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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Bises libertines,
Sophie

                     2. Mario avec Pierre et ses copains

 

 

Nous dévorons notre ptit dèj', encore pleins du souvenir de notre après-midi d'hier. Pierre, bien qu'il ait bien plus d'expérience que moi, n'a que 18 ans, et il est  à peine moins gamin que moi, nous avons donc les mêmes enthousiasmes.  Je connaissais notre programme de  l'après-midi, nous devions retrouver 2 de ses copains de notre âge, tout aussi vicieux que Pierre et moi.  Cela nous promettait de bons moments, si nous trouvions un coin tranquille dans la garrigue environnante.

 

Nous avions rendez-vous tous les 4 devant l'entrée du stade du village. De là nous devions partir nous balader dans la campagne et bifurquer vers un coin de garrigue que connaissaient bien  Thierry et Serge les 2 copains de Pierre. En arrivant au point de rencontres, je vois deux garçons d'un abord sympathique. L'un d'eux, Serge avait une bonne tête de plus que nous.

 

Nous voilà partis tous les quatre, en riant  de tout et de rien, mais de bon cœur. Vive l'insouciance de la jeunesse. Dans notre petit groupe, m'avait dit Pierre, il n'y avait que nous  à !être homo. Les   deux autres étaient juste curieux. Sûrement des futurs bisexuels, si j'en juge par le plaisir sans gène qu'ils prenaient à jouer avec nos bites et nos culs.

 

Mes trois camarades  n'avaient que peu d'expérience en matière de cul mais à mes yeux de dépucelé de frais, ils faisaient figure de « savants ». Mais je compensais  par une grande curiosité et une grosse attirance pour le sexe des hommes, aussi je ne me sentais pas trop embarrassé.

 

Persuadé que nous allions nous retrouver dans un coin très broussailleux qui nous permettrait de « jouer » en toute tranquillité, je fus surpris de me retrouver au bord d'une rivière aux abords sauvages. Un coin pas du tout fait pour se  prélasser et bronzer. Le rivage était fait de  galets et de gros rochers, rien donc qui puisse attirer les fans de la bronzette inactive. De grands arbres aux branches qui flirtaient avec la rivière finissaient d'agrémenter le décor.

 

Visiblement mes camarades connaissaient le coin. Serge donna à sa manière le signal de départ des festivités en se déshabillant et plongea nu dans l'eau. Tout ce que j'eus le temps de voir c'est qu'il avait un joli petit cul aux fesses bien rebondies. Nous l'imitâmes tout de suite et nous sommes retrouvés tous dans l'eau, à nous ébattre et nous chamailler.  Moins pour le plaisir de jouer que pour le besoin de s'habituer à l'eau qui était très fraîche. Bien entendu très vite nos jeux ont dérivé vers ce que nous aimions, vers ce pourquoi nous étions venus dans ce coin tranquille.

 

Serge, arguant du fait qu'il était plus grand s'arrogea le rôle d'organisateur et sans doute parce que j'étais le petit nouveau qu'il fallait « baptiser » me prit la main, m'attira  contre lui et me roula une pelle. J'ai beaucoup aimé sentir sa langue dans ma bouche jouer avec la mienne et je bandais aussitôt d'excitation. Ma main droite autour de la taille de Serge, je passai ma main gauche entre nous pour attraper sa bite. Je la caresse, je fais glisser ma main le long de sa hampe. Il bande dur lui aussi, sa queue semble longue. Il s'écarte légèrement de moi et tout en continuant à m’embrasser, il caresse ma bite et son autre main me pelote le cul.

 

Pierre et Thierry, ne voulant pas être en reste s'étreignaient dans l'eau eux aussi. Nous étions très proches les uns des autres, au point que nos corps se touchaient. C'est comme ça que je sentis un autre main sur mes fesses. Je ne savais pas à qui elle appartenait mais je m'en foutais, l'important était que c'était bien agréable.  J'appris un moment plus tard que c'était la main de Pierre qui aimait beaucoup mon cul. C'est lui qui m'avait dépucelé et il avait gardé un bon souvenir de notre baise et visiblement, il avait envie de me sauter encore.

