Sophie, marquise de
R.
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Sophie
Ceci est un récit fantasmé à partir de confidences faites par mon amie Diane, qui à une époque de sa vie était une écuyère de concours complet.
Une belle cavalière
Il y a quelques semaines, j’ai passé deux jours dans une ville du sud de la région parisienne où j’ai habité de longues années. Cette ville est bien connue dans le monde de l’équitation française et internationale grâce à ses nombreuses installations destinées au monde du cheval car toutes les disciplines peuvent y être pratiquées.
J’ai toujours admiré l’osmose qui réunit le cavalier et sa monture. Chaque fois que des compétitions étaient organisées, je m’efforçais de passer au moins une demi-journée à admirer les magnifiques chevaux qui se trouvaient ainsi rassemblés.
Ce jour là, je me trouvais sur le parcours de cross dont les obstacles disséminés en forêt avaient été refaits il y a peu de temps en prévision de l’organisation du championnat de France de concours complet. Pour certains, je me demandais comment les équipages pouvaient surmonter les difficultés tellement ils me semblaient énormes.
J’ai rencontré un groupe de cavaliers qui était en train d’effectuer la reconnaissance à pieds du parcours. C’est là que j’ai aperçu cette belle cavalière. Elle était la seule femme dans ce groupe et j’ai tout de suite été attiré par sa silhouette et ses longs cheveux blonds flottant au vent. Sa tenue de cavalière mettait en relief les courbes de son corps. Le devant de la veste noire boutonnée assez haut dissimulait une paire de seins que l’on devinait généreuse. Les basques de cette veste s’évasaient sur les hanches prises dans cette culotte gris clair ajustée qui enserrait ses cuisses avant de plonger dans les bottes cavalières.
Je pensais « beau brin de fille » en la suivant des yeux. Ils ont continué leur reconnaissance et je suis allé récupérer ma voiture en bordure de la route.
Le lendemain avait lieu les épreuves de cross et de dressage. Je me suis rendu sur la zone de départ où j’ai pu consulter la liste et l’ordre d’entrée sur le tracé. Après avoir assisté à quelques départs et à des épreuves de dressage, je suis retourné sur le parcours de cross pour assister à des franchissements d’obstacles que j’avais repérés pour devoir être spectaculaires, notamment le fossé à bords francs et le piano à trois marches.
J’avais bien choisi mon horaire car j’ai aperçu une nouvelle fois ma belle cavalière sur un magnifique selle français bai-brun. A la fin de l’après midi, je suis allé assister à la remise des trophées. Ma belle cavalière que je côtoyais de près pour la première n’était pas récompensée. Nous avons bavardé longuement et pour finir, je l’ai invitée à diner et nous avons flirté un peu. Sa compagnie était très agréable et je crois qu’elle m’appréciait bien.
Comme nous étions à moins de cinq minutes à pied de l’Hôtel Ibis où elle séjournait, je l’ai raccompagnée. En chemin elle a glissé son bras sous le mien. Je sentais la douce pression d’un sein contre mon bras et je commençais à entrevoir une bonne fortune mais j’en doutais encore : une jeunette de 20 ans environ et un vieux barbon de 50 ans...
Arrivés devant l’entrée de l’hôtel, elle me dit :
« Viens, j’ai passé une bonne soirée avec toi, nous allons la terminer ensemble. Ce serait trop bête, tu es tellement sympa ! »
Nous sommes montés jusqu’à sa chambre et sitôt la porte refermée elle est venue se blottir dans mes bras en me tendant ses lèvres pulpeuses. Nous nous sommes embrassés fébrilement de longues minutes. J’avais dénoué ses longs cheveux blonds et je sentais contre mon torse ses deux seins généreux et le mouvement des ses hanches contre les miennes. J’avais la queue bandée dans mon boxer.
« Accorde moi cinq minutes que je prenne une douche, allonge toi, je reviens tout de suite ! »
Elle était encore en tenue de cavalière et l’odeur du cheval prédominait quelque peu. Au bout de quelques minutes, elle est revenue de la salle de bains vêtue d’une courte nuisette en dentelle noire et en transparence, je pouvais voir les aréoles de ses seins et le triangle de son pubis dépourvu de toute toison. Waouh, qu’elle était belle dans cette tenue avec ses cheveux relevés, ses lèvres pulpeuse et son petit nez mutin.
