Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Le surlendemain de ma première expérience d’adultère, vers midi, je reçus un coup de fil de Mouloud, mon premier amant. Il m’expliqua
qu’il voulait me faire connaître un couple ami, avec lequel j’allais vivre d’autres moments intenses de plaisir. Il me donna rendez-vous à seize heures devant le lycée. Il arriva à l’heure.
- Tu rencontreras des personnes merveilleuses. Je suis sûr que tu les aimeras énormément. Il s’agit d’un couple mixte qui mène une vie érotique complètement dissolue (au regard de la morale
ambiante). Ce sont de vrais libertins, ouverts à toutes les expériences.
Mouloud ne m’en dit pas plus. D’ailleurs, je n’en demandais pas plus. Tout ce qui m’intéressait c’était de revoir mon beau pirate et de revivre avec lui les merveilleuses sensations qu’il m’avait fait connaître, deux nuits auparavant. Bien entendu que j’étais curieuse de faire connaissance avec ses amis. Mais pas plus que cela ! C’était avant tout Mouloud que je voulais revoir, et revivre avec lui les moments intenses d’érotisme qu’il m’avait fait connaître.
Sa force et sa brutalité me manquaient déjà beaucoup. Et les orgasmes successifs que j’avais eus avec lui étaient restés très fortement imprimés dans ma mémoire. Je voulais en avoir d’autres. D’abord avec lui. Et puis, si d’aventure, il me présentait un autre homme, du même acabit que lui, j’étais preneuse ! Mais je ne me faisais pas trop d’illusions : des pirates comme Mouloud, j’étais certaine qu’il n’en existait qu’un seul exemplaire.
J’avais tout faux ! Ce diable d’homme allait m’ouvrir une autre porte et me faire découvrir un autre monde, fait de merveilles et d’érotisme torride, dont je ne soupçonnais même pas l’existence.
Je ne croyais pas qu’il pouvait exister en Algérie, pays traditionnellement puritain, traversé depuis une trentaine d’années par un tsunami de rigorisme islamiste, des personnes vivant, certes
discrètement, dans un monde d’érotisme débridé. Il me conduisit dans un appartement situé dans un vieil immeuble cossu, construit au centre d’Alger, pendant la période coloniale. Mouloud appuya
sur
un des boutons de l’interphone situé devant le portail d’entrée du bâtiment, annonça sa présence à la voix nasillarde qui le questionnait et j’entendis le déclic électrique qui ouvrit le
portail.
Nous montâmes les larges escaliers jusqu’au deuxième étage et nous nous retrouvâmes face à une magnifique sirène blonde, d’une quarantaine d’années, qui nous attendait devant la porte ouverte de
l’appartement. Elle embrassa Mouloud tendrement sur les deux joues, me regarda avec ses grands yeux bleus et, en m’envoyant un large sourire lumineux, me dit « Marhaba ! »
Elle m’avait souhaité la bienvenue en arabe, mais elle avait un accent à couper au couteau. Un accent de l’Europe de l’est. Une russe, me dis-je en moi-même, avec au fond de moi un fort pincement
au cœur. Un pincement de jalousie. La femme était vraiment superbe! Elle ne portait qu’une petite tenue d’intérieur coquine, qui ne cachait rien de son anatomie et de ses appâts naturels.
Et des appâts, elle en avait à revendre, qui apparaissaient dessous sa nuisette dont la couleur noire mettait en valeur sa blondeur naturelle et la blancheur de sa peau. En dessous, elle ne portait rien, sinon un string, lui-aussi de couleur noire, qui se devinait plus qu’il ne se voyait sous la soie sombre de la nuisette. D’évidence, elle avait été une grande sportive dans sa jeunesse, elle en gardait la musculature et même l’allure.
Elle était grande –plus grande que moi d’au moins cinq centimètres, avec des épaules larges, une taille qui s’était un peu alourdie
(probablement l’effet d’un sport,
dont elle avait arrêté le pratique intensive) mais dont les chairs semblaient encore très fermes, des hanches larges, de longues jambes superbement galbées et des fesses rondes, rebondies et
fermes. Je ne parle pas de sa poitrine généreuse, dont les seins nus sous la nuisette, pointaient vers l’avant, tels de merveilleux obus de canons.
