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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Murielle et Patrick
Première Expérience

Côte à côte sur le canapé, cela ressemblait à une scène classique de la vie de couple que l’on peut voir n’ importe où, même s’ils étaient nus, que l’homme n’était pas le mari, et que le mari les regardait par la fenêtre sans qu’ils le sachent.
« Je pensais que tu ne voudrais jamais, mais là, j’aimerais te revoir, mais je dois partir tôt ce matin, je peux t’appeler quand je reviens lui, » dit il.


Elle ne répondit pas. Regrettait-elle ce qui s’était passé ? Oui, mais pour une tout autre raison. En le faisant gicler elle s’était privée d’une bonne baise. Et maintenant il lui parlait de partir….
« L’avion décolle tôt Murielle, je dois vraiment partir. »

 

Mais il manquait de conviction.
« Très bien dit-elle, si tu dois partir…. »


Elle posa sa tasse de café, et l’embrassa. Murielle était visiblement déterminée à le retenir. Elle ne voulait pas louper cette occasion. Il prendrait un autre vol voilà tout. Elle caressa sa queue, qui entra immédiatement en érection. Il titillait ses seins, il bandait comme un âne. Murielle sourit. Elle le regarda intensément dans les yeux :
« Je veux ta queue en moi, » dit-elle fermement.

 

Je n’en croyais pas mes oreilles. Ma Femme demandait à un autre homme de la baiser.
Elle se mit face à lui, elle tint sa queue fermement, et l’introduisit en elle, je pouvais facilement imaginer connaissant sa technique le plaisir qu’il en retirait.

Ce n’était pas purement généreux de sa part. De cette manière elle le contrôlait, et pouvait l’arrêter si la taille de sa queue rendait la chose trop douloureuse pour elle. Sa prudence était justifiée, malgré la langue et les doigts en elle tout à l’heure, elle n’était pas assez ouverte, elle procédait prudemment, elle ressentait un certain inconfort à dilater sa petite chatte étroite.

La tête de sa queue était logée en elle, quelques secondes puis elle introduisit le membre en elle, il s’enfonçait de plus en plus loin. Murielle gémissait de plaisir ouverte comme elle ne l’avait jamais imaginée. Elle ressentait maintenant une intense excitation sexuelle, je n’oublierais jamais le regard de Murielle, magnifique, empalée sur cette grosse queue, on ne voyait plus que ses couilles. Il se retira doucement avant de plonger en elle à nouveau, Murielle gémit.
« Ça va ? dit-il,
- Oui, très bien, elle est énorme chuchota-t-elle.
- Je te fais mal ?
- Juste un petit peu, ne t’arrête pas ! »


Il continuait à la baiser lentement, elle gémissait chaque fois qu’elle sentait sa queue entièrement en elle, le son était sourd, il signifiait le plaisir sexuel. Il voulait visiblement prendre son temps, mais elle était si chaude, elle répondait si bien, qu’il ne put se contrôler, il gicla.


Murielle gémit profondément, elle ne pensait plus qu’à cette queue, à cette pénétration totale, elle le regarda, ferma les yeux, elle jouissait en criant. Elle voulait que ça continue, mais il devait partir.
« Murielle, tu es fantastique. »


« Murielle, je dois y aller maintenant, je veux te revoir, je t’appelle dès que je suis de retour. »


Murielle, sans parler, toucha sa queue, elle prit le gland dans sa bouche, puis déposa un baiser sur sa queue.
« Oui je le veux, » dit-elle.

Il se rhabilla, ils échangèrent des baisers, lui habillé, elle encore nue, sa main touchait ses seins, elle sentait son humidité entre ses cuisses,
« N’oublie pas de m’appeler, » dit-elle.


J’attendis le départ de la voiture, et je sonnais à la porte. Murielle vint à la porte, croyant au retour de son amant, elle ne s’était pas rhabillée. Elle changea de tête en découvrant son mari.
« Patrick, que fais-tu là ? Et ta réunion ? 
- Elle a été annulée. »

Je regardai sa nudité.
« Que tu es belle, comment savais-tu que ce serait moi ?
- Je ne savais pas. »


Murielle réalisa soudain les implications de ce qu’elle venait de dire. Elle semblait gênée, cherchant une explication crédible.
« Murielle, j’aimerais que tu m’accueilles plus souvent dans cette tenue. »


Sans attendre sa réponse, je lui demandai si elle avait apprécié sa soirée. Elle décida d’être honnête.
« A propos de cette soirée, dit-elle, il y a quelque chose que je dois te dire. Tu ne seras pas en colère ?
- Oui, qu’y a-t-il ?
- Tu te rappelles, lorsque tu m’as dit que je pouvais prendre un amant ? » 

J’acquiesçais.
« Et bien, j’ai rencontré quelqu’un ce soir, il m’a ramené, et… »


Elle fit une pause.
« Et quoi ? » dis-je.