Je lui donnais vingt à vingt-deux ans tout au plus. Je m’étais déshabillé pendant qu’elle prenait sa douche et je n’avais plus que mon boxer. Ma bite à moitié bandée faisait un beau renflement bien visible.
Je lui tendis les bras dans une invitation à me rejoindre sur le grand lit. Elle m’enjamba et, le buste dressé, elle vint poser son pubis sur le mien pour faire rouler ma queue sous elle. Ma bite pris immédiatement de l’ampleur et elle se trouvait à l’étroit dans mon boxer.
Diane fit voler sa nuisette par-dessus sa tête et coulant son corps contre mien, elle descendit mon boxer et vint enserrer ma bite entre ses seins merveilleux. Ronds et généreux, ils faisaient un fourreau de chair douce et chaude à mon bâton d’amour. Aussi bonne soit-elle, cette caresse ne nous satisfaisait pas.
Je la fis basculer sur le dos pour venir la chevaucher. Elle sortit un préservatif dissimulé sous un des oreillers et de ses doigts fins, elle le déroula sur mon sceptre de chair. D’une seule poussée je pris possession de sa chatte humide de désir.
Elle est venue emprisonner mes reins dans ses jambes repliées et nous avons commencé nos mouvements de va-et-vient. J’étais tombé sur une chaude. A chaque fois que j’arrivais au fond de son vagin elle poussait un soupir d’aise et je sentais ses muscles intimes enserrer mon gland comme pour le retenir prisonnier.
Nous avons rapidement accordé nos mouvements et atteint ensemble une jouissance violente qui a déferlé en nous comme une vague de tempête s’écrasant sur la plage.
Après quelques minutes de récupération car l’assaut avait été rude, je suis sorti de son vagin. C’est elle-même qui a retiré le préservatif en souriant :
« Il est bien plein ! »
C’est vrai, j’avais eu une éjaculation généreuse. Prenant la hampe d’une main, elle a commencé la toilette de ma bite en suçant le gland, ensuite elle est descendue et a gratifié mon mat de léchouilles appuyées. L’effet n’a pas tardé à se faire sentir : je bandais à nouveau comme un cheval.
Diane s’est relevée pour se mettre à genoux, le buste allongé sur le lit, les bras en croix enserrant les barreaux du lit. Cette position de levrette, que j’affectionne particulièrement en raison de son fort pouvoir érotique, était une invitation.
De mes mains, je flattais ses fesses, je caressais le creux de son dos en la faisant frissonner. De la tranche de la main j’ouvris son sillon fessier pour découvrir son petit trou plissé. Avec un doigt je suis allé le chatouiller en voulant pénétrer d’une phalange, j’ai été aspiré complètement, les trois phalanges de mon majeur plantées dans son cul.
En sortant un nouveau préservatif elle me dit :
« Couvre-toi, tu vas me sodomiser. J’adore ! »
Il ne fallait pas me le dire deux fois. Je déroulai la capote sur ma bite dure comme du bois, je fis deux ou trois aller-retour dans son vagin imprégné de ses sécrétions et là encore, d’une lente et vigoureuse poussée, j’entrai dans sa gaine étroite.
Ce n’était pas la première fille que je prenais ainsi par la porte de service mais jamais je n’y étais entré avec autant de facilité. Diane se laissait sodomiser exhalant des râles de plaisir chaque fois que mon pubis venait frapper les globes de ses fesses et que mes couilles pendantes venaient s’écraser entre les lèvres de sa chatte. Il ne nous a pas fallu attendre longtemps pour que la jouissance nous emporte à nouveau. Nous avons basculé sur le côté sans nous désunir et nous nous sommes endormis comme deux bienheureux que nous étions.
Aux premières heures du jour son téléphone portable sonna. C’était un des grooms chargé de veiller sur les chevaux qui réclamait sa présence. Nous nous sommes quitté rapidement non sans avoir échangé nos coordonnées. Nous nous sommes revus à plusieurs reprises. A chaque fois, cela a été l’occasion d’une belle partie de sexe sans contrainte.
Nous étions libres l’un et l’autre.
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