Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Il est possible que j'écrive une suite. Je ne sais pas trop dans quelle direction j'irai...
Partie 1
Voici une histoire zoo que j'avais imaginée. Tout est inventé et je suis un homme...
A dix-huit ans, Nathalie était une jeune femme épanouie, jolie et intelligente. Elle venait de
rentrer en première année de droit à l'université du Havre.
Nathalie habitait encore chez ses parents, à Sainte Adresse, dans la banlieue résidentielle. La maison de style belle époque donnait sur un joli jardin, vert et bien entretenu. Elle était vaste
et décorée avec goût, une véritable maison de famille. Rien ne semblait pouvoir troubler la quiétude familiale, car tout souriait à cette famille. Le frère aîné avait quitté le foyer pour
intégrer l'ESCP à Paris et, désormais en stage à la City, faisait la fierté de son père. Nathalie, elle aussi, savait ce qu'elle voulait faire. Du droit, des affaires, et si possible travailler
pour un cabinet américain à Paris, "au moins pour l'expérience".
Rien, absolument rien n'avait donc pu troubler cette famille et aucun des deux enfants n'avait réellement fait de crise d'adolescence ou n'avait donné de fil à retordre aux parents. C'était un
portrait idéal de famille : parents notables et BCBG, enfants brillants, tous au golf le week-end avec Articho, le labrador beige rien ne manquait au tableau !
Nathalie était une jeune femme tranquille, discrète et que certains pouvaient imaginer prude ou coincée. Elle avait une vie particulièrement réglée : l'université, deux vraies amies, le golf
du Havre et depuis peu, une voiture. Si son frère avait une petite amie depuis quelques années, les parents de Nathalie ne lui ont connu aucun amoureux.
Comme tout adulte ou adolescent, Nathalie avait pourtant une vie sexuelle ou plutôt une activité sexuelle fluctuante. Elle était pudique, au point de soutenir à sa meilleure amie qu'elle ne
s'était jamais masturbée, et que jamais cela ne lui viendrait à l'esprit ! Nathalie laissait donc transparaître le profil lisse, d'une jeune fille presque ennuyeuse.
Le temps passait, et Nathalie obtint son bac S avec mention. 18 ans : à cette occasion, ses parents lui offrirent une automobile, et étant devenue étudiante, lui posèrent une ligne de téléphone
et d'internet à haut débit dans sa chambre. Le vide de sa vie sentimentale commençait à se faire sentir, surtout Nathalie avait remarqué que l'intensité de ses fantasmes et l'impériosité de ses
désirs de masturbation n'en étaient que plus forts.
Nathalie sous ses allures si sages aimait à se caresser dans des lieux insolites, ce qui décuplait le plaisir. Par exemple, elle parvenait à se masturber en cours sans que personne ne le
remarquât, en croisant les jambes et en contractant ses cuisses à intervalles réguliers. Elle allait rarement jusqu'à l'orgasme au lycée, en revanche dans l'environnement anonyme de la fac, elle
poussait les limites plus loin. Elle le faisait aussi dans les transports en commun, en particulier dans le corail qui l'emmenait voir ses amies à Paris.
Elle avait aussi réussi à se porter à l'orgasme dans un bus du Havre en glissant un de ses doigts sous sa jupe
courte, et sous sa petite culotte (l'excitation provoquée par cette audace fit que la jouissance vint particulièrement vite, 1-2 minutes.) Bref, un manque commençait à s'installer. Il était grand
temps de tomber amoureuse.
Une série d'événements devait contrarier les plans de Nathalie, et lui faire prendre une tangente qu'elle n'aurait jamais imaginée un seul instant.
Début juillet, Nathalie traînait à la maison, désœuvrée mais satisfaite, majeure, son bac en poche et avec mention ! En août, toute la famille devait partir en Corse. Aujourd'hui, elle devait
être seule toute la journée, elle se leva tard et paressa assez longuement en peignoir dans la maison : petit déjeuner devant la télé, musique à fond puis elle passa tout de même une robe
d'été, légère. Passé treize heures, Nathalie se mit à regarder Eyes Wide Shot en DVD, et le film l'excitant un peu, elle se mit à se caresser de temps à autres. Étant affalée sur le divan, elle
sentit soudain la truffe froide d'Articho passer sous sa robe, et effleurer longuement sa cuisse pour buter sur sa petite culotte ! Surprise, elle se redressa vivement et éloigna ce paisible
toutou.