J’essayai de rester calme, mais j’étais excité.
« Et nous avons fini par baiser
- Très bien, allons nous asseoir, tu vas me raconter. »


J’ai posé ma main sur sa cuisse. Je voyais dans son triangle l’humidité, et lorsque mes doigts touchèrent sa chatte, elle était trempée, mes doigts s’enfoncèrent en elle facilement. Elle était pleine de son foutre. Nous restions silencieux. Elle toucha ma braguette, qui était déjà ouverte. Elle vit immédiatement le sperme sur mon pantalon, et fut surprise.
« Qu’est-ce qui s’est passé, Patrick ?
- Je vous ai regardé, tous les deux… »


Je l’ai embrassée, ne la laissant pas parler, mes doigts s’enfonçaient dans sa chatte. Je me suis baissé à ses pieds, lui ai embrassé le ventre, j’étais si tendu, elle croisa les jambes, tint ma tête pour m’empêcher d’aller plus loin,
« Tu ne peux pas faire ça, il n’a pas mis de préservatifs !
- Je m’en fous, je veux t’embrasser…
- S’il te plaît, non… »

 

Elle avait une voix douce,
« Je le veux !
- Tu ne dois pas ! »

 

Sa voix s’était raffermie.
« Je dois. »

 

Ma voix aussi, s’était affirmée.


Elle ne dit rien, relâcha ma tête, j’embrassais le bord de son pubis, elle tenait toujours ses cuisses serrées.
« S’il te plaît dis-je.
- Tu veux vraiment faire ça ? « 


Pas besoin de répondre, il lui suffisait de me regarder pour savoir quelle était ma réponse.
Elle s’étendit sur le canapé, et ouvrit ses cuisses, je vins vers elle, m’agenouilla pour voir plus précisément sa chatte ouverte. Les lèvres étaient humides et gonflées, le sperme coulait, j’ai mis ma bouche contre l’ouverture, j’ai poussé ma langue en elle aussi loin que je le pouvais. Je l’entendais gémir, j’ai sucé son clitoris, elle a joui rapidement.

 

J’ai relevé ma tête et l’ai regardé dans les yeux, je lui ai dit que je l’aimais, je voulais qu’elle s’asseye sur mon visage. Plus de foutre jaillissait d’elle, je bandais, j’avais envie de la pénétrer, elle réalisa soudain qu’elle avait le contrôle, en voyant ma réaction elle comprenait à quel point cela m’excitait.
« Ca te plaît vraiment Patrick, n’est-ce pas ? »


C’était un constat, pas une question. J’acquiesçais, et léchais plus intensément encore sa chatte. Je ne m’étais jamais senti aussi proche de Murielle en léchant le foutre de son amant dans sa Féminité. J’avais une érection d’enfer, je voulais la pénétrer, et je lui dis. Il n’y eut aucune résistance lorsque je la pénétrais, la queue de son amant l’avait ouverte, elle mouillait tellement, qu’elle ne sentait même pas que j’étais en elle. Elle me toucha avec ses doigts, et j’ai giclé très rapidement. Alors que je me retirai, Murielle me regardait nerveusement.
« Tu nous regardais depuis longtemps ? dit-elle.
- J’ai tout vu.
- Tu es en colère ? dit-elle.
- Je ne sais pas... »


C’était après l’éjaculation, avant les choses semblent incroyablement érotiques, après elles perdent de leur attrait. Je songeais à ma réponse.
« Je devrais être jaloux, et en colère, mais rien de tel. En fait je trouve cela incroyablement érotique. »


Cela peut sembler étrange, mais je suis fier de toi. .
« Nous n’avons jamais rien fait avant cette nuit tu sais.
- Et pour cette nuit, ça t’a fait quoi ? »

 
Murielle me regarda, elle n’était pas méfiante, mais elle gardait ses arrières.
« C’est ton idée, tu m’as dit de sortir sans toi, tu m’as dit de prendre un amant… »


Elle s’arrêta, me regardant.
« A quoi tu penses ? A sa queue ? Elle était belle ? »


Je n’aurais pas dû demander bien sûr, mais j’avais besoin de le faire.
« Tu as dit que tu as tout vu !
- Oui j’ai tout vu, mais j’ai envie que tu me racontes.
- Que veux-tu que je dise ? Oui il a une belle queue.

- Et tu as aimé qu’il te baise, Murielle ?
- Pourquoi tu me demandes ça ?
- Parce que j’ai envie de savoir. »

 
Elle me regarda, puis parla d’une voix très douce :
« Bien, tu veux savoir, Patrick, oui j’ai beaucoup aimé.
- Il y aura une deuxième fois ? » ai-je demandé.

Elle me regarda, les yeux plein d’amour.
« J’espère, » dit-elle.


Une réponse simple, mais le flot d’émotions en moi était intense. Envie, jalousie, colère, excitation par-dessus tout, totalement contradictoire ? J’avais l’impression de flotter dans l’air, intensément excité.


