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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je vous ai raconté une partouze chez mes amis Marianne et Philippe qui furent mes initiateurs et je ne vous les ai pas présentés, c'est impardonnable, n'est-ce pas ? Même avant de baiser, un minimum de politesse est indispensable. Il ne faut surtout pas croire que « frapper avant d'entrer » soit une devise réservée aux rapports SM, quand elle est prise au pied de la lettre. Pardonnez-moi, nous sommes à fin décembre et il fallait que je me sépare de cette vanne.

 

Marianne et Philippe était un couple ami de mes parents, affinités professionnelles obligent. Mes parents ignoraient tout de leurs « loisirs particuliers » sinon leur amitié aurait vite disparu. Marianne et Philippe m'avaient connu enfant et m'aimaient beaucoup. La beauté de Marianne et la manière qu'elle avait de me provoquer, me troublaient beaucoup. A environ dix-neuf ans, ils m'invitèrent à passer mes vacances d'été dans leur splendide villa de bord de mer. Si mes parents avaient su le centième des petits jeux de ce couple, jamais ils ne m'auraient laissé partir. N'oublions pas qu'à cette époque la majorité était à vingt et un ans.

 

Marianne et Philippe étaient naturistes, et à leur domicile, vivaient toujours nus. D'autre part, ils étaient libertins et organisaient avec un groupe d'amis relativement restreints, des soirées ou weekend de partouzes. Ils étaient tous deux bisexuels. Comme mes parents, j'ignorais tout cela. La seule chose que je savais était qu'elle adorait me provoquer et que j'en étais toujours agréablement troublé.

 

Un matin, Marianne, après avoir fait ses courses, est venue me chercher chez moi pour me ramener à sa villa. Arrivés là, nous mettons les achats dans la cuisine, puis elle me conduit à ma chambre et me quitte en me disant : « Mon p'tit Bruno mets toi à l'aise et viens nous rejoindre sur la terrasse. »

 

J'enfile rapidement mon bikini et vais les retrouver. Philippe était seul sur la terrasse, allongé sur un transat complètement à poil. C'était un homme de quarante-cinq ans grand et bien bâti. Et chose que je n'avais jamais vue encore, il était intégralement épilé. Ce spectacle était d'autant plus beau que ça mettait en valeur une bite qui, alors qu'elle était au repos, était déjà de dimension respectable.

 

J'avais des expériences bisexuelles avec des copains, mais je n'avais encore jamais vu un engin pareil. Plus tard, j'en ai croisé des plus grosses, mais celle-ci avait, je m'en suis très vite rendu compte, un bon 20x5cm. A ce spectacle inattendu, mon bikini fut soudain trop petit, car je me mis à bander. Je suis arrivé à la hauteur de Philippe au moment où ma bandaison était au maximum. Il me salua et se dit heureux que je sois venu chez eux, puis ma bite étant à sa hauteur :

« Mais qu'est-ce que tu fous avec un maillot? Fous-toi à poil comme moi ! »

 

Et joignant le geste à la parole, il tire sur le lacet qui attachait mon bikini et le fait tomber au sol. Il prend ma queue en main pour la caresser et me dit avec un air rigolard :

« Qu'est-ce qui t'arrive là ? C'est tout de même pas moi ? »

Je suis bien obligé de lui avouer : « Oui, tu as une belle bite, elle est grosse et puis tu n'as aucun poil, c'est beau et ça m'a excité ! »

Philippe continue à me caresser la queue, mais avec plus d'insistance et me demande:

« Dis donc, toi, tu aimes les bites ? Et les femmes tu aimes ou alors tu es pédé ?

- Ben non, j'suis pas pédé, j'aime les femmes mais j'aime aussi me faire enculer.

- Bienvenue au club, mon garçon, parce que moi aussi j'aime les deux, on va pouvoir s'amuser alors ! » me dit Philippe.

 

Il me suçote la queue puis s'arrête, me regarde et me dit : « Mais puisque tu la trouves belle, suce-la alors, tu veux bien ? »

Comme on ne demande pas à un ivrogne s'il a soif, je lui dis, un peu gêné tout de même : « Oui, avec plaisir ! » et je me mets à genoux, je prends son beau gland dans la bouche et commence à l'aspirer, un peu, le mordiller, puis je baise ma bouche avec sa bite.

