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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Il y a une quinzaine de jours, je terminais en solitaire une petite randonnée d’une dizaine de kilomètres, dont l’itinéraire démarre et arrive sur le parking du parcours de fitness de la petite ville où je réside. C’était le début de l’automne et même si le temps était plutôt clément, il fallait faire attention à ne pas glisser sur les feuilles humides.

 

J’étais à moins de cinq minutes du parking, quand à une dizaine de mètres devant moi, j’ai vu une joggeuse glisser et chuter lourdement sur le sol. J’ai pressé le pas, et quand je suis arrivé auprès d’elle, elle ne s’était pas encore relevée et gémissait de douleur en se tenant la cheville droite. Je me suis penché vers elle en lui demandant si je pouvais l’aider. Elle m’a dit s’être tordu la cheville en glissant sur une racine recouverte de feuilles mortes. Je l’ai aidée à se relever mais elle ne pouvait pas poser son pied. Pour regagner le parking, j’ai passé le bras gauche autour de sa taille pour la soutenir et de son côté, elle avait mis le droit autour de mon cou. Il lui était impossible de conduire. Je lui ai proposé de la ramener avec sa voiture jusque chez elle. Je reviendrais chercher la mienne plus tard.

 

Elle résidait dans un studio au deuxième étage d’un petit immeuble récent du centre ville, heureusement pourvu d’un ascenseur. Après l’avoir installée dans un fauteuil, je l’ai aidée à se déchausser pour examiner sa cheville. Elle était bien gonflée et chaude, mais malgré tout, Lucie pouvait bouger son pied. Mes notions de premiers secours m’ont permis de la rassurer en lui disant que ce n’était qu’une entorse simple. Pour faire partir le gonflement, il suffisait dans un premier temps de prendre un bain de pied froid et qu’ensuite un bandage serré lui permettrait de marcher à peu près normalement. Elle ne voulait pas aller consulter le service médical d’urgence car elle était actuellement en stage dans un cabinet d’avocats internationaux au Luxembourg et elle n’avait pas les moyens de l’interrompre.

 

Petite brune d’environ un mètre soixante avec des cheveux noirs longs coiffés en queue de cheval, Lucie est un joli brin de femme. Sous son sweet-shirt, je pouvais deviner une poitrine menue. Ses yeux bruns légèrement bridés lui faisaient un regard coquin qui illuminait son visage. Je ne lui donnais pas plus de vingt-cinq ans. Dès qu’elle a été installée, la cheville dans un bain froid avec des glaçons, je lui ai offert de revenir lui faire son bandage en fin d’après midi dès que je serais allé récupérer ma voiture. Pour faciliter mon retour dans son appartement, elle m’a remis une clé. Une heure plus tard, je revenais avec le nécessaire pour le bandage. Lucie avait toujours le pied plongé dans le bain froid. Sa cheville avait désenflé et j’ai pu lui faire le bandage prévu.

 

Pour me remercier, elle m’a invité à diner « à la fortune du pot ». Nous nous sommes contentés d’une tranche de viande froide et d’une salade de tomates à la mozzarella. Nous avons bavardé longuement au cours du repas et après. D’origine italienne, elle avait fait toutes ses études universitaires à Paris et après ces cinq années, elle avait décroché ce stage de trois mois qui, elle l’espérait, déboucherait sur une embauche qui la conduirait vers une carrière de juriste internationale. Son travail lui plaisait et il régnait une bonne ambiance entre les membres du cabinet. Vers vingy-deux heures, j’ai pris congé de Lucie qui m’a dit de venir diner le vendredi suivant. Elle me préparerait une spécialité italienne pour un repas plus conséquent.

 

Une semaine plus tard vers vingt heures, je sonnais à la porte de Lucie. Oh surprise ! Elle m’attendait dans un kimono en soie ivoire opaque orné de dentelle et un pantalon du même tissu qui lui allaient à ravir.

