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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

Ici, on danse le zouk dans les soirées, et surtout le zouk love….


C’est assez différent du slow, en ce sens où, même si vous ne connaissez pas votre cavalier, il vous plaque contre lui dès les premières notes du zouk love. Il pose ses mains fermement sur le bas de votre dos, et vous colle littéralement contre lui. La cavalière n’est pas en reste, car elle s’accroche au cou de son danseur comme une noyée à son sauveteur. Elle niche sa tête dans son cou, et voilà le couple partit pour une langoureuse croisière musicale. Commencent alors des mouvements de bassin plus que suggestifs, car ils miment l’acte sexuel.


C’est en cela que c’est très différent du slow français, où l’on commence par danser un peu loin l’un de l’autre, et que l’on se rapproche au fur et à mesure des morceaux de musique, si affinités il y a. Surtout, on se dandine d’un pied sur l’autre, bien plus qu’on ne roule des hanches….


Ce petit cours sur le zouk love clos, je vais vous raconter mon aventure de l’autre samedi, dans une soirée chez des amis...


Je suis arrivée assez tard, et tout le monde dansait déjà. J’ai eu à peine le temps de saluer mes hôtes, quand un beau black m’attrapa par le bras pour m‘inviter à danser. Il était de taille moyenne, les bras bien dessinés, comme j’aime.


Bien sur, il ne dérogea pas à la règle de la danse, et enserra immédiatement le bas de mon dos de ses mains puissantes. Sans hésiter, je croisais mes bras derrière sa nuque. Il portait un parfum que j’adore « Cacharel » pour homme. Je m’enivrais de cette odeur, mêlée à la sienne. Je me sentais déjà partir pour un long voyage. Je ne me doutais pas à quel point !!!


Je me décollai un peu de lui, pour regarder son visage. Ma foi, il était plutôt beau, le crane rasé, les pommettes saillantes, et des yeux d’un vert éclatant. En Guyane, les métissages très variés font que des créoles ont parfois des yeux bleus ou verts très clair. C’est assez saisissant.


Je me collai à nouveau à lui sans hésiter une seconde.


A la fin du premier morceau, il ne me lâcha pas. C’était le signe que je lui plaisais. Je n’en doutais d’ailleurs pas une seconde de plus, car je commençais à sentir contre mon ventre sa virilité qui durcissait de plus en plus.


Il bandait dur. Sentir son membre se frotter contre moi comme ça à commencer à m’exciter. Je sentais la chaleur monter à mon visage, et mes lèves intimes se gonfler eu à peu de désir intense.


Il choisit ce moment pour faire reculer mon visage, et coller son front au mien, nez contre nez… Son souffle caressait mes lèvres. Il ralentit encore le mouvement de la danse, accentuant le roulement de ses hanches. Je l’accompagnais, en appuyant plus fort mon bas-ventre contre son sexe bandé. Je m’arrangeais pour glisser une jambe entre ses cuisses. Quelle bonne idée j’avais eu de mettre une jupe ample….


Il glissa sa main dans sa ceinture, sans doute pour faire pivoter vers le bas sa bite que je devinais avantageuse. Ainsi, elle venait frotter directement sur mon mont de Vénus.

En basculant le bassin, elle venait aussi stimuler mon clitoris.


Nous étions seuls au monde, pris dans cette dans très érotique. La musique nous mettait presque en transe. Nous étions soudés l’un à l’autre dans cette dans sans fin. Mes seins pointaient tellement qu’ils en devenaient douloureux. Ils réclamaient une caresse ferme !!!


Son souffle s’accélérait, tout autant que le mien. Ses lèvres vinrent enfin se poser sur les miennes. Ce fut comme un alizé, une caresse très légère…

Mais très vite, la passion qui torturait le bas de nos corps se manifesta dans un baiser intense. J’avais l’impression que mon corps n’était constitué que de deux parties : ma bouche et mon sexe. Ce n’était plus l’alizé qui soufflait, mais le cyclone !


Nos langues se tourmentaient sans fin, affamées l’une de l’autre.


Je me sentais au bord de jouir. Nos mouvements de « danse » étaient maintenant presque imperceptibles, tant nos sexes se pressaient l’un contre l’autre. Son chibre frottait sans répit sur mon clito comprimé dans mon string. Il sentit mes tremblements et me murmura à l’oreille :

« Tu ne peux pas jouir ici... Tout le monde va le voir… »


Il m’entraina hors de la terrasse, dans un coin sombre du jardin, derrière un gros palmier multipliant, très touffu.

Avant que j’ai eu le temps de dire ouf, il s’agenouilla devant moi, souleva ma jupe, et écarta le tissu de mon string. Il enfourna sa langue dans ma chatte détrempée par toute cette excitation. Il ne me fallu, hélas, que quelques secondes pour jouir sous sa langue pointue et agile. Un jet de cyprine lui inonda le visage. Je retins mes cris, les autres invités n’étaient qu’à quelques mètres.

Je ne pouvais pas le laisser dans cet état d’excitation….


A mon tour, je me penchais vers sa ceinture, qu’il était déjà en train de défaire. Sa queue jaillit, noire, luisante, avec le gland rosé, décalotté, luisant de liquide séminal. Je me jetais dessus, aspirant goulument cette bite appétissante. Tout comme moi, il ne tint pas longtemps, et projeta un flot de foutre au fond de ma gorge. Je me relevai, et l’embrassais à pleine bouche. Nous avons mêlé son sperme et ma cyprine, dans un nouveau baiser délirant…. Nous avons tout avalé l’un de l’autre, comme ci c’était le meilleur des cocktails…


J’avais l’impression d’être hors du temps, d’avoir perdu toute notion de durée, de lieu… Ma tête tournait, cet orgasme insolite me ravageait encore le corps, avec des décharges électriques, comme les répliques d’un tremblement de terre.


Nous nous sommes regardés, et enfin parlés pour de bon… Il me donna aussi son prénom. Nous avons rejoint les autres, dans l’idée de continuer la soirée. Mais à peine arrivés sur la terrasse, nous nous sommes regardés, et sans mot dire, avons quitté précipitamment la maison pour nous retrouver chez lui, seuls, et avec un lit immense.


Je vous laisse imaginer la suite de cette nuit, qui fut fabuleuse.

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : Porno XXX
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