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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie


Murielle et Patrick
Deuxième expérience


Nous sommes allés à la plage Murielle et moi, je ne pouvais me retenir de la regarder, même après huit ans de mariage. Pourtant, je n’étais pas le seul sur cette plage, deux jeunes hommes la regardaient avec insistance depuis son arrivée. Ils avaient environ une vingtaine d’années. Il faut dire qu’en maillot de bain, sa plastique était irréprochable. Ils ne faisaient rien pour cacher leur intérêt, trop jeunes pour la finesse… Rien qu’à leur expression on voyait clairement leur intérêt, et je n’arrivai pas à cacher ma fierté de voir ma femme si attirante.

De retour à la villa, nous remarquâmes une voiture garée sur le parking. L’amant de Murielle était assis à la table avec un autre homme, ils se levèrent à notre entrée :
« Jeff je te présente Murielle et Patrick.
- Content de vous rencontrer, il m’a beaucoup parlé de vous… »

 
Beaucoup ? une façon de parler j’espère…
« Bonjour Jeff, dis-je, enchanté.
- Tu ne m’avais pas dit que Murielle était si jolie, dit Jeff à son ami. »

 
Murielle sourit,
« Que faites-vous Jeff ? demanda Murielle,
- Du marketing, des vidéos pour les boîtes, ça paye bien…
- Jeff est trop modeste, mais il a eu des récompenses, un des meilleurs dans sa branche. »

Il y avait quelque chose en lui, je n’arrivais pas à mettre le doigt dessus, sa bonhomie était fausse, et le charme pouvait cesser instantanément.
« Et vous vous êtes connus comment ? demanda Murielle.
- Par le boulot répondit-il

- Et vous vous appréciez le séjour ?
- Oui dit Murielle, n’est-ce pas Patrick ? »

J’acquiesçai.
« J’ai entendu dire que vous deviez rentrer plus tôt, ce n’est pas de chance… »

 
J’acquiesçai encore, il lui avait peut-être tout dit.
« Vous êtes ici en vacances ? demandai-je.
- Non je travaille. »

 
Après quelques instants, Jeff prit congé. Nous entendîmes la voiture démarrer, puis son amant revint, un large sourire, et en regardant Murielle,
« Comment te sens-tu ?
- Ne commence pas s’il te plaît…
- Jeff m’a dit que vous étiez la plus belle chose qu’il ait vue depuis qu’il est arrivé ici. »

 
Murielle rougit. Dix minutes plus tard, Murielle me dit qu’elle rentrait avec son amant, elle quitta la terrasse, suivie par son amant, sa main était déjà sur ses fesses.
J’entendais par la fenêtre des sons qui ne laissaient aucun doute. Je fus jaloux un instant, c’était injuste, j’avais été échauffé par Murielle toute la journée, et c’était lui qui la culbutait ! Mais  c’était irrationnel, ils faisaient seulement ce que je les encourageai à faire depuis le début, et puis cette nuit, elle dormirait avec moi.

Le lendemain, il vint nous servir le petit déjeuner. Comme d’habitude il était nu. Il était fier de son corps musclé et mince. Il avait une belle peau bronzée, et encore plus fier de sa belle queue en érection.
La réaction instinctive de Murielle fut de se couvrir, mais elle se rendit compte de l’absurdité de la chose, et laissa retomber le drap, elle lui sourit,
« Servir le thé te fait bander ? »


Il sourit, son érection était intacte, la vue de la poitrine de Murielle ne réduisait pas son excitation. Murielle reprit mais sans l’humour précédent, avec de la sensualité dans sa voix
« Et que vas-tu en faire ? »


Une tension sexuelle emplit soudain la pièce.
« Je ne sais pas… »


Elle me regarda brièvement, juste assez pour me montrer qu’elle se souvenait de ce que je lui avais dit, elle rabattit le drap pour montrer toute sa nudité, elle écarta les jambes,
« Tu aimerais entrer en moi ? »

L’ambiguïté était délibérée. Il n’avait besoin de rien d’autre, il grimpa dans le lit, et vint s’empaler dans Murielle. Il la pénétra sans effort, et commença à la baiser, doucement d’abord, il voulait prendre son temps, comme Murielle.


