Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
6. Mario et Jean
Philippe étant parti dans sa famille pour une perm de longue durée je suis plus à l'aise pour aller chez Jean seul, sans me cacher. J'arrive chez lui, impatient de le revoir, de goûter encore à sa belle queue et peut-être à sa main en moi. Jean m'accueillit avec un grand sourire, seulement vêtu d'une serviette de bain qui ceignait sa taille. La porte de son studio n'était pas encore fermée que nous étions déjà, bouche contre bouche à nous embrasser goulûment. Jean caressait mon cul ce qui aviva mon envie déjà grande de me faire baiser.
Nous nous séparons enfin, Jean ferme la porte. Je lui demande de me laisser prendre une douche, histoire de me débarrasser des miasmes de la caserne, il me conduit à sa salle d'eau. Il me déshabille lui-même, retire sa serviette, fait couler l'eau et nous voilà tous deux ensemble l'un contre l'autre et Jean qui me savonne lui même tout le corps, prenant bien soin d'insister aux endroits intéressants, tels que ma bite, mes couilles et mes fesses. Nous sommes face à face, nos queues raides se frottent l'une contre l'autre.
Je n'en peux d'envie, je ne sais pourquoi mais Jean a le don de m'exciter. Pour le lui faire comprendre, je me retourne et me penchant légèrement je frotte mon cul contre lui, il comprend tout de suite ce que je veux. D'une main il écarte mes fesses et de l'autre il présente son gland à mon trou et entre d'un seul coup, sans aucun ménagement. J'ai un sphincter très souple et mon envie de baiser me dilate un peu, aussi ce n'est que du plaisir que je ressens quand il entre en moi, malgré son épaisseur.
Ce qu'il m'a fait il y a quelques jours, ajouté à ma séance avec José pendant sa garde, m'a rendu affamé de sexe, aussi Jean me tient aux hanches et il n'a pas besoin de bouger, c'est moi qui fait danser mon bassin autour de son sexe. Mes mains sont appuyées sur les parois de la douche et j'ai tellement envie de le sentir jouir en moi que je me baise en mouvements rapides. Jean est très endurant aussi, je ne peux faire que nous donner le plaisir de nous sentir coulisser l'un dans l'autre. Je fatigue vite aussi c'est lui qui prend le relais.
Il a aussi envie que moi de jouir aussi fait-il comme moi, il m'encule en bougeant très vite. Tous les deux nous ahanons et gémissons. Et enfin, enfin, Je sens Jean se cambrer, entrer plus profond en moi et exploser dans mon ventre en poussant un grand rugissement, vite suivi par mon cri de jouissance. Nous restons ainsi, l'un dans l'autre, un moment sans bouger. Jean sort enfin sa queue je me retourne, m’agenouille et la prend en bouche pour déguster son jus mêlé à mon humidité intérieure. J'adore toujours ce moment où je fais cette petite toilette.
Nous nous rinçons sous l'eau qui continue de couler et sortons de la salle d'eau, pour boire un vers sur le canapé.
« J'aime ton cul, Mario, tu es à la fois serré et souple, je me sens bien en toi. Reviens souvent me voir !
-' Je viendrai aussi souvent que je peux car je suis amoureux de ta queue, mon Jean chéri Et j'aime ta main en moi aussi. Dis, tu me le referas encore ?
- Avec plaisir mon petit gourmand, mais tu sais il ne faut pas trop abuser de ce petit jeu. Si tu exagères tu peux te déchirer le sphincter ou l'élargir trop… »
Je lui promets de faire attention, mais j'insiste pour qu'il me le fasse encore aujourd'hui.
Il me promet qu'il me le fera tout à l'heure, mais pour l'instant, il préfère parler. Il me pose des tas de questions, pour savoir, entre autres choses comment je suis devenu homo. Je lui réponds que je ne le suis pas devenu, que je l'ai toujours été, et lui raconte ma jeune expérience. Cela semble l'exciter car il bande à nouveau. Tant que nous sommes en période parlote, je lui parle de José et lui dis tout le bien que je pense de ce garçon assez efféminé, mais mignon, qui a un cul d'enfer et qui semble, à ce qu'il dit, aimer tout en matière de sexe. Jean est d'accord pour le recevoir avec moi. Je lui propose donc, s'il en est d'accord, que cette rencontre se fasse quand on pourrait avoir une perm de week-end.
