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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Il est plus de vingt-deux heures

Cela fait des mois que je suis seul et affamé de sexe.

J’aurai tant aimé être rassasié, comblé.

Et, j’ai pensé à toi !

Car, qui d’autre que toi pourrait répondre à mes besoins ?

 

À part toi, Sophie, prêtresse du sexe, guide des nuits libertines, Vénus avide des joies érotiques !

Bien loin de la France, par une chaude nuit équatoriale, je m'imagine avec toi sur un lit, te léchant le clitoris, insufflant de l'air froid tout autour, replongeant ma langue dessus, le suçant tout doucement, puis activant le mouvement, de bas en haut, de gauche à droite, le soulevant de la pointe de la langue.

 

Tu laisses alors échapper des petits cris de plaisirs qui aguichent sans cesse mon appétit. Des frissons électrisent ton bassin et remontent vers le haut de ta poitrine. Par le toucher, je m’aperçois que tu as la chair de poule.

 

Ah ! Ma petite chatte adorée! Ce n’est que le début.

J’accélère alors la cadence de rapides mouvements circulaires, puis j’effectue des zig-zag. J’aspire ton bouton d'amour, je le suce et le soulève encore, il est prêt à éclore.

 

Tu me caresses la tête, ravie, comme pour mieux m’encourager.

Une ultime succion, et c’est l’éclosion !

Des cris déchirants percent l’obscurité…

Je te cisaille et bois à belles lapées ton sirop d’amour qui se déverse.

Je pourrai continuer ainsi toute la nuit, jusqu’à m’en bloquer la mâchoire tant ton euphorie est intense. Mais, je veux t’offrir autre chose.

 

Aussi, sans hésiter, je glisse ma langue dans cette fente qui me titille à un tel point, que j’en frémis ! C’est le lieu de tous mes fantasmes. J’inspecte soigneusement les contours rosés de ta fleur et lèche le tout, tel un chien qui ne veut pas être arrêté dans son élan, tant qu’il n’aura pas étanché sa soif.

 

À cet instant précis, cette zone est mon domaine, j’y fais ce que je veux, j'en suis le propriétaire.

Je veux te donner en cette soirée, tout le bonheur possible, faire de cette rencontre un moment unique, comme s’il ne devait jamais y avoir de lendemain.

 

Et là, devant tant de plaisirs décuplés, tant de jouissance ruisselant à mes yeux, n'y tenant plus, je m'introduis en toi, en force, presque maladroitement, car manquant de finesse. Telle une bête en furie, je m'empare de toi, je m'enfonce au plus profond de toi à grands coups de gland. Mon sexe large, lourd et suffisamment long, rabote puissamment les parois de ta grotte.

Je te pénètre sans scrupules ! Je te veux, je t’ai tant désirée, tant attendue…

Tu es en émoi...

Je sens toutes les aspérités de ton intimité. J’en découvre toutes les anfractuosités.

Je pourrai même les décrire.


Des sillons jalonnent ta cavité et massent voluptueusement mon organe, et les parois internes sont d’une telle douceur, qu’on ne peut imaginer un meilleur endroit pour garder un sexe d’homme.

Un confort digne d’un roi !


Je m’y sens bien.

 

Ton sexe est chaud, moelleux même, et si généreux, il n’aspire qu’à recevoir. D’ailleurs, il aspire mon pieu, se déforme sous l’effet de mes coups de boutoir, pour se nouer autour de ma verge. Je sens toute son élasticité. C’est un pur régal. Et je crois comprendre que les nervures qui parcourent mon membre gonflé à bloc, dur comme du béton, ne semblent pas t’incommoder, non plus. Bien au contraire.

 

Ton minou, surexcité, mais insatisfait, invite le mien à aller jusqu’au bout de sa visite.

Je m’exécute avec joie ne voulant point l’offenser. Seul le col de l’utérus met un frein à mon ardeur d’explorer encore plus loin.

Des bouffées de chaleur te saisissent, tu es, je le sens bien, brûlante, ouverte, et paradoxalement mouillée, lisse.

La volupté a pris possession de toi, de moi. Ensemble, nous dansons la danse de l’amour.

 

Le contentement se lit sur ton visage, dénaturé par tant d’émotions.

