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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Cette nuit, j’ai fait un rêve plus qu’érotique. Jamais je n’avais été aussi loin dans un rêve. Il était tellement réel que je me suis réveillée avec mes lèvres intimes gonflées et trempées…


C’est un soir de pleine lune, on y voit comme en plein jour… Je m’habille sexy très court, me maquille beaucoup, et je prends ma voiture direction l’autoroute. Je m arrête sur une aire de repos fréquenté par les routiers.


Je ne cache pas mes intentions, je veux de la queue et je le fais savoir. J’ouvre la porte de ma voiture, un pied sur l’accoudoir, ce qui a pour effet de dévoiler ma chatte à peine cachée par un mini string. La lune m’éclaire comme un spot. Je passe un doigt lascif sur le fin tissu, l’écarte, pour mieux leur montrer mon excitation naissante.


Sur le parking, les mecs me regardent de loin, l’air interrogateur. Un plus hardi que les autres m’approche, il me prend pour une pute, et me demande mes tarifs. Cela me fait rie. Mais il faudra que j’y pense… me faire payer pour baiser, ca doit être top ! Le beurre, et l’argent du beurre. Ou plutôt de la crème !

« Mon gars, c’est gratuit si tu me fais jouir bien comme il faut. Toi, mais aussi tes copains… »


L’homme n’en croit pas ses oreilles. On n’a pas une telle occasion tous les soirs !

Il appelle ses collègues et leur annonce la couleur.

Comme il fait vraiment très clair, nous nous éloignons un peu du parking pour être un peu à l’abri des regards.  Mais pas trop. Je veux que d’autres routiers profitent de moi… Il faut que l’on sache que ça baise dans ce coin de l’aire de repos.

Ils me pelotent les seins sans ménagement. L’un s’attaque à mon con déjà bien mouillé. Il fouille mon vagin sans ménagement. Je sors les trois bites de leur pantalon, les unes après les autres, et je commence à les sucer et les branler.

Ils bandent comme des taureaux, leurs queues sont différentes. 

 

Comme ça, je vais avoir des sensations variées… ! Je pompe encore et encore leurs bites comme une chienne affamée.
L’un deux, prévoyant, a apporté une couverture. Il la pose au sol, et s’allonge dessus, le chibre dressé vers le ciel. J’ai trop envie d’être prise. Je me retrouve bientôt à chevaucher son puissant dard, tout en continuant de sucer la bite d’un autre. Ce dernier ne tarde pas à jouir dans ma bouche. J’avale le jus âcre, et sans s’attarder, il range sa pine et s’en va.


Le troisième prend sa place dans ma bouche, je le suce goulûment. Il est plus gros que l’autre, et me baise littéralement la bouche. J’en perds le souffle. Celui que je chevauche me bourre la chatte à grands coups de queue, puis il jouit en moi et se retire brusquement. Je suis encore affamée, je n’ai pas joui. Ils vont trop vite.
Je me retrouve seule à sucer le dernier mec quand soudain deux autres lascars arrivent, et nous interpellent : « Alors il parait qu’une chienne en chaleur veut de la bite ? 


Et ben salope, on va te faire la totale, tu vas en avoir de la queue espèce de putain. » Il est brutal dans ses paroles, il va l’être dans ses gestes. Mais ce soir, je veux tout. Ses mots m’excitent, et je jouis en me branlant la chatte. Le troisième jouit sur mes seins. Sa bite était trop grosse, je ne pouvais plus la sucer…

L’un des deux derniers arrivés  m’attrape les cheveux et me fourre sa bite dans la bouche. Il m’insulte violemment :

« Suce, grosse putain, suce ma bite ! »


Il me bourre la bouche de son nœud épais. Je suis en apnée, tant il me l’enfonce profondément.
Il apostrophe son copain :

« Encule cette chienne, vas-y, bourre-lui le fion ! »


J’ai soudain un peu peur. Je n’ai été que rarement sodomisée, et encore, avec beaucoup de précautions. Là, aucune. A peine un doigt enduit de salive qui me laboure rapidement le petit trou.


Je crie de douleur : une grosse bite vient de me prendre et me tringle sans ménagement. La douleur s’efface, et laisse place à une chaleur intense. Je gémis de plaisir en continuant de bouffer la queue qui me baise la bouche. Je mouille comme une chienne et je m’en prends plein le cul ! Celui que me défonce sort brusquement, et jouit sur mon dos.


L’autre éjacule à grands jets épais sur mes joues.  J’ai joui sous leurs assauts, j’ai eu ce que je voulais. Il est temps de partir. Mais impossible : le bouche à oreille a fonctionné et trois routiers s’approchent de moi, la queue à la main. Ils veulent me sauter, me baiser, m’enculer… Cette situation m’excite à nouveau.

Que puis-je dire ? Oui !!!


Ce soir-là, le mot était passé : sur l’autoroute, une salope en chaleur voulait de la bite.

J’ai été plus que servie.


Quand je me suis réveillée, j’étais si excitée que j’ai du me caresser. J’ai pris mon petit œuf vibrant, l’ai calé bien au fond de ma chatte mouillé, et je l’ai mis en marche. Je me suis caressée les lèvres, le clito bien bandé. Il ne m’a fallu que quelques minutes pour jouir, d’un bon orgasme du matin, comme je les aime…

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes fantasmes - Communauté : SALOPE A GANG-BANG
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