« Je me suis mise à mon aise après la douche, me dit-elle, j’en avais besoin, les trajets en train, ce n’est pas génial ! »

 

Nous sommes passés à table pour un repas exclusivement tourné vers l’Italie. Nous avons repris notre bavardage de la semaine passée tout en mangeant, puis installés côte-à-côte sur le divan nous avons poursuivi notre conversation. Alors que j’aurais pu largement être son père, nous avons ri comme deux potaches contents de leurs blagues mais les propos ont fini par dériver vers la coquinerie. En plaisantant, je lui disais que belle comme elle l’était, elle devait multiplier les conquêtes masculines. Ce n’était pas le cas car elle s’était entièrement consacrée à ses études et à part quelques aventures sans lendemain lors de vacances estivales, elle n’avait pas de copain.

« Et toi, tu vis seul mais tu dois encore avoir des aventures ? Raconte-moi comment tu fais des conquêtes… »

 

Bien sur je me vivais pas en ermite, loin des plaisirs de la vie et le sexe en fait partie. Je lui indiquais alors que je draguais sur les sites de rencontres coquines sur la toile et que de temps à autre, j’allais dans un club libertin de la région où j’avais un abonnement à l’année.

 

Je m’étais un peu tourné vers Lucie et par l’entrebâillement de son déshabillé, je plongeais mes regards sur un sein bombé qui me semblait bien ferme. Jolie vue, très sensuelle. J’étais un peu mal à l’aise de sentir mon désir pour Lucie monter peu à peu dans mon boxer, mais je ne pouvais pas l’empêcher. Cette coquine devait le sentir car loin de refermer la veste de son kimono, elle a dénoué la ceinture et les pans se sont écartés comme par enchantement. Elle avait la peau mate des filles du soleil et je pouvais voir que l’été dernier, elle avait bronzé avec le soutien gorge de son bikini : un triangle de peau plus claire s’étendait sur ses seins aux aréoles très foncées. L’invitation de Lucie à aller de l’avant était sans équivoque. Je l’ai enlacée et doucement, je suis allé déposer un baiser sur ses lèvres. Elle a ouvert la bouche et nos langues ont commencé un ballet sensuel de plus en plus chaud. Pendant ce temps, j’étais allé cueillir son sein droit de la main et je le caressais lentement, cherchant à faire saillir le bourgeon.

 

Soudain Lucie s’est levée, elle a fait glisser le déshabillé sur le tapis et elle est venue se mettre à califourchon sur mes jambes pour continuer à m’affoler de ses baisers. Je faisais courir mes mains sur son torse, tantôt devant sur ses seins jusqu’aux hanches, tantôt derrière où je suivais le creux de sa colonne vertébrale que j’agaçais de mes ongles. J’avais de plus en plus chaud et ma bite se trouvait désormais très à l’étroit dans mon boxer. C’est elle qui a entrepris de m’enlever mes vêtements, le sweet-shirt et la chemise ont rejoint le haut du déshabillé sur le tapis. Nous étions désormais à égalité : Lucie n’avait plus que son pantalon de soie (et peut-être un string) et ses mules à talons hauts et moi, je n’avais plus que mon pantalon, mon boxer et mes sandalettes.

 

Quand elle s’est levée, j’ai compris que nous allions passer aux choses sérieuses. Lucie a fait glisser dans le même mouvement son pantalon et son string et j’ai ôté le reste de ce que je portais. Nous étions face à face, entièrement nus, le souffle un peu court après nos échanges de baisers enflammés, ma bite dressée triomphalement faisait face à son pubis orné d’un duvet noir dessiné en triangle. « Viens, dit-elle en s’allongeant sur le divan, j’ai envie de faire l’amour et toi aussi ! » Je cherchai précipitamment un préservatif dans mon pantalon mais Lucie me dit que nous pouvions nous en passer, elle était sous contraception et avec moi, elle ne craignait rien…

 

Lucie me tendait les bras et la fourche de ses jambes était largement ouverte. Je me glissai entre ses cuisses et d’une longue et lente poussée, je pris possession de sa chatte trempée de cyprine, heureusement car elle était étroite. Je restai ainsi sans bouger pendant quelques minutes pour savourer la douce chaleur de cette gaine humide. J’étais en appui sur les bras. Seuls nos deux bassins étaient en contact et je voyais ses seins palpiter doucement au rythme de la respiration de Lucie. Les yeux grands ouverts, elle me souriait : « Vas-y ! Baise-moi fort ! » J’ai commencé les mouvements de va-et-vient dans sa chatte. Lorsque mon gland revenait à la sortie, Lucie jetait son bassin en avant comme pour me retenir et m’empêcher de sortir. Loin de moi cette idée !