Nous montâmes nous coucher, Murielle s’endormit immédiatement, je me sentais très protecteur, et je mis mes bras sur elle. Elle se réveilla très gaie au matin, nous commençâmes à faire l’amour, mais j’essayai d’imiter son amant. J’essayai de la baiser aussi fortement que lui, je me rappelai sa grosse queue en elle. Tout de suite, après je me suis demandé si Murielle comparait ma queue à celle se son amant.

 

Si elle l’avait fait, la comparaison m’était défavorable, mais c’était un bon prix pour l’excitation que cela procurait.
Je continuai d’y penser les jours suivants. Je m’interrogeais sur mon bon sens, combien d’hommes regardent secrètement leur femme faire l’amour avec un autre ? Ma queue exerçait sur moi son influence, et aussi amoral que cela soit, je ne pouvais pas nier que j’avais trouvé là une source incroyable de plaisir.

Murielle semblait avoir faim de baise, et nous baisions chaque fois que possible, Sans doute devait-elle essayer d’oublier son infidélité ? J’essayai de lui démontrer, inconsciemment, qu’elle n’avait pas besoin de lui, quelqu’en soit les raisons. Nous n’avons jamais autant baisé.

Cette période d’harmonie sexuelle devait bientôt s’achever. Le travail au bureau prenait de l’ampleur, je rentrais de plus en plus tard à la maison, je n’ai pas remarqué que Murielle s’était inscrite à un club de remise en forme. Nous nous étions promis de prendre un peu de temps pour se reposer et recharger nos batteries. Un après-midi, j’achetai des fleurs, du champagne et rentrai à la maison. Murielle n’était pas là, elle avait pris sa journée, je fus un peu surpris de ne pas la trouver à la maison. Tant pis cela me laissait le temps de me préparer.


Lorsqu’elle rentra une heure plus tard, elle sembla surprise de me trouver là. Elle portait un petit haut sans soutien-gorge, et une petite jupe, elle était jambes nues.
« Tu es rentré tôt, dit-elle.
- Une petite coupure. Puis comme tu avais ta journée, j’ai pensé que ça te ferait plaisir que je rentre plus tôt.
- Oui ça me fait plaisir, » dit elle sans trouble apparent.


Mais je sentais bien que quelque chose n’allait pas. Je lui ai donné les fleurs. Elle me dit qu’elle allait prendre une douche, j’ai décidé d’en prendre une avec elle. Puis j’ai senti l’odeur, sans doute possible : elle avait baisé. Je lui ai posé la question, elle me regarda droit dans les yeux en déclarant qu’elle avait vu son amant cet après-midi.

« Depuis combien de temps ? lui ai-je demandé,

- Quatre semaines me répondit-elle platement.

 

Elle me rappela la conversation que nous avions eue.
« Je t’ai demandé Patrick, et tu m’as autorisé à le revoir, tu t’en rappelles ?
- Je sais, mais… »


Je ne savais pas ce que j’essayais de dire. Murielle continua :
« Patrick, tu le sais pour moi la baise c’est simple, je ne veux pas que tu crois que je suis nympho, mais j’ai besoin de baiser. ,
- Mais on a bien baisé ces derniers temps, Murielle. »

Elle rit.
« Comment tu peux dire ça Patrick ? On a baisouillé ces derniers temps, d’accord, mais la dernière fois remonte à deux semaines. En six semaines, on l’a fait trois ou quatre fois, je sais que tu as du boulot, et que tu as besoin de sommeil, mais j’ai des besoins moi aussi. »


Une pause puis elle reprit :
« Il est arrivé, il m’a donné du plaisir, c’est tout ce que je lui demande, c’est tout ce qu’il attend de moi. On a une chouette relation basée uniquement sur la baise.
- Sur la baise ? »


Elle répondit à ma question muette
« Je l’apprécie, je ne l’aime pas. Elle prit sa voix sensuelle et pour répondre à ta question, oui, juste de la baise. »

 
Elle voulait me dire autre chose, je le savais, j’attendis.
« C’est un bon coup, il me satisfait.
- Murielle, ça va continuer alors ? »


J’attendais sa réponse le ventre serré,
« Je ne veux pas que ça s’arrête, si c’est ce que tu veux savoir. »+


Murielle me regarda avec sa moue adorable, je n’ai jamais connu de moments aussi doux amers. Elle se tenait devant moi, impassible, ses bras croisés. Je lui ai dit combien je l’aimais. Elle m’embrassa. J’ai défait sa jupe, je suis tombé à ses pieds, elle enleva ma chemise, j’enlevai le reste de mes vêtements. Puis j’ai pressé mes lèvres sur son ventre. J’ai touché sa culotte de coton blanc, elle était humide de son sperme qui coulait d’elle, j’ai passé mes doigts sur la trace
« Je vois qu’il ne met pas de préservatif.
- Je préfère sans me dit-elle, puis tu n’es pas concerné, et tu as bien aimé la dernière fois si je me souviens bien. »

