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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Cindy, tout en riant et la bouche pleine du cocktail de spermes, se relève et se colle à moi. Bon sang, qu'elle est belle et sensuelle. Décidément, elle m'excite vraiment. Le seul fait qu'elle colle son joli corps nu contre le mien et de sentir sa superbe queue contre la mienne tandis que nous nous prenions la bouche m'a fait bander.

 

Il fallait que je lui fasse l'amour, là tout de suite. Voilà deux ou trois semaines que je connais Claude, sa beauté, sa douceur. Claude et sa jolie queue inépuisable. Je me pensais amoureux de lui. Mais là, aujourd'hui, Claude m'a présenté Cindy et je suis tombé vraiment amoureux de lui, enfin d'elle. Enfin, je ne sais plus comment dire. C'est la première fois que je suis en présence d'une transsexuelle.

 

Asiatique comme Claude, mais la poitrine, superbe, qu'il a obtenue, à force d'hormones, le féminise vraiment beaucoup. Rebaptisé Cindy, c'est un être délicieux, au corps de rêves. Ce qui ne gâte rien, il a une grosse bite qui tranche avec sa silhouette et une grosse bite appartenant à un garçon très féminisé voilà de quoi affoler un vieux '' coulo'' comme disent mes amis pieds noirs.

 

Cindy est collée contre moi. Nous sommes debout, elle me fait bander comme un fou. Nous caressons et nous embrassons comme des morts de faim. Son corps ondule contre moi. Chaque mouvement est une invite à l'amour. Elle sait l'effet qu'elle me fait et en joue, sourire coquin aux lèvres. Ses yeux brillent. Voilà un supplice chinois comme je les aime, mais si on continue comme ça, je vais jouir tout seul sans être en elle.

 

La grande terrasse de Cindy n'a pas de vis à vis proches. Il fait nuit depuis longtemps. Claude affalé sur un transat nos regarde en s'adressant à Cindy dans leur langue. Me fous royalement de ce qu'ils peuvent se dire, ce que je veux, là, c'est pouvoir me retenir. Aussi désireuse de baiser que moi, Cindy arrête son petit jeu et m'entraîne vers la balustrade. Là, posant ses mains sur elle il cambre son superbe cul et me dit :

« Mario, mon chéri, prend-moi vite, je veux te sentir jouir en moi !! »

 

Je me retiens de la pénétrer tout de suite. Je m'accroupis, écarte ses petites fesses et lèche son petit trou. Il est légèrement plus foncé que le reste du corps de Cindy. Il est à peine plissé. Il est beau et ne demande qu'à être câliner. Je le lèche avec gourmandise. S'en dégage une odeur assez aphrodisiaque, j'adore. Je fais durer notre plaisir un peu plus que ce qu'il faut. Après tout, elle m'a trop excité, je lui dois la moitié de sa pièce.

 

Je sais que je réussis mon coup, si j'en juge par les ondulations de son bassin et ses gémissements. Il est temps que je l'encule. Elle et moi n'en pouvons plus. Je me relève et entre en elle facilement tant son excitation dilate son petit trou. Je suis bien elle, c'est chaud et tout humide. Nous restons tous les deux ainsi, immobiles pour jouir, aussi, de cet instant. Être l'un dans l'autre étroitement emmanchés est un moment de plaisir formidable. Malgré l'immobilité, on sent le plaisir nous envahir. J'adore. Et Cindy aussi.

 

Malgré tout ce plaisir ressenti, moi, ça me permet de me calmer, je ne veux pas jouir vite. Mais Cindy ne l'entend pas de cette oreille, elle remue son bassin, comme elle aime le faire, lentement en ondulant des hanches. Alors je n'y tiens plus, je la pistonne en alternant le rapide et le lent. Parfois, je sors complètement ma queue pour la faire rentrer tout de suite et vite. Cindy pousse un cri de plaisir, à chaque fois.

 

Je jette un coup d’œil à Claude. Toujours affalé sur son transat, il se caresse. Sa longue et fine queue est belle et me fait envie. Je lui fais signe d'approcher, il ne se fait pas prier, se lève et nous rejoint. Je n'ai pas besoin de lui dire quoi que ce soit. Ses mains me caressent doucement le dos et s'arrêtent à mes fesses. L'un de ses mains se fraie un chemin entre elles et me doigtent. Ce garçon a des doigts d'artistes. Comment s'y prend-il ? Je ne le saurai jamais. Mais ce dont je suis certain, ils me donnent un plaisir fou.

 

Cindy et moi nous arrêtons nos mouvements pour permettre à Claude de m'enculer. Bon sang que c'est bon de sentir une bite entrer en soi. Décidément je ne m'en lasserais jamais. Une fois que nous sommes tous trois biens attelés, nous reprenons notre délicieuse gymnastique. Je suis en sandwich entre mes deux asiatiques chéris. Le roi n'est pas mon cousin, je vous le dis. Alors que nos bassins s'agitent à l'unisson, j'éclate de rire. C'est con, mais j'étais en train de penser que si quelqu'un est à sa fenêtre avec une paire de jumelle, il doit se régaler de voir trois hommes s'enculant sur une terrasse. Il y a de la branlette dans l'air.