Elle adorait sa queue sans l’ombre d’un doute, ça se voyait sur son visage, sa bouche ouverte, ses yeux chavirés de plaisir. Je lui chuchotais à l’oreille de se toucher, l’instant d’après elle se branlait, elle m’embrassait... Je sentais à nouveau cette intense proximité entre nous, puis d’un ton doux, celui qu’elle prend lorsqu’elle veut quelque chose, elle lui demanda de la baiser plus fort, ce qu’il fit.

Elle voulait aussi qu’il la baise plus profond, elle enroulait ses jambes autour de son torse, s’ouvrant encore plus pour lui. Il faisait de son mieux pour la remplir, sa chair se couvrait de sueur. Murielle aimait ça, elle était au bord de l’orgasme, ses doigts branlaient son clitoris, son corps se tordait, elle gémissait en jouissant, elle était encore dans son orgasme lorsque son foutre la remplit.

Deux minutes plus tard c’était comme si rien ne s’était passé.
Murielle me regardait, avec ses yeux dans le vague comme après les parties de jambe en l’air, elle avait l’air amusée,
« Qu’est ce qui t’amuse Murielle ? lui dis-je.
- De l’avoir vu avec le plateau du petit déjeuner et cette érection. « 

Elle ne s’arrêtait pas de rire.
Nous partîmes en excursion l’après-midi, il ne vint pas avec nous. Elle était si belle, bronzée, ces petits vêtements d’été qui mettaient son corps en valeur.
« Tu es si belle, ma Murielle.
- Merci. »

Elle m’embrassa sur la joue. J’avais posé ma main sur sa cuisse. Mes doigts glissèrent entre ses
cuisses.
« Tu as mis une culotte, dis-je. »


Je ne sais pas ce qui m’avait fait dire cela, je devais être déçu, depuis le début de nos vacances elle n’en portait pas,
« Oui j’étais obligée je suis très humide depuis ce matin.
- Tu ne t’es pas lavée ?
- Tu ne penses pas que c’est une question très intime ; Patrick ? En fait oui, mais il en reste…
- Je ne voulais pas te gêner, je me sens concerné c’est tout, c’était très enthousiasmant ce matin. »

 
Elle me sourit, puis parla à sa culotte.
« Vous êtes trop utilisées n’est ce pas ? »

 

Puis elle l’enleva.
«  Refais-le.
- Quoi parler à ma culotte ?
- Mais non, touche-toi, c’est très érotique, j’adore te voir faire ça !
- Pourquoi ? »

Je ne pouvais pas répondre.
« Tu apprécies tes vacances ? lui demandai-je.
- Oui Patrick, on a du temps pour nous, j’aime quand on est tous les deux.
- J’aime quand tu me dis ça, Murielle. Tu aimes dormir avec moi alors ?
- Bien sûr Patrick, et nous continuerons. Patrick ? »

 

Elle s’arrêta un temps :

« Patrick je ne veux pas dire… »

Je l’interrompis,
« Murielle je ne me suis jamais considéré comme étant un don de Dieu aux femmes.
- Patrick je t’aime, c’est plus que du sexe avec toi, nous faisons l’amour, c’est toute la différence. Je baise avec mon amant, j’aime ça mais c’est juste de la baise. »

 
Elle m’embrassa sur la joue.
« Tu es incroyable tu sais ?
- Pourquoi dis-tu ça, parce que j’aime baiser avec un mec, ou parce que tu penses que ce n’est pas normal de séparer le sexe de l’amour ? ,
- Murielle c’était un compliment, tu es incroyablement sexy, et je t’aime, j’accepte que tu aimes le sexe. »

Il était midi, nous nous arrêtâmes dans un restaurant. Murielle regardait les tablées, lorsqu’elle me dit :
« Regarde Patrick, on dirait Jeff là-bas, j’espère qu’il ne nous a pas vus.
- Pourquoi ? Il verrait que tu n’as pas de culotte.
- Très drôle, c’est la dernière personne à qui j’aimerais le montrer ! »

L’homme se leva, Murielle s’était trompée,
« Quelque chose me dit que tu ne l’aimes pas Murielle. »

