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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

                                                Le retour de Philippe

 

 

Les jours qui suivirent notre petit week-end chez Jean se passèrent assez sagement, sauf la visite de ce cher José venu me sucer pendant ma garde. Cette fois-là, après qu'il m'ait fait ce petit plaisir, je lui demandais pourquoi il n'avait jamais baisé avec Philippe. Il me répondit qu'ils étaient très copains tous les deux, mais qu'ils avaient décidé de ne jamais se montrer ensemble pour ne pas augmenter les quolibets que les autres bidasses ne se lasseraient pas de leur envoyer.

 

A cette époque  la « pédé phobie » était bien plus forte que de nos jours. Et ce qui est amusant, si j'ose dire, c'est que dans la caserne tous les mecs qui « bouffaient du pédé » à longueur de temps, étaient tout contents que José fasse le tour des postes de garde, la nuit pour les sucer et ils trouvaient cela normal ces hypocrites.

 

José accepta avec joie ma proposition de retourner passer une soirée chez Jean avec Philippe pour partenaire supplémentaire. Il en fut si heureux qu'il me sauta au cou et me roula une pelle plus que goulue. Il faisait cela avec un tel art que je me remis à bander et une furieuse envie de l'enculer me prit mais hélas nous avons entendu du bruit. C'était l'adjudant de semaine. Une tête de lard comme on en fait peu. José se plaqua au sol et se confondit avec la terre. Une fois le juteux passé, on se dit qu'il valait mieux ne pas se faire remarquer et José retourna se pieuter. Deux jours après ma garde Philippe revint de sa grande Perm.

 

Nous trouvâmes facilement une occasion pour nous voir discrètement. On s'est embrassé à pleine bouche et chacun de nous suça l'autre. Sa grosse bite me manquait. Son épaisseur compensait sa faible endurance. Après nous être ainsi souhaité la bienvenue, je lui parlai de mon idée de  soirée chez Jean, à quatre, puisque José sera de la partie. Et je lui racontais nos séances de baise  dans la caserne, et surtout notre demi week-end chez Jean.

 

Philippe me dit être impatient de voir cette soirée  arriver et surtout de pouvoir faire l'amour avec José à qui il n'avait jamais osé faire des propositions. Ce que je comprenais aisément, étant donné qu'étant assez efféminés tous deux, ils auraient multiplié les occasions de se faire critiquer, voire insulter.

Dés le lendemain je téléphone à Jean pour lui demander s'il était d'accord pour qu’on vienne chez lui tous les trois.

 

Il fut ravi, et me proposa qu'on vienne le vendredi suivant, soit dans trois jours. Il m'annonça par la même occasion qu'il quittait la ville dés le lendemain samedi. Sa boîte le mutait à l'autre bout du pays. J'annonçais la nouvelle à mes deux amants. Après un bon moment de déception, presque de tristesse, nous décidâmes  de bien fêter notre dernière soirée avec l'ami Jean. Nous étions impatients d'y être, de  nous trouver tous quatre, nus les uns contre les autres, les uns dans les autres pour  nous aimer.

 

Enfin, le vendredi arriva  et sans déroger à nos bonnes habitudes, José, Philippe et moi avons échelonné notre sortie de la caserne  et pris des chemins différents pour nous rejoindre chez Jean. C'est José, parti bien avant nous qui arriva le premier. Quand à mon tour je suis arrivé, j'eus la surprise de voir José, splendide dans sa nudité en train de ramper sur le corps de Jean, le caressant, le léchant, le suçant. Quel beau spectacle érotique que voilà. Je bandai aussitôt et me hâtai donc de me mettre nu à mon tour.

 

C'est ce moment que Philippe choisit pour arriver. Comme moi, il fut ''sensible ‘au spectacle.  Il se débarrassa très vite de cet uniforme que l'Armée dans son immense bonté nous octroie et grâce à quoi nous sommes censés avoir fière allure.

