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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Il est vingt heures passé de cinq minutes, lorsque j'arrive devant chez Claude. A Paris, on ne roule pas toujours comme on le voudrait. Aujourd'hui, ça m'agace plus que de coutume. Depuis que je l'ai appelé hier soir, je n'ai cessé de pensé à ce superbe eurasien. Il est beau et à une grâce assez féminine, je dois dire, qui le rend à mes yeux encore plus tentant, j'ai plus envie de le câliner, caresser et baiser bien sûr que de faire comme avec Robert par exemple, où ce n'est juste qu'une histoire de bite et de cul.

 

Lorsque Claude m'ouvre sa porte, il est vêtu de robe de chambre toute fleurie, très asiatique. Il est splendide et désirable ainsi. Je le lui dis tout de suite, avant même le bonjour traditionnel. Seule réaction de Claude, se blottir contre moi et m'embrasser partout sur le visage pour finir par me prendre la bouche. Il a une façon de jouer avec sa langue qui donne l'impression que nous sommes déjà en train de faire l'amour tous les deux. Il m'excite vraiment, je bande comme un fou.

 

Il m’entraîne, me tenant par la main, vers son salon. Là trône un étrange canapé. Il est composé de 3 grands éléments de plus d'un mètre de côté. De quoi les disposés, à sa guise en faire, par exemple, un grand espace pour la baise. Pendant que je m'assoie sur l'un d'eux, Claude remplit nos verres de whisky. Il me tend le mien et s'installe si près de moi que je me demande pourquoi, il ne s'est pas carrément assis sur mes genoux. Il doit sans doute deviner les pensées car il détache la ceinture de sa robe de chambre et écarte les pans. Il laisse ainsi entrevoir un corps nu, excepté un string, assez mini.

 

Il passe une jambe sur les miennes et se blottit contre mon épaule. Nous sirotons ainsi notre whisky. Jusque là nous avons échangé très peu de paroles. Nous continuons ainsi jusqu'à ce que nos verres soient vides.

Une fois débarrassés d'eux, Claude prononce seulement la phrase d'accueil qui ne s'est pas faite à mon arrivée :

« Oh ! Mario, tu ne peux pas savoir comme je suis heureux que tu sois venu. Hier quand tu es rentré dans la boutique avec ton ami, j'ai tout de suite flashé sur toi. Qu'est-ce que j'étais heureux de rentrer dans la cabine avec toi ! »

 

 Je n'ai pas le temps de lui répondre que moi aussi, j'avais flashé sur lui, car sans que je m'attende que ça arrive aussi vite, il me prend la bouche.

 

Ma maman m'ayant appris à ne jamais parler la bouche pleine, je me tais et me laisse aller au plaisir de baiser la bouche de Laurent. Elle est délicieuse, sa langue est fureteuse à souhait. Il me met dans tous mes états. J'ai pas trop la tête à penser, mais il me semble que jamais la bouche d'un garçon ne m'a fait un tel effet. Sa jambe, posée sur les miennes, est légèrement pliée, il fait voyager son genou autour de ma braguette. Cela lui permet de sentir à quel point il m'excite. A l'air de lui plaire, qui change légèrement la position de son corps pour presque s'allonger sur le mien.

 

 

Laurent est d'une grande souplesse. Il fait onduler son corps sur le mien. Bon sang, j'avais raison d'avoir flashé sur ce garçon. D'abord j'avais pensé que c'est son allure qui m'avait plu et là je me rends compte que, peut-être, avais-je senti qu'il ne se contentait pas d'être désirable mais qu'en plus il savait se servir admirablement de son corps. Je n'en peux plus, il faut que je sente sa peau contre la mienne. J'arrête nos effusions pour me déshabiller et je lui arrache presque son string. Je suis debout, dressé, dans tous les sens du terme, au dessus de lui qui prend des poses, minaude un peu. Suis-je amoureux de ce garçon ? Je l'ignore, mais ce que je sais c'est que ma bite est folle de lui.