Je ne pus empêcher un brin de jalousie venir s’insinuer en moi. Je ne m’étais jamais réellement considérée comme une femme très belle. J’avais toujours su que j’étais jolie et que je plaisais aux hommes. Je savais aussi que je faisais bander beaucoup de mes collègues. J’avais été confortée dans cette idée par l’état d’érection permanente de Mouloud quand il était avec moi.
Mais en voyant la bombe blonde qui se tenait devant nous, je me sentais laide. Et surtout je commençais à douter de moi. Ni Mouloud, ni quelqu’un d’autre ne pouvait flasher sur moi, à côté d’une aussi belle plante. Surtout que tout en elle indiquait un immense appétit de sexe. Ses immenses eux bleus azur brillaient de concupiscence à la vue de mon pirate. Sa grande bouche ouverte sur des quenottes d’animal prédateur et ses lèvres magnifiquement ourlées, ressemblant comme deux gouttes d’eau à une magnifique chatte qui feraient bander n’importe quel homme, étaient de vrais pièges à fantasmes.
Mouloud ne m’avait rien dit auparavant de la beauté de la femme. En fait, il ne m’avait rien dit du tout sur les personnes qui vivaient
dans cet immense appartement. Il m’avait seulement dit qu’il s’agissait d’un homme et d’une femme aux mœurs particulières.
« Je te présente Raïssa. Elle est ukrainienne. Voici Kamila, la belle femme dont je t’ai
parlée !
- Bonsoir ! Fit-elle avec son délicieux accent slave. Mouloud m’a beaucoup parlé de toi ! Il
n’avait pas tort, tu es vraiment magnifique ! Mohand va se régaler ! Comment me trouves-tu ?
- Superbement belle ! Je suis jalouse ! Qui est Mohand ?
- Mon mari ! Il attend à l’intérieur. Suivez-moi. »
Elle nous devança en balançant son superbe cul (certainement pour aguicher Mouloud, qui ne la quittait pas des yeux) et nous amena vers un immense salon dans lequel se trouvait, assis sur un immense canapé, un homme d’une quarantaine d’années, qui, malgré sa position assise, me paraissait très grand. Au premier regard, je sus qu’il était kabyle : la blancheur de sa peau, la forme de son long nez, si caractéristique aux hommes de la région et surtout, dès qu’il se mit à parler, à son accent chantonnant.
Raïssa fit les présentations, et sans plus s’occuper de moi, prit Mouloud par la main et l’entraîna dans une autre chambre. Je restais
seule avec Mohand. L’homme, qui s’était levé pour m’accueillir, tendit sa main, qui me semblait avoir les dimensions d’une raquette de tennis, et déposa un léger baiser sur le dos de la mienne, à
l’image des baisemains pratiqués dans les sociétés aristocratiques occidentales. Il semblait très à l’aise. La position debout qu’il avait maintenant, confirma qu’il était très grand, une taille
proche du mètre quatre-vingt-dix, jaugeai-je sur le moment. Il était vêtu d’une espèce
de peignoir – en forme de kimono, en soie (ou en satin) de couleur bleu-foncé, qui s’arrêtait juste au dessous des genoux et qui mettait en évidence ses formes athlétiques: des épaules larges,
une taille fine, des hanches étroites. Il se dégageait de lui une forte impression de puissance, une espèce de force tranquille.
Son visage taillé à la serpe était remarquable. Il était loin d’être beau, mais il se dégageait de lui un véritable charme. Je ne sus pas immédiatement ce qu’il avait de particulier, qui le rendait aussi attirant : sa grande bouche gourmande, légèrement posée de travers sur son visage, ses petits yeux ronds, brillants et moqueurs, son front haut et dégagé, son menton vigoureux, ses cheveux coupés courts (j’appris un peu plus tard qu’il était officier supérieur dans l’armée).
