Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Un bruit vaisselle m'ouvrit les yeux. Laurette vêtu d'un somptueux sari, remaquillée, les cheveux humides et Bertrand non moins élégant, discutaient comme deux vieux complices devant un bol de café fumant.
« Tu as passé une bonne nuit, il est neuf heures, » s'informa Laurette souriante en s'asseyant sur le bord du lit.
Je posais ma tête sur son épaule et sentis à travers l'étoffe de soie la chaleur de sa peau, elle me fit une bise sur les lèvres qui
avaient un goût de menthe.
« Nous avons beaucoup discuté dans la baignoire jacuzzi Laurette et moi pendant votre sommeil... je sais tout de vous... »
déclara Bertrand, visiblement amusé.
- Tout ? » répétais-je l'air surpris.
Laurette tourna la tête pour éviter mon regard.... quelle pie... et en plus je la soupçonne fortement d'avoir épuisé les derniers
effets de l'aphrodisiaque pendant le bain avec notre ami.
« Oui tout ! répéta Bertrand comme pour mieux enfoncer le clou... votre rencontre, votre nuit de noce dans un club échangiste, vos
multiples expériences... disons curieuses ou hors des sentiers battus... »
Je sautais du lit sans un mot et plongeais sous la douche. L'eau ruisselant sur mon corps me remit rapidement en forme. Laurette était
entrée dans la salle de bains à ma suite et à travers la vitre de la douche je pouvais l'apercevoir nue, absolument radieuse. Elle enfila sans autre façon sa petite robe de stretch.
« Bertrand nous a proposé de passer la journée avec lui, j'ai accepté car je n'ai pas voulu te réveiller tout à l'heure, j'ai
pensé que tu serais d'accord !
- Bon ben oui ! Puisque tu lui as dit que nous acceptions, c'est bien parce que je t'aime lui dis-je en l'embrassant dans son coup
parfumé. Mais tu n'as pas mis de culotte me semble-t-il, lui demandais-je en lui caressant les fesses,
- Je n'en ai pas de rechange, hé ! Mon cher monsieur, je n'avais pas prévu de passer la nuit ici, » me lança-t-elle en me
gratifiant d'un baiser sur la joue.
- Je vais aller nous chercher des vêtements propres, Bertrand me prête sa voiture pour allez jusqu'à la maison, je fais l'aller retour
rapidement et surtout soit sage. »
Une petite tape sur ses jolies fesses... et me voila parti sur la petite route sinueuse qui borde la mer.
Je choisis dans la valise, quelques sous-vêtements et un petite robe courte en coton imprimée que je trouvais aller à ravir à ma petite
femme et la dernière bouteille de Bordeaux que j'avais gardée pour le week-end.
Un peu plus d'une heure et demie plus tard, j'étais de retour. Laurette et Bertrand sirotaient, assis au soleil, un jus de fruits,
Crocus le chien couché à leurs pieds, Laurette assise dans un fauteuil profond, la robe étroite largement remontée sur ses cuisses bronzées qui laissaient deviner des trésors cachés, Laurette me
fit signe de les rejoindre.
« Bertrand m'a fait faire le tour de sa propriété pendant ton absence et nous t'attendions pour déjeuner… »
La matinée avait passé comme «un coup de fusil, aussi nous passâmes à table pour un repas frugal fait de crudités et de fromage. Nous
discutâmes de choses sans importance jusqu'à ce que cette phrase de Bertrand adressée à Laurette me fasse dresser l'oreille.
« Ce n'est pas dangereux, c'est un instant magique pour les partenaires... non je ne dirais pas ce que c'est, tu acceptes ou non
et tu me fais confiance...
- Que manigancer-vous demandais-je à Bertrand.
- Comme Laurette me disait tout le plaisir qu'elle avait pris cette nuit avec le vibro à eau, je lui ai dit que cela n'était rien par
rapport à disons « une recette » que j'ai découvert il y a quelques temps avec des amis qui étaient venus me rendre visite... Mais je ne veux pas lui dire ce que c'est... il faut que vous soyez
d'accord tous les deux... Si vous le souhaitez, nous en reparleront dans l'après-midi...
- J'accepterais bien répondis Laurette tout de go,...le mystère m'a toujours attiré..
- Et moi j'ai peut-être mon mot à dire lui rétorquais-je...!
- Oh ! Mon chéri, laisse-moi voir ce que c'est, de toute façon, tu es là près de moi, dans quinze jours j'ai vingt-huit ans, ce sera en
quelque sorte mon cadeau d'anniversaire... Je t'aime et je vais me changer, » dit-elle en m'embrassant sur la joue et en se levant de table.
