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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

Chapitre II : la fin Nulaï a sa tante rien que pour lui…

 


« Mais au fait, ajoute Pierre, demain matin, je n’ai pas cours ! Je vais encore baiser la tante. Si je faisais un petit cadeau à Nulaï.

- Bonne idée répondit Maurice. Puis ce tournant vers Nulaï :

-Toi, tu attends une dizaine de minutes, puis tu entres, n’oublie de sortir ta queue !! »


Le lendemain matin, Nulaï entend Pierre qui sort de sa chambre et entre dans celle de Mado. Il laisse passer le temps prévu, et à son tour, entre dans la pièce. Pierre est à genoux sur la tante, et la pistonne fermement.  Elle est nue, les yeux fermés de plaisir, Pierre triture les seins avec acharnement. C’est la première fois que Nulaï voie les seins de Mado, lourds avec de larges aréoles et de grosses pointes brunes.


La tante se rend compte d’une présence étrangère, et ouvre les yeux. Effarée, elle voit Nulaï, et pousse un cri : « Comment oses-tu venir ici, toi ?? »
Pierre lui rétorque :

- Tais-toi, et profite bien !

- Tu n’y pense pas, c’est un enfant !!!

- Mais non, Nulaï sait tout, regarde comme tes gros nibards le font bien bander ! Suce-le, il jute bien. »


Mado veut répliquer quelque chose, mais Nulaï s’est déjà approché et lui présente sa bite devant sa bouche. Toujours aussi salope, elle ne peut résister à une queue de plus pour la rassasier. Fut-elle celle de son neveu ! Elle ne dit rien, empoigne le membre et l’engloutit dans sa bouche.


Pierre a recommencé à la bourrer avec acharnement, Nulaï fait de même dans la bouche de la tante, en la tenant pas ses seins qu’il malaxe. Il baise littéralement la gorge de sa chère tante. Nulaï fini par cracher son jus. Mado avale tout, n’en laisse pas une goutte tomber. Elle gémit de plus en plus, excitée par cette situation interdite… Pierre se vide aussi dans la chatte baveuse, pendant que Mado crie tout son aoul sa jouissance salace…

 

Nulaï sort sans rien dire, mais ravi de sa chère tante. Il pense : « Merde alors, quelle bonne salope, cette tante ! »
Plus tard dans la soirée, Mado appelle Nulaï dans la cuisine. Il obéit, un peu surpris. Quand il arrive, il reste ébahit par ce qu’il voit : elle a enlevé sa robe, elle est en corset.

Devant son regard étonné, elle lui dit : « Tu es grand maintenant… A ce que je sais, tu aimes bien faire des cochonneries… »

 

Elle ajoute, comme excuse : « Je n’arrive pas à défaire le nœud du corset. Il est trop serré… Aide-moi, mon neveu chéri… »


Nulaï passe derrière elle, et commence à s’attaquer à ce nœud. Il ne prive pas de regarder par dessus son épaule, ses seins remontés presqu’hors du corset. Il aperçoit le début des aréoles. Bien sur, il prolonge spectacle. Mado, sous ces œillades vicieuses, devient rouge, sa respiration s’accélère. Il traîne exprès, mais le corset fini par s’ouvrir. Nulaï est étonné : malgré son imposante taille, la poitrine de s’affaisse pas, il les contemple dans toute leur plénitude. Il bande illico.

 

Pourtant, encore timide, Nulaï n’a pas fait le geste qu’elle attendait. Sûrement, empoigner ses seins. Mais il est sur d’avoir vu dans son regard un peu de déception mêlé à une interrogation. Il sort de la cuisine, et va dormir dans sa chambre.


Elle est proche de la sienne. Il entend son lit craquer en saccade, sa tante gémit doucement. Nulaï se dit qu’Edy son mari, n’est pas rentré. Ils sont pourtant seuls dans la maison.. Alors, pourquoi ces bruits, ces gémissements de plaisir ?

 

La lumière se fait dans son jeune esprit : elle se masturbe ! Cette pensée le fait à nouveau bander comme un turc. Il sort doucement de sa chambre, pour voir par la serrure de sa porte…. Eh oui, à douze, on dit bien encore s’instruire !

 

Mado est sur le lit le haut de la chemise de nuit ouverte. La lune l’éclaire comme un spot. Elle se pétrit un sein, le bas remonté sur les hanches. Sa main s’active vigoureusement dans sa chatte. Nulaï avait raison, la gentille tante se branle fermement.

Nulaï n’hésite plus, il pousse la porte doucement, bien décidé à la fourrer à fond ! La tante, étonnée, n’a pas le temps de se couvrir. Elle l’interpelle :

« Que viens-tu faire ici petit voyeur ? Tout à l’heure, tu m’as fait de la peine…

- Comment cela, tantine ?

- Oui, réplique la tante, je pensais au moins à un petit câlin dans la cuisine.
- Mais ne sommes-nous pas mieux dans ce lit ? Continue ce que tu faisais avant que je n’entre.. Tu sais, tu te branles bien !

- Comment ? Tu espionnes, petit dépravé ?
- Oui tantine. J’aime te voir lorsque tu te branles, tu me fais bander comme un fou…

Allez continue, tu ne va pas le regretter »

 

Nulaï empoigne un sein de la tante et commence doucement à le pétrir, il se penche et suce avidement l’autre sein. La tante pousse un gros soupir de contentement. Elle glisse sa main dans sa chatte trempée, et s’active sur son gros clito.

 

Nulaï sort rapidement sa belle verge, et prend l’autre main de sa tante. Il la guide sans hésiter vers sa queue dure come du béton.
« Bon sang, quel sale garnement pervers tu es ! Qu’est ce que tu me fais faire, Nulaï ?