 
Rien à dire. C’était si excitant de la lécher après qu’il ait joui en elle. Ca pourrait devenir une habitude.
« Ca peut devenir une habitude ? » dit elle,


il y eut un silence, elle se tenait devant moi, sa vulve face à mon visage, attendant ma réponse. Elle sentit ma réponse lorsque ma langue pénétra en elle. C’était le même goût. Elle savait qu’elle avait raison lorsque je la regardais dans les yeux.
« Tu n’as pas à te nettoyer à chaque fois, Murielle. »


Puis nous fîmes l’amour. J’ai giclé rapidement, mêlant mon foutre à celui de son amant.
J’ai voulu l’emmener dîner. Je lui ai demandé de ne pas se laver, de garder sa culotte, elle changea de jupe, et nous sortîmes dîner. J’ai levé mon verre à la femme la plus sexy que je connaisse, et elle répondit en me nommant le mari le plus tolérant du monde.

Il y avait du monde au restaurant, Murielle n’attirait pas l’attention, cela aurait été différent s’ils avaient su que deux hommes avaient giclé en elle cet après-midi, et qu’elle était encore humide. Murielle était en superforme. Que cette soirée était romantique.


Une pensée me rongeait, insidieuse, lorsque Murielle revenait de chez son amant cela donnait une nouvelle dimension à nos relations sexuelles. Cet après-midi, la nuit de la première fois, qu’est-ce que cela serait si je les voyais avec leur assentiment ? Si nous étions dans la même pièce ensemble, et s’ils baisaient devant moi ? J’échafaudai des scénarios pour aboutir à cette situation. Une idée prenait forme.

Par chance, j’ai croisé son amant dans un café. J’ai engagé la conversation avec lui. Il semblait méfiant, mais il avait le sens de l’humour. Je l’ai invité à déjeuner, en lui disant qu’il y aurait quelqu’un d’autre, que nous pourrions parler. On se mit d’accord sur un restaurant sympa pour le mardi suivant.

Le jour dit, j’ai annoncé à Murielle que je l’invitais au restaurant pour m’excuser d’avoir passé beaucoup de temps au travail. J’avais déjà réservé une table, je passerai la prendre à son bureau. Nous sommes arrivés vingt minutes en retard. C’était voulu. Pour qu’il soit déjà là. Il l’était, assis à la table, nous tournant le dos.
« Oh nous sommes en retard, désolé. Tu connais ma femme, Murielle… »


Il faisait grise mine, Murielle était sur les nerfs.
« Ne vous inquiétez pas tous les deux, nous devons parler.
- Je sais ce qui se passe entre vous deux, Murielle et moi en avons discuté, et elle m’a dit qu’elle souhaitait continuer. Et moi aussi ! »


Le silence était pesant. Personne ne parlait, j’ai continué.
« Je ne veux pas que ce soit derrière mon dos c’est tout. »

 

J’ai regardé son amant fixement :

« Attention, vous pourrez vous voir sans moi, mais de temps en temps j’aimerais bien être présent. »


Ma gorge était sèche, et mon cœur battait très fort après cette confession. Murielle fut la première à réagir, elle prit mes mains, et dit amoureusement :
« Oh Patrick…. »


L’amant mit quelques temps à comprendre ce que j’avais dit. Il s’assura que personne ne pouvait entendre puis,
« Attends voir, quand tu dis que tu veux être présent, j’ai bien compris ce que tu veux dire ?
- Que penses-tu que je veuille dire ?
- Ce que tu désires voir ? »

J’ai acquiescé :
« Oui, c’est exactement ce que je veux.
- Tu plaisantes ?
- Non je suis très sérieux. »

 

Pas de doute au ton de ma voix. Il regarda Murielle :
« il est sérieux hein ? »


Elle acquiesça, elle semblait nerveuse.
« Pas la peine de demander à Murielle... bien sûr que je suis sérieux, t’as entendu parler des voyeurs ? Eh bien j’en suis un, je suppose que je ne suis pas le premier mari à être excité parce que sa femme se fait sauter par un autre. »

Murielle nous regardait tour à tour,
« Nous n’en avons jamais parlé avant dis-je à son amant... Voila vous savez ce que je veux, ça dépend de vous maintenant, quoique vous décidiez, pas de répercussions, je vous le promets. »

Il regarda Murielle, toujours aussi abasourdi :
«  Tu en penses quoi ? »

 
Elle regarda son amant, puis moi. Une hésitation dans sa voix
« Je suppose que ce serait bien..... Si ça te rend heureux Patrick... »

 

Elle me sourit :

«  je suis prête à le faire, mais je parle pour moi.
- Ben si ça te va, c’est OK pour moi aussi, dit-il.
- Et bien voila, Patrick, on est tous d’accord, » me dit Murielle un léger sourire sur les lèvres.


La tension disparut lors du repas, la discussion avait éclairci les esprits, et permit le changement, bref on était tous très à l’aise. Murielle me fit part de sa désapprobation sur la route du retour. Mais cela m’était égal, maintenant tout était ouvert.