Il faudra seulement ne pas oublier de le nourrir, et c'est sûrement ce que demandait Articho. Nathalie se replongeait dans le film et continuait de se caresser, pas trop activement, pour étaler le plaisir sur des dizaines de minutes. Mais son excitation montait, et elle ne pouvait s'empêcher de penser à Articho. Plus précisément, elle se remémorait une scène dont elle avait été témoin dans la rue à Paris. Alors qu'elle marchait Rue du Commerce, elle remarquait un gros chien qui attendait son maître dans la rue. Le chien avait un début d'érection et une partie de son sexe était apparent. Simultanément, elle croisa le regard d'une femme rivé sur le sexe du chien. Ca l'avait frappée : pour elle qui a un chien, et bien le sexe canin n'a strictement aucune signification sexuelle.
Mais cette femme qu'elle a croisée, elle, avait été troublée. De toute évidence, elle avait envisagé, même inconsciemment, la « possibilité » d'un rapport entre le chien et elle. C'est cela qui revenait à la mémoire de Nathalie et qui par ricochet la troublait à son tour. Et si oui, elle aussi se mettait à imaginer les possibilités de rapport sexuel entre un chien et une femme. Elle tentait de se l'interdire intellectuellement, elle repoussait ces pensées mais dans le même temps sa masturbation s'accélérait. Un moment de doute l'assaillait. Elle se lançait, et appelait Articho qui vint presque aussitôt nonchalamment. Pas très assurée, elle souleva sa robe et attendit : rien.
Articho était là, la tête entre les genoux de Nathalie, mais il ne réagissait pas. Décidément, le contact de tout à
l'heure était bien fortuit. Du coup, Nathalie attrapa la tête du chien et la colla contre sa culotte. Rien ne se produisit non plus. Frustrée, et convaincue que rien ne se passerait, elle alla
chercher un peu de son miel pour le faire sentir au chien. Il lécha son doigt mais ne fit aucun rapport entre ce doigt et l'origine de ce miel ! Nathalie arrêta là l'expérience.
Cet incident allait néanmoins agir sur Nathalie comme cette dernière partie de touche pipi avec son frère a pu stimuler ses fantasmes pendant des années. En fait, elle était bien décidée à
réessayer. Pour autant lorsqu'elle se masturbait, elle n'imaginait encore aucune scène contre-nature avec Articho.
Dix jours plus tard, le moment était à nouveau venu de relancer l'expérience. A nouveau seule, elle était nue sous la même robe. Nathalie était dans un état d'excitation permanent depuis la
veille. Elle se coucha sur son lit sur le dos, laissant à l'extérieur ses jambes entre ouvertes si bien que son minou était à hauteur pour Articho, qu'elle avait fait venir. Elle s'était à peine
touchée mais déjà, elle mouillait abondamment et le chien avait l'air plus intéressé. Elle était sur le dos, les jambes largement ouverte, tremblante de désir.
Et d'emblée, Articho colla sa truffe froide à l'entrée de son vagin ce qui fit instantanément frémir Nathalie. Frémir de plaisir bien sûr, mais surtout frémir d'excitation, frémir de briser un tabou. Cependant, Articho se retira bien vite, certes intrigué, mais visiblement il ne comprenait pas la finalité de la manœuvre ! Cette fois, Nathalie était déterminée à aller jusqu'au bout. Elle descendit toute nue les 2 étages, dévalant les marches 4 à 4, et se précipita vers la cuisine. Elle ouvrit les placards : miel, confiture, Nutella. Elle prit le grand pot de miel et remonta chancelante d'excitation. Nathalie étendit en toute hâte une serviette de bain sur son lit et s'enduisit seulement le pubis d'un peu de miel et rappela Articho.
Son excitation était à son comble. Aussitôt, le chien se mit à lécher son mont de vénus, ce qui failli la faire chavirer. Cela marchait ! Nathalie était tellement excitée que tout aurait pu s'effondrer autour d'elle sans que cela puisse la faire dévier de sa route. Très vite le chien avait absorbé le miel et en redemandait. Le cœur battant à 1000, Nathalie se décida à briser un nouvel interdit. Elle s'enduisit alors toute la vulve de miel, et les petites lèvres et le clitoris. Articho léchait sans relâche, à rythme régulier, sans être très rapide. De sa langue il aplatissait les grandes et les petites lèvres, les écartait, relevait le repli de son clitoris.
La langue râpeuse du chien provoqua chez Nathalie un puissant orgasme, le plus puissant qu'elle n'ait jamais connu.