Elle me regarda,
« Tu aurais dû être détective.
- D’accord il t’a fait une mauvaise impression, mais tu semblais bien aimer ses compliments, non ?
- Il est faux, il joue de son charme, mais c’est superficiel, il me crispe. »

 
J’allais lui dire que je ressentais aussi cela, mais le serveur vint prendre la commande.
Nous avions repris la route depuis une heure, et je demandais à Murielle si sa chatte allait bien,
« Ca te regarde ? Je t’ai dit qu’elle allait bien... Oh mais je sais pourquoi, je ne me toucherai pas, pas pendant que tu conduis, je ne veux pas avoir d’accident. »

On roulait dans une forêt à cet instant, subitement je pris un chemin forestier, et m’arrêtais dans une clairière déserte à l’ombre d’un arbre,
« Tu parlais d’accident Murielle ? »

Elle regardait tout autour, pour être certaine qu’il n’y avait personne,
« Tu es têtu, » me dit-elle, elle était très sarcastique.

Elle remonta sa jupe, ses doigts traçaient leur chemin,
« Tu ne peux jamais être prudent, Patrick ! »

En disant, cela elle exposait sa chatte avec ses doigts, nous regardions ensemble cette chatte si humide, ouverte aux regards, puis elle me regarda,
«  Ne me dis jamais que je ne te fais pas plaisir… »

Puis elle commença à se masturber. Elle jouit sous mes yeux exorbités…

 
Mon dernier jour de vacances était arrivé, nous avons fait du shopping, lorsque soudain :
« Bonjour vous deux ! »

C’étaient nos amis Hugues et Cathy. Nous avons échangé les plaisanteries habituelles, ils allaient prendre un café, nous nous sommes joints à eux.

Cathy parlait à Murielle :
« J’ai dit à Hugues que c’était vous… »

 
Il acquiesça. Elle regardait autour d’elle pour s’assurer que personne n’entendait :
«  Lorsque vous étiez sur cette plage de nudistes, mais je n’étais pas sûre il y avait un autre homme que Patrick avec toi... »

Elle avait raison. Nous étions à la plage des nudistes, hier. Elle avait pu nous voir,
Murielle était allée faire un tour sur la plage avec son amant. Il ne voulait pas cacher sa queue. Ce devait être lui, Murielle faisait un signe à son amant. Cathy le regarda avec un intérêt non dissimulé et sourit.
« Oh d’accord, mais Murielle, je n’ai pas pu voir son visage !

Son rire était fort, et plein de sous entendus.
C’est un ami…
- Je ne suis pas surprise ! ,
- Patrick était là aussi. »

La voix de Murielle était calme. Nous nous levâmes pour partir...
« Bonnes vacances, » dis-je, de façon aussi neutre que possible…

De retour à la villa, ce fut piscine, sans un mot sur la rencontre avec nos amis. Alors que nous nous séchions avec Murielle dans les bains de soleil, elle était étendue sur le côté, me racontant sa gêne des questions de Cathy.


Son amant vint s’étendre près d’elle. Il la caressa, son dos, du cou, jusqu’à ses fesses. Il le fit lentement plusieurs fois. Cela lui fit de l’effet, elle arquait son dos chaque fois que ses doigts touchaient la naissance de son cul, à chaque retour ses doigts plongeaient plus loin.

Ils étaient bientôt entre ses fesses, puis ils touchèrent son petit trou, et finalement ils s’introduisirent dans sa chatte. Murielle eut une réaction instinctive, elle ouvrit ses cuisses lui accordant plus de place pour son plaisir.


Et il continua jusqu’à ce qu’elle soit trempée, il s’arrêta, Murielle le regarda d’un air de reproche, mais il avait rapproché son bain de soleil, son érection ne cachait pas son intention, elle sentit ses mains sur ses hanches, il s’étendit à côté d’elle, et facilitait sa pénétration en elle.