 

 

J’ai accéléré les mouvements. A chaque fois que j’arrivais au fond de sa vulve, Lucie poussait un petit cri. Je sentais son plaisir monter au même rythme que le mien. Nous allions tous les deux vers une jouissance simultanée. Soudain, Lucie a relevé ses jambes pour venir les nouer sur mes reins en poussant un grand râle de jouissance. Son vagin et tout son bassin étaient pris de mouvements convulsifs. Elle avait rejeté la tête en arrière et sa bouche entrouverte semblait chercher son souffle. Pendant qu’elle jouissait, je me suis retenu mais aussitôt après, je me suis lâché. De puissants jets de sperme ont inondé le fond de sa chatte. Il y avait longtemps que je n’avais pas eu le plaisir de me vider directement dans un sexe accueillant.

 

Nous avions pris notre temps pour baiser mais après cette belle jouissance, nous étions essoufflés tous les deux. Je me suis allongé sur Lucie, les coudes le long de son buste, je sentais contre ma poitrine les douces protubérances de ses seins. Nous échangions de petits baisers et d’une main, je lui caressais la nuque. J’avais toujours la bite un peu débandée dans sa chatte. L’un et l’autre, corps contre corps, nous savourions ces instants merveilleux de douceur qui suivent une bonne baise. Finalement, ma queue est sortie de son sexe. Je me suis relevé en nous désunissant.

« Reste ! Nous allons ouvrir le lit, j’ai envie de dormir dans tes bras ! »

 

Quelle belle invitation ! Nus tous les deux, nous avons ouverte le divan-lit et nous nous sommes glissés sous la couette. La pièce n’était plus éclairée que par quelques bougies placées dans des photophores de couleurs disposés çà et là. Nous étions couchés sur le côté, Lucie blottie au creux de mes bras, nos jambes à nouveau emmêlées, me disait combien je l’avais rendue heureuse et  me remerciait encore de l’avoir secourue d’une manière efficace la semaine précédente. La chaleur du lit et le contact de son pubis contre le mien avaient fait renaître ma bandaison. Glissant une main entre nous deux, Lucie a achevé de faire dresser ma bite pour venir la chevaucher en amazone face à moi.

 

Tout d’abord elle a ondulé du bassin comme pour mieux loger ma queue au fond de sa chatte puis elle a entrepris les mouvements de va-et-vient, sortant parfois totalement ma bite de sa chatte pour mieux la reprendre ensuite et savourer la lente pénétration. Bien que noyé de cyprine et de foutre, son sexe était toujours étroitement moulé sur le mien. Dans le clair obscur de la pièce, l’éclairage mettait des flaques de couleur mordorée sur la peau de Lucie. Je distinguais les deux triangles plus clairs au niveau de sa poitrine et la marque du maillot à sa taille.

 

Ses yeux brillaient et sa bouche entrouverte laissait voir la blancheur de ses dents, seule tache vraiment plus claire. Lucie prenait son temps, les genoux à hauteur de mon bassin, elle ondulait, ma bite allant à chaque fois jusqu’au fond quand nos pubis étaient en contact. Puis elle a changé de position, toujours en amazone, elle a rejeté la couette en arrière,  elle a mis ses pieds à plat de chaque côté de mes hanches et là, elle a repris sa cavalcade de plus en plus rapide. J’avais posé mes mains de chaque côté de sa taille pour maintenir son équilibre. Et notre jouissance est arrivée une nouvelle fois, soudaine et violente.

 

Lucie s’est affalée sur mon torse et ce n’est que bien plus tard que nous avons repris conscience. Nous nous étions endormis dans cette position quasi instantanément. Je me suis rhabillé, et j’ai quitté Lucie et la remerciant, et en disant que je préférais la quitter ainsi aux petites heures de la nuit pour ne pas la compromettre par une rencontre inopportune. Je ne sais pas si cette soirée sera suivie d’autres moments sensuels comme ceux-là ! Mais c’était merveilleux car inattendu.

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Les récits érotiques
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