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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Yasmine était la secrétaire d'une société d'ambulances en Ile de France, rivale et néanmoins amie de celle qui m'employait. A ce titre, il m’a été souvent donné de la rencontrer. Comme son prénom l'indique, elle est méditerranéenne. Elle avait à cette époque-là 30 ans. Brune au teint hâlé, deux superbes perles noires lui permettaient d'enflammer toute personne sur qui elles se posent. Un corps qui avait cette formidable qualité d'attirer irrésistiblement les mains.

Comme l'aurait dit le commissaire San Antonio :

« Elle avait un cul à transformer la main de l'homme en louche à potage. »

 

Ajoutez à cela une façon de marcher qui n'était que sensualité…

 

Ne se sentant pas du tout concernée par les interdits de la religion de ses parents, elle était totalement libérée et comptait bien profiter de tous les avantages que son corps lui offrait. Comme tout le monde, je la draguais et nous avions fini par bien sympathiser. Cependant, pour des raisons diverses, nous n'avons jamais pu concrétiser. Lorsque j'ai pris ma retraite, nous avons continué à correspondre. Et enfin le hasard et la chance firent qu'elle venait à Majorque pour ses vacances, au moment où je devais y passer ma dernière semaine. Nous sommes donc convenus de passer ces quelques jours ensemble.

 

Voilà cinq ans maintenant que nous ne nous sommes pas revus. J'ai hâte de la voir et enfin, de pouvoir lui faire l'amour. Je suis à l'aéroport de Palma pour l'accueillir. Le temps me paraît très long, mais c'est de ma faute : j'ai la foutue habitude d'être toujours en avance. Enfin l'avion atterrit. Dans le flot des passagers je la reconnais, elle est toujours aussi belle et bandante, seule sa coiffure a changé, elle a maintenant les cheveux très courts et cela lui va à ravir. Elle m'aperçoit et me fait un grand sourire, elle est belle ainsi quand son visage s'éclaire. Nous nous étreignons et nous embrassons très sagement. Nos bouches s'effleurent sans ouvrir nos lèvres.

 

Après tout, jusque-là, nous avions beaucoup parlé de ce que nous aimerions faire sans jamais faire quoi que ce soit. Mais j'ai plus qu'un bon espoir car c'est Yasmine qui a posé ses lèvres sur les miennes, en me regardant droit dans les yeux. Comme elle s'était collée contre moi, ma tenue légère n'a pu l'empêcher de constater qu'elle me faisait bander et l'éclat rieur de ses yeux m'a montré que cela lui plaisait.

 

Je la conduis à son hôtel et l'aide à défaire ses bagages. La chaleur est intense, aussi décide-t-elle de prendre une douche. Elle se déshabille sans gêne aucune dans la chambre. A-t-elle oublié que j'étais là ? Le fait-elle volontairement ? Toujours est-il que je suis en admiration devant son corps. Sa peau est naturellement hâlée. Elle est entièrement épilée, sa silhouette semble un violoncelle. Elle pousse la ressemblance jusqu'à avoir une fossette au dessus de chacune de ses fesses, semblant être ces « esses » qu'on voit sur l'instrument.

 

C'est un spectacle formidable auquel j'assiste. Je la regarde se diriger vers la salle d'eau, son déhanché me fait rêver. Dans mon short, « mon archet » est prêt à jouer avec ce violoncelle. Je dois y penser très fort car, comme si elle lisait en moi, elle se retourne et avec un sourire qui en dit long elle me dit:

« Le spectacle te plait-il, Bruno ?

- Je suis aux anges ma chérie. Je te savais belle, mais pas à ce point !

- Je vois ça ! Ton short est devenu trop court tout d'un coup ! » me dit-elle en se moquant gentiment de moi.

 

De face, elle est superbe, elle a des seins lourds, les aréoles très foncées sont larges, son ventre a un très léger rebondi et sa chatte glabre a des lèvres charnues formant comme des parenthèses pour mieux mettre en valeur un clitoris qui semble assez long. Cerise sur le gâteau, elle a un tatouage sur le ventre. Il est réalisé par un véritable artiste. Il représente un tigre prêt à bondir sur sa proie. Sa queue part du nombril dont elle fait deux fois le tour et sa gueule ouvert et babines retroussées encadrent son clito. Tout ça transpire la sensualité, tout en elle sent l'érotisme et l'envie de jouir de la vie.

