Le blog en détails...

  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

Derniers Commentaires

Recherche

Recommandez ce blog à vos amis

Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Voilà quelques temps déjà que nous envisagions une petite escapade au bord de la mer, et le soleil retrouvé nous décida un peu précipitamment à quitter la capitale en ce week-end du 14 juillet.

Nous avions cherché en vain une chambre d'hôtel pour ces deux nuits, mais impossible, tout était déjà complet. C'est alors un peu forcé et à regret que nous nous décidâmes pour un retour au camping dans notre petite tente, qui avait si souvent au début abrité nos jeunes ébats.

 

Le chargement fut un peu difficile car le coffre de la petite Austin de Laurette était bien étroit pour le matériel qu'elle souhaitait y mettre. Je dus donc en caser une partie sur le siège passager à côté du conducteur et Laurette devrait prendre place à l'arrière avec une valise. La pensée de faire le trajet au volant jusque dans la baie de Saint Brieuc ne me mettait pas de très bonne humeur, mais Laurette avait décidé de ne pas conduire prétextant je ne sais quelle douleur à une cheville...

 

Je donnai un bref coup de klaxon afin de prévenir ma compagne que j'étais prêt. J'entendis ses pas rapides descendre l'escalier, et elle apparut plus ravissante que jamais, vêtue d'une courte robe de toile imprimée, fermée par une multitude de boutons sauf au niveau du décolleté, et qui laissait entrevoir une petite dentelle des plus sympathique...
« Elle me va bien ? dit-elle en virevoltant sur le trottoir
- Tu es à croquer » lui dis-je en l'embrassant dans son cou parfumé.

De la voir aussi sexy et enjouée fit disparaître ma mauvaise humeur, elle se glissa comme une liane sur le siège arrière, sans que je ne pus m'empêcher, au passage, de lui caresser ses petites fesses à peine cachées dans une minuscule culotte blanche...

Les périphériques étaient exceptionnellement fluides en ce début de matinée, et le soleil commençait à diffuser sa douce chaleur, je me sentais heureux. Laurette, les pieds nus posés sur le dossier du siège avant et la robe remontée sur ses cuisses bronzées, me laissait deviner le magnifique spectacle qu'elle donnait aux automobilistes qui nous doublaient. A voir la tête de leurs femmes assises à leur côté, je comprenais bien que ce manège n'était du goût de tout le monde...mais j'aimais la voir ainsi désirable, impudique et terriblement sensuelle...
L'entrée de l'autoroute A10 fut bien vite atteint.

Alors que je prenais le ticket à l'automate, Laurette me fit remarquer qu'un adolescent faisait du stop avec une pancarte à la main
« Arrêtes-toi ; me dit-elle, il va à Rennes, on va le prendre. »
- Impossible tu vois bien qu'il n'y a presque plus de place, lui répondis-je un peu agacé.
- Mais il doit rentrer chez lui, il ne doit pas avoir beaucoup de fric ! Je vais me faire toute petite... allez !... prends-le ! »

Devant son insistance, je m'arrêtai, le jeune homme devait avoir dans les dix sept ou dix huit ans, et il sourit lorsqu'il vit le peu de place qu'il lui restait.
«Vous voulez monter avec nous ? lui lança Laurette en se penchant au dessus du siège ; vers le carreau du devant.

Les yeux du lycéen plongèrent dans le décolleté et je vis sur son visage qu'il n'appréhendait plus d'être un peu à l'étroit...

La petite Austin reprit la route sans rechigner. Laurette avait dû passer son bras derrière les épaules du stoppeur et mettre ses longues jambes sur le côté pour pouvoir laisser un minimum de place à notre invité. Celui-ci, visiblement intimidé, n'osait la regarder et Laurette s'efforçait d'entretenir un semblant de conversation afin qu'un silence pesant ne se fasse pas dans l'habitacle. Effectivement, il était interne au lycée à Paris, s'appelait Olivier et remontait chez lui à Rennes pour de début de ses vacances. L'autoradio distillait de la musique et les kilomètres s'égrenaient tranquillement. Était-ce le contact de ce corps chaud et parfumé serré contre lui, ou la vue magnifique sur le décolleté de ma compagne ? En tout cas, le lycéen s'était détendu, il discutait et blaguait avec Laurette comme deux vieux amis. De temps en temps, je jetais un œil dans le rétroviseur et il me semblait que le bras gauche de Laurette serrait un peu plus intimement les épaules du jeune lycéen, que ses genoux s'étaient plus fermement collés sur ceux du jeune homme. Mais il m'était difficile de surveiller à la fois la route et le jeu de séduction qui se tramait à l'arrière de la voiture... Pourtant, le jeune stoppeur rougissait lorsque notre regard se croisait par l'intermédiaire de la glace...

