Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Vous vous souvenez de moi ? je vous ai raconté comment mon mari, malgré lui, m’a convertie en salope. Il m’a trompée à tours de bites, y compris avec ma sœur… Du coup, je suis allée me consoler avec un collègue... qui a enfin révélé la salope qui est en moi…
Après cette nuit d’anthologie, je me suis retrouvée nue sous mon manteau, dans un bar, attablée avec cinq chasseurs au regard vicieux…
« Bonjour, me saluent-ils, on s’ennuie ma p’tite dame ?
- Euh, non... Je reprenais mes esprits après une chaude nuit… »
Je ne me reconnais pas, de parler ainsi avec des inconnus, qui savent très bien ce que je veux dire….
D’ailleurs, des rires gras fusent, et leurs yeux se font plus vicieux encore, louchant dans l’ouverture de mon manteau…
« Ma p’tite dame, on a une histoire à vous raconter… si cela vous plait, on vous fera pareil !
- Ah bon ? Et de quoi s’agit-il ?
- Ben, de deux grosses cochonnes qui viennent dans notre auberge de chasse…
- Ah oui ? N’oubliez aucun détail », dis-je en croisant mes jambes de façon indécente.
Le plus vieux prit la parole :
Le "Marcassin" est une auberge située en dehors du village. C'est ici que tous les vendredis, on se retrouve entre chasseurs, après une battue au sanglier. Il y a Marcel, patron de l'auberge, Antoine, boucher du village, Yves, menuisier, Georges, quincailler, ils ont tous une cinquantaine d'années, et sont ici présents, et moi, Hubert, notaire en retraite, j’ai soixante-deux ans. Souvent, on se dispute pour savoir qui aura tel ou tel morceau du gibier chassé.
Comme on se disputait souvent les meilleurs morceaux, Yves a eu une idée géniale. Il a récupéré une table ronde, et a fixé dessus un second plateau de un mètre cinquante de diamètre, monté sur roulettes. Dessus, il a réalisé quatre dessins représentant des pièces de sangliers.
Cuissots, râbles, etc. on se place autour de la table, et l'un de nous fait tourner la roue. La portion qui s'arrête devant un chasseur, lui revient. Il est évident que si c'est toujours le même qui gagne les meilleurs morceaux, une négociation s'engage autour d'un... verre !
Il y a quelques semaines, une énorme battue était prévue. Nous avions donc demandé du renfort. Il vint trois hommes et deux femmes. Odette, cinquante ans, et Sylviane, cinquante deux ans. Deux pouffiasses à la réputation sulfureuse, mais on n’allait pas faire les fines bouches. On savait bien que ces deux femmes pensent plus à se la faire mettre qu'à autre chose. ..
Pendant que nous vidions nos cartouchières, chacun revenait vers l’auberge à tour de rôle, et les deux copines font le plein de coups de queues. Tout le monde y passe, et on use et abuse de des garces, folles de bites. On les prend partout : une fois debout contre un arbre, une autre fois en levrette... Même en double pénétration, sur accrochés à un arbre mort. Souvent, leurs cris de plaisir éloignent le gibier. Pour atténuer les bruits, les hommes préfèrent se faire tailler des pipes, beaucoup moins bruyantes pour le gibier.
Après le déjeuner, au poste de surveillance, les deux femmes se retrouvent seules pour s'occuper du nettoyage des lieux. Une fois le ménage terminé, elles se gouinent jusqu'à la tombée de la nuit. Elles passent de longs moments à se lécher la chatte, s’enfoncer toutes sortes d’objets pour simuler les queues qui leur manquent tant… je le sais, car chacun venait mater le spectacle offert. Moi, je ne débandais quasiment pas, à mon âge !
La battue s’est terminée vers dix-sept heures trente. Il gèle à pierre fendre. Nous avons regagné l'auberge, bredouilles. Nous sommes un peu déçus, mais nous savions aussi que les deux salopes nous attendaient…
Quand nous sommes rentrés, nous les avons encore trouvées en 69, en train de se manger le minou avec ardeur. Nous n’avons pas perdu une minute pour les baiser à tour de rôle. On les prend à la va-vite, comme des salopes. Mais ces filles semblent aimer ça. Elles crient à gorge déployée. Quand on a fini de se vider les couilles, nous les avons congédiées sans ménagement. Ces chiennes n’ont pas leur place pour nos soirées entre hommes…
« Voilà ce qu’il s’est passé, ma p’tite dame, ça vous a plu ? me demande Hubert.
- Mhumm, ca me fait envie, répondis-je, rouge comme une tomate.
