réponse de : Sophie de R. le: 12/02/2011 à 20h53
récit bien excitant et qui nous mets... l'eau à la bouche !
commentaire n° :6 posté par : Laurent le: 05/07/2010 à 16h02

Seulement à la bouche ???

réponse de : Sophie de R. le: 12/02/2011 à 20h49
Qu'est-ce que c'est excitant Marie.
Après la langue, j'imagine la bite du chien en train d'aller et venir dans ton vagin, puis d'éjaculer tout son sperme... Vite la suite !
commentaire n° :7 posté par : Thierry le: 21/07/2010 à 18h57

Elle arrive, elel arrive.. C'est moi qui n suis plus ! lol

réponse de : Sophie de R. le: 24/07/2010 à 16h55
tres excitant donne envie de franchir le pas
commentaire n° :8 posté par : cathy le: 17/01/2011 à 16h20

Alors, il faut le faire !!! tu nous raconteras ?

réponse de : Sophie de R. le: 26/01/2011 à 21h26
chère Marie,
Ta façon de raconter les choses a le don de faire dresser les queues et je m'étonne que ton chien ait mis tant de temps à comprendre ce que tu attendais de lui. Mais, je suppose que tu aimes faire languir tes lecteurs pour fantasmer à l'insu de ton mari, non?En tout cas bravo!Tu m'as obligé à sortir mon 20 cm tout dur et trop à l'étroit dans mon slip d'homme d'âge mûr.Je me suis un peu astiqué en te lisant.J'adore les "chiennes" très cérébrales qui ont un gros toutou et aucun tabou ni interdit pour stimuler l'imagination perverse du plus grand nombre.
commentaire n° :9 posté par : bouillet le: 14/05/2012 à 19h35

Marie sera sanss dou(e ravie de savoir quel effet elle a produit sur vous !

réponse de : Sophie de R. le: 30/05/2012 à 21h08
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