« Ça va... vous n'êtes pas trop serrés ? demandais-je à mes deux passagers.
- Non non, pour moi ça va répondit Laurette en riant aux éclats,
- Et pour toi aussi ça va... je pense Olivier ? demandais-je à l'intention du jeune homme et je continuais :
-Tu aurais pu tomber plus mal... elle est mignonne Laurette... elle sent bon... elle est court vêtue... elle est bien foutue et en plus elle est sympa...
- Heu ! Ho!! Oui !! » bégaya-t-il en devenant rouge comme une pivoine.

Mon regard croisa un court instant celui de Laurette ; et je devinai rien qu'à son sourire le fond de sa pensée....

Je mis la radio plus fort et fis semblant de me concentrer sur mon trajet....
Quelques bruissements de tissu et un léger remue-ménage à l'arrière me firent penser que Laurette était en train de faire découvrir à notre jeune invité des jeux subtilement érotiques....


Elle avait passé sa jambe gauche sur la cuisse d'Olivier, qui à présent, ne pouvait plus rien ignorer de ce qui il y avait sous la petite robe, car les boutons s'étaient comme par enchantement ouverts. Au fond des longues cuisses bronzées apparaissait le léger tissu blanc.

 

D'une main, Laurette écarta le léger voile de dentelle et prit la main du jeune lycéen - il me sembla qu'il résistait un peu, car je pense qu'il avait peur de je ne m'offusque vertement de ce jeu- mais la douceur des longues mains fines de ma compagne eurent tôt fait de faire tomber toute ses réticences...

 

Laurette, les yeux fermés, guidait la main du jeune autostoppeur vers des découvertes encore inconnues de lui...  Voyant la tête posée sur son épaule, la bouche entrouverte, je devinais sa poitrine se gonfler sous l'effet de la caresse.

La main de Laurette accrochée au poignet du jeune homme lui montrait comment écarter la fente, rouler les doigts sur le petit clitoris pour les enfoncer soudain dans la grotte lubrifiée.
Je baissais la radio et annonçais tranquillement à l'adresse d’Olivier.
« T-ilnquiète pas pour moi, vas-y, fait ce qu'elle te demande, ça m'est égal... elle a envie que tu t'occupes un peu d'elle... ne vous souciez pas de moi... ! »

Laurette attira la tête du jeune homme et le gratifia d'un long baiser sur les lèvres. Puis elle se pencha sur lui, je ne voyais dans le rétroviseur que les cheveux courts de sa nuque, mais je devinais à de petits gémissements qu'elle devait pratiquer une de ses merveilleuses fellations...

 

Je pensais à ces douces lèvres, à sa langue qu'elle savait comme aucune autre enrouler sur le gland, à ses longs doigts si fins qui se cramponnaient sur le membre, descendaient caresser les couilles ou s'insinuer en les fesses pour titiller l'anneau cullier. Le jeune homme inexpérimenté ne put résister longtemps à un tel traitement, les joues pâles, les yeux mi-clos il savourait cette bénédiction tout a fait nouvelle pour lui.

 

Il répondait par des mouvements de hanches à l'a caresse buccale qui lui était prodiguée avec art. Souhaitant faire durer le plaisir, Laurette tenta de relever la tête, mais trop tard, submergé par une jouissance qu'il ne parvenait plus à contrôler, l'adolescent, dans un râle de plaisir, succomba. Laurette continua doucement la fellation tout en absorbant le divin breuvage. Le jeune gaillard parvenait difficilement à cacher son émotion, avec des grognements de plaisir, il maintenait fermement la nuque de ma compagne afin qu'elle poursuivre la caresse, pour qu'elle lape jusqu'à le dernière goutte sa semence.

Son forfait accompli, Laurette rajusta le gamin qui semblait complètement absent. Cette séance l'avait littéralement vidé au deux sens du terme. Elle se leva du siège et vint m'embrasser dans le cou :

« Je t'aime me dit-elle... »

 

Je sentais dans son haleine la petite odeur si caractéristique du sperme…
« Je mérite mieux que cette petite bise dans le cou, » dis-je en tournant la tête vers elle.

Elle approcha ses lèvres des miennes et glissa sa langue dans ma bouche, elle savait la petite garce combien ce jeu m'excitait, sa langue s'enroula dans ma bouche et je ne fut pas surpris de m'apercevoir qu'elle avait gardé pour moi quelques gouttes du sperme de son jeune amant... Olivier nous regardait les yeux écarquillés....
« Mais toi aussi tu bandes, mon cochon, me susurra-t-elle à l'oreille, tu ne perds rien pour attendre, tu vas voir ce soir ! »

Olivier, la tête posée sur la vitre arrière, semblait encore perdu dans ses pensées, Laurette se pelotonna contre lui
« Tu es vraiment mignon...! Et très agréable à... " Elle ne finit pas sa phrase et lui fit une bise sur la joue.