- On dirait bien, rigole un autre chasseur, les mecs, regardez où est sa main ! »
Je suis grillée ! Presque sans m’en apercevoir, ma main a glissé entre mes cuisses, et je me masturbe pratiquement à l’air libre. Les chasseurs sont ébahis, et se penchent pour mieux voir. Je rougi, et referme mes cuisses trempées de mon excitation. Ce récit m’a encore donné envie de sexe hard et brut.
« Et si on allait à notre auberge ? me demande Hubert, l’œil égrillard.
- D’accord, laissez-moi juste passer un coup de fil à mon mari.
- Ah bon, vous êtes mariée ? Votre mari est donc un cocu ? interroge Yves.
- Oui, il l’est ! Il m’a trompée avec ma sœur, alors, je me venge ! » rétorquai-je.
J’attrapai mon téléphone, et appelai mon mari :
« Allo, c'est Cassie. Ca va ? Tu as bien fini de baiser ma sœur ? Pour ta gouverne, je ne rentrerai que demain, ok ? » assenai-je à mon mari, sans lui laisser le temps de répondre.
Puis je me tournai vers mes futurs baiseurs :
« Alors, on y va ? Vous m’emmenez ? Au fait, je m’appelle Cassie.
- Bien sur, dit Hubert, le sourire aux lèvres, venez dans ma voiture, les autres, suivez-nous ! »
Après une demi-heure de route, où Hubert ne manque pas de laisser balader sa main gauche sur moi, nous arrivons à l’auberge. Je demande à prendre une douche, ce qu’on m’accorde de suite.
Quand je redescends, vêtue seulement d’un peignoir, les cinq copains font tourner la roue du gibier, pour décider de qui paiera un verre en premier. Je les siffle, et ils se retournent, et reste sidérés. J’ai ouvert mon peignoir.
Lentement, je fais glisser le vêtement au sol, et j’apparais dans toute ma nudité. Les chasseurs avalent difficilement leur salive, tant le spectacle semble leur plaire…
« Putain, ça c'est de la femelle », dit Antoine.
J’écarte les cinq copains, et m'allonge sur le plateau tournant. Hubert est comme toujours le plus entreprenant. Il promène ses mains sur mon corps ainsi offert. J’ondule, me cambre sous les caresses. Une main, plus vicieuse, se glisse entre mes cuisses ouvertes, courre sur les lèvres intimes.
« Alors, dits-je, vous vous décidez ? Je comprends que vous rentriez souvent bredouilles ! »
C'est Yves qui prend l'initiative de faire tourner la roue. Ma tête s'arrête devant Marcel, les jambes, toujours écartées, devant Antoine. Je lance mes bras en arrière, me cambre, et tire Marcel par les fesses. Celui-ci sort son sexe, et le trempe dans ma bouche avide et grande ouverte. Antoine s'astique la queue, puis soulève les jambes de Cassie. Il s'avance doucement et la pénètre.
« Hou, hou, murmurai-je. Ahaaa... voyez comme je suis mouillée maintenant… »
J’eus un éclair de lucidité, pensant à mon mari… Puis la vision de lui et ma sœur se foutant de moi surgit, et je décidai de me jeter toute entière et sans scrupules dans ce gang bang improvisé. Il me voulait salope ? J’allais l’être au-delà de ses espérances !
Yves parcourt mes seins gonflés, se baisse, et en suce les bouts qui sont devenus énormes. Hubert, en expert, excite mon clitoris bien bandé avec le majeur.
« Sortez-le, soupirai-je, s'il vous plait, vous arriverez mieux à le doigter. »
Je me cambre de plus en plus, envoie des coups de reins à l'encontre de la bite qui me bourre la chatte. Pourtant, ma langue s'active sans répit autour du gland décalotté de Marcel. Les souffles des deux hommes s'accélèrent, les veines de leur membre enflent, ils sont prêts. Les premiers jets de sperme envahissent mes deux orifices.
Je reçois l'offrande en hurlant de plaisir. Je me rends compte que j’adore sucer et avaler ces foutres chauds…
Yves lance le deuxième tour de roue. C'est Hubert qui la freine. Pas toujours les mêmes ! Il hérite de mes cuissots, Yves de ma tête. Je me tords d‘impatience et d’excitation sur le plateau.
J’attends ma récompense. Le menuisier baisse son pantalon, et dépose ses couilles sur ma bouche. Je gobe le fruit rempli de sève, le parcours avec la langue, l'aspire. Les testicules disparaissent chacun leur tour dans ma bouche grande ouverte.
Le notaire est plus vicieux. Il ouvre ma fente, caresse les lèvres humides, joue avec
le clitoris, entièrement décalotté. Il se penche pour sucer mon petit bouton, le mord.
Puis, ce sont deux doigts qui pénètrent ma moule baveuse.