Jean trouve l'idée excellente, car il est très demandeur et assez vicieux. Je me réjouis à l'avance des moments que nous passerons tous les trois. J'arrête de parler car la matraque de Jean est toute dressée et semble me narguer. Elle me fait vraiment envie. Je veux la sucer, mais je n'arrive pas à me pencher vers elle, car Jean m'a enlacé, ses mains me caressent partout sur le corps, il s'arrête sur mes tétons pour les titiller, les mordiller, avant de me prendre la bouche. Il souffle d'impatience et de désir en me faisant ça, moi j'en ai des frissons partout. Jean plus costaud que moi mène la danse. C'est lui qui se penche et prend ma bite en bouche.
Je change vite ma position de manière à être tête-bêche et le sucer aussi. Nous voilà donc en 69. J'aime cette position, elle permet de se régaler à dévorer une belle bite tout en doigtant le cul de son partenaire. Notre jeu dure longtemps aucun de nous deux ne semble vouloir interrompre ce plaisir. Alors nous dévorons en ronronnant jusqu'à que nous jouissions dans la bouche de l'autre. Gourmand ou vicieux, ou les deux peut-être, nous nous vautrons l'un sur l'autre, nos bouches pleines se joignent, nous nous embrassons pour boire nos crèmes mélangées. Essoufflées et presque repus de sexes, nous nous allongeons l'un contre l'autre pour nous reposer un peu. C'est qu'en très peu de temps, nous avons joui deux fois. Il nous faut récupérer avant de recommencer.
Autant Jean est capable de vice, autant il peut être tendre et doux. L me le prouve en me serrant dans ses bras. Sa bouche m'embrasse délicatement, tout mon visage y a droit. Ma bouche bien entendu, le creux de mon cou, dans les oreilles. Il se laisse glisser un peu pour m'embrasser les seins. les pincer un peu aussi. Ses mains ne sont pas en reste qui caressent mon corps. Il est d'une délicatesse infinie, cela me donne des frissons sur tout le corps. Je le caresse aussi. Il a des muscles saillants de mec qui fait du bodybuilding. Il n'en abuse pas, cela lui donne un corps tentant. Et d'ailleurs je suis tenté, alors à mon tour je m'occupe de lui.
J'essaie d'être aussi doux et délicat que lui en le caressant. En explorant son corps, je me rends compte, chose étrange, qu'il a un endroit très sensible, ce sont ses aisselles, qui sont rasées. En l'embrassant là, je l'ai senti soudain se raidir et gémir. Et il se mit à bander à nouveau. Je n'insiste pas, je vais déguster d'autres parties de son corps et je garde en mémoire ''son point G''. Mais je le sens tout excité, je décide alors de tenter de le fister.
Ma main caresse son cul, puis se glisse entre ses fesses. Nous étions couchés sur le côté, il corrige un peu sa position pour m'aider. Je le pénètre d'un doigt, je l'encule ainsi un peu puis ajoute deux autres doigts. Jean semble aimer ça qui gémit et m'encourage :
« Ooooh! Oui !! Mon chéri, comme ça ! Oui, continue ! Enfonce bien ta main ! »
Je mets les deux autres doigts mais j'hésite à enfoncer plus ma main Jean insiste et m'exhorte à le faire. C'est difficile, mais j'y arrive. Enfin ma main est entrée jusqu'au poignet. Drôle cette sensation que je ressens avec mes doigts dans son ventre. C'est chaud et humide. Je me trouve comme un empoté maintenant et ne sais plus quoi faire. C'est Jean qui me guide en me criant presque de l'enculer comme ça avec ma main, et surtout de le faire presque violemment. C'est comme qu'il aime alors je l'encule avec force. Il crie de plus en plus fort et soudain il se raidit, il serre les fesses, ma main est prisonnière. Il gueule sa jouissance et jouit. Il y en a partout sur le tapis. Dommage je ne pourrais pas le boire.
Il me remercie en m'embrassant et m’étreignant fort contre lui. Nous restons un long moment comme ça dans les bras l'un de l'autre. Puis il me demande de me coucher sur le canapé, d'écarter les jambes et de les ramener sur ma poitrine. Il s'agenouille devant moi et me lèche le cul, comme il sait le faire. Ça me met dans tous mes états quand il me fait ça. Enfin, il entre deux doigts en crochet entre mes fesses entreprend de me masser la prostate. Étrange sensation de plaisir qui m'envahit. Pas facile à décrire. J'ai sans cesse l'impression que je vais éjaculer et pourtant non. Je jouis plusieurs fois sans jamais éjaculer. Sensationnel comme orgasme. Depuis ce jour, il m'arrive quelque fois de me le faire seul. Actuellement c'est plus difficile, je suis moins souple, dommage.