« Tu ne connais pas un camping sympa et tranquille du côté de Saint Brieuc ? lui demanda-t-elle pour alimenter la conversation.
- Si vous voulez, je vais demander à ma mère de vous prêter une petite maison que nous avons en bord de mer à côté de Binic, et qu'elle loue en Août seulement, elle doit être libre en ce moment.. je dirai que vous êtes la sœur et le beau-frère d'un ami, ça la rassurera...
-Ah oui ce serait sympa et plus confortable que le camping, mais alors tu m'as fait charger tout ça dans la voiture pour rien… répondis-je à Laurette.

Quelques kilomètres après la sortie de Saint Bireuc, Olivier nous fit prendre de petites routes au milieu des étangs et des prés et nous fit arrêter devant une petite maison très fleurie. Une femme d'environ une quarantaine d'année souriante, un peu ronde mais les traits du visage très fins, en sortit.

 

Les présentations faites, Olivier demanda à sa mère :
« Maman...! Ce sont la soeur et le beau-frère d'un copain de lycée, ils m'ont ramené de Paris, est-ce que tu peux leur prêter la maison de Binic pour le week-end, sinon ils vont devoir faire du camping et la météo annonce des orages... »
- Oh ! si ils veulent, mais il n'y a pas d'électricité, c'est un peu spartiate, mais c'est tranquille, elle donne directement sur le plage. »

Sitôt dit sitôt fait, Olivier courut chercher les clés et nous conduisit à trois kilomètres de là.

Effectivement, le coin est charmant, la maison devait-être une ancienne bergerie et donne directement sur la plage. Elle ne comporte que trois petites pièces dont une transformée en salle d'eau.
La matinée est bien avancée lorsque nous eûmes finit de tout ranger, une rapide collation fut prise sur place.

« Tu viens faire un tour sur la plage avec moi ? me demanda Laurette en me prenant la main, mais avant je mets mon maillot de bain.
- Tu nous accompagne Oliver ? » lança-t-elle au jeune homme, qui n’était pas encore reparti.

 

Et sans complexe, elle déboutonna sa robe et apparue terriblement excitante en soutien gorge et petite culotte. Mais celle-ci rejoignit bien vite le soutien-gorge sur le dossier du fauteuil. Laurette était à présent entièrement nue dans la pièce et ses fesses fermes, la cambrure des ses reins, ses seins pointés et ses longues jambes qui semblaient ne jamais finir, s'arrêtaient sur le fin triangle pubien qu'elle prenait bien soin de tailler court.

 

Je m'approchais d'elle et lui prit la taille. Le contact de sa peau nue était toujours pour moi comme un émerveillement. Olivier me regardait avec envie. Du bout de la langue, j'agaçais la pointes des seins déjà durcis et ma main descendit vers le tendre bourgeon génital. Comme une savonnette Laurette s'échappa de mes mains,
« Ha ! Non pas tout de suite, attends ce soir, je veux que tu me désires comme un fou, que tu n'en puisses plus de te retenir ! Regarde comme tout ça est beau ! »dit-elle en prenant ses seins dans ses mains....


Les quelques séances d'UV qu'elle avait fait au printemps avait laissé sa peau couleur de miel, seul l'endroit du string contrastait. C'était superbe...
«  Y a-t-il du monde sur cette plage ? demanda Laurette à Olivier.
- Elle est déserte, les dunes arrivent jusque sur la mer et le seul accès, c'est à marée basse ou par le chemin d'où nous sommes venus.
- Hé bien j'y vais habillée comme ça, mais pas touche les gars, on regarde seulement, » dit-elle malicieusement.


Et joignant le geste à la parole, elle passa devant nous totalement nue et franchit la porte vers le soleil. Nous l'admirions marcher légèrement devant nous, elle était radieuse de son effet sur nos libidos. La petite plage était au bout du chemin à environ deux cents mètres de la maison, bordée de dunes sur trois côtés. Laurette courut se tremper les pieds dans l'eau, s'éclaboussant comme une enfant. Elle en ressortit bien vite en criant, la Manche était encore froide. Elle s'approcha de nous en frissonnant et avant que je n’aie pu faire un geste, Olivier s'était débarrassé de son tee-shirt et le lui avait passé. Le vêtement lui arrivait en bas des fesses, ses petits seins dressés par le froid pointaient au travers, de petites perles d'eau s'étaient accrochées dans ses poils pubiens et faisaient comme une rosée.