C’était probablement tout cela, mis ensemble, qui formait un cocktail rendant l’homme particulièrement intéressant et, pour moi, super
attirant.
Nous discutâmes quelques minutes de la pluie et du beau temps. Il cherchait certainement à me mettre à l’aise et ne pas m’effaroucher en se jetant sur moi comme une bête mal éduquée. Il me parla
aussi de Raïssa et de la manière dont ils s’étaient connus et mariés. Il m’apprit qu’elle était ukrainienne et qu’il l’avait épousée alors qu’il faisait ses études à l’académie militaire de
Kiev,
il y avait une quinzaine d’années. Puis, petit à petit, il amena la discussion sur le seul terrain qui comptait pour nous deux : le sexe.
« Tu sais ce qu’ils sont entrain de faire dans la chambre à côté ?
- L’amour ?
- Non, ils sont entrain de baiser comme des bêtes ! Raïssa a tout de suite flashé sur la belle queue de Mouloud. Et surtout de sa manière particulière de s’en servir.
- Pourquoi, la tienne n’est pas aussi imposante ?
- Tu veux voir ?
- Bien entendu ! Je suis ici pour ça ! Mouloud m’a assuré que j’allais vivre des moments
exceptionnels avec toi ! Tu me montres ? »
Je ne savais pas ce qui s’était passé en moi. Je ne me reconnaissais plus ! J’étais devenue, après une seule nuit passée avec Mouloud, une espèce de garce qui utilisait, presque naturellement, le
vocabulaire des garces. Et, plus grave encore, leur comportement ! Et le pire, c’était que je me sentais parfaitement à l’aise. Il n’y avait pas la moindre gêne en moi. C’était comme si j’avais
toujours vécu ainsi : comme une pute ! Une qahba ! La preuve ? Je n’attendis même pas qu’il fasse le moindre geste pour se dénuder. Je m’en occupai moi-même. Je tendis les mains vers la ceinture
en soie (ou en satin, je ne savais pas faire la différence) et la défis en un clin d’œil. J’écartai les pans du peignoir et découvris le côté face du corps nu de l’homme.
Il était exactement comme je l’avais deviné sous le tissu : tout en muscles fins et sans un seul gramme de graisse. Ses épaules, ses
muscles pectoraux, ses muscles abdominaux, ses cuisses, étaient celles d’un homme qui pratiquait, régulièrement et intensément, un sport pour entretenir son corps. Un militaire qui éliminait
systématiquement toutes les toxines des repas trop consistants du mess (ou de sa femme) et qui gardait une forme irréprochable.
Et entre ses jambes, l’objet de mes fantasmes ! Un magnifique zob en érection, aussi imposant que celui de Mouloud, mais avec une forme
différente. Un véritable sabre recourbé, une espèce de yatagan, avec un gland très large, en forme de tête de champignon. Et il bandait très fort ! Il était dressé vers le plafond. Il paraissait
très ferme et très dur. Et il frémissait ! L’homme avait gardé une légère touffe de poils noirs sur son pubis, mais tout le reste de son sexe,la hampe et même les bourses,était soigneusement
épilé. Je jubilais en pensant à tout ce que ce sabre-là allait me donner comme plaisir. Je tendis la main pour le tâter et le caresser. Mohand me laissa faire un court moment, puis pris ma main
pour lui imposer un mouvement de masturbation en douceur.
Je le regardais dans les yeux pendant que je le branlais légèrement. Je voyais à son sourire et aux petits gémissements presque
inaudibles qu’il poussait, qu’il aimait cette entrée en matière. Il semblait de plus en plus excité et son sabre palpitait de plus en plus fort sous ma main.
Je me demandais comment les choses allaient évoluer. Qu’est-ce qu’il voulait me faire – ou que je lui fasse, en priorité. J’étais
tentée de me mettre tout de suite à genoux devant l’homme et de m’occuper de le faire jouir avec ma bouche. D’un autre côté, je voulais voir, et sentir, le magnifique engin prendre possession, à
la hussarde, de l’un de mes trous. Je coulais littéralement. Je sentais ma culotte qui se mouillait et qui avait du mal à retenir tout le jus que ma chatte, palpitante de désir, produisait. Ce
fut Mohand, qui régla le problème en me susurrant à l’oreille :
« Bright en-nikek bel wagfia ! » (Je veux te baiser debout !)