 

Et sans attendre ma réponse, elle entre dans la douche et fait couler l'eau sur elle. Les gouttes coulent le long de son corps comme autant de caresses, ses mains caressent sa peau, plus pour le plaisir que pour se laver. Je l'ai suivie dans la salle d'eau, et appuyé contre le chambranle, j'admire le spectacle qui m'est offert. Je bande de plus en plus. Je ne peux pas rester comme ça sans rien faire, aussi je me déshabille et la rejoint sous la douche, sans même me demander si elle va accepter mon intrusion ou m'envoyer paître.

 

Comme elle me tourne le dos, elle ne m'a pas vu faire. Je me colle contre elle et la prends par la taille. Elle a un léger sursaut de surprise vite réprimé puis se cambre un peu, penche sa tête en arrière et la tourne vers moi, je comprends ce qu'elle veut et lui prends la bouche. Nous nous embrassons comme ça un bref instant puis elle se retourne pour me faire face. Son baiser m'embrase elle a une langue vive et agile, elle est partout à la fois dans ma bouche. Nos mains parcourent le corps de l'autre comme si nous étions des morts de faims, de faim d'amour bien sûr. C'est que sans nous le dire nous avions envie de nous baiser depuis que nous nous connaissons. On pourrait croire que nous voulons rattraper le temps perdu.

 

Yasmine est souple comme un serpent, son corps épouse le mien se frotte contre lui, je me demande si j'ai pu bander aussi fort qu'aujourd'hui. Je sens que je vais jouir tant elle m'excite :

« Non ! Arrête ! Arrête ! Je t'en prie, tu vas me faire jouir trop vite ! »

 

Yasmine au contraire continue à se frotter contre moi tout en descendant, prend ma queue en bouche, sa langue est vraiment agile et rapide j'ai la sensation qu'elle a complètement enveloppé ma bite, contraste, ses lèvres vont et viennent doucement le long de ma hampe. Cette façon de faire me fout des frissons et me fait gémir, et je ne tarde pas à sentir monter mon sperme. Je le lui dis, mais elle ne se retire pas et aspire de plus en plus vite, elle a hâte de me sentit exploser, ce qui arrive d'ailleurs immédiatement.

 

Yasmine, gourmande, n'en perd pas une goutte. Elle se relève tout en se frottant contre moi, et quand enfin elle est debout, elle me regarde un instant avec un sourire dans les yeux, colle ses lèvres aux miennes et nous partageons mon jus, ce jus qu'elle a su faire naître de la belle manière.

« Dis-moi, Bruno, tu ne trouves pas qu'on a été cons de rien faire tous les deux il y a quelques années ?

- J'te l'fais pas dire ma chérie, aussi j'te propose de faire comme si on voulait rattraper un peu du temps qu'on a perdu d'accord ?

- Ah, ça oui, alors !! »

 

Nous sortons de la salle d'eau, nus et trempés de l'eau de la douche. La baie vitrée de la chambre est grande ouverte. La vue est splendide. Yasmine et moi, nous approchons du balcon pour profiter du spectacle. La belle est blottie contre moi, sa peau, douce et chaude, me fout de l'électricité dans tout le corps, je sens des fourmillements dans mes extrémités, toutes mes extrémités. Peut-être le sent-elle qui me caresse le corps d'une main espiègle et douce.

 

Je n'ai plus vingt ans depuis un moment, pourtant j'ai déjà envie de recommencer avec elle. Et sa main qui a pris « mes choses en main » ne fait rien pour arranger les choses. Ma queue est en pleine croissance. Du coup, Yasmine pose ses yeux dessus, ce qu'elle voit lui semble plus intéressant que le spectacle que nous donne ce coin des Baléares au mois de juillet. Sa jolie main prend de plus en plus d'initiative. Alors, plus rien ne compte pour moi que de m'allonger sur elle et la prendre. Je la conduis vers le lit et l'allonge.