Le bruit d'un moteur nous fit tourner la tête et nous fit décrocher de nos pensées lubriques, à quelques centaines de mètres par la droite apparut un gros canot en bois.
« C'est Monsieur Bertrand, c'est le voisin, il habite à l'autre bout de cette petite anse, c'est un ami de maman, ne vous étonnez pas lorsque vous l'apercevrez, c'est un petit nain...
- Un nain ? répondîmes tout deux en cœur Laurette et moi, surpris.
-Oui ! il est très petit mais très gentil se crut obligé d'assurer Olivier.
- Je rentre à la maison me dit Laurette, s'il me voit avec vous dans cette tenue... »


Elle disparaissait dans le chemin lorsque la barque racla sur le rivage, un petit homme en short en sauta prestement et s'avança vers nous, un large sourire aux lèvres.
« Bonjour ! Je me présente dit-il en me tendant la main, je suis Bertrand Goulard. »


Il faisait environ un mètre vingt ou trente de haut, sa poignée de main, quoique franche, me fit tout drôle, sa main était petite comme celle d'un jeune enfant, son corps était bien proportionné et seules ses jambes très courtes étaient un peu arquées
« C'est toi que je viens voir Olivier, ta mère s'inquiète de ton absence et m'a téléphoné pour me demander de venir t'avertir qu'elle t'attend !
- Oh ! non ! s'exclama l'adolescent, pas déjà !
- Elle a particulièrement insisté pour que tu rentres vite, martela-t-il.
- Bon j'y vais, répondit tristement Olivier en tournant les talons.
- Vous viendrez bien prendre quelque chose, en tant que voisin, nous ferons un peu connaissance ; demandais-je au petit homme.
-Volontiers ! Les rencontres dans ce coin sont assez rares ! »

Quelques minutes après, nous franchissions le seuil de la petite maison de pierres sèches,  Laurette sortait de la douche en peignoir de bain.
« Bonjour ! dit-elle en tendant la main.
« Ha ! Non je serre la main des hommes mais je fais la bise aux femmes, » s'exclama Bertrand.


Laurette dut se baisser pour lui tendre la joue, dans ce geste son peignoir s'entrouvrit, Bertrand n'avait rien perdu du spectacle, Laurette se rajusta en rosissant,
« Je vais me changer, dit-elle.
- N'en faite rien, vous êtes ravissante, et puis je peux vous l'avouer, j'en ai vu plus tout à l'heure, je vous ai aperçue sur la plage, je regardais à la longue vue passer un vol de cigognes qui nichent dans la crique voisine.
- Pour une plage déserte, on fait mieux, n'est-ce pas Olivier ? dit Laurette en relevant le menton du gamin, Allez, ne boude pas retourne chez toi tu reviendras demain matin !
- Bon d'accord à demain ! et il s'éclipsa en courant.
- Ce jeunot semble tenir à vous, je crains qu'en pensant à vous, sa nuit ne soit agitée, » répliqua Bertrand en regarda fixement Laurette.


Laurette ne répliqua pas et en femme avisée, elle sortit trois verres et l'excellent Bordeaux que j'avais pris soin de glisser dans le coffre.
« Vous êtes pêcheur ? » demanda Laurette pour changer de conversation.


Et le petit homme nous raconta sa vie, un père médecin, il se tourna donc presque naturellement vers la psycho pour tenter de résoudre ses propres problèmes liés a sa taille, puis il changea de discipline et fit pharmacie à la fac de Marseille, puis s'orienta vers la botanique, il monta un laboratoire avec un ami et parcourut le monde pour y étudier et ramener des échantillons de plantes. Il posa ses valises plus de cinq ans à Madagascar, y connu une jeune femme, en eu une enfant. Rentra en France, le laboratoire avait bien prospéré grâce à ses découvertes et à la bonne gestion de son ami.

 

Il y a douze ans, il apprit que la mère de sa fille était décédée, il alla la chercher et décida de l'élever. C'est à cette époque, en prospectant des échantillons de plantes sur le littoral de la Baie de Saint Brieuc, qu'il tomba amoureux de ce bout de terre et décida de s'y installer, il revendit ses parts à son ami et le pécule lui permit, à quarante ans, de vivre de ses rentes.

 

A présent, il s'occupait d'un petit élevage de chiens dont il avait ramené un couple voilà une dizaine d'année d'Argentine.
La bouteille était presque vide et le jour tombait lorsqu'il s'arrêta de parler, c'était un homme cultivé et affable, un personnage attachant...
« vous n'avez pas l'électricité, aussi je vous invite à manger chez moi,
- OK ! répondis-je, nous avons un excellent jambon du Morvan et quelques victuailles, nous les prenons et on vous suit. »


Laurette, pendant ce temps, avait enfilé une petite robe noire en stretch moulante comme une seconde peau, et je vis dans les yeux de Bertrand comme un aveu d'admiration.
« Nous partons en bateau car c'est plus joli et romantique et puis par la route c'est bien trop long, » annonça Bertrand, péremptoire.