Toujours sous le coup de l'excitation, elle en voulait encore, elle remit du miel, mais désormais à l'intérieur son vagin et peu à l'extérieur. La langue d'Articho rentrait littéralement à
l'intérieur de son minou, ressortait, et pénétrait à nouveau le plus loin possible, provoquant un plaisir indescriptible, une extase totale. Nathalie se retirait un peu sur le lit, se redressait,
mais le chien suivait, imperturbable. Elle cherchait la position optimale pour capter au maximum cette onde de plaisir, pour jouir, et enfin l'orgasme explosa en elle, tel une déflagration. Pour
la toute première fois, Nathalie poussa un cri en jouissant. Un cri rauque, animal, que tout le monde dans la maison aurait pu entendre. Un cri rauque, animal
Nathalie comprit bien la portée de son acte. Un chien, cela s'appelait d'un nom qu'elle n'osait pas prononcer et qui commençait par un Z ! Cela dit, elle n'était pas perturbée. Ce qu'elle a fait
n'était pas si grave à ses yeux. Il ne s'agissait que de miel, de coups de langue en fait elle s'était masturbée au moyen de son chien, mais sans considérer qu'elle avait eu un rapport avec lui.
C'est ce qu'elle voulait croire, en tous cas, elle recommença plusieurs fois mais au fur et à mesure, c'était l'engrenage, il lui en fallait plus. Et puis elle avait noté un bout d'érection chez
Articho : le bout de son sexe, pointu, rose et gluant pointait en dehors de son fourreau et exerçait sur elle une attraction croissante.
A part cela, elle vivait normalement, voyait ses amis et jouait régulièrement au golf avec eux comme si de rien n'était.
Ce dimanche, ses parents étaient partis, et Nathalie était bien décidée à tenter une autre expérience: faire jouir Articho. Le masturber. Excitée depuis plusieurs jours à l'idée de passer à
l'acte, de franchir une nouvelle barrière, elle mit Articho sur le dos et commença à le cajoler, à le caresser en insistant lourdement sur ses parties génitales. Au bout d'un moment, le sexe du
chien apparu en entier. C'était étrange, cela ne ressemblait absolument pas à ce qu'elle imaginait : pointu, mais épais et rose-rouge, avec une multitude de petits vaisseaux sanguins à la
surface de la peau. Passée la surprise,
Nathalie masturba le chien qui secrétait en permanence une sorte de liquide translucide ce qui lubrifiait parfaitement les mouvements de sa main. Elle avait le bas-ventre en feu, elle se sentait mouiller abondamment. Nathalie était nue sous sa jupe et pour la première fois de sa vie il lui semblait que son miel coulait franchement le long de ses cuisses, ou était-ce de la transpiration ? Mais pas question d'aller au-delà de la masturbation du chien, surtout ne pas aller au-delà. Au bout d'un moment, Articho éjacula puissamment et longtemps. Nathalie fut surprise par la quantité impressionnante de sperme qui sortait par saccades de l'animal.
Elle imaginait pourtant qu'il en était de même pour les hommes (n'oublions pas qu'elle n'avait fait l'amour que quatre fois, et qu'à chaque fois son partenaire jouissait en elle.) L'essentiel du sperme arriva sur la poitrine du chien, et au comble de son excitation, Nathalie n'y résista pas et s'assit à califourchon sur lui, frottant son minou contre le sperme, et se masturba ainsi jusqu'à l'orgasme, s'enduisant le sexe, ses lèvres, son pubis, son clitoris de sa semence chaude et visqueuse tandis que la pointe gluante du pénis glissait désormais le long de son anus et arrivait parfois jusqu'à l'entrée de sa grotte. Juste avant de jouir Nathalie avait même pu sentir le pénis d'Articho reprendre du volume et s'introduire légèrement dans son vagin ! Mais l'orgasme vint très vite et tout s'arrêta alors à ce stade.
En allant se doucher, toute groggy, ses jambes la tenant à peine, Nathalie comprit que cela ne s'arrêterait
probablement plus là. Il y avait un mouvement irrésistible en elle. Même si elle rejetait cette idée avec force, Nathalie savait qu'elle essaierait de fait de s'accoupler avec le chien. De se
sentir dominée par cette puissance animale. Et cela lui faisait franchement peur, elle se sentait salie, perverse, oui pervertie. Elle qui, il y a deux semaines encore était si sage, comment
avait-elle pu en arriver là ? Elle ne put s'empêcher de faire le parallèle avec son fantasme d'adolescente avec son frère: mais le cap de la masturbation mutuelle, encore un peu innocent, était
désormais atteint, et elle franchirait l'ultime tabou de se faire prendre par un animal. La dégradation absolue. Comment en était-elle arrivée là ? Était-elle soudainement devenue perverse ?