 

Malgré mon envie de le baiser, je prends mon temps pour le contempler. Imaginez, un garçon d’un mètre soixante-quinze environ, au corps mince, aux muscles longs et fins. Il a le corps totalement et naturellement glabre. Son sexe ne semble pas très épais, mais il est assez long, bien que pas encore en érection. De son côté asiatique, il a les traits du visage assez fins qui, à mes yeux, font donne souvent à ces gens-là un air assez androgyne qui me plaît vraiment beaucoup. Sa peau aussi, n'est pas blanche. Elle est légèrement halée. Bon sang, qu'est-ce qu'il me plaît.

 

Ma bite toute bandée est au dessus de son visage, semblant le narguer. Il la regarde les yeux brillants. Nous restons un moment comme ça, nous regardant en silence et sans nous toucher non plus. La tension monte. Je vois la queue de Laurent grandir pour atteindre une longueur assez sympa. A vue d’œil autour de vingt centimètres. Par contre, elle est assez mince, un petit trois centimètres. Ne nous plaignons pas. Elle est belle et tellement tentante, cette queue. Mare de l'admirer, j'ai envie de toucher, envie d'être en lui, envie qu'il soit en moi, enfin. Ça fait vingt-quatre heures que j'attends, je n'en peux plus.

 

Je m'agenouille sur le tapis et prend sa queue en bouche. J'adore ce moment-là. En même temps mes mains caressent son corps. Il a la peau très douce, c'est délicieux de la caresser. Laurent semble sensible aux caresses. Il pousse de légers gémissements de plaisir et son corps ondule, tel un serpent. Très jouissif comme sensation. J'accentue mes caresses, deux de mes doigts le pénètrent. Aussitôt, il a comme une crispation de tout le corps, très brève, et se détend à nouveau, levant et écartant ses jambes au maximum. Il remue son bassin pour accentuer les mouvements de mes doigts en lui.

Ses gémissements montrent son plaisir. Je tente alors d'entrer un troisième doigt. Laurent ne dit rien, je fais entrer le quatrième et le pilonne doucement.

Il me chuchote des :

« Oh !Ouiii ! », qui m'incitent à aller plus loin. Mon pouce va rejoindre ses quatre petits camarades dans le ventre de mon presque amant.

 

Laurent pousse un grand « Ouiiiii ! » de plaisir, suivi aussitôt d'un « vas-y, c'est trop bon !!! »

 

Je l'encule comme ça avec mon poing. Ses gémissements s'accentuent et soudain, sans l'avoir vu venir, il jouit abondamment aspergeant mon visage. Je continue à le pilonner très doucement, le temps que son plaisir s'apaise. Son sperme coule sur mon visage, je le laisse faire. Je le sens arriver au coin de ma bouche. D'un coup de langue, je commence à le récupérer. Un délice. Il est plus sucré que salé. J'aime. Je retire délicatement ma main de son cul. Laurent se redresse. Il refait seulement surface, remarque sa crème qui dégouline sur ma figure. Il éclate d'un grand rire et de sa langue magique, il fait ma toilette, interrompant souvent son geste pour m'embrasser et me faire partager son sperme. Je vous avoue que ce n'est pas le sperme de Laurent qui me fera changer d'avis. Oh! Non. J'adore ça.

 

Il vient de jouir, et moi mes accus sont chargés à bloc mais je le laisse récupérer. Pour cela rien ne vaut un câlin. Un bon gros câlin. Nous roulons sur le canapé, nus, enlacés, les caresses et les baisers pleuvent dispensant un plaisir fou. J'ignorerai toujours ce qu'éprouvent les hétéros quand ils se donnent du plaisir comme nous le faisons là. Je présume que ce doit être pareil. Surtout, si on y met de l'amour. Et là, je crois bien que Laurent et moi nous nous aimons, un peu. Nous jouissons sans éjaculation. C'est super comme sensation.

 

Laurent récupère très très vite. Il est même déjà en érection. Ça ne fait un peu moins de dix minutes qu'il a joui. Il est vraiment précieux ce garçon. Moi qui aime beaucoup me faire prendre plusieurs fois de suite, je tiens l'oiseau rare. Cerise sur le gâteau, je suis un peu amoureux de lui. J'ai besoin de le lui prouver en le baisant. Je suis allongé sur le canapé et lui sur moi.

« Empale-toi sur moi mon chéri, j'ai tellement envie de toi !