La nuit commençait à tomber lorsque nous accostâmes au ponton qui longeait sa maison de briques rouges. Une jeune fille en jeans et pull marin accompagnée d'un gros chien noir, accourut pour accrocher la barque,. Elle avait le teint légèrement basané et les yeux en amandes.
« Je vous présente Océane ma fille, sa mère était Malgache et sa grand-mère réunionnaise, le mélange est bien réussit, » dit-il en rigolant et lui c'est Croquette le chien de la maison.

Il nous précéda dans un grand salon meublé avec beaucoup de goût de meubles hétéroclites qu'il avait du ramené de ses nombreux voyages.
« Assoyez-vous, je vais me changer. Pendant ce temps, Océane va vous servir des rafraîchissements. »

La jeune fille revint avec trois verres de punch :
« Vous êtes très belle, lui dit Laurette, quel âge avez-vous ?
- l'âge que l'on souhaite me donner… »

Je reconnaissais bien là le caractère énigmatique des indiens... Elle avait peut-être dix-huit ans, peut-être moins, tant elle était menue.

Le repas fut des plus sympathique, la matelote d'anguilles que nous avait concoctée Océane était excellente. Elles provenaient d'un petit vivier qui était à quelques mètres de la maison. Bertrand nous enchanta sur ses expériences sur les plantes.
Alors qu'il nous expliquait les vertus aphrodisiaques de certaines d'entre elles, Laurette partit d'un éclat de rire ;
« Nous sommes allés à la Martinique il y a quelques temps ; expliqua-t-elle, Theo a bu du bois bandé... et il a dormi toute la nuit ! Je n'y crois pas du tout à tout cela, c'est un attrape gogo, lança-t-elle ; amusée.
- Libre à vous de croire ou pas… Si vous voulez, je vais vous faire essayer celui de ma composition…. »

 

Et il se dirigea vers un placard, versa d'une petite fiole dans un verre un peu de liquide brun et me le tendis :
« Buvez-en juste une gorgée, pour un premier essai c'est plus prudent, » me dit-il en souriant.

Le breuvage était fortement amer, et à peine les lèvres trempées, je le tendis à Laurette.
Rapidement avec un grimace elle en avala une longue rasade avant que Bertrand n'est pu la retenir.
« Pouah c'est infect, dit-elle en posant le verre, je ne pense pas qu'un liquide aussi infâme puisse inciter à l'amour !
- J'ai aperçu dans la pièce voisine un très beau billard, si nous allions en faire une partie ? » lança-t-elle à notre adresse.

Un billard trônait dans une immense pièce dont le fond était tapissé d'un grand aquarium. A l'intérieur de celui-ci , quatre grosses anguilles s'enroulaient sur le fond.

Voyant que Laurette s'en approchait, Bertrand lui dit :
« Celles-ci ne finiront pas en court bouillon, elles sont apprivoisées... »

 

Laurette le regarda avec des grands yeux d'étonnement.... Il y avait à peu près une heure que nous « tapions la boule » lorsque Laurette nous dit :
« Il fait vraiment chaud dans cette pièce, ça me donne un peu mal à la tête… »

Je me tournai vers Bertrand un peu étonné, la température était agréable, même un peu fraîche.
« Ne vous inquiétez pas dit-il, c'est l'effet du breuvage, vous avez un peu trop forcé la dose, et quelques troubles risquent de se produire...Océane va vous faire un massage et ce mal de tête va disparaître… »

Il appela Océane qui apparut dans l'encadrement de la porte vêtue d'un merveilleux sari en soie orangée.
« Couchez-vous sur cette banquette, » dit-elle en basculant le siège clic-clac.

Une fois Laurette couchée sur le ventre, la jeune fille lui fit glisser les bretelles qui retenaient le haut de sa robe et lui roula jusqu'à la taille. Elle s'enduisit les mains d'une huile parfumée et commença à masser avec beaucoup de douceur le dos et la nuque de Laurette.
« Bon, on continue la partie tous les deux, » lança Bertrand.

Tout en jouant, je jetais quelquefois un coup d'œil furtif sur Océane. Les longues mains de celle-ci s'attardaient quelquefois sur la chute de reins de Laurette, puis remontaient aux épaules, se glissaient sous les aisselles et s'attardaient sur les seins de Laurette qui décollait son buste du lit pour mieux profiter de la caresse.

Océane susurra quelques mots à Laurette qui se retourna. La jeune fille fit glisser la robe et le petit slip de Laurette, celle-ci couchée sur le dos, les yeux fermés se laissa dévêtir. Les mains à présent courraient sur le ventre, sur les seins de ma compagne.... Laurette se laissait aller à cette délicieuse sensation... Inconsciemment, ses jambes s'écartaient... ses hanches et son ventre se soulevaient...