 

Et moi je n'étais pas du tout contre. Je n'avais eu droit jusque là qu'à deux sodomies et je mourais d'envie d'en connaître d'autres et j'espérais bien pouvoir goûter aux trois queues qui m'entouraient, mais de quelle manière? On verra bien. Serge arrêta son baiser pour me dire : « Viens allons sur les rochers j'ai envie de te sucer, tu veux bien ? »

 

Tu parles si je voulais bien ! J'avais le feu au cul et au bout du gland, alors c'est moi qui aie entraîné Serge sur la rive.

 

Il choisit un rocher assez plat et en pente, s'allongea dessus, je me penchais sur lui pour lui prendre la bouche encore un peu puis me soulevant je lui offris ma queue. Il se jeta dessus comme un affamé. Mon gland toucha presque le fond de sa gorge. Serge se calma et se mit à me sucer, avec douceur ses lèvres et sa langue effleuraient ma queue et mes couilles et me faisait l'effet de ce que l'on appelle baiser papillon quand on est gamin.

 

Cette façon de faire me fait pousser un gros soupir de plaisir, j'étais excité au point de risquer de jouir tout de suite. J'ai dû faire un  gros effort pour que ça ne vienne pas.

 

Pierre et Thierry nous rejoignent, s'installent sur un rocher proche du nôtre. Ils s'enlacent, leurs mains parcourent leurs corps avec passion, leurs bouches jointes semblent vouloir dévorer l'autre tant ils semblent avoir faim. C'est bête, mais j'ai comme un pincement au cœur en les voyant faire. Je suis amoureux de Pierre, moi. Par chance, la pipe que  me fait Serge me donne tant de plaisir que j'en oublie mes problèmes sentimentaux. 

 

Je sens monter en moi des frissons qui grossissent vite et malgré mes efforts, je jouis  et explose dans la bouche de mon suceur. Il semble surpris, mais à son sourire, je vois qu'il aime ça.  Il me surprend en mettant sa main derrière ma nuque pour que ma bouche rejoigne la sienne et nous nous embrassons. 

 

Nos langues semblent lutter pour savoir laquelle des deux consommera le plus mon jus.  Ce petit jeu est particulièrement excitant et me voilà déjà avec ma bite en érection. Miracle de la jeunesse. J'aimerai bien avec mes 65 ans que cela arrive aussi vite quand j'embrasse mes amants.

 

J'ai en moi encore le souvenir de la bite de Robert et me vient le désir de me faire sauter par les copains de mon chéri.  Serge qui vient de me sucer me tente vraiment. Sa bite est mince mais longue. Je veux la sentir en moi, là, maintenant, tout de suite.  Je m'allonge sur le rocher, jambes levées et écartées et j'appelle :

« Serge tu veux bien m'enculer, dis, j'en ai envie ? »

 

Pour toute réponse, il se met devant moi, se branle pour se faire durcir un peu plus, et place son gland contre mon petit trou. Et sans aucune précaution,  il entre en moi jusqu'à faire claquer son ventre contre moi. Aussitôt, il fait des va-et-vient rapides, un peu trop rapide à mon goût. Le plaisir de sentir ses couilles battre en mesure contre mes fesses me fait oublier que je préférerai qu'il m'encule en douceur. Me faire prendre grandit de plus en plus. Quel bonheur de se faire enculer !

 

Pierre et Thierry debout au dessus de nous, nous regardent en se branlant. Tout ça m'excite, je me rends compte que de me donner en spectacle me plaît et augmente mon plaisir. Je n'arrête pas de gémir assez bruyamment, besoin de crier mon plaisir sans doute, de le faire savoir au monde.  Pierre arrête de se caresser pour venir se mettre juste au dessus de mon visage et s'accroupit. Son trou de cul  est contre ma bouche. Je comprends ce qu'il veut, je lui fais ce petit plaisir, car je l'aime et son petit trou est tout mignon, le tour tout lisse entoure une fente qui ressemble presque à une petite chatte. Je le lèche avec plaisir.

 

Je suis  au paradis. Tout le plaisir du monde semble fondre sur moi. Entre deux coups de langue j'encourage Serge par des  « Ouiiii !  Encule-moi  bien, vas-y, plus fort ! Jouis en moi ! »

 

Thierry a arrêté de se branler pour venir derrière Serge et le doigter vigoureusement. Belle initiative qui semble donner des ailes à mon enculeur qui me pénètre encore plus vigoureusement. Ce qui a pour effet de décupler mon plaisir, ma bite bande fort et je jouis en inondant mon torse de ma crème.