Elle se mit à considérer le chien comme le démon, le diable, et elle, jeune fille quasiment vierge, elle allait forniquer avec le diable. C'était une question de jours.
Voilà, mais lorsqu'il est question de diable et de démons, les anges ne sauraient être loin. Alors que Nathalie pensait de plus en plus à franchir l'ultime limite qui sépare les hommes des
animaux et attendait le moment propice où elle serait seule pour plusieurs jours dans la maison, elle tomba tout simplement amoureuse d'un charmant jeune homme ! Ayant de bons amis en commun, ils
sortirent rapidement ensemble, et cette relation allait non seulement épanouir Nathalie, mais révéler à son entourage quelle jeune fille délicieuse elle était. Surtout, cette relation sauva en
fait Nathalie de son huis clos étouffant et malfaisant de ses désirs. Bien sûr, personne ne saura jamais rien de ses expériences canines mais d'ailleurs s'est-elle déjà masturbée ?
Il restait une semaine avant le départ en vacances, et Nathalie voulait absolument rester seule à la maison avec Articho. Elle ne pensait plus qu'à ça, elle était littéralement obsédée par cette
décision radicale. Son état était indescriptible: une boule de désir et d'angoisse permanente dans son ventre, des caresses incessantes, son minou était constamment humide. Nathalie réduisait sa
vie sociale au maximum, et lors de quelques parties de golf, elle se révélait totalement absente. Sans la moindre motivation, elle qui aime tant ce sport
Il lui fallait la maison à elle seule, pour toute la journée: pas question de prendre le moindre risque d'être découverte. Tant que ses parents étaient là rien n'était possible, mais cela ne
l'empêchait pas de préparer soigneusement l'événement. Elle avait choisi l'endroit. Sa salle de bain était parfaite, car pas de moquette, ou alors le cellier ? Non, la salle de bain lui semblait
être plus sure. Sur Internet, elle comprit qu'il fallait se protéger de deux choses : de l'étreinte du chien en passant des chaussettes épaisses sur les griffes des pattes avant, et du nœud qui
gonflait à la base du pénis et venait se bloquer à l'intérieur du vagin. Cela elle ne le voulait pas. D'une part, étant presque vierge, elle avait peur de souffrir, et d'autre part, elle ne
voulait pas rester liée au chien.
Tout était prêt, elle aussi était psychologiquement prête et décidée, et elle n'y tenait plus. Mais sa mère ne semblait pas vouloir s'éloigner suffisamment de la maison pour qu'elle se lance, et
les jours passaient inexorablement avant le départ pour la Corse. Quand enfin sa mère lui annonça la nouvelle qu'elle attendait tant: mercredi, elle rejoindrait l'équipe féminine senior du club
au golf de Deauville où se tiendrait un entraînement en vue d'une compétition.
La veille, Nathalie ne put tout simplement pas fermer l'il de la nuit. Elle était fébrile, et ses doigts tremblaient sur le clavier de son ordinateur. Elle venait de trouver un site Internet
de récits érotiques dans lesquels étaient relatées les expériences les plus folles
Le lendemain matin, sa mère semblait s'éterniser à partir ! Enfin elle entendit le claquement des clubs de golf, du sac que l'on charge dans le coffre de la voiture. Elle était seule. Seule face
à elle, face à ce désir fou, brûlant et destructeur. Face à sa conscience elle se remémorait les pénis luisant de sperme qui venait glisser le long de ses fesses, qui venait chatouiller ses
petites lèvres, qui s'introduisit même brièvement dans son minou, sa chatte plutôt. L'excitation était telle que ses pensées se faisaient plus violentes. Elle ne pensait plus à son minou ou sa
foufoune, termes bien trop innocents désormais. Elle voulait sentir sa chatte emplie de ce sexe massif, inhumain, remplie de ce flot fantastique de semence. Elle était comme enfiévrée, ses
membres étaient faibles, tremblants, son esprit était confus. Bon, allons-y !
Nathalie avait préparé la veille la salle de bain: elle enleva le tapis et déplaça la petite étagère afin d'avoir toute la place nécessaire. Elle fit tomber sa chemise de nuit pour être
totalement nue. Elle se regarda dans sa glace, et se rendit compte de sa beauté, de la finesse de sa silhouette. Nathalie était vraiment une jeune fille gracieuse.