 

La belle bite épaisse de Philippe me manquait, je me jetais dessus en prenant grand soin de faire monter son plaisir très très doucement pour  retarder  le plus possible son explosion hélas toujours trop rapide. Philippe gémissait de plaisir. Je m'arrêtais de le sucer pour fouiller sa bouche avec ma langue, ensuite je m'allongeai sur le dos (et sur le lit car je suis capable de faire deux choses en même temps) et lui demandais, impatient :

« Philippe chéri, prends-moi, vite ! »

 

Il ne se fit pas prier et sans précaution aucune, il se trouva d'un seul coup en moi.

 

Bien qu'excité, mon cul s'attendait à un minimum de douceur. Je ressentis une petite douleur, vite oubliée par la joie et le plaisir de sentir cette belle bite garnir mon cul. J’empêchais Philippe de bouger pour mieux jouir de moment durant lequel nos corps ne font qu'un. Une idée me traversa l'esprit. Jean partait le lendemain, il fallait absolument qu'il me baise avec sa main. Cette seule évocation m’excita et je donnais un coup de rein pour inciter Philippe à me besogner.

 

Contrairement à son habitude, il me baise sans précaution, presque violemment comme s'il n'avait pas baisé durant sa permission qui dura presque un mois. Après tout, peut-être n'a-t-il pas baisé après tout?  Sa manière de me sodomiser ne me déplaît pas, au contraire, mais je crains que cela ne dure pas très longtemps à ce rythme. Je ne me trompe pas, je le sens prêt à exploser, et effectivement, soudain il se raidit et dans un rugissement de plaisir il se vide en moi. J'adore sentir une queue éjaculer en moi mais il n'empêche que je n'ai pas eu mon compte de  plaisir moi.

 

Je me tourne vers Jean et José. Ils sont en 69, allongés sur le sol.  Aidés de Philippe, je les sépare. Ils se laissent faire sans rechigner. Philippe et  José se jettent littéralement dans les bras l'un de l'autre. Cela faisait maintenant 1troismois qu'ils étaient dans la même caserne, 1troismois qu'ils attendaient ce moment là. Rien ne pourrait maintenant leur interdire de baiser. Ils s'allongent sur le canapé. Ils semblent n'avoir pas assez de leurs deux bouches pour s'embrasser. Leurs mains voyagent sur leurs corps comme si elles étaient  plus nombreuses.  Ils font plaisir à voir. Le spectacle est excitant au possible.

 

Ces deux-là nous excitent vraiment, Jean et moi. Nous nous embrassons avec avidité mais j'abrège nos effusions pour lui demander de me sodomiser. Philippe m'a juste mis le feu. Je me dirige vers la table de la salle à manger et m'allonge dessus, jambes relevées. Jean qui me suivait empoigne mes chevilles, son dard est à bonne hauteur. Je suis assez ouvert aussi entre-t-il en moi sans problème. Bien sûr je ressens une douleur mais elle est brève et très vite remplacée par le plaisir de sentir sa grosse verge en moi. Elle me remplit bien.  Jean reste un moment immobile. Comme moi il aime cet instant où nos deux corps  se complètent, font connaissance et s'apprécient avant de se déchaîner.

 

Ce qui ne tarde pas à arriver. Pour cela je lance mon bassin en avant. Jean pige tout de suite. Il procède comme à son habitude, Il sort rapidement sa queue de mes fesses et y entre à nouveau, brusquement et commence alors sa chevauchée. Elle est fantastique. Jean sait mêler douceur et brutalité, pour m'amener à la jouissance. Il est très endurant, ce qui me permet de sentir monter mon plaisir lentement et jouir plus longtemps. Après une chevauchée aussi fantastique que sensuelle, Jean explose en moi, violemment, abondamment. J'en grogne de plaisir et explose à mon tour, répandant mon sperme sur mon torse. Jean reste en moi  et me baise à vide, le temps de débander, puis ramolli se sépare de moi et se penche pour lécher et consommer mon jus.