Ce même soir, il appela Murielle, elle prit la communication dans la chambre des filles pour parler plus librement. Ils ont discuté une quinzaine de minutes, en revenant elle m’embrassa sur la joue.

« Il vient samedi soir, » me dit-elle.

Ma bouche était sèche, mon cœur battait la chamade en enregistrant l’impact des mots de Murielle. J’essayais de parler calmement
« Que t’a-t-il dit ?  
- Il voulait juste savoir si cela me faisait plaisir, je lui ai dit que oui. »

Je l’ai embrassée.
« Tu veux passer la nuit avec lui ?
- Tu en dirais quoi ? dit-elle.
- Tu peux l’inviter, et dormir avec lui si tu veux.
- Tu es magnifique, » elle m’embrassa.

Magnifique, ou juste stupide ? Mon esprit était en ébullition. Il y avait bien sur une excitation intense, mais aussi de la nervosité. J’encourageai leur relation. Murielle m’avait dit qu’il s’agissait juste d’une attraction physique, mais il y avait un risque que ce soit plus que ça.

« De toutes façons, ils auraient continué à se voir, avec ou sans moi, » me raisonnais-je.

Au bureau, j’avais du mal à me concentrer sur mon travail, je pensais à samedi soir, j’ai acheté des sous-vêtements à Murielle, je voulais une couleur blanche ou pastel, quelque chose de pur, presque virginal. Puis j’ai acheté des fleurs. Je les lui ai donnés en rentrant. Je lui ai donné les dessous après le repas. Murielle les trouvait doux, elle me promit de les porter samedi. J’aimais qu’ils lui plaisent. Nous fîmes l’amour, mais je ne pus pas jouir en elle. Je l’ai écouté respirer. S’endormirait-elle aussi facilement samedi ?


Je me suis réveillé tôt samedi, j’ai fait le petit déjeuner, ai servi Murielle au lit. La tension montait, nous n’arrivions pas à discuter comme lors de nos petits déjeuners traditionnels. Murielle décida d’aller faire les magasins. Je me suis occupé l’après-midi. Murielle finissait de changer les draps de notre lit.

Vers sept heures moins le quart, Murielle alla se préparer. Lorsqu’elle descendit, elle était splendide. Maquillage parfait, l’ombre des yeux, particulièrement, et elle portait un ensemble deux-pièces. Ses seins en liberté me frôlèrent lorsqu’elle se pencha pour m’embrasser.
« Murielle tu es splendide, ma bouche était sèche.
- Tu es sûr Patrick ? »


Mon cœur battait plus vite
« C’est trop tard Murielle, mais oui, je suis sûr, autant que toi.
- Oui comme moi, mais plus on s’approche de ce moment de vérité, moins je suis certaine.
- Murielle, tu vas le faire, n’est-ce pas ?
- Oui je vais le faire, et puis c’est ce que tu veux, non ? »

Il arriva à ce moment. J’ai serré sa main. Il embrassa Murielle, et il remarqua l’absence de soutien-gorge comme je le vis dans ses yeux.
« Murielle, comme tu es belle ! »


Il l’embrassa comme une relation platonique, personne n’aurait vu là d’arrières pensées. Murielle rougit légèrement.
« Salut »

 

Sa voix trahissait sa nervosité.
On but un coup. Nous pensions tous à ce qui allait se produire. La tension était palpable, je devais faire quelque chose. J’ai regardé ma femme, et j’ai parlé ;
« Murielle, tu as l’air si chaude ce soir… »

 
Elle parut gênée. Son amant vint à sa rescousse,
« Tu es si belle ce soir, je comprends ce que Patrick veut dire. »


Elle vint s’asseoir près de moi.
« On va échanger nos places avec ton amant, tu aimerais Murielle ? » dis-je.


Elle n’arrivait pas à parler. La pièce était tranquille. Elle répondit d’un mot :

« Oui ! »


Nous échangeâmes nos places, je suis allé chercher des boissons, à mon retour ils s’embrassaient. Pas de crise cardiaque, pas en ce moment. En face de moi, devant mes yeux, ma femme se préparait à baiser avec son amant. Ses mains caressaient Murielle, il dénudait ses seins, il enleva vite, le haut, ses tétons étaient durs, il les embrassa, pendant ce temps Murielle me regardait. Elle respirait lourdement, elle jaugeait ma réaction, et elle sourit lorsqu’elle vit mon érection dans mon pantalon.

 

Mais bientôt, elle fut gagnée par son excitation sexuelle, il suçait ses seins, sa main était entre ses cuisses, elle les ouvrit, c’était plus facile pour lui, la jupe les gênait, elle la laissa glisser à terre facilement, elle me regardait toujours, ses yeux à demi clos, je n’existerais bientôt plus devant elle, elle était trop préoccupée avec son plaisir sexuel, la main de son amant était exactement ou elle souhaitait qu’elle soit, et la seule chose qui le séparait de son humidité était la culotte de coton. Il sentait les lèvres gorgées de désir sous le textile, il chuchota à son oreille.  