Elle descendit les deux étages langoureusement, nue, potentiellement exposée à la vue de ses voisins. Elle trouva Articho dans la cuisine qui l'accueillit de quelques lèches sur sa main, et
l'amena dans sa chambre par le collier. Son coeur s'emballait soudainement, sa grotte était submergée d'humidité, mais était-elle si sure ? Elle passa un doigt sur son petit bouton de plaisir, et
sentit comme de l'électricité en elle ! Le moment était venu.
Elle se dit qu'il fallait d'abord exciter le chien et elle le coucha à nouveau sur le dos. Il se laissa faire. Elle passa sa main sur son torse, et descendit sur son sexe. Elle pétrissait son
pénis encore rentré et fin, elle caressa ses testicules mais remonta à nouveau vers le pénis qui commençait à gonfler. Bientôt il sortit enfin de son antre, Nathalie commença des mouvements
masturbatoires pour l'amener à sa taille maximum. Et quelle taille ! Il était plus long que celui de son jeune ami, et beaucoup plus épais. En revanche, l'extrémité était plus fine plus pointue
que le gland d'un homme ce qui l'assurait d'une pénétration progressive
Le chien commençait à suinter ce liquide translucide, et Nathalie en enduisit son pénis. Ne se maîtrisant désormais plus, elle ne put s'empêcher d'en appliquer sur son clitoris et sur son visage.
Le mécanisme satanique était en marche, la roue tournait, inexorablement, vers la luxure. Elle entraîna alors le chien vers la salle de bain, de son museau il exigeait que les caresses
continuent. Nathalie passa alors les chaussettes sur les pattes avant, tout était prêt...
Partie 2
Tout était effectivement prêt pour l'expérience ultime. Expérience de l'abandon total de soi, être possédée par un
animal, voyager à rebours de l'histoire et ressentir ses pulsions les plus archaïques, régresser, perdre ce qui fait que l'homme est homme. Mais au demeurant, comment une jeune fille de 18 ans
a-t-elle pu en arriver là ? Elle, Nathalie, cette jeune fille de bonne famille élevée dans un environnement profondément sain ? Ce sont les hasards du destin, peut-être aussi et surtout l'ennui
et la solitude ?
Nathalie était dans un état d'excitation indescriptible, à la frontière de la nausée et de l'orgasme immédiat. Un peu effrayée par le geste, elle décidait de temporiser et de laisser le chien
aller et venir entre ses fesses vers le bas du dos. Ainsi pas de risque de pénétration. Articho baisait littéralement la raie de ses fesses et suintait abondamment de son sperme... ce dernier
coulait sur la rondelle vierge de Nathalie et venait se mêler à sa cyprine. Puis une goute de sperme se forma sur son bouton et perla sur le sol, puis une autre et encore une autre.
Inondée de son jus et de celui d'Articho, Nathalie se sentait néanmoins frustrée... elle guida donc le sexe
d'Articho sur sa chatte et son clitoris. Les mouvements d'Articho, bien qu'erratiques, stimulaient totalement sa vulve. Son pénis allait et venait sur ses lèvres, grandes et petites, et
stimulaient son clitoris. Le nœud du chien venait lui frapper l'anus de Nathalie.
Elle jouit violement, ce fut presque une catharsis, quelque chose d'animal, de diabolique, qui fut expulsé d'elle. A quatre pattes, elle tomba sur ses coudes, d'épuisement nerveux, et le chien
s'en alla se lécher ailleurs. Entre ses jambes, une petite flaque de sperme, de jus. Un élixir de lubricité, désenchanté. Encombrant.
Nathalie se saisit vite de l'éponge et fit disparaitre ces traces inacceptables de sa déviation. Angoisse ultime, la porte de la voiture qui claque. Sa mère. Nathalie bondit littéralement hors de
la salle de bain pour se rhabiller. Air confus devant sa mère, qui si elle le remarquait, ne pouvait en rien imaginer ce qui venait de se passer.
Toujours est-il que Nathalie avait reculé. Elle savait néanmoins qu'il n'y avait pas de retour. Mais elle devait vivre dans l'attente du moment où elle aurait la certitude de pouvoir le faire
sans être surprise. Les jours passèrent et elle ne pensait qu'à ça et se repliait sur elle même. Rien ne l'intéressait plus. Dans le même temps, son sentiment de solitude devenait toujours plus
grand, car ce qu'elle vivait, personne dans son entourage ne pouvait le comprendre ni-même l'imaginer.