 

Pendant que je me fais prendre, José et Philippe continuent leur corps à corps frénétique. Ils sont maintenant en 69. Chacun prend un plaisir gourmand à déguster l'autre. Philippe est aux anges, à tel point qu'il en néglige un peu la jolie queue de José qui attend avec gourmandise et impatience que Philippe lui donne du plaisir.

 

Curieusement, Philippe est plus endurant quand il se fait sucer que quand il prend un amant. Pour ceux qui, comme José ou moi, aiment avoir dans la bouche une belle queue à sucer, à déguster comme un sucre d'orge, c'est très agréable. José, excellente suceuse, arrive à ses fins et se retrouve la bouche pleine du jus de Philippe qui après quelques secondes de ''panne de courant'' revient à la réalité et peut, à la plus grande joie de José, consommer la jolie bite qu'il lui offre.

 

Jean et moi, allons prendre une douche pour nous rafraîchir et nous remettre de nos émotions et rejoignons nos deux copains. Nous admirons leur jeux en buvant un grand verre de bière. Nous somm.es, tous les deux, en admiration devant le corps de José. Il n'est pas taillé en Hercule, façon  body building, mais il y a quelque chose de très sensuel et érotique qui se dégage de lui. Sa peau est douce et aucun poil ne vient l'enlaidir car comme moi il est totalement imberbe. Elle a un ton légèrement café au lait, naturel, ses origines ibériques sans doute. Son petit cul adorable, aux fesses  fermes et rebondies  appelle la caresse et les coups de queues.

 

Le spectacle qu'il nous donne à Jean et moi  nous redonne des forces. Nous revoilà la bite toute raide, prêts à retourner au combat. Nous avons de la peine à nous interdire de rejoindre José et Philippe. En effet José  crie son plaisir sous la bouche de Philippe qui se surpasse, cela faisait plusieurs mois que ces deux-là voulaient baiser, il aurait té malvenu de les  gêner.

 

Dans mon excitation j'avais presque oublié que Jean nous quittait le lendemain très tôt et que plus jamais nous ne baiserions ensemble, je lui demandai de me faire un dernier petit plaisir. Me fister. Et sans attendre sa réponse, je m'allonge sur la table, jambes en l'air, tout offert à la main de mon ami. Il ne se fait pas prier, finit rapidement son verre de bière et va chercher son lubrifiant, en l'occurrence son tube de vaseline.

 

Il s'installe, debout face à moi, bien campé sur ses jambes tout en me fixant de son regard souriant, il s'enduit consciencieusement les mains. Ensuite il se penche un peu et me lèche la raie, pour m'exciter mais ça c'est déjà fait et me dilater un peu l'anus.

 

Enfin je sens un puis deux doigts qui entrent en moi, ils vont et viennent lentement, font un léger mouvement de rotation, leur frottement contre la paroi me donne des frissons de plaisir. Un troisième doigt les rejoint et le petit jeu continue. Mon plaisir monte de plus en plus. Le quatre° doigt met plus de temps à rejoindre ses petits camarades. Seul le pouce est encore dehors et je me demande si le pouce pourra entrer tant je me sens agréablement certes mais tout de même bien rempli.  Soudain ledit pouce tente d'entrer et après une hésitation, y parvient. J'ai une légère douleur vite passée dés que mon sphincter se ressert autour du poignet de Jean.

 

Wouaw !! Qu'est-ce que c'est bon ce truc. Jean me sodomise avec sa main, de temps en temps pour varier il ouvre sa main et ses doigts pianotent. J'adore!!!!!  Je ne peux m'empêcher de bouger mon bassin pour accompagner les mouvements de la main de Jean. Je finis par jouir, je me répands sur mon ventre. Ma main étale mon jus sur mon torse. Jean sort sa main de mon ventre très lentement. Même cela est agréable. Ensuite il se penche sur moi et me lèche pour récupéré mon sperme étalé.

 

Je suis vanné, je sens que j'ai mon compte pour ce soir.  Au moment où je descends de la table, Jean me prend dans ses bras et nous nous embrassons avec passion puis allons rejoindre les deux autres, qui récupèrent de leur 69. Jean nous sert alors un petit encas pour nous ragaillardir. Il se fait tard nous ne pouvons plus trainer trop longtemps.