Bertrand et moi, nous nous étions arrêtés de jouer pour admirer le spectacle... et il commençait à nous faire de l'effet.
« Je lui avais pourtant bien dit de faire attention, ce n'est pas dangereux, mais le mélange de ces quelques plantes est quelque peu détonnant.... si vous voulez je vous laisse seul, car elle semble avoir besoin de vous... Pourriez vous... si je puis dire être à la hauteur... me dit-il en me regardant d'un air malicieux...
- Je crois qu'il va me falloir beaucoup de résistance, » lui répondis-je, sans savoir d'ailleurs où il voulait en venir.

Il se dirigea vers l'armoire du salon et en sortit une boite de couleur noire en marqueterie, il l'ouvrit et stupéfait, je découvris à l'intérieur toute une panoplie de vibromasseurs de tailles et de formes différents. Des veinés, des noirs, des biscornus pour des double pénétrations, en bois en plastiques...
« Croyez-vous qu'elle ait une préférence ?
- Ma foi je n'en sais rien, prenez celui qui vous semble le mieux adapté à notre situation, » dis-je en riant...

Laurette entrouvrit les yeux et nous sourit en nous voyant près d'elle. Son corps sentait bon, j'approchai mon visage du sien et je l'embrassai sur les lèvres,

« Fais-moi l'amour, baise-moi j'en ai envie.... laisse Bertrand venir aussi, » me dit-elle dans un souffle…

Elle se redressa sur les coudes pour regarder dans la direction de notre hôte. Bertrand s'était approché de la table, le corps de Laurette couchée sur le dos lui arrivait à hauteur des yeux. Il glissa une main entre les cuisses et instinctivement, celles-ci s'ouvrirent.

Il enfouit sa tête dans le compas des jambes, et avec délectation, il lécha le petit bourgeon de chair qui brillait au milieu. Sous la caresse, Laurette souleva son bassin pour qu'il puisse encore enfoncer plus loin sa langue, puis les doigts de Bertrand se frayèrent un passage dans le doux calice, et imprimèrent des mouvements de va-et-vient.

 

Laurette gémissait, assise sur le rebord de la table, elle agrippait Bertrand par les épaules. Je me dévêtis rapidement, mon sexe me faisait mal tant sa tension était forte et je l'approchais de la bouche de Laurette qui l'absorba jusqu'à la base des couilles.

 

Appuyée sur le chambranle de la porte Océane nous regardait, ma gêne ne fut que de courte durée, car devant la vision de la petite main de Bertrand, entrée entièrement et fourrageant la chatte de Laurette et sa langue, Laurette sur ma hampe, je ne pus, à mon grand regret, me retenir plus longtemps et la jouissance m'emporta...
« Oh ! Non pas déjà... se désespéra Laurette en continuant à pomper le divin breuvage..
- Vous auriez du, à l'inverse de votre compagne, prendre plus de ma potion, me dit Bertrand en relevant la tête, et en ressortant délicatement ses doigts de la vulve de Laurette.
- Apporte-moi la petite boîte, intima-t-il à l'adresse d'Océane, qui en silence, accourut.

Bertrand, à mon grand étonnement, se saisit dans la boite qu’Océane lui tendait, d'un godemichet, noir, il me sembla énorme bien qu'un peu mou...et comportait une petite poire à son extrémité.
« Mets-toi à quatre pattes sur le bord du lit, et écarte les jambes, » ordonna-t-il à ma femme.

Il tutoyait Laurette d'une voix rude et j'en fus étonné, celle-ci acquiesça sans broncher, le rouge aux joues. Je savais qu'en ces instants, son corps entier était en feu, et qu'elle n'allait être qu'un pantin voué à son plaisir jusqu'à l'épuisement de son désir.

Bertrand, d'une prudente et longue poussée, introduisit dans la fente huilée de cyprine la tête du vibro, Tout en tournant engin, il l'entrait un peu, le ressortait, l'introduisait un peu plus afin de dilater doucement à son maximum les chaires écarlates.

Laurette, la bouche grande ouverte, la respiration profonde, ses petits seins gonflés ballottant sous elle, savourait cette emprise diabolique.
Bertrand se tourna vers moi,
« ça lui fait plus d'effet que ce que vous lui procuriez tout à l'heure !
- Remplis la poire d'eau chaude, Laurette souhaite connaître un grand moment ! lança-t-il à Océane.
- Et toi bouge, bouge, bouge répétait-il à ma compagne tout en la frappant sur les fesses et en imprimant des mouvements de va et vient à l'engin fiché entre ses fesses.