« Chérie ! Viens vite voir ce que fait Bruno ! Je sens qu'on va bien s'amuser ! »

Marianne arrive, et à ma grande surprise, elle est complètement nue elle aussi. Quelle merveille, 1,60 mètre, brune, chatte lisse, sensuelle au possible, une silhouette harmonieuse façon violoncelle. Rien à voir avec les maigrichonnes d'aujourd'hui, elle est potelée mais bien loin d'être grosse, et puis sa chatte est rasée. Et quelle chatte !

L’absence de poil met en valeur des lèvres charnues qu'on a envie de croquer. On dirait un beau fruit, « une figue », comme on dit chez nous, et un clito un peu proéminent. Marianne est faite pour l'amour, elle le sait et elle en profite. Mais ce jour-là, je ne savais pas jusqu'où elle pouvait aller. Jeune apprenti de la baise, je n'étais pas avec elle au bout de mes surprises.

Et cela me permit de confirmer que j'étais vraiment bisexuel et que comme l'a dit Woody Allen que ça pouvait « multiplier mes chances de ne pas rentrer seul chez moi le samedi soir ». Pendant que je vous la décris, elle est arrivée à notre hauteur.

« Ben mon colon ! En voilà une bonne surprise ! Tu nous avais caché ça, petit cochon ! » s'exclame Marianne en riant.

 

Puis elle s'allonge à mes pieds et me suce la queue. Superbe pipe que voilà. C'est vrai que j'étais novice, mais en tous les cas, jusque là les pipes de mes copains et copines étaient moins douces, un peu trop rapides, alors qu'on doit prendre tout son temps, pourquoi se presser quand c'est si bon d'en sucer une, quand c'est si bon de se faire sucer. Pour vous dire la technique de cette femme je me suis inventé une expression, elle fait des « pipes papillons ». C’est une pure merveille, on sent le plaisir monter très lentement, envahir le corps petit à petit, on sait qu'on va exploser, on ne sait pas quand et on a pas du tout envie que ça vienne vite.

 

Mais soudain Marianne, tout en me pipant, me met un doigt dans le cul, elle se rend compte que ça me plait. Alors elle en met un deuxième et m'encule ainsi, sa bouche et ses doigts jouant avec moi en même temps je ne tarde pas à jouir dans sa bouche. Philippe tout en soupirant de plaisir car il est prés à exploser lui aussi me dit : « Bruno, surtout n'avale pas mon jus garde le dans la bouche ! »

 

J'ai vite compris pourquoi car quand j'ai eu la bouche pleine, Marianne m'a roulé une pelle, et ainsi, on a mêlé les deux spermes. Le goût était fort agréable. Ensuite elle embrassa son mari pour lui faire partager nos jus. Ainsi commencèrent mes vacances.

Ensuite, nous avons repris nos esprits devant une boisson fraiche. Philippe rapporta ma réaction et mes déclarations en le voyant à mon arrivée sur la terrasse.

Marianne réagit alors aussitôt : « Alors ça te plait tant que ça de voir nos entrejambes sans aucun poil ? Si tu veux tout à l'heure après le déjeuner, je vais m'occuper de ça sur toi ! » J'ai donné mon accord, tout heureux. Depuis ce jour-là, je n'ai plus jamais laissé pousser mes poils du haut du pubis jusqu'au dessus de l'anus.

Une fois le repas terminé, on passa aux choses sérieuses : me raser. On m'allongea sur la table de la terrasse, Marianne se chargea de l'opération.

Philippe galant tenait ma bite pour permettre à sa femme de bien passer le rasoir autour, puis se fut le tout de l'anus, moment agréable, j'ai toujours adoré qu'on s'occupe de mon petit trou. Enfin, tout propre et tout lisse, Philippe me proposa pour remercier Marianne de son travail de la remercier à mon tour en la prenant tous les deux ensemble.

Philippe, maître de céans s'octroya le privilège de prendre celui de sa chère épouse tandis que moi je devais la baiser. J'étais un peu fébrile, c'était ma première femme adulte. Mais très vite l'excitation et la beauté de cette femme me permirent d'être à l'aise. Comme tout se passait bien, Philippe et moi avons changé de place et j'ai pu enfin entrer dans ce si joli cul qui me plaisait tant depuis si longtemps. Nous avons fini par éjaculer en elle et je fus invité à « nettoyer » les orifices dégoulinant de notre bon jus.