Elle était volontaire pour cette chorégraphie sexuelle, elle s’ouvrait un peu plus pour faciliter sa pénétration, je ne pouvais plus voir son pubis sous cet angle, et je ne pouvais pas voir sa queue glisser en elle, mais je savais simplement en voyant son visage, elle dût arrêter de me parler, elle ne pouvait plus se concentrer sur autre chose que ce qu’elle avait entre les jambes, mais je pouvais encore parler moi,
« C’est bon Murielle ?
- Oui Patrick, c’est bon !!! »


Elle avait un ton sensuel, elle me regardait les yeux dans le vague, une pénétration puissante lui fit fermer les yeux.
« Tu aimes sa grosse queue ?
- Oui.
- Et tu aimes quand il est au fond de toi ? »

Très doucement, elle répondit :
« Oui j’aime ça !
- Et quand tu es pleine de son foutre ?,
- Ouiiiii….
- Vraiment ?
- Oui Patrick, j’aime ça !
- Pas à moi Murielle, dis-lui à lui. »


Elle me regardait dans les yeux en lui parlant, des gémissements de plaisir entrecoupaient ses mots :
« J’aime ta queue, c’est la plus belle queue. J’aime quand tu me baises, quand tu m’ouvres. J’aime quand tu gicles en moi, j’aime ça, je veux être pleine de toi ! »

Elle le pensait vraiment. Je n’oublierai jamais sa façon de me regarder pendant qu’il continuait à la baiser, elle pouvait seulement gémir alors qu’il continuait à la bourrer, je l’ai embrassé sur ses lèvres, il nous regarda nous embrasser, et il augmenta sa vitesse, presque comme s’il était en colère, je sentais les chocs à travers le corps de Murielle.


Je sentais ma queue bander, elle mit ma main dessus m’encourageant à me branler, puis elle commença à se doigter, et elle connut un orgasme monumental. Il éjaculait en elle, mon sperme jaillit sur le ventre de Murielle.
Murielle était magnifique, nous allions sortir au restaurant, elle portait une jupe courte, qui montrait ses cuisses, ses tétons étaient durs.
« Je suis heureux d’avoir Murielle toute à moi, souffla son amant,
- Je comprends ce que tu veux dire, » répondis-je.

Les dix jours étaient passés si vite. Murielle dormit avec moi cette nuit, nous avons fait l‘amour, puis elle s’endormit dans mes bras.

Le lendemain elle me disait quoi faire à la maison, mais je n’écoutais pas vraiment, je pensais à notre relation. Elle semblait être encore plus affectueuse envers moi. Mais il était évident qu’il y avait des signes qu’entre son amant et elle, c’était plus qu’une attraction physique. Une vraie tendresse entre eux était évidente entre eux.

J’avais peur qu’elle me dise qu’elle l’aimait maintenant, sans être au bout de sa queue.
Je l’embrassais très tendrement, et elle me demanda de lui faire l’amour. Puis malheureusement j’avais un train à prendre. Elle me dit que j’allais lui manquer, cela aurait dû me rassurer, mais quelque part j’avais comme un doute.


Murielle serait seule avec lui pendant trois jours. Elle avait insisté, c’est purement physique, rien de sentimental. Murielle n’avait jamais été aussi excitée que par sa queue dans sa chatte, c’était évident. Sauf que maintenant que sa chatte était bien ouverte, le cœur et les sentiments de
Murielle m’importaient plus. Pouvait-elle vraiment être si intime avec lui, et rester si détachée ?

Et lui ? Il m’avait dit que ma femme était un canon. Plus j’y pensais plus je me sentais mal. Je n’avais qu’à m’en prendre à moi-même, j’avais encouragé cette aventure sexuelle, et elle m’avait prise au mot. Il avait opportunément donné une nouvelle dimension à sa vie sexuelle, littéralement comme théoriquement, et ils seraient seuls pendant trois jours entiers. Ils pourraient se dire des tas de choses durant tout ce temps.