- Oh Oui, je suis en feu.. Ne bouge pas, je vais m'enculer sur toi, laisse-moi faire. »

 

Tout en me répondant, Laurent se redresse et s'accroupissant au dessus de moi, il se laisse tomber d'un coup sur ma bite et ses fesses claquent sur mon ventre. Il fait deux ou trois allers-retours puis s'immobilisent. Il me fixe du regard en souriant. Une sensation étrange me vient de ma bite. Je comprends après u bref instant d'étonnement. Il contracte son sphincter autour de moi. Un vrai délice, ce truc. Et soudain, il se met en branle, si j'ose dire, en me recommandant de ne surtout pas bouger.

 

Que me prépare-t-il ? Je ne tarde pas à savoir. Tout en montant et descendant sur moi, cette belle salope remue son bassin, d'avant en arrière, puis de droite à gauche. Il danse une sorte de lambada. Danse que nous étions encore très loin de connaître. Que je n'explose pas tout de suite, tient du miracle tellement ce qu'il me fait est bon. Laurent n'est pas en reste non plus si j'en juge par ses gémissements. Sa longue queue, toute bandée, danse en cadence. Son méat ressemble à un sourire.

 

Je meurs d'envie de le sucer aussi. Il ne perd rien pour attendre. Et j'ai la sensation que l'attente ne sera pas très longue. Je n'en peux plus, j'ai de plus en plus de mal à me retenir. Cette danse diabolique qu'il danse sur moi, est tout sauf humaine. Je n'ai pas le temps de le prévenir. J'explose en lui. Mon charmant petit sodomisé laisse éclater son plaisir dans un grand cri.

 

Il reste encore sur moi, bien ancré. Son bassin continue à remuer. Ça prolonge ma jouissance. Il se dégage enfin et se love contre moi. Il m'embrasse sur tout le visage avec des « merci mon chéri ! » en veux-tu en voilà.

 

C'est touchant, mais un peu exagéré tout de même. Je ne peux le lui reprocher, c'est tout de même valorisant. Mais le voilà qui se redresse, se met à califourchon sur moi, mais en me tournant le dos cette-fois-ci. Il recule vers mon visage, se cambre, (sa cambrure est très excitante), écarte ses fesses de ses mains et me demande de lui lécher le petit trou. J'accepte avec plaisir, mon sperme dégouline, et j'aime beaucoup lécher. Je continue ma léchouille longtemps après que l'endroit soit bien propre. Laurent ne s'en plaint pas qui me gratifie de quelques gémissements.

 

Il est terrible ce garçon. Il semble n'être jamais apaisé. Le voilà déjà en érection. Je le veux en moi, là maintenant, tout de suite. Depuis notre rencontre, hier soir, j'en ai envie. Je le lui demande. Il me propose alors de me mettre à 4 pattes, ce n'est pas ma position préférée, mais bon, du moment que je suis saillis ! Je fais comme il me le demande. Je suis impatient de savoir ce qu'il va me faire. Il s'éloigne, le temps de prendre de l'huile de massage. Ses mains commencent à danser sur moi, elles sont partout sur mon corps, douces et terriblement excitantes.

 

Je récupère moins vite que lui, mais je bande déjà. Ses mains, toujours soigneusement enduites de son huile, viennent de plus en plus souvent entre mes fesses, pour finalement ne s'occuper que d'elles. Il alterne doigts et langue. Il me met littéralement le feu au cul ce garçon. En me susurrant des mots bien crus enrobés de paroles douces, il laisse une de ses mains vagabonder dans le creux de mes fesses. Sans que j'y prête attention, j'ai déjà 3 de ses doigts en moi qui me ramonent avec une certaine délicatesse. Et c'est d'autant plus jouissif. Finalement, c'est sa jolie main toute entière que je sens en moi. Quelle différence avec la main de Robert, jouissive mais brutale alors qu'avec celle de Laurent, la délicatesse s'ajoute au plaisir pour le rendre plus tenace, plus envahissant. Mon corps est tout chaud. Il est heureusement ravi de voir que mon anus est très souple.