 

Je m'agenouille, écarte ses jambes. Elle m'aide en faisant presque le grand écart. Mes mains caressent ses cuisses, mes yeux contemplent sa chatte. Elle est belle. Ses lèvres charnues semblent me faire un sourire coquin. J'aime ce spectacle. Et j'ai envie de lui prouver que je la trouve à mon goût. J'approche ma bouche de sa chatte. Ma langue fait connaissance de chacune de ses lèvres. L'endroit est de plus en plus humide. Sa mouille a un goût acre que je trouve fort agréable.

 

Ma bouche attaque son bouton qui durcit. Je le mordille un peu puis je le suce comme je le ferais d'une queue. Yasmine remue de plus en plus son bassin en gémissant. Elle prononce dans sa langue maternelle des mots dont je comprends le sens et qui sont particulièrement hard. Ça me fait plaisir, je suis sur la bonne route pour la faire jouir. Le bas de mon visage est de plus en plus humide tant elle mouille.

 

Alors je la pénètre de mes doigts en crochet pour bien faire la cour avec son point G. Apparemment, lui et moi sommes bons amis car il me répond assez vite et le corps de Yasmine se raidit, ses reins se cambrent et elle pousse un grand rugissement tout en m'arrosant le visage de sa jouissance. Un peu sadique, je continue à « crocheter » sa chatte et sucer son clito. Elle hurle de plus en plus. Ma tête est prise entre ses cuisses comme dans un étau tant elle bande ses muscles. Finalement, j'obéis à ses suppliques et cesse ma caresse.

 

Je me redresse et m'allonge à côté d'elle, mes mains caressent doucement son corps et je la couvre de baisers pour l'aider à s'apaiser un peu. Et enfin, elle refait surface me regarde et me sourit, ses yeux qui brillent sont légèrement embrumés comme si elle n'avait pas encore refait complètement surface. Je lui souris à mon tour tout en me couchant sur elle pour la pénétrer. Moment de pur bonheur, c'est quelque chose que j'attendais depuis très longtemps.

 

Ma queue bien au fond de son corps, je ne bouge plus, je profite de l'instant. Yasmine aussi d'ailleurs qui marque son plaisir en contractant en cadence les muscles de sa chatte comme pour faire des tapes amicales à ma queue. Ce petit moment de tendresse ne peut pas durer car nous avons du feu dans les reins. Je ne saurai jamais lequel de nous deux fit le premier mouvement, toujours est-il que nous baisons enfin. Mais nous le faisons, lentement sans nous hâter pour profiter pleinement de chaque seconde qui nous mènera vers ce que les anciens appelaient « La Petite Mort ». La lenteur de nos mouvements n'enlève rien à notre excitation, bien au contraire. Yasmine bouge son bassin autour de ma queue tel un serpent avalant sa proie.

 

Quel pied je prends là nom d'Éros de nom d'Éros ! Et sa peau est si douce et si chaude qu'elle donne des envies d'éternité... Je fais des efforts surhumain pour me retenir d'exploser pour faire durer le plaisir, sous moi Yasmine feule comme le tigre tatoué sur son bassin. D'un commun accord, nous cessons un moment de bouger, pour nous calmer et nous caresser et nous embrasser.

 

Mais l'envie de jouir est la plus forte, Yasmine jette soudain son bassin en avant en criant un mot ordurier, mot magique qui nous fait jouir instantanément. J'explose en elle et inonde sa chatte de mon sperme. Car notre désir de baise nous avait fait oublier la capote. Je la rassure en lui disant que je suis sain et je lui montre un peu plus tard mon « Certificat de bonne santé », Yasmine, m'assura de sa bonne santé et dés son retour à Paris m'en envoya la preuve. Ouf !!! (Petit accident à ne pas reproduire, sous aucun prétexte ! ndlr)

 

Yasmine me propose de sortir déjeuner, car elle est à jeun depuis le matin très tôt. C'est une sensuelle, qui aime faire plaisir à tous ses sens, et bien manger est pour elle important. Et comme si cela était un aphrodisiaque, après un bon repas, elle se sent prête à toutes les folies. C'est du moins ce qu'elle me dit pour justifier sa décision. Les désirs d'une jolie femme étant des ordres pour moi qui meurs d'envie de lui faire encore l'amour, je ne peux que m'incliner et nous sortons.