 

Alors Jean propose à José en guise d'adieux de le prendre en double. Philippe propose de faire le deuxième. Voilà deux fois qu'il a joui, cette fois il va pouvoir tenir le coup longtemps. Cette petite salope de José est ravi. Il fait mettre Jean et Philippe debout l'un en face de l'autre, s'agenouille et les suce pour les mettre en forme et leur dit :

« Mes chéris, enculez moi mais sans lubrifiant, j'adore ça ! »

 

Puis Jean se couche sur le canapé. José se place au-dessus de lui en lui tournant le dos et s'empale. Il relève ses jambes au maximum et Philippe vient le prendre, il force un peu. José ressent sûrement un peu de douleur mais cela semble lui faire plaisir si j'en juge par ses gémissements. Quand enfin ils sont tous les deux en lui, José ne peut s'empêcher de gueuler un :

«  Putain comme c'est bon ce truc, allez-y mes chéris baisez  moi, vite ! »

 

Il n'en fallut pas plus à Jean et Philippe pour danser dans le ventre de José. Ils eurent quelques hésitations mais trouvèrent vite le bon tempo. Quand l'un reculait l'autre avançait. Le rythme augmentait en fonction des cris de plaisirs de notre José. Il en était impressionnant. Ses cris ponctuaient les mouvements de sa tête. Il était vraiment à son affaire. Je me croyais HS, mais ce spectacle me fit bander encore .Je me plaçai au-dessus du trio, fesses posées sur le dossier du canapé, mes jambes encadrant la tête de Jean et me branlai lentement pour faire monter doucement le plaisir en moi. Et puis je voulais être à l'unisson de mes amants et jouir en même tems qu'eux.

 

Dans le même temps je pensais que Jean une fois parti, il nous faudra trouver un moyen de nous retrouver tous les trois pour nous aimer tout notre soul. Le fait seul de m'imaginer avec José et Philippe me donna un tel coup de fouet que je ne pus plus me retenir et dirigeant mon gland vers le visage de José je lui crachai tout mon sperme dessus. Jean qui était en dessous fut un peu arrosé. Cela lui fit de l'effet car ‘il accéléra les mouvements de ses reins et à son tour explosa dans José, vite suivi par Philippe.

 

José jouit à son tour accompagnant  une sorte de feulement. Les trois compères se séparèrent et affalés les uns à côté des autres essayaient de récupérer de leurs efforts. Moi, gourmand invétéré j'entrepris de leur faire un semblant de toilette en les léchant soigneusement. J'ai beaucoup apprécié ce cocktail  et ce d'autant plus que c'était le dernier avec Jean. Forces enfin récupérées, nous nous sommes douchés ensemble, avec, bien sûr force caresses et baisers en guise d'adieux.

 

José, Philippe et moi sommes rentrés à la caserne en échelonnant notre arrivée. Il restait à José et Philippe encore trois mois à faire, moi je devais attendre 6 mois avant la quille. Durant ce petit trimestre nous n'avons pas réussi à trouver un homme en ville qui partage nos goûts aussi  nous n'avons plus jamais pu baiser tous les trois ensemble. Dommage. Enfin, tous ces mois passés avec eux m'auront permis de trouver le service militaire presque sympa.

 

Quand je fus enfin libéré, j'entrepris de me trouver un  job et des copains. Je pus aussi retrouver Pierre, mon premier amour, mais il avait changé. Il s'était trouvé un homme avec qui il partageait sa vie.  Mais nous sommes restés copains Je repris aussi contact avec Robert cet homme super bien monté, vicieux et exhibitionniste qui avait été mon premier adulte. Nous fumes heureux de nous retrouver et avons souvent fait l'amour seuls, et parfois avec quelques uns de ses copains.

 

 Ce furent des moments de jouissance formidables que je vous raconterai un jour...........

Par Mario - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
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