Cela nous prit un long moment et Philippe qui en voulait encore voulut m'enculer, Marianne s'y opposa formellement prétextant qu'il fallait me préparer avant. Il fut donc décidé que cela ne se ferait plus tard. Maintenant que j'étais entré dans leur intimité (au propre comme au figuré) me promener nu ne me gênait plus, si bien que je n'étais en érection qu'aux moments chauds. Le lendemain matin donc, je sors de ma chambre et passant devant les toilettes, je vois Marianne accroupie sur la cuvette des WC en train de faire pipi. Je me suis arrêté pour admirer tout en lui disant bonjour. Ce spectacle fut pour moi si excitant que je me mis à bander aussitôt. Marianne voyant ça me dit :

« Qu'est-ce qui t'arrive mon chéri, c'est de me voir pisser qui t'excite comme ça ? Approche donc, viens voir de plus prés ! »

 

Je m'approche de Marianne, elle me prend la main pour que je sois tout près. Elle ne me la lâche pas, la met contre sa chatte toujours en train d'évacuer son urine. Ma main bien sûr est arrosée.

« Lèche ta main maintenant ! dit Marianne. Et comme j'hésite :

- Allez ! Allez ! Vas-y ! »

 

Je m'exécute et je me rends compte que c'est bien agréable, ça a un goût un peu sucré. C'est ainsi que depuis je pratique les jeux Uro pour mon plus grand plaisir.

Marianne me rappelle qu'elle doit « me préparer », comme elle le dit pour la sodomie qui m'attend, mais auparavant opération importante : le P'tit Déj.

Une fois pris, je suis « ma préparatrice » dans la salle de bain. Connaissant Marianne et Philippe depuis ma plus tendre enfance, je sais qu'ils sont maniaques de la propreté. Je ne suis pas étonné qu'elle entre sous la douche avec moi pour me laver en oubliant pas quelques gestes salaces pour notre plaisir commun.

 

La phase finale de ma préparation est un lavement, hygiène indispensable. Puis elle s'arme d'un gode-ceinture et me sodomise « pour t'assouplir le sphincter car Philippe est un peu gros pour ton jeune cul » me dit-elle.

 

Le fait est que je crains un peu le moment où ça va arriver, sa bite m'impressionne un peu. Marianne et moi nous rendons sur la terrasse où Philippe est installé, une cigarette dans une main.

Je me mets à quatre pattes et Marianne me lubrifie l'anus puis se harnache d'un gode ceinture et m'encule.

J'ai toujours adoré la sodomie. Tout jeune dans mon lit le soir, je le faisais avec des crayons d'abord puis avec des carottes que je volais à ma mère. J'éprouvais un gros plaisir à faire aller et venir quelque chose en moi. Alors me faire prendre en plein jour, sur une terrasse, au soleil, par une femme devant son mari augmenter mon plaisir si bien que je ne pouvais m'empêcher de gémir et d'inciter Marianne à continuer plus fort. Elle jugea que mon moment était venu et que Philippe pouvait m'enculer.

 

Tout chaud à cause du traitement de Marianne, je n'eus aucune appréhension à l'idée de ce que j'allais prendre maintenant. Un peu de lubrifiant et une délicatesse certaine de la part de Philippe firent que la douleur fut très brève. C'est donc très rapidement que «le contenu et le contenant» s'habituèrent l'un à l'autre. J'en fus moi même étonné mais comme me le dirent mes deux profs, mon cul est serré mais souple. Philippe m'encula longuement faisant coulisser son bel engin en alternant les mouvements lents et rapides, et enfin l'explosion finale eut lieu. Comme c'était mon premier « adulte », j'ai eu l'impression qu'il n'arrêtait pas d'éjaculer. J'étais heureux, car j'avais confirmation que la sodomie passive était un jeu qui me donnerait toujours beaucoup de plaisir.

 

Tout le temps de mes vacances chez Marianne et Philippe se passa ainsi, en alternant les jeux divers. Parmi ceux-ci, j'eus tout le loisir de participer aux jeux Uros de mes deux amis et bien sûr tout ce que l'on peut faire de bon et jouissif avec un Cul qu'il soit féminin ou masculin. Seules les saillies de Marianne et Philippe par Friend leur chien boxer me virent uniquement spectateur, puisque je me refusais à le faire. La peur de rester collé… Mais le jour où j'ai accepté que leur chien s'occupe de moi, je ne l'ai pas du tout regretté. Je vous raconterai cela un peu plus tard.

 

Par Bruno Bi. - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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