 

Je la conduis dans un petit restaurant qui ne paie pas de mine, situé dans une ruelle du village. Ce n'est pas un restaurant à touristes, l'ambiance est sympa, bruyante et parfois musicale mais très sympa. On y sert des plats copieux et presque familiaux. C'est simple et convivial, j'adore ça, ça m'évite de manger crispé. Et puis Yasmine est un spectacle à elle toute seule. Sans jamais être vulgaire et sans jamais manger et boire comme un goret, elle dégage une telle gourmandise sensuelle qu'elle aiguise tous les appétits.

 

Les autres clients de ce restaurant, qui sont d'ailleurs tous majorcains, la regardent avec de la gourmandise dans les yeux. Sa tenue vestimentaire y est pour beaucoup. Elle a un chemisier orange, très fin à travers lequel on aperçoit distinctement sa superbe poitrine rehaussée d'aréoles foncées et larges. Le bas est revêtu d'une minijupe qui effleure la mi-cuisse. Ses chaussures ne cachent rien de ses pieds. A chacun d'eux, un orteil est décoré d'un bijou. Au cours du repas, Yasmine me demande de me pencher sous la table et de regarder.

 

Je m'exécute, elle écarte ses jambes et je m'aperçois qu'elle n'a pas mis de culotte. Le spectacle est ravissant et très excitant. Je me rends compte alors que cette jolie femme a ceci de commun avec un iceberg que sa partie visible n'est, sans doute, aucun rien du tout à côté de ce qu'elle cache. C'est le, le seul point commun, parce que pour le reste elle est chaude bouillante. Le repas se poursuit dans les rires et les allusions égrillardes qu'elle n'est d'ailleurs pas la dernière à faire. Assez exhibitionniste elle ne cesse de se remuer sur sa chaise ce qui permet à de nombreux hommes de la salle de se rincer l'œil. Les yeux de Yasmine brillent de plus en plus. Elle prend un plaisir fou à exciter les autres. Et j'espère que j'en profiterai au maximum.

 

Repas terminé nous sortons du restaurant sous le regard admiratif des clients. Main dans la main, nous nous promenons dans ce petit bourg pittoresque. Femme jusqu'au bout des ongles, elle s'arrête devant les vitrines. Soudain, une boutique de chaussures attire son regard et elle me dit :

« Attends, je vais m'acheter quelque chose. »

 

Je ne vois rien dans cette boutique qui soit plus intéressant que dans les précédentes. Je constate que celle-ci est bien achalandée. Il y a du monde. Je comprends alors pourquoi Yasmine a fait son choix sur celle-ci. Cela va lui permettre de poursuivre le petit jeu d'exhibition qu'elle a commencé dans le restaurant. Aussi je la laisse se promener dans les rayons et reste un peu à l'écart pour assister au spectacle. Et effectivement, cela en est un. Elle jette, bien entendu, son dévolu sur les rayons les plus bas et se penche pour admirer les chaussures, mais elle le fait en prenant son temps et sans s'accroupir, montrant ainsi sa souplesse.

 

Sa jupe, très courte et légère remonte suffisamment pour qu'on puisse admirer son bel entrejambe nu. De temps en temps elle se retourne vers moi et me fait un clin d’œil. Elle s'amuse comme une petite folle. Elle finit par cesser son petit jeu et sort sans finalement avoir acheté quoi que ce soit. Elle me prend par le bras, nous nous regardons et éclatons de rire. Sacrée bonne femme tout de même !

Voilà qui me fait regretter de n'avoir jamais poussé assez loin ma drague quand j'étais en activité. Que de bons moments nous aurions alors passés !

 

Nous retournons à l'hôtel pour que Yasmine enfile un maillot, je ne connais, pas de plage naturiste aux Baléares. Elle a vite fait d'enfiler les deux minuscules bouts de tissus qui n'ont même pas honte de s'appeler maillot de bain, et nous filons à la plage, celle justement qui est tranquille et où mon rêve m'avait conduit, il y a deux jours.