 

Sa main, agréablement envahissante, fait semblant de sortir de mon corps, se ravise et s'enfonce à nouveau en moi me faisant gémir de plaisir. Il continue un long moment cette valse hésitation. J'adore. Ma queue bande à m'en faire mal tant Laurent me donne d'excitation. Il s'arrête enfin, fait sortir sa main, lentement, très lentement. Ça aussi c'est plaisir. Il change de position et, enfin, entre en moi. Sa longue queue me remplit bien. Nous restons immobiles, juste pour le plaisir de se sentir l'un dans l'autre. Je contracte en cadence mon sphincter, Laurent adore qui me demande de continuer.

 

Mais je veux autre chose, aussi je donne un grand coup de rein, m'empalant un peu plus sur Laurent. Il entreprend aussitôt une sorte de danse qui grâce à la grande souplesse de son corps me met presque aussitôt au bord de la jouissance. Il a l'art de me mettre dans un état second dont je n'ai aucune envie d'émerger. Soudain, Laurent pousse un rugissement qui ne cadre pas avec son physique et inonde mon ventre de son bon jus. Il m'a donné tant de plaisir que j'explose moi aussi. Demain, il aura du nettoyage à faire ce chéri.

 

Il est vingt-trois heures passées. Une bonne douche est nécessaire, nous la prenons ensemble bien entendu. Comment résister à frôler, toucher, caresser le corps de Laurent. Il m'offre l'hospitalité et me fait une place dans son lit. J'ai tôt fait de m'endormir, blotti contre lui. Cela faisait à peine deux heures que nous dormions quand je suis réveillé par une sensation incomparablement douce et agréable. J'ai un peu de mal à réaliser d'où me vient cette sensation. Laurent qui me tient par la taille, m'embrasse dans le cou. Rien de tel pour tout mettre en ordre dans mon crâne. Je comprends alors pourquoi je suis plus que bien. Ce sacré gars m'encule. L'avantage d'être souple de ce côté-là c'est que seul le plaisir a pu me réveiller.

 

Si à chaque rencontre, il doit me réveiller ainsi, je peux vous dire qu'il va se passer un long temps avant que je me sépare de mon si bel amant.

 

 

Par Mario - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
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Commentaires

Toujours un grand plaisir  à lire ces mémoires. je m'y vois presque !

commentaire n° :1 posté par : Michel de Lyon le: 04/08/2013 à 18h10

Très bonne suite,peut être moins hard, mais tout aussi bandante.

commentaire n° :2 posté par : cachotier le: 04/08/2013 à 23h46

Je me régale toujours autant, et merci de ce petit mot perso, Mario.

Une suite est prévue ?

commentaire n° :3 posté par : Bernard973 le: 05/08/2013 à 16h23

Oui, et depuis, elle a été publiée.. un chapitre 12 est à venir !

réponse de : Sophie de R. le: 07/10/2013 à 00h02

Ce genre de récit m'excite, et me donne vraiment envie de sauter le pas. J'aime.

commentaire n° :4 posté par : cachotier le: 11/08/2013 à 23h35

Il faut absolument que tu le fasses un jour !

réponse de : Sophie de R. le: 04/10/2013 à 22h10

Au collège

Quand j'étais encore élève interne dans un collège, j'aimais me sentir femelle, pute, me faire baiser par plusieurs élèves !

J’adorais sentir leur bite aller et venir entre mes cuisses, s’insinuer, lentement mais sûrement, entre mes fesses pour trouver son passage au fond de mon « vagin ».

Rien que le fait d’être baisé me faisait éjaculer sans même me masturber !

Ainsi, chaque nuit, à 22 h, après que le maître d’internat éteint les lumières dans notre dortoir, je dormais nu, à plat ventre sous mes couvertures et j’attendais.

Presque 2 à 3 fois par semaine, vers 2h du matin quand tous les autres internes étaient profondément endormis, le même groupe, composé de 3 élèves, se relayait sur moi et me baisait à tour de rôle mais toujours dans le plus grand silence afin de ne réveiller personne !
Moi, je faisais toujours semblant d’être endormi, comme étant dans un état léthargique afin de leur faire croire que je ne sentais et ne remarquais rien ! Je ne donnais aucun signe, ni d’approbation, ni de refus.

 

commentaire n° :5 posté par : lailatvx le: 16/08/2013 à 09h47

Mhum.. belle histoire, fort exictante...

réponse de : Sophie de R. le: 19/08/2013 à 17h11
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