Reviendrait-elle avec moi à la fin des vacances ? Mais quelle était l’alternative ? Lui dire de rentrer avec moi maintenant ?
Elle aurait à choisir entre nous à la fin de la semaine, qu’est-ce que j’avais été stupide !
Elle semblait adorable en m’emmenant à la gare. Ils ne mettraient pas longtemps pour revenir à la villa… Nous nous tînmes la main pendant le trajet, nous sommes arrivés en avance, je dis au revoir :
« Murielle je t’aime, tu sais.
- Je sais Patrick, et je t’aime autant. »

Nous nous embrassâmes. Je commençais à pleurer, je cherchais quelque chose de profond, quelque chose qui ferait sentir à Murielle la profondeur de mes sentiments. Je fus heureux en me retournant de voir Murielle repousser la main de son amant posée sur ses fesses.
Ces trois jours seraient d’une tristesse infinie sans elle.


La maison était sombre à mon arrivée. Sombre et vide. Je bus un verre et montais me coucher dans ce lit où ma femme se faisait baiser par un son amant….
Eux aussi étaient au lit. Je le sentais, mais je ne me suis pas branlé, je n’avais pas envie, je voulais juste sentir Murielle près de moi. Je me suis réveillé en constatant que l’amour de ma vie n’était pas à mes côtés.

J’imaginais son amant la pénétrant à chaque instant. La jalousie, et la colère étaient mes émotions dominantes, perdrais-je Murielle pour un étalon bien monté, et qui la baise ? La prochaine fois, s’il y en avait une, je ne serai pas aussi stupide.
Le soir venu, j’étais encore plus déprimé que la veille. Je mis un opéra de circonstance - La Bohême-  et je pleurai en écoutant l’histoire de cet amour dans le salon vide. Je me demandai ce qu’elle faisait, pas d’excitation sexuelle, juste un sentiment de vide. Et il restait encore trente-six heures.

Plus qu’une journée ! J’étais euphorique. Elle arrive ce soir !
Finalement après les heures les plus longues de ma vie, elle était là, face à moi. Il l’avait ramené, mais ne s’était pas arrêté. Elle était fatiguée. Elle semblait préoccupée. Je lui ai préparé un verre de vin. Sa peau était superbement bronzée.
« Je suis si heureux que tu sois rentrée, ma chérie ! »

 
Elle n’était pas d’humeur. Très abrupte. Ce qui changea mon humeur. Le bonheur fut vite remplacé par la nervosité, une nervosité proche de la peur.
« Quelque chose ne va pas ? »

 
Je sentais la tension dans ma voix, ma bouche était sèche, un nœud dans l’estomac.
« Non rien, je pense que nous devrions nous séparer c’est tout ! »

Mes pires peurs se confirmaient.. !
« Pourquoi ?
- Tu me demandes pourquoi ? »

Son ton dénotait l’incrédulité. Ma tête dans mes mains,
« Non Murielle, on ne se sépare pas, je t’aime ! »


J’essayais de ne pas craquer.
« Tu m’aimes ? Alors pourquoi tu veux que je BAISE avec lui tout le temps ? »

Elle avait insisté sur le mot baise. Elle tournait le couteau dans la plaie
« Mais finalement, il veut juste me baiser, et pas voir quelqu’un le faire à sa place ! « 

Sa remarque me blessa, je choisis de l’ignorer.
« Tu l’aimes ?
- J’aurais pu Patrick ? »

J’ai eu un moment de répit.
« Désolée Patrick, je suis crevée, je ne veux pas discuter ce soir, je vais prendre une douche, et au lit. »

Puis délibérément elle ajouta :
« Je dors toute seule, ne me dérange pas, j’ai besoin de temps pour penser. »

 

Et elle monta en haut.
J’entendis la douche. J’avais envie de monter, discuter, la raisonner, mais je me sentais sonné. Je me servis un verre, m’installais dans le canapé. Mes peurs étaient justifiées. Murielle était tout ce que je voulais. Je l’avais corrompu, elle avait été satisfaite avec moi, elle ne le serait plus jamais, elle voulait qu’on se sépare, et je devrais vivre sans elle.
J’allais pleurer, lorsque je sentis ses mains sur ma tête. J’ouvris mes yeux, elle était face à moi, dans un grand t-shirt blanc, elle avait décidé de parler cette nuit, elle pleurait aussi.
« Murielle, je t’aime plus que tout, plus que tu ne crois, ne me quitte pas… »

Elle s’approcha de moi, me pressa contre son ventre,
« Patrick, comment penses-tu que je me sente lorsque tu me pousses vers lui, lorsque tu me dis que tu préfères que je baise avec lui au lieu de toi ? Et quand je te dis qu’on peut revenir ensemble, tu me dis que cela t’est égal…
- J’ai juste assumé le fait que tu appréciais être avec lui.
- Oui j’apprécie le côté physique, qui ne le ferait pas, mais ce n’est pas tout, j’aurais voulu rentrer avec toi plus tôt….
- Mais tu sembles si affectueuse avec lui !
- Qu’est-ce que tu racontes ?, Tu dois comprendre, tu ne peux pas baiser tout le temps et ne pas ressentir de sentiments, je pense que j’aurais pu, mais… »

Elle s’arrêta, fit un effort :
« D’accord, j’ai commencé, mais rappelle-toi j’ai voulu que ça s’arrête, et tu n’as pas voulu, tu voulais que cela continue ! »

Elle s’assit dans le canapé.
« C’est un vrai fantasme Murielle, j’ai pensé qu’en vrai, il serait meilleur, c’est tout.
- J’aime les fantasmes Patrick, tu sais pourquoi ? Parce qu’ils ne blessent pas les fantasmes, personne ne regrette... Mais dans la réalité ? »

Je la regardai dans les yeux :
« Je ne voulais pas te blesser Murielle…
- Pas seulement toi Patrick.
- Que veux-tu me dire ? »

 

Elle respira profondément
« Je ne le reverrai plus jamais.
- Tu veux me raconter ? ,
- …... Tu te rappelles je t’ai dit que je faisais tout ce qu’il me demandait de faire. Lorsque tu es parti, il m’a demandé une vidéo de ce que nous faisions ensemble... Ce serait bon disait-il d’avoir un souvenir, il m’a dit que tu aimerais aussi, et il m’a assuré que ce serait privé.
- Continue …
- Alors j’ai accepté... Ce qu’il ne m’avait pas dit c’est que Jeff allait faire la vidéo... J’ai failli partir, il m’a retenue, m’a expliqué que quelqu’un devait tenir la caméra pour les angles, les zooms, il m’a rappelé que Jeff m’avait vu pratiquement nue de toute façon.... je n’aurais pas dû accepter mais je l’ai fait. »


Je n’étais pas préparé à ça, elle ne l’aimait même pas.
« Murielle, comment as-tu pu faire ça devant Jeff, celui qui te crispait ?…
- Parce que je suis une salope c’est tout... Il pense que je le suis, et toi aussi d’après ta question, on est tous d’accord là-dessus !
- Mais je ne pense pas ça, t’as baisé avec lui parce que tu le voulais…
- Mais lui pense que je suis une salope ! Et comment je le sais ? Parce qu’il m’a promis à Jeff c’est tout… Je lui ai demandé ce qui lui donnait le droit de prendre une telle décision pour moi. C’était mon corps, je décidais à qui je l’offrais, et qu’il ne pouvait savoir si je consentirai à cela. Il m’a demandé pourquoi j’étais soudain si prude, je lui ai dit que je savais ce qu’il pensait de moi.
« Et que s’est-il passé ?
- Il s’est excusé tout de suite, mais je ne peux pas lui pardonner.
- Et la vidéo Murielle, elle est ou ?
- Je ne sais pas, il l’a, qu’est-ce que ça peut faire ? »


Sur la vidéo elle avait raison, mais autre chose me chiffonnait.
« Elle est sur vous deux ?
- Il m’a utilisée, Patrick, il ne m’utilisera plus, je ne le verrai plus. »


Ma propre conscience n’était pas si claire,
« Ton amant voit toutes les femmes de la même manière, l’attraction est dans la chasse. Lorsqu’il a ce qu’il veut, il perd tout intérêt, il voulait une vidéo de vous, peut-être avait il avait besoin de ressentir le contrôle sur vous de cette manière, ou c’est un collectionneur... Promettre à Jeff qu’il pourrait vous avoir est une autre forme de ce contrôle, il n’aura jamais de relation à long terme. Cela ne fait rien... Je t’adore, il ne t’a jamais aimé comme je t’aime. Et je ne cesserai jamais de t’aimer. Mais si tu ne m’aimes plus….
- Mais non je t’aime Patrick, je ne te quitterai pas. Il a une grosse queue, mais c’est tout. Tu te sens inférieur mais crois-moi tu es bien plus grand... Tu prends soin de moi, tu me fais rire. Elle m’aime ! Je l’ai embrassé.
« Plus personne d’autre Murielle, je le jure ! »

 

Je n’avais jamais été aussi sérieux.
« J’espère, Patrick. »


Elle s’endormit, mais je restais réveillé... J’étais stupide, j’aurais pu la perdre, j’ai eu si peur…


Il appela le lendemain. Murielle confirma son intention. Deux mois plus tard il avait déménagé, et je peux dire que nous vivions heureux ensemble. Mais il restait une surprise en magasin.


Les choses revenaient à la normale, Murielle l’oubliait, elle rayonnait de bonheur, les choses allaient bien. Un samedi matin on frappa à la porte, le facteur, un paquet. C’était une vidéo avec un mot de son ex-amant.

« Cher Patrick,
Tu aimeras ce souvenir de Bretagne, tu seras intéressé en sachant qu’elle se vend très bien ici. On dit de Murielle qu’elle est la plus salope qu’on ait vue ici, pas seulement quand elle baise, mais aussi quand elle joue. Mais elle ne joue pas, je lui ai dit, c’est une salope qui aime VRAIMENT baiser, qui adore VRAIMENT les grosses queues, mais qui peut la blâmer ?
Elle n’a pas assez à la maison n’est-ce pas ?
Salutations,
Hacène
PS : Passe mes souvenirs et ceux de Jeff à Murielle.
 »


Quel salaud !
Ma curiosité se porta sur la vidéo, elle commençait par une vue sur la villa d’Hacène, une femme entrait dans le champ, c’était Murielle sans aucun doute, elle était nue, la caméra zoomait sur ses seins, ses tétons en érection, puis sur son cul.
Elle était divine, elle s’étendit sur un bain de soleil, ses jambes largement ouvertes. Zoom sur sa chatte rasée, puis un panoramique, Hacène s’approchait d’elle. Il était nu, sa queue se balançait à chaque pas, il se tint devant elle, la caméra zooma sur le visage de Murielle et la queue d’Hacène, on voyait sa faim sexuelle dans ses yeux.


Hacène embrassa ses épaules, ses seins, continua sur son ventre, puis ses cuisses, avant de plonger entre ses cuisses. Elle gémissait, elle ouvrait ses jambes instinctivement lorsqu’il atteint sa chatte. De ses mains, il ouvrit l’abricot gonflé, elle mouillait cela se voyait à l’écran, sa langue plongeait dans son humidité, puis il lapa toute la fente, et le clitoris.

La caméra était sur le visage de Murielle, elle criait en jouissant, son corps remuait en tous sens. Filmée ainsi, elle remplissait l’écran, la queue d’Hacène emplissait l’écran se dirigeant vers la bouche de Murielle. Elle ouvrit la bouche, et Hacène l’enfonça, elle le suçait, il bandait, il voulait la baiser maintenant. Murielle se mit en levrette, s’ouvrant pour lui, il s’enfonça.
La caméra montrait la queue d’Hacène enfoncée dans la douce chatte de Murielle, il allait éjaculer, son sperme jaillissait en elle. Elle remuait son cul pour mieux le vider...

 

Lorsqu’elle sentit qu’il avait terminé, elle retira sa queue ne laissant que le gland en elle, elle se branlait tout en continuant à le sentir en elle.
Soudain, elle se retourna et prit la queue dans sa bouche, le foutre coulait de sa chatte ouverte, elle suçait son jus, la caméra zooma, Murielle se branlait la chatte en même temps, je bandais comme un âne.

La scène suivante montrait Murielle et Hacène assis à la table, ils discutaient.
« Jeff a dit que tu étais le meilleur coup qu’il ait filmé !
- Il a déjà filmé ça ?
- Juste une fois, elle était américaine, elle connaissait Jeff. Je l’ai rencontrée comme ça, elle voulait être filmée, alors je l’ai fait, Jeff m’a dit que j’aurais pu tourner dans le porno, comme toi. Nous deux on ferait une belle équipe… Viens avec moi !
- Tu dis que je dois te suivre pour tourner des pornos ? »


Il acquiesça :
« Je n’ai pas dit que tu devais baiser avec Jeff !
- Non mais tu l’as suggéré…
- Et alors ? Tu n’es pas une vierge innocente. Quelle différence entre Patrick qui me laisse te baiser, et moi qui laisse faire à Jeff la même chose ?
- Je veux baiser avec toi Hacène, c’est ma décision pas celle de Patrick, et si je baise avec Jeff ce sera aussi ma décision, mais je ne veux pas. Alors tu as fait erreur avec moi si tu penses ça. »


Il rit.
« Ca n’a rien de drôle.
- Je suis désolé d’avoir dit que Jeff pouvait te baiser, alors on termine les vacances sur une dispute, ou on baise encore ? »

 
J’ai vu sa main instinctivement prendre sa queue.
« Suce-moi Murielle. »


Elle mit immédiatement sa bouche sur sa queue. La tête de Murielle sur la queue d’Hacène, puis ses jambes sur ses épaules, pendant qu’il léchait sa chatte, son visage était de profil, mais elle allait jouir, il arrêta de la lécher.
« Tu veux que je te baise ?,
- Oui Hacène, j’en ai envie maintenant. »


Elle semblait désespérée.
« Chaque chose en son temps Murielle. »


Jeff apparut soudainement, il était nu,
« Murielle quelle coïncidence ! On parlait de lui il y a quelques minutes, et regarde, il est là. »


J’ai entendu un « non » étranglé, puis j’ai vu Hacène enfouir son visage entre ses jambes. Sa résistance s’affaiblissait, avec la langue qui la travaillait sur son clitoris, elle cessa bientôt de lutter, Hacène lui parla :
« Murielle c’est ton jour de chance, Jeff est prêt à te baiser, mais tu dois lui demander gentiment. Tu vas lui demander parce que tu feras tout ce que je veux pendant que je lèche ton clitoris, n’est-ce pas ? »


Jeff était tout près, la regardant intensément, et lui montrant son érection.
« Oui Hacène.
- Tu dis ça librement ?
- Oui Hacène.
- Tu veux partir ?
- Non Hacène.
- Pourquoi ça Murielle, parce que tu es une salope ?
- Oui Hacène.
- Redis-le, dis le à Jeff et moi que tu es une salope, en veut l’entendre. »

La voix était lointaine,
« Je suis une salope.
- Et tu vas demander à Jeff de te baiser ? 
- Oui Hacène. »

Il était petit, un gros ventre, une petite queue,
« Baise-moi Jeff,
- Je ne t’entends pas dit Jeff,
- S’il te plaît Jeff baise-moi. »

Hacène lui avait laissé la place entre les jambes ouvertes. Il la pénétra. Hacène faisait sucer sa queue à Murielle,
« Putain Hacène ce qu’elle est ouverte,
- Allez on change de place, Jeff. »


Sitôt dit, sitôt fait, la queue d’Hacène dans la chatte, celle de Jeff dans sa bouche. Hacène branlait le clito de son pouce en même temps. Cela la menait rapidement à l’orgasme, les inhibitions de Murielle disparaissaient, elle suçait Jeff frénétiquement, elle tenait sa queue, et le masturbait en même temps, elle le suçait jusqu’à ce qu’il éjacule.


Je vis de grands jets de foutre sur son visage. Puis Hacène se branla devant Murielle et gicla. Jeff zooma sur le visage de Murielle, elle était couverte de foutre.
« Souris Murielle, » dit Hacène.


Il ne fallait surtout pas que Murielle voit ça. Elle s’était sentie humiliée.

C’était il y a un an, on avait fait du chemin depuis. Notre vie sexuelle était fantastique, plus besoin de pornos, sauf une que je regarde de temps en temps un secret que je partage avec Jeff et Hacène, et une centaine d’acheteurs.

Par Anonyme - Publié dans : Les plaisirs du candaulisme - Communauté : Candaule et libertine
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