« Hou… qu'est-ce-que vous faites à ma petite chatte ? Vous vous amusez comme ça avec vos proies... salauds... et mon petit bouton... hou... hou… »
Je perds pied, je jouis sans retenue. J’en veux encor et encore.. Comment ai-je pu me passer si longtemps de tels plaisirs ???
Après quelques va et vient, Hubert retire ses doigts, et enduit mon petit trou de mouille. Je tente de protester, car jamais je ne me suis fait sodomiser. Il n’a cure de mes protestations, et me prend par les hanches, et me force à me tourner, pour que je puisse me mettre
à quatre pattes. Du coup, c'est le nœud complètement décalotté qui remplace les bourses d’Yves. Il est idéalement placé pour se faire tailler une pipe.
Avec ses pouces, Hubert écarte mes fesses pour dégager mon œillet brun. Il avance son calibre à l'entrée du petit orifice, qui peu à peu se dilate, et le pénètre sans brutalité.
« Ah, ah, l'enfoiré... il m'encule… Allez-y, défoncez-moi, branlez-vous dans ma bouche… ouiiii…. »
Je crie, je ne sais plus ce que je dis. Je veux tout, être une poupée de plaisir entre leurs mains et meurs pieux dardés. Je suis devenue une vraie salope, et j’aime ça !!!
Le notaire me baise en toute décontraction. Une main derrière son dos, l'autre appuyée sur ma fesse, comme s’il buvait un verre de vin.
Yves a glissé ses mains sous mon corps, et me caresse les seins aux bouts durcis par l'excitation. Mes sont cambrés au maximum, pour mieux offrir ma croupe à ce calibre qui me fouille l'anus sans répit. C'est même moi qui accélère les mouvements de mon corps. Je veux JOUIIIIIIIIIIIIRRRR !!!
Yves, lui, accélère sa branlette dans ma bouche, presqu’à m’en étouffer.
Les va et vient sont plus rapides, et les râles plus intenses. La deuxième rincée arrive, aussi puissante que la première. Mes hurlements lors de l'orgasme sont impressionnants, je ne me savais pas capable de cela ! Mon corps est en nage, couvert de sperme, tout comme mes trois orifices. Les hommes restent ancrés en moi, ils prennent tout leur temps pour finir de se vider les couilles. Presque satisfaire, je me retourne et m'allonge, les bras en croix.
« Merci mon dieu… Quels merveilleux amants vous êtes, soufflai-je. Et quand vous avez deux sangliers, comment vous faites ?
- Comme pour le premier, répond Antoine, ça nous prend une bonne partie de la nuit.
- Bande de salauds... je vous vois venir, souriai-je Vous avez encore envie de me mettre des coups de queues. Ben moi aussi j'ai envie, tailler des pipes, vider vos grosses couilles. Ca va vous faire un beau trophée, hein ? Comment vous allez m'appeler ? La pute du "Marcassin" ? »
Effectivement, je vais repasser sur le billard. L'opération prend bien deux heures. Deux heures de jouissances folles, de délires multiples et indécents. Heureusement que j’ai une santé de fer ! Ces foutus chasseurs vont jouer avec moi sans me laisser une minute de répit, ils m’ont fait hurler de plaisir.
A la fin de la journée, je suis enfin épuisée, on lit les cernes sous mes yeux. Trois chasseurs, repus et rassasier, rentrent chez eux. Il ne reste que Marcel, le gérant de l'auberge, et Hubert. A eux deux, ils me soulèvent et m'emmènent dans la salle de bains.
« Allez vous laver un peu, nous vous attendons dans la chambre… »
Je les regarde en souriant. Je sais ce qui m’attend…
En effet, pendant toute la nuit, les deux chasseurs infatigables vont se relayer pour me faire jouir encore et encore, jusqu’à ce que je tombe quasiment sans connaissance au petit matin.
Hubert me raccompagna à huit heures chez moi. Cela faisait près de trente-six heures que j’avais quitté la maison. Trente-six heures à baiser presque sans interruption. Mon mari m’accueillit sur le pas de la porte.
« Tu étai où ? je m’inquiétai…
- Ah bon ? Ne t’en fais pas, je me suis juste fait troncher par six hommes… Tu voulais que je me lâche ? Je l’ai fait. »
Mon homme se décompose en entendant mes paroles. Il s’approche de moi, puis se recule, semblant dégouté :
« Tu pues le sperme !
- Oh que oui, sifflai-je entre mes dents. J’en suis couverte. Et j’ai adoré ça ! Tu me prends comme je suis, où je te quitte… »
Mon mari est atterré, mais me laisse entrer. Je dois dormir, je suis épuisée…
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