Je me fis la réflexion que je n’avais encore jamais été baisée comme cela, debout. Même pas par Mouloud. Cette idée d’être tirée dans
cette position s’insinua dans mon esprit et accentua encore plus mon excitation. Je voulais qu’il le fasse sans plus tarder.
« Nik-ni bel wagfia ! Dekhel sif taâek fi sawti! Khardjouh men foum ! » (Baise-moi debout ! Introduit ton sabre dans ma chatte ! Fais-le ressortir par ma bouche !)
Mohand était aussi impatient que moi. Il voulait me tirer et jouir, sans plus attendre. Je sentais qu’il voulait y aller en fore. Qu’il voulait prendre son plaisir en me faisant mal. Qu’il
voulait me prendre brutalement, sans même me déshabiller ! Sans même m’enlever la culotte ! Il voulait y aller brutalement. Je le voyais à son regard qui perdait de sa douceur et devenait dur. Je
le voyais à son sourire qui avait disparu et qui avait été remplacé par un rictus inquiétant.
Beaucoup plus tard, j’avais fini par comprendre que c’étaient les rondeurs presque impudiques de mon corps (mon cul surtout !) et ma
manière de me tenir et de bouger qui déclenchaient chez les mâles, qui me regardaient ou me parlaient, l’envie de me tirer à la hussarde. C’était ce genre de sentiment que je déclenchais
invariablement chez les hommes. J’étais le genre de femme faite pour être brutalisée. Qu’il fallait prendre à la hussarde, pour bien lui montrer qui était le maître. Et Mohand ne faisait pas
exception. Mais il me semblait qu’il hésitait un peu, pensant que je n’allais pas apprécier son comportement de brute. Le pauvre ne savait pas encore que j’adorais être brutalisée et avoir
mal.
« Wech testena ? Werili qouwat zebek ! Dekhel‘hou-li ! » (Qu’est-ce que tu attends ? Montre-moi la force de ton zob ! Enfonce-le moi !)
Il souleva le bas de ma jupe pour la remonter sur mon ventre, attrapa ma jambe droite en dessous du genou, la remonta très haut, et me souleva d’environ une dizaine de centimètres au dessus du
sol, pour pouvoir mettre ma chatte au niveau de son piston recourbé. Sa main gauche s’insinua entre mes cuises et farfouilla un moment à la recherche de la meilleure manière d’écarter ma culotte
pour permettre à son gourdin de prendre possession de ma chatte. Il y arriva, non sans peine.
Et puis tout chavira ! Je sentis mon homme qui plia un peu les genoux pour se mettre sous moi et guider la tête de son engin entre mes grandes lèvres dégoulinantes de mouille. D’un coup violent, il me pénétra jusqu’au fond de mon vagin. Je poussai un hurlement, tant la pénétration avait été brutale et douloureuse. Moi qui voulais sentir la force du sabre, j’étais servie ! La position verticale ajoutait beaucoup d’intensité à la force de l’engin qui limait furieusement les parois de mon vagin.
Mouloud aussi m’avait fait mal en me tirant furieusement l’avant veille. Il m’avait même éclaté le cul sans aucune précaution, en me déchirant littéralement le sphincter. Mais les douleurs de
cette nuit n’étaient rein à côté de celle que provoquait le sabre qui était entrain de me déchirer la vulve. La forme courbée du monstre devait certainement augmenter sa force de pénétration.
Mohand allait et venait en moi, en soufflant comme un phoque. A chaque pénétration, il poussait un « han !» aussi sonore que ceux que devait pousser un bûcheron qui s’attaquait à un arbre
centenaire.