Elle réapparut quelques instants plus tard sur le pas de la porte, le soleil qui donnait dehors faisait rendre un peu transparente sa
robe de toile, et nous devinions à travers, son corps souple et galbé...
La journée tirait sur sa fin, nous bavardions Bertrand et moi dehors sous une tonnelle, lorsque Laurette s'approchant de nous nous
demanda
« Quand me ferez-vous mon cadeau d'anniversaire les garçons ? J'attends avec impatience...
- Puisque tu y tiens vraiment, nous allons te l'offrir de suite, mais tu dois t'engager à aller jusqu'au bout de l'expérience, je te
l'ai déjà dit ce n'est pas dangereux mais c'est un jeu un peu spécial...
- Waouh ! s'écria Laurette comme une enfant à qui l'on va offrir un jouet... Où allons-nous nous installer ? »
Sans un mot Bertrand, s'approcha de ma compagne et la prit par la main, il la guida vers une petite pièce dans lequel était disposé une
sorte de lit muni de poignées pour y poser les pieds, un peu comme chez le gynéco mais en plus confortable, et l'invita à s'y installer.
« Je te mets cette petite cagoule pour que tu ne puisse pas voir et je te passe ces paires de menottes, je les attache à tes
poignets et à tes chevilles ainsi qu'aux montants du fauteuil, n'aie pas peur, je ne les serre pas, les surprises doivent rester les surprises... »
Elle était ainsi à demi nue, les cuisses ouvertes, les jambes attachées sur les reposoirs ...
« Déshabille-la, me dit Bertrand, et mets-lui un coussin sous les reins pour lui relever le bassin… »
Je dégrafais un à un les boutons de la robe de Laurette, le petit soutien-gorge pigeonnant fit son apparition, mais comme elle était
menottée, je ne pus lui retirer entièrement, aussi je le laissai ouvert et fit glisser le string qui bouchonna en bas de ses pieds.
Ainsi couchée sur le dos, la robe ouverte, en soutien-gorge et sans slip, elle apparut plus excitante que jamais.
Notre hôte, à l'aide de son canif, trancha les bretelles du soutien-gorge et le cordon du string... Laurette était nue....
Bertrand me fit signe de l'imiter, et chacun notre tour, nous taquinions de la langue, qui le petit clitoris, ou le tendre anneau
culier, qui la pointe d'un sein ou le lobe de l'oreille, pour revenir au petit bourgeon de chair sans jamais aller plus loin. De petites gouttes commençaient à perler à l'entrée de la grotte
d'amour, Bertrand se saisit dans sa boite d'un premier spéculum, le contact froid du métal sur sa chair surchauffée fit sursauter ma compagne. Bertrand tourna la vis, et le spéculum de
gynécologie écarta doucement le vagin, puis s'emparant d'un autre plus petit, il l'introduisit dans l'anus et à nouveau tourna la vis.
Laurette nous guidait de la voix :
« Encore un peu...doucement.... doucement... »
Ses mains cherchaient désespérément à se détacher, son bassin tentait de s'avancer, mais seule la dilatation des deux orifices semblait
passionner Bertrand. La fine paroi qui séparaient le vagin de l'anus semblait inexistante tant les deux appareils les avaient distendues. Laurette avait cessé de bouger et semblait attendre ce
qui allait se passer.
« Laissons-la quelques instants comme ça, » intima Bertrand.
Et il se dirigea vers la pièce attenante toute proche.
Quelques instants après, il ressortit et me demanda de l'aider à porter le seau qu'il avait déposé sur le pas de la porte.
Je ne pus retenir un juron lorsque mon regard plongea dans le récipient. Les trois grosses anguilles qui étaient dans l'aquarium du
salon, se trémoussaient et s'entortillaient dans l'eau.
Je compris dans un éclair ce que Bertrand comptait faire des trois serpents.
« T’inquiète pas, me rassura-t-il, c'est inoffensif et je suis sùr de l'effet.... »
Laurette était restée comme nous l'avions laissée...
« Retirez-moi les menottes et la cagoule, minauda-t-elle, ne me laissez pas comme ça... »
Sans un mot, Bertrand s'empara d'une anguille au niveau de la tête, celle-ci s'enroulait autour de son bras, et avec un chiffon, il
retira les traces gélatineuses et gluantes qui maculaient la peau de l'animal. Celui-ci faisait bien trente à trente cinq centimètres pour un diamètre de quatre à cinq centimètres...
Laurette largement ouverte, les fesses relevées sur le coussin, ne se doutait pas à quelle nouvelle expérience elle allait être
associée.
Brusquement et sans un mot, Bertrand présenta à l'entrée du spéculum la tête de l'anguille qu'il avait préalablement munie d'un
préservatif. Celle-ci s'y glissa rapidement en fouettant de la queue.
Un cri d'effroi sortit de la gorge de Laurette, elle venait de comprendre sans le voir ce qu'était ce corps froid qui battait sur ses
cuisses et s'insinuait centimètres par centimètre dans son intimité... Elle tenta de se détacher en gesticulant sur la table... Peine perdue, cette gymnastique sembla revigorer le poisson à la
peau glissante qui, comme un ressort, se comprimait pour mieux se détendre dans le vagin de ma belle.
Bertrand dévissa et retira délicatement le spéculum en le glissant sur le corps de l'animal. Les lèvres vaginales se refermèrent autour
du serpent mais ne l'empêchèrent pas de poursuivre sa progression...
Laurette pleurait doucement à présent, ses seins se soulevaient à chaque sanglot, et son ventre se contractait à chaque vibration de
l'anguille. Je lui retirai sa cagoule malgré le refus de Bertrand, je l'embrassais tendrement et séchais les larmes qui coulaient sur ses joues. J'embrassai ses seins son ventre, et la serrai
tendrement dans mes bras. Doucement, elle se calma, ses yeux se fermèrent.
Bertrand profita de ce bref instant de calme pour introduire une anguille plus petite dans le speculum anal. Tout aussi rapidement que
sa congénère, elle profita de ce trou grand ouvert pour progresser par à-coup. Le corps de Laurette se tendit comme un arc, elle poussa un cri strident, la peur apparut sur son visage qui
blêmit.
Bertrand laissa l'anguille s'enfoncer d'une bonne quinzaine de centimètres, et comme il l'avait fait pour la plus grosse, il retira délicatement le spéculum. Le poisson qui avait à présent la tête emprisonnée dans l'anneau culier se débattait et tentait de progresser dans la douce chaleur de ce corps féminin.
Bertrand tranquillisa Laurette de la voix en lui demandant de se calmer, il la rassura en lui affirmant que rien de dangereux ne
pouvait arriver, qu'elle se décontracte et se laisse aller.... Les deux anguilles fouettaient de leurs queues les jambes et les cuisses de Laurette qui ne pouvait que subir leurs assauts en
gémissant.
Océane apparut sur le pas de la porte avec son chien Crocus sur ses talons, ses grands yeux noirs fixèrent Laurette. Avec grâce, elle
fit glisser par dessus sa tête son sari, à mon regard émerveillé apparurent deux petits seins et un petit triangle duveteux d'adolescente. Elle se coucha à côté de ma compagne et l'embrassa sur
les lèvres, lui caressa le ventre et les seins, sa langue força la bouche qui peu à peu répondit à son baiser.
Bertrand profita de ce moment de répit pour asperger d'eau tiède les deux anguilles qui reprirent violemment vigueur. Laurette se tordit sous l'assaut, Bertrand saisit les deux serpents marins par la queue et leur imprima un léger mouvement de recul, puis les relâcha afin qu'ils rentrent à nouveau. De nombreuses fois de suite, il reprit ce manège, et pendant ce temps, Océane massait le ventre de Laurette.
Les anguilles semblaient déchainées par ce traitement, leur peau devenue glissante par l'eau, avait lubrifié la grotte de mon amour qui se cambrait. La pâleur de ses joues avait disparu, sa respiration devenait profonde et l'on commençait à deviner le plaisir qui montait à la vue de ses petits seins pointés.
Océane s'était tournée, et à califourchon, offrit à la bouche de Laurette, tout en la massant, le cadeau de son intimité. Laurette y enfouit sa langue, mais retenue par les menottes, elle ne parvenait pas suffisamment à ses fins. Sur un signe de tête de notre hôte, je la détachais... Aussitôt, elle écarta des deux mains les fesses superbes qui lui étaient présentées, et y enfouit son visage.
Bertrand sortit doucement les anguilles de leur tanière pour permettre à Laurette de reprendre ses esprits, trempa les bestioles dans le seau d'eau, et comme les réceptacles qui dégoulinaient de leur viscosité et les lubrifiait à l'extrême restaient dilatés, il les présenta une nouvelle fois à leur entrée.