 

Elle se leva du canapé, il enleva sa culotte, elle retomba dans le canapé. Il sentit l’odeur intime de Murielle, ses jambes étaient ouvertes, et nous avions vue sur sa chatte, elle avait rasé sa toison pubienne. Il pressa sa paume contre la peau nue, ses doigts jouaient avec son humidité, son majeur s’introduisit en elle, et Murielle ferma les yeux, il retira son doigt, je pus voir comme elle était lubrifiée, puis il entra deux doigts en elle, les tournant doucement, l’ouvrant petit à petit, elle émit un gémissement involontaire et referma ses yeux, elle suça les doigts de son amant sortis de sa chatte, cela l’excitait, elle suçait goulument, il les réintroduisait en elle régulièrement.

 

Puis il s’agenouilla devant elle, et se positionna entre ses jambes. Il introduisit sa langue en elle. La pièce résonnait du bruit de succion, j’ai défait ma braguette, et pris ma queue, pendant dix minutes Murielle a joui deux fois, elle était totalement nue, elle était ravissante, sa langue pointait en elle.

Murielle lui demanda de se lever, de se déshabiller, elle se mit à genoux pour lui enlever ses chaussures, et ses chaussettes, elle ouvrit son pantalon, le baissa, il portait un slip Calvin Klein, Murielle embrassa son érection, puis elle enleva le slip, il était aussi nu qu’elle.
J’avais déjà vu son érection avant, mais jamais d’aussi près, et aussi bien éclairée. C’était une magnifique érection, qui promettait des plaisirs interdits... Elle lui demanda de s’asseoir au bord du canapé, nous savions pourquoi, elle allait le sucer.


Il s’assit comme indiqué, et regarda Murielle bouger entre ses jambes, il anticipait le moment ou ses lèvres, et sa langue toucheraient son sexe, elle se tourna vers moi juste avant de prendre son membre, elle me dit silencieusement :
« Je t’aime, », puis s’occupa de sa queue.


Je la regardai tenir ce membre, sa bouche accrochée à lui, je la regardai pendant qu’elle pompait doucement, je la regardais lécher cette queue du sommet à la base, je la regardais prendre ce gland dans sa bouche.

J’avais enlevé mon pantalon, ma chemise avait suivi, j’étais nu.


Murielle sourit en me voyant dans cet état, elle s’occupait encore de sa queue, je m’assis, et me branlais doucement. Ils changèrent de position, Murielle étendu sur le dos, ses genoux au niveau de ses épaules, ses bras autour de ses cuisses, ses mains ouvraient sa chatte, elle essayait de s’ouvrir au maximum pour permettre à la queue d’entrer facilement. Il se positionna à son entrée, et commença à s’introduire en elle...


En le sentant glisser en elle, Murielle gémissait de plaisir, il était au tiers en elle, elle le suppliait de ne pas s’arrêter, je voyais sa chatte trempée de désir, une autre poussée, un grognement et sa queue l’avait totalement prise, il commença doucement, se retirant prudemment, délectant la sensation de sa chatte humide et douce sur son membre, puis il replongeait dans ses profondeurs jusqu’à ce qu’il sente son pubis à la base de sa queue, il augmentait le rythme graduellement, et quand sa queue fut
en elle le plus profondément possible, il s’arrêta, me regarda :
« Alors tu voulais me voir baiser ta femme ? »


Vu mon érection c’était évident, mais j’acquiesçais,
« Et elle aime que je la baise tu vois ?
- Viens là ! »


La voix de Murielle était douce, mais remplie d’une certaine urgence. Elle avait écarté ses jambes pour lui offrir encore plus d’elle, c’était une baise urgente, brutale, puissante, exactement ce que Murielle attendait. Tout en elle, la remplissant totalement, il ne peut pas se retenir, je n’aurais pas pu non plus.

 

Je me sentais gêné, j’avais giclé devant cet homme, il était occupé bien sûr, mais c’était exactement ce que j’avais fait. J’essuyais mon ventre pendant qu’il retirait sa queue de Murielle, et qu’il allait à ses pieds. Il me jeta un coup d’œil  alors qu’il touchait sa chatte, je me demandai ce qu’il pensait, certainement pourquoi je préférais voir ma femme se faire baiser plutôt que la baiser moi-même ? Pourquoi je ne pouvais pas la baiser moi-même ?

 

Murielle se leva et revint de la cuisine avec une bouteille d’eau minérale, il était encore accroupi par terre, sa queue en repos reposait sur sa cuisse. Elle me regarda, et sourit, avant de retourner au canapé et de s’asseoir à côté de lui.


J’ai décidé d’aller me coucher. Je me levai, l’embrassai, et lui souhaitai une bonne nuit, elle était totalement excitée, ses yeux vibraient de délices.
« Bonne nuit Patrick, dit-elle, à demain matin. »


J’ai monté le sac de son amant dans notre chambre, et suis allé dormir dans la chambre des enfants. J’essayai de dormir. Les bruits n’étaient pas forts, mais je savais qu’ils avaient recommencé leur affaire. Une heure et demie plus tard, ils montèrent les escaliers, et se couchèrent. Des sons provinrent de la chambre ou ils dormaient, mais il semblait évident qu’ils étaient réveillés.