 

Je le dis à mes deux amants qui me demandaient ce qui m'arrivait. Cindy réagit en premier, et nous dit de nous installer plus prés du petit projecteur qui éclaire sa terrasse. Effectivement l'idée est excellente. Un peu exhibs tous les trois, voilà qui va mettre un peu de piments dans notre séance de baise. Encore que nous n'avons pas besoin de cela, nous sommes assez chauds comme ça.

 

Nous nous séparons et nous dirigeons vers ce projo. Cindy s'appuie sur le dossier d'un transat. Je reprends place en elle. Claude en fait autant entre mes fesses et nous reprenons notre jeu là où nous l'avions arrêté. Étant en sandwich entre mes deux chéris, c'est à moi à donner la cadence. Mais excités par l'éventualité que nous ayons des spectateurs, Cindy et Claude décident de surlignés » nos mouvements. En effet, ils forcent sur leurs jeux de bassins. Cindy remue la tête, faisant voler sa chevelure brune. Claude accentue la danse de son bassin. Imitant un peu l'outrance des acteurs du cinéma muet.

 

Entre ces deux loustics, j'ai du mal à tenir mon rôle. Mais ceci a du bon car mon désir exploser en Cindy est atténué. Ainsi, nous pouvons jouir du plaisir d'aller et venir dans nos corps. Personne ne peut nier qu’enculer quelqu'un tandis que quelqu'un d'autre en fait autant en soi, est un plaisir extraordinaire que l'on aimerait voir durer très longtemps. C'est ce que nous nous efforçons de faire.

 

Mais notre résistance, en tous cas la mienne, a des limites. Je sens que je ne vais pas tarder à exploser, je le dis à Cindy qui se détache de moi me fait face et s'agenouille pour me prendre en bouche. Elle me suce avec une science incomparable. Pour la « punir », je jouis dans sa jolie bouche. Elle prend garde de n'en perdre aucune goutte, se relève et nous embrassons, pour échanger mon jus.

 

Claude, quant à lui, continue imperturbable à me faire l'amour. C'est tellement bon que ma queue reste en érection… Cindy, gourmande en diable s'agenouille à nouveau pour me sucer. Elle le fait avec douceur, juste pour le plaisir de sentir une queue dans sa bouche. Sa langue est d'une agilité folle et ses lèvres effleurent ma verge. C'est redoutable comme effet. Claude arrive en bout de course. Il ne peut plus se retenir et n'a pas le temps de me prévenir, il explose en moi. Voilà une sensation que j'adore. Du coup moi aussi je jouis dans la bouche de Cindy. Nous nous séparons, nous relevons et corps contre corps nous nous embrassons.

 

Après cette étreinte, où nous en rajoutons un maximum, histoire de faire plaisir au voyeur éventuel. Ensuite, nous nous affalons dans les transats et nous désaltérons. Il est bientôt 2heures du matin, nous décidons de nous séparer. Nous nous rhabillons. Nous échangeons quelques compliments, mots doux et bisous coquins. Avant que Claude et moi nous sortions, je dis à Cindy que j'aimerais beaucoup la revoir. Elle me dis que elle aussi. Nous convenons que je la rappelle dans la semaine.

 

Je suis heureux et je crois que je suis amoureux de cette belle transsexuelle asiatique. En route j'en parle avec Claude. Il sourit à ma déclaration et me dit que j'ai de la chance, car Cindy lui a dit en thaï que je lui plaisais beaucoup.

« Youpi !! Ça s'arrose. Dés qu'on trouve un bistro encore ouvert, je te paie un verre !! D'accord ?

- Ok, mon chéri ! »

 

En arrivant prés du Châtelet, j'avise un bistro ouvert. Il y a encore des clients. Nous nous arrêtons et entrons. Installés à une table nous sirotons un whisky. Je dis à Claude que je tiens beaucoup à continuer notre relation, que je l'aime beaucoup et que j'adore le plaisir que nous nous donnons. Il me fait u grand sourire pour remplacer l'envie qu'il a de m'embrasser. Nous ne sommes pas seuls. Nous risquons de choquer les gens.'' Et puis je veux renouveler le plus souvent possible notre trio de ce soir. Sans compter qu'à force de vous fréquenter, j'arriverai peut-être à parler un peu votre langue, qui sait ?''

 

Claude pour toute réponse me dit :

« Viens à la maison, on va dormir ensemble. D'accord ? »

 

 Comment résister à une telle demande ? Nous quittons le bistro et nous dirigeons vers l'appart' de Claude. Là, nous prenons une douche, ensemble, histoire de nous câliner un peu. Nous allons vers sa chambre et nus comme des vers nous jetons sur le lit et nous retrouvons dans les bras l'un de l'autre.

 

Quand on a dans ses bras un aussi joli corps que celui de Claude il est difficile de s'endormir. Aussi ce n'est pas dans le sommeil que nous sombrons, mais dans la luxure. Pendant que nous faisons l'amour, je pense à Cindy et à nos moments à venir. Et en souhaitant qu'elle et lui connaissent d'autres charmants asiatiques comme eux pour agrémenter la vie.

 

Je vous raconterai ça.

Par Mario - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
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