Je refais surface tout doucement. Jean nous sert encore un verre de bière. Ensuite je le quitte en le remerciant d'un baiser goulu et reconnaissant. Nous convenons de le prévenir dés que José et moi pourrons avoir une perm de week-end et nous disons au revoir. Je rentre joyeux à la caserne. En passant devant le poste de garde, je vois justement José. L fume une clope tout en discutant avec le chef de poste. Je lui demande étonné s'il est encore de garde.
« Non, non, j'ai pas sommeil c'est tout, alors je suis venu...euh...discuter avec les amis. »
Son treillis est nickel, tout propre et bien repassé. Seules d'étranges taches blanches décorent ses genoux.
« Je vois ça, oui ! « lui dis-je en riant et en fixant mes yeux sur ses genoux.
Il ne fait aucun commentaire et se contente de sourire en rougissant légèrement. Je reste un moment avec le petit groupe pour fumer une « troupe ». Quand, enfin je regagne ma chambrée, José m'emboîte le pas. Dés que nous sommes hors de vue du poste, il me dit qu'il a envie de jouer un peu avec moi. Je le repousse gentiment et lui explique que je suis sur les rotules et lui explique pourquoi. Ça l'excite et il saute de joie quand je lui parle du week-end avec Jean. Il accepte en me disant être impatient d'y être. (Et moi donc.) Il est si heureux qu'il me saute au cou et me roule une pelle. Nous nous quittons avec la promesse que demain soir je le rejoigne.
« Je connais un local tranquille où on est jamais déranger. Dors bien mon chéri. »
Je me demande quel est ce coin si tranquille dont il m'a parlé. Bah! Demain il fera jour, nous verrons bien.
Le lendemain soir, la chambrée résonne de cette musique à nulle autre pareille qu'est le ronflement de bidasses endormis. Je sors discrètement pour rejoindre José. Il m'attend dans un coin sombre. Je le suis discrètement vers la baraque du fourrier. C'est là que José ''travaille''. En effet, il est chargé de la distribution de ces merveilles que sont les vêtements si seyants que nous fournissait l'armée. La nuit, bien sûr, il n'y a personne. Nous entrons. Il me guide dans le noir vers une petite pièce sans fenêtre où on peut allumer la lumière.
Aussitôt là, José me saute au cou et nous nous embrassons à faire des nœuds avec nos langues. Ce garçon a le don de m'exciter dans sa manière de se comporter. Il semble ne vivre que pour le sexe et comme il est vraiment beau garçon, il arrive toujours à ses fins. Son corps se colle au mien, il bouge son bassin contre moi et je bande comme un fou. J'ai envie de lui, je veux son cul autour de ma bite. Je dégrafe son pantalon et baisse son caleçon. José poursuit mon geste en retirant ses chaussures pour pouvoir enlever complètement son futal.
Dés que fait, il me serre la taille avec ses jambes nues et s'empale sur ma queue toute raide. Et n'ai plus rien à faire que résister au plaisir. Ses jambes autour de ma taille, ses bras autour de mon cou et sa bouche contre la mienne, José monte et descend sur ma queue en gémissant et criant des « Oh !! Putain, qu'elle est bonne ta bite dans mon cul ! Je veux jouir de toi mon chéri ! »
Mais moi, j'ai plutôt envie de faire durer le plaisir que de jouir tout de suite. Aussi je le fais descendre et je le prends en levrette, ainsi je peux contrôler ce que je fais. Je peux dans le même temps admirer son cul. Il a des petites fesses bien fermes et musclées, bien rebondies. Leur contact est très doux. Mais l’intérieur aussi est tentant, chaud et humide à souhait. Un paradis pour sodomite. José délire de plus en plus et dans son! Emportement me dit :
« Mario vous pourrez m'enculer ensemble tous les deux, Jean et toi ? »
Cette demande qui me fait entrevoir un jeu très chaud me fait exploser dans le cul de José sans que je puisse me retenir plus longtemps.
J'éjacule et je continue à l'enculer jusqu'à ce que je sois débandé. Ça fat jouir José qui se détache de moi pour se mettre à genoux devant moi et lécher ma queue pour me boire et me nettoyer. Quel délicieuse salope ce José. Je l’aimerais presque pour sa façon de baiser. Je sens qu'il va plaire à Jean et qu'on va pouvoir passer un week-end de rêve. Les jours qui suivirent, je ne cessais de penser à Philippe et sa grosse queue. Certes il n’était pas aussi endurant que Jean, mais sa bite était délicieuse et puis c'est grâce à lui si j'avais rencontré Jean. J'avais hâte qu'il revienne de sa perm pour faire à nouveau l'amour avec lui. Et puis je rêvais à une soirée avec lui Jean et José. Une partie de cul à 4, ça devrait nous faire passer de très bons moments.
Derniers Commentaires