 

Le rythme régulier, les gémissements de Murielle montraient qu’il la baisait encore. Ils essayaient de ne pas faire de bruit, mais c’était en vain. Il était trois heures du matin. Les gémissements de Murielle étaient plus forts. Alors, ma main prit ma queue, je commençais à me masturber en essayant de donner du sens à ce qui se passait. Quelle ironie ! Je me masturbe dans cette chambre, un étranger est dans MA chambre, dans MON lit, et DANS MA femme… Et je me demande pourquoi je trouve ça si merveilleusement excitant ?

 

Je n’avais pas de réponse, j’ai senti le frisson d’une éjaculation proche, et je m’endormis ensuite rapidement.

 
Je me suis réveillé vers neuf heures, quelques bruits provenaient de la chambre. Ils étaient réveillés. Je m’habillai, et les appelai pour savoir s’ils désiraient une boisson. Ils dirent oui, je fis donc trois tasses de thé, et les leur apportait.


Sentiment étrange d’entrer dans ma chambre, et de trouver un homme dans le lit marital avec ma femme. Ils étaient étendus, côte à côte, couverts d’un drap, les tétons de Murielle pointaient encore, pendant que son amant était visiblement en érection.
« Bonjour Patrick dit-elle, tu as bien dormi ?
- Pas vraiment, mais mieux que vous deux, je parie... »


Elle me sourit. Nous finissions nos thés lorsque je remarquais qu’il caressait la cuisse de Murielle sous le drap. J’allais m’en aller, lorsqu’il retourna, le drap révélant son érection. Le temps que j’atteigne l’escalier, il était déjà entre ses cuisses. Je commençai à descendre Murielle écartait sa chatte pour l’aider à entrer, elle me vit alors que je la regardais, et d’un geste plein de tendresse, elle mit ses doigts sur ses lèvres et m’envoya un baiser.
Il me rejoignit après avoir pris une douche.
« Tu veux un toast ?
- Oui merci c’est sympa. »


Un silence. C’était seulement la deuxième fois que nous étions seuls, et la première opportunité de parler depuis cette soirée. Il avait plus de temps en contacts intimes avec ma femme. En théorie, nous pouvions aborder tout un tas de sujets, en pratique, j’étais gêné, il semblait l’être aussi, mais il sembla détendu lorsqu’il me parla :
« Tu sais Patrick, je ne m’attendais pas à ça, je pensais sérieusement que cela n’aurait pas dû se produire, mais maintenant je suis heureux que cela soit arrivé.
- Content de l’entendre, dis-je.
- Tu es un homme heureux, Murielle est chaude, et c’est un sacré coup ! »

C’était un compliment,
« Tu es un mec sympa Patrick, et généreux, reprit-il ;
- Oui j’ai de la chance, dis-je, mais je ne dirai pas généreux, j’aime Murielle vraiment, lorsque l’on aime on veut tout donner, et ce qu’elle veut aussi, je sais qu’elle est attirée par toi, alors…. »

 

 Murielle apparut soudain. Nous discutâmes comme de vieux amis. Puis son amant partit après le petit déjeuner. Murielle m’embrassa tendrement,
« Alors Patrick ? » demanda-t-elle.


J’avais comme un chat dans la gorge :
« Tu ne sais pas combien je t’aime Murielle…
- Je le sais, et je ressens exactement la même chose pour toi. »


Pas besoin des mots, c’était écrit dans ses yeux. Puis sa voix prit un ton doux :
« Mais tu vois bien pourquoi il m’attire sexuellement non ?
- il est monté comme un âne, et tient toute la nuit, il peut faire quoi d’autre ? »

 
J’essayais de rester sérieux mais mon sourire trahissait la plaisanterie.
« Patrick, elle me prit dans ses bras. Et toi tu as aimé ?
- Je me demandais combien de temps tu mettrais à me poser cette question. »

Elle me sourit.
« Et que vas-tu me dire ? »


Ses yeux pénétrèrent les miens :
« Oui Patrick, j’ai aimé, c’était excitant, mais maintenant honnêtement, je me sens gênée.
- Il n’y a aucune raison que tu sois gênée, tu étais magnifique, il était magnifique ! »

 
Mes mots plongeaient en elle, j’attendis un instant. J’ai passé ma main sous sa jupe, elle n’avait rien dessous.


Dans l’après-midi, Murielle dormait paisiblement dans le transat du jardin, je ne pus résister à remonter sa jupe, je regardais sa chatte, ses cheveux bruns, ses yeux clos, il a raison, je suis un homme heureux, elle semblait si calme après ce qu’elle avait fait cette nuit, elle semblait si innocente, et elle en voulait tellement. Comment pouvais-je l’aimer après avoir été témoin de ce besoin de se faire sauter ? Mais je l’aimais. Je m’assis pour la regarder.