 

Serge à son tour rugit comme un fauve et explose dans mon ventre. Puis il se couche sur moi, nous nous embrassons comme des goulus.  Puis il se redresse, son torse est tout gluant de mon jus.  Il sort sa bite de mon cul, elle est toute enduite de son sperme. Je me penche alors très vite pour être le premier à la nettoyer avec ma langue. Elle est longue et mince j'aime bien, ça me donne plus de surface à lécher.

 

Pierre et Thierry prennent notre place sur le rocher et se caressent avec tendresse. Leurs bouches se joignent puis parcourent leur corps. Quel beau spectacle érotique ils nous donnent là.!  Serge et moi nous nous jetons dans la rivière. L'eau est fraîche elle nous fait du bien. Nous sommes prés l'un de l'autre, aussi chacun de nous fait la toilette de l'autre. Bien sûr on en profite pour nous faire des caresses sur  queue et cul, ponctués de rires et de plaisir de nous être fait jouir. Enfin, nettoyés et rafraîchis  nous rapprochons de nos amis. Thierry est en train de prendre Pierre en levrette. Je m'allonge sous Pierre, en tête bêche, pour lécher les deux paires de couilles qui se balancent au dessus de moi.

 

En même temps, j'essaie de savoir à quoi ressemble la queue de Thierry car  je me rends compte que je ne l'ai pas encore vue. Pour l'instant, ce que je peux voir d'elle c'est qu'elle semble assez épaisse. Les bites de Pierre et de Robert qui sont, c'est vrai, les seules que j'ai pu goûter jusque là, sont épaisses, et je me rends compte que j'adore sentir une bite épaisse en moi. Comment dire, je me sens « bien garni ». Enfin, Thierry sort sa queue de Pierre. Wouaw!!!

 

Elle est effectivement assez épaisse, et doit faire, à vue d’œil,  dix-sept à dix-huit centimètres. Alors, très égoïstement je décide de me l'accaparer. Je la suce et la garde bien en bouche, puis je prends ses cuisses, tire dessus pour qu'il se baisse, je me retourne et lui offre mon cul. Il ne cherche pas à comprendre, il entre en moi et m'encule.

 

Je suis aux anges, Thierry est bien en moi, il me remplit bien et surtout ses mouvements sont lents. Il bouge son bassin de telle manière que j'ai l'impression que sa bite frotte tout mon intérieur.  C'est tellement bon que je ne peux m'empêcher de gémir fort mon plaisir. Mes jambes entourent la taille de Thierry et mon bassin va à la rencontre  du sien comme pour faire croître le plaisir et le sentir Thierry plus profond en moi.

 

Nos mouvements sont en harmonie, nous chantons notre plaisir de plus en plus fort et soudain, Thierry pousse un grand cri et me remplit le ventre de son sperme. Il s'est complètement vidé en moi et pourtant il continue à m'enculer. C'est bon,  il a joui mais le plaisir de sa queue en mouvements encore plus lents me fait jouir à mon tour.

 

Heureux, joyeux, corps fatigués mais pleins du désir des trois autres nous plongeons dans la rivière et nous jouons comme des gamins que nous sommes encore un petit peu. Puis nous retournons au village. Après nous être séparés de Thierry et Serge, non sans nous être promis de nous revoir le surlendemain, Pierre et moi rentrons. Cet après-midi nous n'avons rien fait ensemble, mais ce n'est pas grave, car ce soir, une fois dans notre chambre nous nous boirons après un 69 et nous endormirons, nos corps nus blottis l'un contre l'autre. Tout le temps de mon séjour chez Pierre, nous sommes endormis comme ça, la bouche plein du goût de l'autre.

 

 

Les quatre ans qui suivirent, Pierre et moi avons continué à nous aimer, seuls, parfois avec Thierry et Serge, mais très souvent avec Robert. Le service militaire aidant, Pierre et moi nous sommes vus de temps à autres, pour des parties de cul toujours aussi agréables.

 

Personnellement, mon service militaire me fit faire de belles découvertes sexuelles grâce, essentiellement à deux bidasses mignons, sympas et vicieux.

Par Mario - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
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