Il ne disait rien de vraiment compréhensible. Il marmonnait entre ses dents des mots que j’avais du mal à distinguer clairement. Il me
semblait qu’il me traitait de tous les noms d’oiseau, pendant qu’il me défonçait le con. Je devinais, plus que je n’entendais :
« Cheddi ya qahba ! Cheddi zebi ! Et-habi zeb ! En-tiya qahba ! Gouli-li « ana qahba » ! Gouli ! » (Attrape espèce de pute ! Attrape mon zob ! Tu aimes le zob ! Tu es une pute !
Dis-moi « je suis une pute » ! Dis-le !)
Mon excitation, déjà à son paroxysme, augmenta d’un cran à l’écoute des mots à peine audibles, crus et avilissants que
Mohand prononçait, plus pour lui-même que pour moi. J’avais envie de lui répondre sur le même registre, mais je n’osais pas encore. J’avais envie de lui hurler de pousser encore plus fort et de
sortir son immense zob par ma bouche. J’avais envie de hurler les mots crus qui me venaient à l’esprit et qui avaient du mal à sortir de ma bouche. Je me contentais pour le moment de pousser un
cri de satisfaction à chaque fois que le sabre de mon homme pénétrait en force dans mon tunnel. J’écoutais le bruit impudique que faisait le sabre de Mohand en allant et venant dans mon
vagin.
Il devait y avoir plusieurs litres de jus à l’intérieur. Mon vagin était devenu une usine à produire de la cyprine, que je sentais
s’échapper de dessous mes grandes lèvres et aller s’étaler par terre. Les clapotis que j’entendais ajoutaient de l’intensité au plaisir que je prenais et à mon désir de hurler pour pousser mon
homme à y aller encore plus fort. Et puis n’y tenant plus, je me mis à débiter, en haletant, des bribes de phrases qui avaient du mal à sortir de ma bouche, tant mes pensées se télescopaient dans
ma tête.
« Zid ! Zid ! Zid edjbed ! Zid nik qahb-tek ! Qahba ! Wellit qahba ! En-hab en-koun quahba ! En-hab zebek ! En-heb zboub kima en-taêk ! Nik-ni ! Zid nik-ni ! » (Encore ! Encore !
Tire encore ! Continue de baiser ta pute ! Pute ! Je suis devenue une pute ! J’adore être une pute ! J’adore ton zob ! J’adore les zobs comme le tien ! Nique-moi ! Continue de me niquer !)
Le magnifique sabre recourbé de Mohand continuait de me défoncer la vulve avec force et brutalité.
Le large gland, en forme de tête de champignon, qui le terminait, limait mon vagin avec fureur. Non seulement, il continuait de me faire mal à chacune des pénétrations brutales, mais en plus, les
frottements incessants du gland sur les parois de mon vagin transformaient l’engin en véritable tison incandescent. J’avais mal.
Mais que cette douleur était agréable ! J’étais accrochée à la nuque de Mohand comme une noyée s’accrochait à une planche de salut. Et
je continuais de recevoir avec délectation, ses coups de boutoirs de plus en plus forts et rapides. Je sentais qu’il fatiguait: il me portait depuis maintenant une dizaine de minutes; et je
pesais assez lourd. Je sentais qu’il était sur le point de jouir. Mais moi je voulais que cela dure encore longtemps.
« Ma tefegharch dhork ! Estena chouya ! Kemal ‘hakdha ! Kemal nik-ni belwagfiya ! En-mout aâla nika bel wagfiya ! Khelli qahbetek et-faghar keblek ! Zid nik ‘ha ! En-has zebek ki seffoud fi
saouwti ! Khardjouh men foumi ! » (Ne décharge pas tout de suite ! Attend encore un peu ! Continue comme-ça ! Continue de me baiser debout ! J’adore la baise debout ! Laisse ta pute
jouir avant toi ! Continue de la baiser ! Je sens ton zob comme un tison incandescent dans ma chatte ! Fait-le sortir par ma bouche ! )
Mohand revigoré par la teneur fortement érotique de mes paroles, reprit de plus belle son pilonnage de ma chatte. Et il se mit lui-même à lâcher un flot de paroles crues, en écho aux miennes. Ce
fut, je crois une merveilleuse cacophonie de mots et de bribes de phrases indécentes, qui ajoutèrent une très forte dose à l’intensité du plaisir que nous vivions.