J’essayai de rationnaliser, j’avais encouragé un autre homme à baiser ma femme, j’avais encore plus envie de l’encourager, de l’accueillir à la maison, dans notre chambre, je ne pouvais pas résister à ce besoin, je gardais ma princesse, et j’étais son preux chevalier, je la protégeais jusqu’à ce qu’elle se réveille.


Ma princesse fut particulièrement attentionnée envers son loyal chevalier pour le reste de la journée. Nous allâmes nous coucher tôt, et nous endormîmes rapidement.

Une routine se mit en place : les vendredis soirs Murielle sortait avec lui, et passait la nuit chez lui. Elle me manquait, mais je la retrouvai le samedi matin quand elle rentrait, notre passion n’avait plus de limites. Quelquefois, elle le quittait, rentrait rapidement, et sautait au lit avec moi. Mais un changement survint lorsqu’ils passèrent un week-end à Paris…

 
Il lui avait demandé, elle m’avait demandé, pas d’objections. Un week-end guère plus que la routine habituelle, je l’ai aidé à préparer ses affaires, je voulais voir quels habits, quels sous-vêtements, elle prenait. Pas de doute, il allait apprécier. Nous fîmes l’amour cette nuit là, mais selon la règle établie je n’ai pas éjaculé en elle. Elle partit le lendemain matin, au bureau je ressentais des émotions conflictuelles, elle me manquait et ça m’excitait terriblement, qu’est ce qui n’allait pas avec moi ? Je ne peux donc être normal et apprécier la sexualité de Murielle directement plutôt que de cette manière ?


J’ai regardé un porno, le soir, mais ça ne me branchait pas. J’ai fini par regarder de vieux films. Je suis allé me coucher tard, après avoir bu, mais j’étais incapable de dormir.
Je me suis réveillé samedi matin, espérant ne pas l’attendre jusqu’au soir, je me suis occupé comme j’ai pu, et ils revinrent vers 20 heures. Il portait la valise de Murielle, s’excusa du retard, et partit. Elle m’embrassa amoureusement.
« Je t’ai manqué Patrick ? dit-elle de ce ton sensuel que j’aimais tellement.
- Oui tu m’as manqué beaucoup, c’est drôle il ne devrait pas y avoir de différence, si je rentre tard le vendredi soir, je ne te revois pas jusqu’au samedi, mais je sais ou tu es, et je peux te contacter. Mais à Paris, tu es hors d’atteinte, tu sembles si loin, si longtemps, et tu sais ce que je ressens de l’absence ? et à toi, je t’ai manqué ? »


Elle fut plus succincte,
« Oui bien sûr, Patrick. »


J’étais content de l’entendre.
J’ai fait du thé, lui ai offert un bouquet de fleurs, elle m’a demandé ce que j’avais fait, je lui ai dit le contraire de ce qu’elle semblait attendre. Elle me sourit, et me dit qu’elle serait absente plus souvent si en résultat je faisais ce que je lui avais promis de faire depuis si longtemps.
Puis elle alla prendre un bain. Et nous allâmes nous coucher tôt…


Elle s’attendait à mes questions sur leurs activités sexuelles, et elle fut surprise lorsque je lui dis que je ne voulais pas savoir. Mais je voulais lui faire l’amour. J’ai joui rapidement, inévitable résultat de deux jours de célibat.
Le lendemain matin, lorsque je me réveillai, Murielle pleurait.
« Qu’est-ce qu’il y a ?
- Patrick, ce n’est pas bien, pas juste.
- Qu’est-ce que tu veux dire ?
- Ma liaison Patrick, je vais arrêter ça.
- Mais pourquoi ?
- On était heureux avant, on avait besoin de personne, et maintenant il est là, c’est comme si je te mentais, je t’aime, je ne l’aime pas, mais il m’excite tellement que je ferais tout ce qu’il veut. Puis je me sens coupable quand je rentre, je veux arrêter avant que ça n’aille plus loin. »


Ma queue a plus influencé ma réponse que mon cerveau. Ma voix était douce.
« Allons Murielle, pas besoin de pleurer, comment peux-tu me mentir alors que je sais que tu es avec lui ? Et pourquoi te sentir coupable ? Tu n’es pas forcée à faire ce que tu ne veux pas. Je préfèrerais que tu ne t’en ailles plus en week-end avec lui, mais tu peux rester avec lui le vendredi soir, Murielle, une relation basée sur l’amour sera toujours plus forte que basée sur le sexe. Tu peux arrêter si tu veux, mais fais-le pour une raison juste, fais le parce que tu veux le faire, pas parce que tu penses qu’il faut le faire pour moi. »


Elle ne répondit pas, mais s’arrêta de pleurer. Elle m’embrassa. Elle me répéta qu’elle m’aimait, puis elle me dit qu’elle me voulait dans sa bouche.


A suivre…

Par Sophie de R. - Publié dans : Les plaisirs du candaulisme - Communauté : Candaule et libertine
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