Océane, les yeux chavirés par le traitement que lui faisait subir ma compagne, massait le petit clitoris de Laurette qui lui rendait au
centuple ce bienfait. Comme deux flèches, les anguilles s'insinuèrent rapidement. Laurette gémit et se cabra sous l'assaut, son ventre se contracta et une douce plainte de bonheur emplit nos
oreilles. Les anguilles progressaient a chaque contraction du ventre de Laurette...
« Celle-ci est en train de se tasser dans son vagin, et bientôt faute de place, elle va se durcir afin de tenter de trouver une
issue. Mais celle-ci, par contre, si je ne la retenais pas par la queue, disparaitrait dans l'anus.. Et comme elle va se trouver prisonnière, elle va se tortiller en tout sens à
l'intérieur, » m’expliqua doctement Bertrand.
Notre ami avait raison...
Laurette repoussa les fesses d'Océane afin de reprendre son souffle, et celle-ci de ses mains fines, reprit le massage du ventre de sa partenaire. Laurette haletait, gémissait, sa peur, et sa honte avait disparu et elle vivait comme une fête ce moment magique où, à l'unissons de ses sens, les deux bestioles fourrageaient dans son corps.
D’un coup, son corps se convulsa, et dans un formidable cri, elle explosa dans une jouissance inconnue pour elle à ce jour. Mes oreilles furent percées par l’intensité de son cri, quasi bestial. Elle retomba comme un pantin, vidée, mais pour bien peu de temps…
Océane descendit de la couche et retira les menottes qui retenaient les chevilles de son amie. Laurette se mit sur les coudes, les cuisses écartelées, les yeux fermés, sa poitrine se gonflait à chaque inspiration et un nouveau cri de plaisir montait de sa bouche entrouverte à chaque fois que les anguilles se détendaient à l'intérieur de son corps.
Bertrand laissa ainsi ma compagne plusieurs minutes savourer sa complète jouissance. Tour à tour, nous caressions ce corps parfait et
ce ventre plat afin d'exciter au maximum les bestioles...Plusieurs fois, Bertrand sortit les anguilles de leurs grottes et à l'aide d'un chiffon imprégné d'eau les revigoraient, et à chaque fois,
comme de flèches, elles retournaient fourrager les chairs de ma Laurette.
Mon attention fut attirée par Océane qui, à genoux près de son chien Crocus, le masturbait. C'était effrayant l'ampleur du désir
qu'avait suscité la jeune fille chez l'animal. Un bâton rouge et énorme battait entre ses pattes.
Le petit homme retira avec douceur les poissons-serpents des orifices de Laurette qui sembla avoir à présent des regrets, il lui
demanda de se mettre à quatre pattes sur le lit. Celle-ci, les narines pincées de frustration, obéit sans un mot, les yeux dans le vague. Sur un signe discret de sa maitresse, Crocus sauta sur le
lit et s'empara du corps gracile de ma femme.
La chatte encore visqueuse des sécrétions des deux poissons reçut sans problème l'énorme mandrin, accroché aux hanches étroites de Laurette. Sans que celle-ci ne manifeste un refus, le chien accéléra l'allure, et lorsque nos deux amis virent que des gouttes commençaient à couler le long des cuisses bronzées, ils tirèrent la jeune bête en arrière et fichèrent l'épieu de chair dans l'anus dilaté de Laurette.
Sous la brutalité de l'assaut, celle-ci poussa un cri et tenta d'échapper à l'emprise, mais déjà la vigueur du chien lui fit comprendre cette impossibilité. Elle répondit en creusant les reins à la bestiale étreinte. Enfoncé jusqu'à la base du nœud, le poitrail collé sur le dos de Laurette, le chien cracha son sperme liquide à l'intérieur de ma belle.
Laurette tenta de le retenir le plus longtemps possible en serrant les fesses pour coincer le mandrin. Aussi rapidement qu'il était
rentré, Crocus sortit dans un bruit mou sa bite canine. Laurette restait pantoise de la rapidité de la prise et de son anus grand ouvert s'écoulait vers sa motte le liquide blanchâtre.
« Reste dans cette position, » demanda Bertrand à Laurette.
Zn montant à son tour sur le lit, il présenta sa bite turgescente aux lèvres de ma compagne qui lui délivra la plus belle fellation
dont elle fut capable...
Devant cette croupe offerte, mon sang ne fit qu'un tour et à mon tour, je plongeais avec délectation mon gland dans la grotte sacrée.
La tension sexuelle qui m'avait noué le bas du ventre lors de tous ses ébats se libéra, et à mon tour je m'épanchai dans ce corps magnifique...
Alors que je saisissais un rouleau de papier pour essuyer le sperme du chien, le mien et les viscosités laissées par les poissons et
qui s'écoulaient du corps de Laurette, Océane, me repoussa et se mit en devoir de la bouche et de la langue, d'effectuer cette toilette. Bertrand, à son tour, explosa dans la bouche de ma
compagne.
La nuit était déjà bien entamée lorsque Bertrand et moi quittâmes la pièce…
Laurette, couchée sur le dos, se reposait de cette expérience inouïe. Nous nous dirigeâmes vers la salle de bains afin de prendre une
douche. Quelques temps plus tard, alors que nous sirotions un whisky dans le salon et que Bertrand me disait tout le bien qu'il pensait de notre couple, Laurette douchée, parfumée et vêtue d'un
peignoir, accompagnée d'Océane et de Crocus, fit son entrée parmi nous.
« Je vais me coucher, tu m'accompagnes ? » déclara Laurette en me regardant de ses grands yeux verts et dont les cernes
qui les bordaient disaient toute la fatigue qu'elle ressentait.
Nous priment congé de nos hôtes et nous dirigèrent vers notre chambre.
Elle fit glisser son peignoir pendant que je me déshabillai, j'admirai la courbe de ses hanches, quelques griffures dues aux pattes du
chien striaient sa peau. Nous nous glissâmes dans les draps frais et la serrait dans mes bras.
« Merci pour ce cadeau d'anniversaire un peu douloureux mais tellement original et excitant, » me dit-elle en m'offrant ses
lèvres...
Nous nous endormîmes rapidement serrés l'un contre l'autre.
Les premières lueurs de l'aube pointaient lorsque nous glissâmes hors du lit sans faire de bruit. Laurette laissa un petit mot à
Bertrand pour le remercier de son hospitalité sans faire référence aux traitements dont elle avait été le jouet et pour l'avertir que sa voiture se trouverait à disposition à notre petite
location...
Nous devions être de retour à Paris dans l'après-midi et nous nous dépêchions de charger la petite Austin lorsque j'aperçus un vélo
arriver sur le chemin : c'était Olivier qui venait nous dire au revoir...
« Laisse-moi un moment avec lui, » me sussura Laurette à l'oreille.
Après avoir salué Olivier, je m'éloignai discrètement de la maison, mais je ne pus m'empêcher de revenir à pas de loup, quelques
minutes plus tard, espionner par la petite fenêtre ce qui se passait à l'intérieur...
Laurette et notre ami n'avaient pas perdu de temps. Ma belle était assise sur le canapé, la jupe relevée bien haut sur les cuisses, et
Olivier, le pantalon bouchonné en bas des pieds, recevait avec délectation une fellation comme seule Laurette savait les faire....
Puis se couchant sur le dos sur le divan, elle invita l'adolescent à prendre place dans le compas de ses longues jambes...D'une main experte, elle écarta sa fine culotte de soie et introduisit le gland au bord de sa fente...D'un coup de rein, Olivier, s'agrippant aux hanches satinées, enfonça jusqu'à la base son gourdin... Laurette, caressait doucement la nuque et les reins de son jeune amant et l'embrassait à plein bouche en tentant de retenir sa fougue...
Mais quelques va-et vient plus tard, ne sachant comment dominer sa pulsion et dans un petit cri de déception, il bénissait de sa
fraiche semence le calice de Laurette qui le retint quelques instants en elle, les deux mains plaquées sur ses reins.
Puis celle-ci rajusta le gamin, essuya avec un kleenex les quelques gouttes qui commençaient à perler de sa petite chatte, baissa sa
jupe, et comme si rien ne s'était passé, elle raccompagna le jeunot à la porte en lui faisant une grosse bise sur la joue comme à un copain...
Je fis semblant de n'avoir rien vu, et dis au revoir à Olivier qui semblait confus de me voir souriant... Lorsque le gamin eut disparu
au loin, Laurette me prit par la main et me dit :
« Je suis sûre que tu as regardé... je t'ai vu à la fenêtre... c'était un petit cadeau pour la location de la maison et le super
week-end que nous avons passé... »
Elle rajouta en me souriant :
« enfin que j'ai passé... allez viens vite finir ce qu'Olivier n'a pas su faire… »
M'entraînant sur le canapé tout en se débarrassant de ses quelques vêtements, je fis honneur à ce corps si parfait et pistonnai avec
application et envie cette fente huilée par son précédant amant... je l'aimais, je l'aimais comme un fou !
Une heure plus tard nous étions sur la route de retour vers la capitale.
Signé Theo
Derniers Commentaires