Ses amies avaient 17-18 ans, pour la plupart vierges et prudes. De ça, Nathalie n'en n'avait plus que l'apparence
parfaite. Elle se sentait à part, exclue. Et plus ce malaise s'installait, plus son désir augmentait. Dans ses masturbations, elle ne pensait plus qu'à des chiens. Les garçons ne peuplaient plus
ses rêveries. Elle s'imaginait promener Articho en forêt, et se faire prendre dans une clairière. Elle imaginait d'autres chiens venir tourner autour d'eux. Une orgie zoophile, et sa chatte
totalement inondée de foutre canin; son pubis intégralement souillé, collant, les poils plaqués contre sa peau.
Près de 2 semaines passèrent, sans que sa mère, ou son père, ou encore son frère ne la laissent totalement seule avec Articho. Le dimanche, toute la famille va à la messe. Nathalie prétexta un
peu de fièvre pour ne pas y aller. Elle savait qu'elle aurait peu de temps.
Sitôt le reste de la famille partie, elle fit venir Articho dans sa chambre. D'un geste brusque et ample, elle écarta sa couette, laissant apparaitre son corps à la vue du chien. Elle était
simplement magnifique. Sa peau était laiteuse, ses jambes, ses extrémités si longues, si fines. Sa poitrine était peu volumineuse mais ferme, son minou était lui délicatement frisé et clairsemé.
Sentant son ventre se nouer, elle écarta ses jambes, présentant sa vulve déjà humide au chien. Il vint laper sa chatte excité et déjà, elle se tortillait, décollait ses fesses du lit pour
accentuer la pression de la langue sur son anatomie.
Elle repoussa brusquement Articho. Sa famille devait rentrer dans moins de 30 minutes. Elle descendit vers le bas du lit, ses fesses à moitié dans le vide, puis elle saisit les pattes avant du
chien. Elle décida que ce serait maintenant, dans l'urgence. En position du missionnaire. Nathalie fit venir le chien à elle. Son sexe était déjà bien sorti de son fourreau, rouge et luisant.
Elle le prit à pleine main, le chien ne pompait pas encore, elle le guida fébrilement vers l'entrée de sa grotte totalement dégoulinante de cyprine... Nathalie tremblait de partout...
Le pénis du chien venait jouer avec ses petites lèvres, tapait à côté, il commençait à aller et venir de plus en plus vite et d'un coup, il trouva l'entrée. Nathalie accueillit cette intrusion
d'un cri rauque, surpris... d'un coup de rein brutal, le pénis s'enfonça profondément en elle... Elle cru se liquéfier. Articho se mit alors à la défoncer frénétiquement, chacun de ses coups de
boutoir était accueilli d'un cri sauvage de Nathalie qui hurlait littéralement de plaisir et d'extase. 90% de ce plaisir provenait de la nature même de cet acte, mais Articho ne déméritait pas
pour autant. Ainsi en missionnaire, son pénis l'emplissait et stimulait son point G.
Le chien bavait aussi abondamment sur ses seins ce qui l'excitait encore davantage. Elle explosa littéralement de
jouissance, poussa un cri comme si on l'éventrait... Le chien déchargea tout son foutre dans Nathalie, puis se retira presque aussitôt laissant le sperme s'écouler hors d'elle, sur le lit et le
parquet de sa chambre. Elle était là, pantelante.... Nathalie resta quelques instants sans réaction.
Elle l'avait fait. Mais elle en voulait plus. Elle voulait être prise à 4 pattes. Et puis elle voulait emmener Articho la prendre en forêt, à la tombée du jour...
A suivre…
Ecrit par : tres_curieux
mail: vidadelavida@gmail.com
Elle arivera, je l'espère...
Tu as tout à fait raison !!! Son auteur me l'a cmmuniquée pour publication ici.
Chacun son truc, apparemment, ce n'est pas le mien
Bises
En effet, ce n'est pas le cas pour tout le monde. Et heureusement !!! Sinon, ca voudrait dire que nous réagissons touxs exactement pareil !
De plus, la zoo est quand meme une pratique à part...
Tu as raison, et au sujet du chien il y a un article plus loins dans le blog, qui evoque le fait de savoir si le chien a du plaisir et accepte rellement la situation.
Cet autateur a de l'or dans les doigts. J'aime ausis beaucoup ses histoires...
J'ai hâte de lire la suite.
La suite vient sans doute plsu tard dans la journée !
Oui, et tu es en dessous de la verité !
Serais-tu zoophile à tes heures perdues ?