- Cela va mieux t’exciter ainsi, moi je m’occupe de tes belles miches tantine »

 

Et il malaxe fermement les seins qui ont doublé de volume.  Puis il mordille une pointe bien dure et la fait crier de douleur. Il se sent maitre de la situation, un vrai mec.


La tante s’active sur la queue, mais Nulaï la repousse, lâche les seins, et des deux mains, écarte les jambes de la tante. Sans hésiter une seule seconde, il se couche sur elle.
Mado tente de proteste faiblement : « Ha non ! Tu ne va pas me baiser à ton âge ! Un gros câlin, une branlette, ou une sucette, d’accord, mais pas plus !
- Tu sais tantine, au point où nous en sommes, quelle différence ? Et puis j’ai les couilles bien pleines de bonne jute pour toi ! Comme tu es aussi dépravée que moi, tu vas me les purger bien gentiment !

 

Nulaï bouge la main de la tante, se couche prestement dirige son pieu à l’entrée de la grotte ouverte de sa tante. D’une poussée violente, il la pénètre bien en profondeur, sans autre forme. Il pense : « Drôle de sensations de se sentir dans une autre personne !!! » Nulaï perçoit sur son sexe les spasme du sexe de sa tante.
« Bon sang de bonsoir, gémit Mado, tu as osé ! Je devrais avoir honte, mais tu as raison elle est bonne ta queue ! Bourre-moi bien, mon petit Nulaï, fais bien jouir ta tantine. »

 

Nulaï commence ses va et vient de plus en plus vite et fort. Ses couilles claquent contre les fesses de la tante. Sans répit, il s’acharne à démolir un gros sein.
La tante ondule de tout son corps. A chaque coup de bite, elle pousse un cri rauque d’excitation. La douleur de ses seins excite encore plus la salope de tante.
Nulaï fini par exploser toute sa semence en elle. Il se vide come il a toujours rêvé de le faire, dans un con baveux et accueillant… Quel plaisir de jouir dans une femme. Et dans une telle chienne !!!

 

En sentant les multiples jets chauds qui giclent en elle, Mado a un orgasme qui n’en finit pas.
Nulaï laisse sa tante reprendre un peu son souffle, mais reste bien bandé en elle. Il lui dit, tout sourire : « Maintenant, tantine, je peux bien te dire c’étais la première fois que je baisais une femme… Et tu es un morceau de choix pour u puceau comme moi ! J’adore tes super gros nichons. »

 

Il dit cela  en jouant machinalement avec un bouton de sein, ce qui eu pour effet de lui accentuer son érection.
En sentant cela, la tante lui murmure : « Mais c’est pas possible ! Tu es comme une machine à donner du plaisir toi !
- Oui, mais toi chère tantine, jamais je n’aurais imaginé que tu étais une telle vicieuse !!! »

 

La tantine sursaute un peu : « Oui, tu dois avoir raison, Nulaï, je suis une sacre salope. »

Ils copulent encore une fois, jouissant de leur baise interdite…

 

Le jeudi c’est le jour de la lessive. A cette époque, il n’y avait pas encore de machine moderne pour faire la lessive, c’est une sorte de tonneau en bois avec un moteur sans couvercle, cela éclabousse partout.
Nulaï regarde sa tante qui travaille. Elle porte une robe de coton, qui, à cause du travail, est presque toute mouillée. Elle moule les formes épanouies de la tante, d’une manière fort indiscrète.

Il peut voir son slip, et comme elle ne porte pas sa gaine, les gros seins de la tante bien ronds qui balancent durant son travail. On devine les pointes sous ce fin tissu.
La tante se retourne vers Nulaï : « Tiens, tu es là, toi ? Pourquoi me regardes-tu avec ce regard lubrique ?
- Mais tantine, réplique Nulaï, j’admire tes beau gros nichons en mouvement, je bande dur en te matant…
- Mais je suis en plein travail, je n’ai pas le temps de penser à ces bêtises ! »

 

Pendant ce temps, Nulaï s’est approché par derrière la tante, se colle contre elle, de sorte qu’elle peut sentir l’érection naissante, Nulaï empoigne les deux seins à pleines mains

« Tu es sure, tantine, que ce sont des bêtises ? murmure-t-il en soupesant les lourds seins.
- Mais enfin, dit la tante, tu ne va pas me laisser tranquille tant que je t’accorde pas ce que tu cherches ?

- Bien sur, répliqua Nulaï, une petite pause relaxante ne te fera pas de mal, chère tantine.
- Au fond, tu as peut être raisons vilain fripon ! Mais fait vite !!

 

Dès le début de la phrase, Nulaï a déjà troussé la robe de la tante. A la vue de cette belle paire de fesses, son érection est complète. La tante veut pivoter

« Non tantine, lui intime Nulaï. On m’a dit que faire cela, comme les chiens, c’est pas mal aussi. »


La tante a compris bien sur ce que veut faire Nulaï, elle se penche en avant. Nulaï glisse sa bite entre les fesses, et pénètre la tante, qui sous l’effet de la caresse de ses seins est  déjà mouillée et ouverte. La tante apprécie cette pénétration intense, et ondule de la croupe pour mieux se faire labourer la chatte.
Nulaï la bourre à grands coups, la tante râle de plaisir, Nulaï fini jouir en longs jets de foutre épais. Au dernier coup de bite, la tante pousse un cri comme une bête qui agonise.

Ceci termine cette aventure de Nulaï en famille, mais il va repartir vers d’autres aventures aussi chaudes…

 

http://belgique-chine.over-blog.com

Par Pierre et Sophie - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : La Guyane libertine
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