Laurette, les reins creusés, avançait et reculait son bassin pour profiter pleinement de l'introduction.
S'emparant de la grosse poire caoutchoutée que lui tendait sa fille, il envoya dans un petit orifice situé à la base du gode une longue giclée. Laurette sursauta et me tendit une main. Sa paume serrée dans la mienne, ses yeux de vair fixés sur moi, elle me faisait comprendre sans un mot tout le délice que lui procurait cette sensation nouvelle...

Deux ou trois nouvelles poires furent vidées ainsi dans le corps du vibro.
« Cette eau est à environ 39°-40° et ne risque pas de la brûler, le vibromasseur est maintenant gonflé à moitié et tapisse en partie l'intérieur de son vagin, regardez, comme elle apprécie, et il imprima à nouveau un léger mouvement à l'appareil. »

 

C'était déjà démentiel de la façon dont le gode avait dilaté la petite chatte étroite de Laurette. Celle-ci se mordait les lèvres et sa main serrait encore plus fort la mienne.
« Montez à côté de votre tendre amie et caressez-lui les seins, massez-lui le dos, le ventre, soyez tendre, afin qu'elle arrive au bonheur suprême... »

Je grimpais à mon tour sur la large table, et serrait tendrement Laurette dans mes bras.
«  J'ai trouvé cet engin extraordinaire en Asie, là-bas il est appelé « septième ciel » et il est adaptable. gloussa-t-ill...De petites billes sont à l'intérieur, lorsque qu'il est plein et que l'on actionne le bouton, les billes frappent la paroi et les vibrations se transmettent dans tous le corps.
- Mets-toi couchée sur le dos, les jambes repliés et ouvertes, » demanda-t-il à Laurette d'un ton ferme.


Océane et moi dûmes l'aider à se retourner tant le phallique engin la gênait dans ses mouvements, Elle s'accrochait à moi et ma bouche parcourut ce corps à la peau adorée, de la bouche au cou, du cou à l'épaule, de l'épaule au sein rond, du sein au ventre plat au nombril aguichant, du nombril au secret frisé et parfumé écartelé par l'épieu de plastique.

Bertrand versa à nouveau vivement trois poires d'eau chaude dans l'orifice du dildo. Celui-ci devait maintenant tapisser entièrement le vagin de Laurette et à chaque rasade versée une presque inaudible plainte de bonheur s'échappait de ses lèvres à demi-fermées.

De la voir ainsi grande ouverte et offerte, ma virilité chancelante reprit de la vigueur.

Le petit homme grommela en tapant sur les cuisses de ma compagne :
« Remonte bien les jambes, pliées sur tes épaules, le plus haut possible, je te l'ai déjà dit et toi, caresse-la, » dit-il en s'adressant à moi

Je le vis prestement tourner le bouton du vibromasseur tout en lui donnant un mouvement de va-et vient lent et rythmé. Le diabolique engin fiché dans les chairs intimes de Laurette ne pouvait bouger, et c'est donc tout le corps de ma compagne qui avançait d'avant en arrière sur lit.

Le mouvement s'accéléra, Laurette s'accrochait comme elle pouvait et subissait avec délectation, les yeux mi-clos et le souffle court, le choc intérieur des billes qui claquaient comme un feu d'artifice dans ses entrailles. Plus vite..., plus fort..., encore plus vite...,

 

Bertrand tirait et poussait de plus en plus rudement, mais sans violence, la base du pieu qui écartelait ma belle. La respiration de Laurette s'accordait avec le rythme que donnait notre hôte, le mouvement lent du début avait fait place à une danse endiablée qui unissait ma compagne et son amant synthétique d'eau et plastique.

Mes lèvres parcouraient son corps, mes mains caressaient ses seins et ses cuisses superbes. La grotte magique où tant de fois j'avais trempé ma verge était ouverte comme celle d’une femme en train d'accoucher. La douce plainte de bonheur qui accompagnait la danse, se transforma en un cri rauque de plaisir intense, et tout son corps s'arquebouta plusieurs fois comme électrisé, elle ne tentait plus de s'accrocher et c'est comme un pantin désarticulé qu'elle suivait les amples mouvements.

 

La sarabande dura plusieurs minutes et Laurette connu l'extase quatre ou cinq fois en, hurlant. Sa tête dodelinait de droite et de gauche, ses mains agrippaient celles de Bertrand afin qu'il garde la cadence, de fines gouttelettes de transpiration bordaient sa lèvre supérieure, elle ouvrit les yeux et nous sourit. Bertrand ralentit le rythme et coupa la vibration pour permettre à Laurette de reprendre ses esprits,
« Que c'est bon ! Je n'ai jamais senti quelque chose d'aussi fort et d'aussi puissant ! C’est comme une vague chaude qui monte de l'intérieur et vous inonde de jouissance !
- Je vais expulser l'eau du vibro afin de te permettre de te reposer, » annonça Bertrand fier de son expérience.