« Cheddi zeb ! Zzzzeeeeb ! Zzzzebiiiiiiiiii ! Zebi fi saouwtek ! Saouwtek ! Achal mliha saouwa ! M’liha saouwtek ! Emb’aâed en-nikek melour ! Men gaârek ! Ki en-kemal be saouwtek,
en-kessar-lek gaârek! Zebi yehab i-nik ensa! (Attrape un zob ! Zzzzzob ! Zzzzobiiiiiiiiii ! » Mon zob dans ta chatte ! Ta chatte ! Comme c’est bon une chatte ! Ta chatte est super bonne
! Après, je vais te tirer par derrière ! Par ton cul ! Quand j’en aurai fini avec ta chatte, je te défoncerai le cul ! Mon zob adore niquer les femmes !)
Les mots et les phrases qu’il prononçait, en me tirant avec de plus en plus de force, eurent sur moi l’effet d’un puissant aphrodisiaque.
Mon excitation et mon plaisir grandissaient avec les mots qui sortaient de sa bouche. Et j’y répondais, sur le même ton !
« Zzzzeb ! Zzzzzeb ! Zzzzeb ! En-hab ezzzzzboub ! «
Je sentais le plaisir monter, monter et continuer de monter très haut en moi, jusqu’à atteindre des sommets que je n’avais encore jamais atteints de ma vie. Et puis l’orgasme arriva avec la force d’un torrent en furie. Je m’accrochais encore plus fort à la nuque de mon homme et posai ma tête sur son épaule. J’eus tout de suite envie d’y mordre à pleine dents. Ce que je fis, sans même me poser la question de savoir si cela allait lui plaire. Il me faisait très mal et j’adorais ! Je lui rendais la pareille en mordant dans la chair de son épaule gauche ! Il n’allait tout de même pas me reprocher de lui rendre la pareille et d’y prendre du plaisir ! Je le sentis qui se crispa une fraction de seconde, avant de reprendre le pilonnage intensif de mon vagin.
Et soudain, je déchargeai. Je retirai mes dents plantés dans l’épaule de mon amant et me mis à hurler comme une folle des dizaines de «
oui ! » de jouissance, qui finirent dans un souffle pratiquement inaudible. Je me sentis entrainée dans un tourbillon qui tournait de plus en plus vite autour de moi et m’emmena rapidement au
bord de l’apoplexie. Si je n’avais été retenue par le mur contre lequel Mohand m’avait plaquée et immobilisée et, s’il ne m’avait pas empoignée le dessous du genou pour remonter ma jambe,
j’aurais chuté lourdement par terre, tellement je mes muscles étaient tétanisés.
Mohand continuait à aller et venir dans ma chatte en grognant et en prononçant des mots que je n’entendais presque plus, tant ils
semblaient avoir de la peine à dépasser la limite de ses lèvres.
Il était toujours question de « Qahba ! », de « Zeb ! », de « Hatchoun ! » de « Zal ! » (« Pute », « Zob ! », « Chatte ! », « Sperme ! ») .
Et puis, tout s’arrêta subitement. Il y eut un silence qui dura une fraction de seconde, mais qui me sembla une éternité, puis un rugissement de lion sortit de la gorge de l’homme, qui se mit à éjaculer des litres de spermes, en plusieurs giclées, à l’intérieur de ma chatte. Je sentis le liquide qui ressortait, traçait un sillon le long de ma jambe gauche et allait s’étaler par terre sur le carrelage.
A suivre....
Je suis heureuse qu'il te plaise toujours autant !
On ne sait jamais.. Fais-lui lire cette histoire....
Bravo!
Je suis ravie qu'il te plaise.. la suite sera pour bientot !
J'irai sur Alger dans le courant de l'année....j'y croiserai peut-être Najia.....
La suite !!!!!!!!!!!!
Il faut tout reprendre depuis le debut, mon cher.... j'espère que cela vous plaira !