 

Effectivement, elle est déserte, si l'on excepte deux couples assez éloignés l'un de l'autre pour pouvoir se croire seuls. Nous faisons comme eux et nous mettons à l'écart. Affalés sur nos serviettes nous profitons du soleil encore haut et toujours agréablement chaud. Nous ne pouvons pas faire l'amour ici, mais je vais tout de même lui donner du plaisir. Je glisse ma main dans le minuscule string et caresse son con.

 

Yasmine a un léger sursaut accompagné d'un petit gémissement de plaisir, elle me dit:

« Oh ! Oui! Caresse-moi bien ! »

 

Un moment, je câline ses lèvres charnues et lisses qui deviennent de plus en plus humides. Deux doigts que je glisse en elle me le confirme. En même temps, nous nous regardons. Ses yeux noirs brillent, et dans le même temps semblent se voiler, comme si elle se trouvait dans un autre monde. Son bassin ondule légèrement.

 

Sa main étreint mon bras jusqu'à faire mal. Son souffle se fait rapide. Ma main déguisée en exploratrice, attaque le clitoris. Déjà long, il a bien durci, je le masturbe délicatement. Yasmine gémit de plus en plus, entre en transe, son bassin remue de plus en plus. Elle émet des grognements sourds de plus en plus rapides et soudain elle se contracte et pousse un rugissement sonore et bref, ma main est inondée puis elle devient soudain toute molle. Quelques secondes durant lesquelles elle semble dans un autre monde.

 

Enfin, elle se colle à moi et me prend la bouche. Nous nous embrassons goulument et nos mains en profitent pour nous caresser. Cette fille est brûlante et ne cache ses désirs. Elle se lève et me tirant par la main me demande de venir dans l'eau avec elle car elle a besoin de se rafraichir.

 

L'eau est délicieuse nous nous y plongeons. Nous nous sommes éloignés suffisamment pour avoir de l'eau jusqu'au cou. Je prends Yasmine dans mes bras et l'enlace. De ses bras, elle me fait un collier, et m'enserre la taille avec ses jambes, aucun discours n''est utile, j'écarte alors le confetti textile qui ne cache pas sa chatte et la pénètre. Ma queue dressée est bien au fond. On reste un moment comme ça sans bouger tant ce qu'on ressent est formidablement bon.

 

Ses jambes me serrent un peu plus la taille, le collier de ses bras se fait plus ferme et Yasmine commence à monter et descendre sur ma queue. Mes mains sur lesquelles reposent ses fesses l'aident. A chaque descente, mon gland touche le fond de sa chatte. Yasmine apprécie qui gémit à chaque fois. Elle me crie son plaisir, mais elle le fait dans la langue de ses parents, je ne comprends pas mais je sens que ce doit être des mots particulièrement crûs, du genre à attiser le feu de son partenaire.

 

Ses gémissements s'accélèrent en même temps que ses mouvements. Le moins observateurs des étourdis devinerait ce que nous sommes en train de faire, et les deux couples de « notre » plage ne semblent pas particulièrement offusquer de ce que nous sommes en train de faire. Cette situation excite beaucoup Yasmine, qui a un orgasme puissant. Il se traduit par des frémissements de tout son corps, ses jambes et ses bras se serrent encore plus fort autour de moi et elle émet une sorte de rugissement sonore, puis finit par se détendre et elle me prend les lèvres, presque amoureusement.

 

Tout ça m'excite vraiment moi aussi, et je sens que je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps, je le dis à Yasmine qui aussitôt reprend ses mouvements et s'agite de plus belle sur moi.

 

J'aurais voulu faire dure ce plaisir encore plus longtemps mais j'explose en elle ce qui lui donne encore un orgasme sonore. Nous restons ainsi, l'un dans l'autre, nous nous embrassons et chacun de nous caresse l'autre, à la fois pour nous apaiser et nous remercier de ce que nous avons vécu. Ensuite nous nageons un moment avant de ressortir de l'eau et regagner nos serviettes. Lorsque nous passons devant le couple le plus proche, la femme nous fait un sourire tandis que l'homme nous fait un clin d'œil complice. Apparemment, le spectacle leur a plu. Heureux, Yasmine et moi nous nous regardons et échangeons un long baiser.

 

Il était onze heures ce matin quand Yasmine a débarqué à l'aéroport, depuis nous avons eu beaucoup d'activité. Nous aspirons à un peu de repos. Moi en tout les cas c'est sûr, pour Yasmine je n'en suis pas certain au point que je me demande si elle acceptera que nous restions sages au moins jusqu'à ce soir après le diner. A ma grande surprise, elle abonde dans mon sens. Pour fêter ça, nous commençons une longue séance de farniente, allongés sur le sable sous ce beau soleil mon meilleur ami.

 

Notre seule activité : papoter gentiment en nous tenant la main. Nous sommes si bien ainsi que nous en avons oublié le temps qui passe et sommes surpris par le soir qui tombe. Nous nous rhabillons. Et allons nous promener dans le bourg. L'Espagne a ceci d'agréable que la vie est très animée et festive le soir jusque tard dans la nuit et que l'on ne dine jamais avant vingt et une heures. Cela nous laisse le temps de faire les boutiques, comme tout bon touriste qui se respecte.

 

Yasmine repère un restaurant qui dispose d'une grande terrasse. Un petit groupe y distille de la musique, espagnole bien entendu. Voilà qui a le don de lui plaire, elle insiste pour que nous dinions là. Après tout pas? Nous nous installons dans un coin bien éclairé, car Yasmine ne résistera pas au plaisir de faire une petite exhibe. Autant donc qu'elle soit sous les spots, comme une star. Le serveur nous apporte des «cuba libre» avec quelques tapas appétissants. Nous dégustons tout cela avec délices. Au second «cuba libre» , les yeux de Yasmine commencent à pétiller étrangement.

 

Son désir de faire admirer son anatomie devient plus pressant. Je n'ai rien du tout contre une petite séance d’exhibition, mais le lieu où nous nous trouvons ne se prête qu'à du soft discret. Nous sommes dans un lieu public où on trouve des touristes de tous poils parmi lesquels des yeux chastes ou facilement effarouchables. J'ai toutes les peines du monde à la raisonner. Finalement elle accepte de montrer de la discrétion.

 

Durant notre repas, elle ne cessera pas de remuer, de changer de position, de manière à ce que son entrejambe croise la ligne de vision de tel ou tel homme qui ne manque pas d'admirer ce joli brin de femme. Je remarque qu'une femme qui, visiblement, n'a dépassé la cinquantaine que tout récemment, regarde le manège de Yasmine avec un œil brillant. Elle semble trouver cela à son goût, et lui adresse des sourires discrets. Ses yeux parlent pour elle.

 

Ma petite camarade ne s'en aperçoit pas, et continue à attiser les regards masculins. Lorsque, dessert terminé, nous nous levons pour quitter la terrasse du restaurant que la femme nous fait un signe de la main. Yasmine et moi nous nous approchons. Elle nous tend un petit mot sur lequel est noté l'adresse de son hôtel et le numéro de sa chambre.

 

Yasmine paraît gênée par cette proposition et décline l'offre car, dit-elle, « elle est exclusivement hétérosexuelle. »

Et nous partons vers mon hôtel. En chemin, Yasmine me dit qu'elle aurait volontiers accepté, mais cette femme n'était pas du tout à son goût. Dommage pour moi, j'aurais adoré voir ces deux femmes ensemble.

 

Arrivés dans ma chambre, Yasmine m'arrache les vêtements, se dévêt et se jette sur le lit en m'entrainant. Je la sens onduler sur mon corps tel un serpent. Sa reptation me fait bander. Il se dégage d'elle un parfum d'eau de mer auquel s'ajoute sa transpiration. Sans oublier ce parfum de femme excitée qui sourd de sa chatte et vient à la rescousse.

 

Comment ne pas réagir devant un tel aphrodisiaque ? Comment ne pas réagir quand Yasmine rampe sur moi en ondulant de tout son corps? Aucun centimètre de ma peau n'est négligé. Je bande comme jamais et suis prêt à exploser quand sa langue câline mes couilles, ma queue et s'arrête un instant sur mon gland qu'elle tète avec la gourmandise et la délicatesse d'une petite fille heureuse de se voir offrir une sucette. Mais le summum faillit être quand elle glissa deux doigts entre mes fesses. Après une seconde sans mouvement, elle pianota en moi.

 

L'idéal pour me faire décoller si je me laisse aller. Aussi, je l'arrête et inverse les rôles. C'est que depuis ce matin nous avons bien joué tous les deux, mais je ne me suis pas encore attardé sur ses fesses. Elles sont sublimes. Fermes et rebondies, on n'a qu'une envie les câliner, les caresser, les embrasser, les écarter. C'est ce que je fais. Yasmine adore ce traitement si j'en juge par ses petits gémissements. Mais quand enfin j'écarte ses fesses, un superbe spectacle m'attend. Elle a une aréole ronde, brunâtre, presque lisse qui encercle un petit trou bien net qui palpite montrant l'excitation de ma petite camarade.

 

Du bout du doigt, je frôle l'endroit, c'est doux au toucher. Mais quand je lui fais une feuille de rose Yasmine cambre ses reins et de ses deux mains écarte bien ses fesses me montrant ainsi qu'elle aime et qu'elle veut que je continue. J'adore lécher et caresser un petit trou surtout quand comme le sien il est humide et qu'il dégage une odeur à peine acre qui me titille le bas du ventre et me fait bander, et comme je suis un grand gourmand je m'attarde longuement à faire ce petit jeu. Yasmine gémit de plus en plus et finit par me dire:

« Encule-moi ! Je t'en supplie, Ouiii ! Encule-moi ! »

 

Et voyant que je voulais prendre du lubrifiant elle ajoute :

« Non, non, comme ça, à sec, c'est comme ça que j'aime qu'on m'encule ! Vas-y sans précaution ! »

 

C'est demandé si gentiment… Comment refuser n'est-ce pas ? Bien que je préfère de très loin la douceur, je procède comme me le demande Yasmine. J'approche mon gland de son anus pour faire les présentations:

« Joli cul de Yasmine, je te présente mon gland ! 

- Mon cher gland, ami fidèle, je te présente le bel anus de Yasmine ! »

 

Chacun d'eux semble ravi de connaître l'autre. Le petit trou de Yasmine est bouche bée tandis que mon gland bave d'admiration. Nul doute que ces deux-là se plaisent infiniment, aussi il serait cruel de les faire attendre. J'appuie donc mon gland contre son anus et entre d'un seul coup jusqu'à ce que mon ventre claque sur ses fesses. L'endroit est serré et chaud, je m'y sens bien. Yasmine pour sa part pousse un hurlement :

« WOUAAH !!!!! PUTAIN QUE C'EST BON !!! »

 

Fort de ses encouragements, je la pilonne sans ménagement mais sans pour autant aller trop vite, je veux nous faire plaisir longtemps, nous aimons ce que nous faisons autant l'un que l'autre, il serait sot de précipiter les choses. Yasmine ondulait d'une manière délicieuse ponctuant ses mouvements de gémissements plutôt stimulants.

 

La belle aimant être enculée brutalement, je me fis un plaisir de sortir d'elle pour y entrer à nouveau sans précaution, arrachant à chaque fois des « AAAH !!!! » de plaisir. Nous avons ainsi baisé un long moment et soudain, je sens que je ne tiendrai plus longtemps, et je préviens Yasmine que je vais jouir. Aussitôt, elle accélère ses mouvements du bassin et nous jouissons quasiment ensemble.

 

Nul doute que ma petite camarade a encore des envies à satisfaire. Mais moi, je ne pourrai plus rien pour elle ce soir. J'ai passé mes vingt ans depuis un moment. Je le lui dis et elle accepte d'attendre demain. Nous allons prendre une douche et nous couchons. Je m'endors heureux enlaçant Yasmine et en rêvant à ce que nous ferons demain tous les deux.

Par Bruno Bi. - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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