Il tourna un bouton et appuya d'un coup sec sur la bas du vibro, Laurette poussa un cri de surprise et de bonheur....
« L'eau tiède s'est libérée dans sa chatte m'informa Bertrand, elle l'inonde...! »

L'eau fumante s'écoula depuis le vagin dilaté dans une bassine que maintenait Océane, appuyée sur les coudes. Mon adorée regardait ouvrer son doux tortionnaire. Celui-ci tira doucement sur la base du phallique engin ce qui arracha à Laurette un petit cri de délivrance ou de regret...

La grotte nacrée distendue par le chaud massage restait grande ouverte, les petites lèvres pendantes.
« Viens, approche-toi, demanda Laurette à Bertrand, tu mérites toi aussi une récompense… »

Elle approcha son bassin du bord du lit afin que le petit homme soit bien à hauteur et lui empoigna la verge. Celle-ci noueuse et dressée comme un dard semblait disproportionnée par rapport à sa taille.
Guidé de la main douce de ma compagne, il enfila d'un coup jusqu'à la garde son sabre dans la gaine de velours.
« Ah c'est chaud, c'est bon, » grognait-il tout tressautant sur ses courtes cuisses.

Les mains de Laurette pressaient les petits globes velus des testicules afin de l'amener à l'explosion rapidement, car je voyais à son attitude qu'elle simulait un plaisir qu'elle n'arrivait pas à trouver. Était-ce parce qu'elle venait de connaître quelque chose de très fort, de très puissant ou parce que son vagin distendu ne lui permettait pas de sentir en elle cette queue pourtant de taille fort respectable ?


Bertrand s'en aperçut et accéléra la cadence afin de rapidement se soulager, accroché aux cuisses de Laurette il planta au fond son bâton sexuel, une grimace de bonheur illumina son visage. Je devinais les longues giclée de sperme qui devait fouetter le doux réceptacle.

 

Tendrement Laurette le maintint serré entre ses longues jambes jusqu'à ce que la lance gorgée de sève ai craché ses dernières gouttes. Notre ami retira sa verge flasque, Laurette d'une main essuya sa chatte trempée et la porta à sa bouche, se tournant vers moi elle me tendit à son habitude ses lèvres afin qu'avec elle je partage cet instant de bonheur.
« Viens toi aussi j'ai envie de te faire ce cadeau, » me dit-elle en me tendant la main.


Je pris position dans le compas de ses jambes, et glissais mon épieu dans le trou largement huilé par Bertrand, la chaleur procuré par l'eau du godemichet était toujours présente et irradiait jusque dans mes couilles. Le sperme de notre ami maculait ma verge, Laurette savait combien j'aimais ces moments où, prise avant par d'autres que moi, elle m'adressait comme une offrande la fin de ses étreintes pour me prouver son amour.

 

Elle tenta de contracter son vagin dilaté, qui pour toute récompense, expulsa le foutre de son précédent amant. Elle s'assit sur le bord du lit et m'attira au plus profond d'elle, ses mains passées derrière mes fesses cherchaient mon anus, elle me força à basculer sur son corps de liane. Largement ouvert par deux de ses doigts, mon anneau sentit s'introduire l'un deux.

 

Elle tourna son regard vers Bertrand, ses yeux verts le fixèrent comme une ultime invitation. Celui-ci sans un mot vint se placer derrière moi, je compris vite sa manœuvre et essayais d'esquiver, Laurette me bâillonna la bouche d'un baiser brûlant et me serra fort dans ses bras. Je compris qu'elle tenait à ce que je sois à la fois la proie et le loup.

 

Le gland noueux de Bertrand força le passage et entra doucement dans mes entrailles... je m'abandonnais. A chaque coup de butoir de Bertrand, mon sexe entrait plus profondément dans la grotte de Laurette. L'emprise dura longtemps me semble-t-il, je sentais que Laurette prenait un plaisir indicible à me voir sodomisé. Elle répondait par des mouvements amples de ses hanches, tout en me serrant dans ses bras, aux frénétiques coups de reins que m'infligeait son partenaire.

 

Emporté par mon élan, j'arrosais à mon tour le doux fourreau. Bertrand sortit de mon corps, et porta son sexe à hauteur de la bouche de ma compagne, celle-ci sans hésiter s'en saisit et appliqua sur le sabre une caresse vieille comme le monde, elle m'invita à l'imiter et c'est ainsi que nos lèvres mises en commun vidèrent une seconde fois notre hôte.

La fatigue tant physique que nerveuse me laissa pantelant, allongé en travers du lit, je m'endormis d'un profond sommeil.

 

A suivre…

Par Théo - Publié dans : Vos contributions - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
Donnez votre avis... - Lisez les 3 messages
Retour à l'accueil
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés