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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Il me faut avouer que Laurent et moi nous nous sommes quittés à regret. Une grande attirance physique nous a fait nous promettre de nous revoir. Il y a une différence énorme entre Robert et Laurent. Autant Robert est sans douceur, mais sa grosse queue, son poing qui me fait jouir quand il me fiste, réveillent en moi le besoin de jeux de cul un peu hard, autant Laurent, par sa douceur, sa beauté, sa science d'amener lentement à la jouissance est quelqu'un dont je ne pourrais me passer. Égoïstement, mon rêve serait de faire une partie à trois. Laurent, Robert et moi. Il va falloir que je négocie tout ça avec eux, la prochaine fois que je les reverrai.

 

Laurent, je le revois dans dix jours. Nous devons nous rendre chez un de ces copains qui se fait appeler Cindy et dont il m'a fait compliments. Connaissant bien Laurent, maintenant, je gage que « ce » Cindy doit être quelqu'un qui vaut le détour. Curieux comme un chat, il me tarde vraiment de le rencontrer ce garçon au prénom féminin.

Deux jours se sont passés depuis Laurent. Pour mon travail, je dois monter sur Lille. Comme j'adore la nuit, je prends la route vers vingt-trois heures. Une envie de pipi m'oblige à m'arrêter sur la première aire de repos de l'autoroute A1 après le péage.

 

J'entre au coin toilettes. Il y a un gars en train de pisser. Nous nous saluons d'un mouvement de tête. Je me place un cran plus loin que ce gars, et commence à pisser. Un bruit étrange me fait sursauter. Je regarde derrière moi, personne. Je me tourne vers mon voisin, qui me dit que c'est deux gars qui sont en train de baiser.

 

Je souris et me rends compte que cet homme ne pisse pas, mais se branle en écoutant les deux gars qui s'emmanchent. Tout ça commence à m'exciter. Je me mets à bander, mon voisin, qui s'est légèrement déplacé, me permet de voir qu'il tient en main une belle bite circoncise au gros gland rougeâtre. Un sourire gourmand me vient aux lèvres, il s'en aperçoit, recule d'un pas et me fait face. J'en fais autant. Chacun de nous regarde l'autre. J'ai envie de ce mec, mais je n'ose pas. Je ne savais pas, encore, que cette aire de repos était un lieu de rencontres pour les gays... Le gars vient vers moi sa bite en main.

Nous sommes maintenant presque l'un contre l'autre. L'homme se présente :

« Salut, moi c'est Luc !!

- Bonjour, moi c'est Mario !! »

 

On s'est dit le principal. Luc, habitué du lieu, prend ma queue en main et me branle gentiment. Il approche son visage du mien et me prend la bouche. Je refuse très vite le baiser, prétextant que je n'embrasse jamais les hommes. Il faut avouer qu'il a l'haleine d'un gars qui fume du tabac brun. Et moi qui suis non fumeur, Beurk !!! Un moment, je crains que sa queue, elle aussi, soit dégueulasse. Le mieux est que je vois ça tout de suite, je m'accroupis et prend sa bite dans ma main, et la caresse. La hampe est moyennement longue, elle est tiède et épaisse. Elle est propre et sent le sperme. Pas désagréable du tout. Je lui fais donc une pipe.

 

Pendant ce temps, derrière leur portes mes deux inconnus arrivent au bout de leur baise, si j'en juge par les « Oh, Putain ! Oh ! Putain comme c'est bon.» Encore quelques minutes, et la porte s'ouvre. Deux hommes, la cinquantaine environ, passent à notre hauteur, sans même être surpris, et vont au lavabo se faire un brin de toilette. Puis, ils viennent vers nous, nous encadrent, et leurs mains nous caressent. Je me dis que j'ai eu raison d'avoir envie de pisser, moi vue la tournure des événements.

 

Luc, mains sur les hanches se laisse tripoter par les deux hommes. J'ai toujours sa bite en bouche. Je sens une main malaxer ma queue à travers mon jean, une autre me palpe les fesses. Je sens le feu monter en moi. J'arrête de sucer Luc et dit :

« J’ai envie de baiser moi, on pourrait faire ça tous les quatre, mais ici aux chiottes, c'est pas pratique !

 - J'ai un fourgon que j'ai aménagé en piaule, si vous voulez on y va ! me répond-t-il.

 

Nous voilà tous partis vers le fourgon de Luc, sagement stationné sur le parking, à un endroit sans lampadaire. Effectivement, l'arrière du fourgon est une véritable chambre à coucher dont le matelas occupe presque toute la place. Aussitôt la porte fermée, nous nous déshabillons. Les deux baiseurs de tout à l'heure se présentent, il y a Pierre et Claude. Luc allume le plafonnier. Ainsi, on peut à peine s'apercevoir. Personnellement, j'aime bien, quand, on devine à peine les partenaires. C'est pour ça, que plus tard, dans les saunas gays, mon coin préféré était les pièces dans le noir complet. Tu ne vois qu'avec les mains. Ça ajoute encore au plaisir, je trouve.

 

J'ai une furieuse envie de me faire sauter. Je me frotte aux corps prés de moi, l'un d'eux a la peau douce et une belle grosse bite. Je ne saurai que plus tard qu'il s'agit de Claude. Son engin m'excite. Je suis à quatre pattes sur le matelas, je le branle un peu et lui dis :

« Vas-y encule-moi ! »

 

J'ai pas le temps de me mettre sur le dos, Claude, puisqu'il s'agit de lui, me saisit par les hanches et entre en moi, presque violemment. J'aime beaucoup cette façon de me faire baiser. Sa bite n'est pas aussi grosse que celle de Robert, mais il a la même façon sans douceur de baiser.

 

Dommage pour moi, il jouit un peu trop rapidement. Mais il reste Pierre et Luc encore. Ces deux là sont en train de se sucer. Claude et moi, à genoux et côte à côte, les regardons faire. Les voir faire m'excite, je bande. Claude qui a les mains baladeuses, me caresse le bas du bassin. Il a une façon très douce de câliner ma queue et mes couilles qui contraste avec sa brutalité quand il sodomise. Ma bite devient toute dure. Plutôt que de parler à Claude, je glisse une de mes mains entre ses fesses et le doigte.

 

Aussitôt, Claude, se met à quatre pattes et se frotte contre moi, comme une chienne en chaleur. Ses fesses contre mon ventre, il ondule du bassin. Je présente mon gland à son petit trou. Ces deux-là ont l'air de se plaire alors trou du cul invite gland à entrer chez lui. Je procède comme Claude a fait avec moi, tout à l'heure, et entre en lui d'un seul coup et commence à l'encule. Je varie les mouvements sans me hâter, mes couilles viennent battre contre Claude. J'aime cette sensation là.

 

Luc et Pierre ont cessé de se sucer. Luc se redresse et passe derrière moi. Mon anus encore lubrifié par Claude reçoit sans difficulté sa queue. Elle est épaisse, la bite de Luc, elle me remplit bien. Je suis aux anges. Au fait, on dit que les anges n'ont pas de sexe... Qu'est-ce qu'ils doivent s'enquiquiner les pauvres. Ce n'est pas mon cas. Je suis pris en sandwich. Depuis les partouzes chez José pendant mon service, cela ne m'était pas arrivé. Ces souvenirs me chauffent un peu plus, aussi c'est moi qui rythme la cadence, mes deux amants, ne bougent pas. C'est moi qui vais et viens. Mes souvenirs me font accélérer mes mouvements, si bien que je finis par exploser dans le ventre de Claude. Luc, quant à lui, est d'une endurance remarquable. Il va me saillir encore un long moment avant qu'à mon tour je le sente jouir et se répandre en moi.

 

Je remue mon bassin pour accompagner ses coups de boutoir. Claude se dégage. Pierre le prend dans ses bras, ils se roulent une pelle, et Pierre qui se sent un peu frustré, décide de toiletter le cul de Claude à grand coup de langue. Luc, quant à lui continue de me saillir en ahanant, je le sens au bord de la jouissance, aussi je dégage sa queue et la prend en bouche. J'ai envie qu'il jouisse dans ma bouche. Ce qu'il s'empresse de faire. Il m'envoie une quantité impressionnante d'une crème légèrement acide que j'avale en grand gourmand que je suis.

 

Tous les quatre, un peu fatigués, échangeons quelques mots d'une banalité inégalée. En dehors d'aimer la queue nous n'avons aucun point commun. On se rhabille. Un « salut bonne route » et nous nous séparons. Je remonte dans ma voiture, et décide de m'arrêter au premier restoroute, histoire de me faire un brin de toilette et boire un bon café, puis repars sans aucun incident pour Lille.

 

Je suis heureux, j'ai bien sucé me suis fais prendre deux fois, mon petit trou est encore tout chaud. Laurent me vient alors à l'esprit et me revient en mémoire notre nuit. Bon sang ! Comme j'ai ailé ce moment là. J'ai peur d'être amoureux de lui. Je suis impatient de le revoir. Une petite semaine encore et il m'emmène voir cette, ou ce, Cindy dont il m'a dit le plus grand bien. La curiosité et l'idée de revoir Laurent se mélangent dans ma petite tête et me montent alors des envies de baiser, des envies de me sentir empalé.

 

Je me souviens alors du petit gode que Robert m'avait emmené acheter un petit gode dans ce sex-shop où, justement, j'ai rencontré Laurent. J'ouvre ma sacoche posée sur le siège passager et fouille. Ouf, mon gode est là, j'ai craint un moment de l'avoir oublié. J'accélère, je n'ai que dix kilomètres à faire avant la grande station où je vais m'arrêter un moment. J'ai tôt d'y arriver. Ma sacoche à la main, je me dirige vers les toilettes. Dans ces grandes stations, il y a tout ce qu'il faut pour se faire propre, surtout destiné aux Routiers.

 

Il est une heure du matin passé, je n'ai donc pas à attendre pour trouver une douche libre. Je me déshabille, me lave tout l'entrejambe. Je parfume mon pubis avec mon eau de toilette car je sens un peu le foutre. Ça fait désordre. Avant d'enfiler à nouveau mon jean, je prend bien soin de me mettre le gode entre les fesses. Je sors de là et vais boire un café. Pas fort bon, ce liquide noir, mais il est chaud et va me tenir réveiller pour le restant de mon trajet.

 

Au moment où je m'installe sur mon siège, je pousse un soupir d'aise. Le gode que j'ai entre les fesses se rappelle à mon souvenir. Qu'elle est agréable et presque jouissive cette sensation. Merci Robert de m'en avoir suggéré l'idée. Et puis j'éclate de rire en me regardant dans mon rétroviseur à cause de la pensée qui me traverse l'esprit.

« Tu es un enculé », dis-je à mon reflet.

 

Les hommes hétéros ne savent pas ce qu'ils perdent en ignorant tout du plaisir de la sodomie. Seules les femmes peuvent me comprendre. Tout ça m'excite et je bande. Je sors ma queue et me branle doucement, juste pour la sensation de plaisir que donne cette caresse. Je ne dois tout de même pas oublier que je roule sur une autoroute. Je suis sur la voie de droite c'est plus prudent. Mais la vitesse des autres véhicules, y compris les camions, me ramène à la sagesse, j'arrange mon pantalon et ne m'occupe plus que de conduire.

 

A suivre....

Par Mario - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
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