Tu jouis…

Quel plaisir que de t’offrir du plaisir !

 

Des effluves de concupiscence embaument délicieusement la chambre.

Il y règne une atmosphère d’intense sensualité qui galvanise l’action.

Une douce fraîcheur, venant de la fenêtre entrouverte, annonce une pluie qui ne saurait tarder. Cette douce caresse sur nos physiques dénudés nous surprend un peu, mais est loin de nous déplaire.

Tu es toujours allongée face à moi, les jambes fléchies sur mes épaules. Ta vulve, relevée par un oreiller que j’ai pris soin de placer sous tes délicates fesses, s'offrant à ma vue, est le plus grand des plaisirs pour moi, jeune homme quasi-inexpérimenté des choses de l'amour! Je te pénètre, encore et encore, te ramone sans pouvoir m'arrêter. D'ailleurs, je ne le veux pas, tant le délice est exquis.

 

Tu pousses des hurlements d'être prise si violemment, mais surtout d'être autant désirée !!! Je sais instinctivement que je ne tiendrai pas longtemps à ce rythme! Mais qu'importe. Je veux vivre ce moment comme étant le dernier à vivre sur cette terre, je veux fusionner avec toi, ne former qu'un seul corps, et voler au monde entier un moment infini de pur bonheur.

Ta blanche peau, bien que dans la pénombre, luit au niveau des épaules, sous la clarté de la lune. Elle est en outre, douce comme de la soie. C’est un ravissement pour mes sens déjà en alerte maximale.

 

Ta jouissance devient alors mienne, je veux te satisfaire comme jamais tu n'as été satisfaite. Oui, je pense en plein effort, à ce bien-être divin qui ferait mourir de jalousie les anges, dont on dit qu'ils n'ont pas de sexe, et qui, en cet instant, absorbés par notre relation, voudraient rien qu'une fois, rien qu'en cette fois, en posséder un et pouvoir goûter à cette allégresse dont ils n'ont aucune idée.

 

Je réalise qu'à ce moment précis, je te possède ma Sophie, tu es à moi, à moi seul et pour rien d’autre je ne voudrai te partager...

Je rabats tes jambes au dessus de toi, en les écartant un peu, afin de faciliter l’accès à mon python de plus en gourmand, de plus en plus vorace.

Et je continue…

Et tu en redemandes au comble de l’extase!

 

Il pleut, soudain, comme c’est souvent le cas dans cette région équatoriale. On entend, dehors, le bruit de la pluie qui résonne sur la toiture en tôle. La fraîcheur se fait sentir de plus belle. Le doux clapotis des gouttes de pluie et l’humidité qui s’en dégage nous rapprochent davantage. Nous profitons de cet état de grâce.

 

T’as l’air si heureuse.

 

Des vagues de délectation se dessinent sur ton ventre et te submergent. Tu es ailleurs et pourtant, même dans cet ailleurs, je suis avec toi, n’ayant eu aucun mal à t’y rejoindre. Tu t’accroches comme tu peux à moi, et moi à tes chevilles.

Tu dégoulines, de plus en plus…

 

Bien qu’au bord de l’explosion, je me contrôle, je ne veux pas en finir, sans avoir pu m’emparer des tes lèvres si fraîches que j’embrasse goulûment, avant de m’attarder sur ton cou, dont je sens le pouls vibrer sous tant d’excitation.

Un sursaut de ta part me confirme tout le bien que cela te fait.

Dehors, quelques batraciens, probablement des crapauds, font entendre leurs chants.

Mais tu n’es pas femme à subir, à rester là, passive. Tu veux également agir. Du coup, tu enroules tes jambes autour de ma taille, et tes bras autour de mon torse. Tes mains balaient mon dos, athlétique, montent et descendent le long de mon épine dorsale. Tu t’attardes sur mes épaules robustes et admirent mes bras, musclés et fermes. Tu es consciente de la vigueur qu’ils dégagent, et tu me presses contre toi. C’est tout mon être que tu veux ressentir.

 

J’acquiesce.

La chaleur de nos deux corps plaqués l’un contre l’autre, pubis contre pubis nous transporte vers d’autres cieux.  

Ton conduit suinte, mais reste si délicieux.

 

Je sens l’orgasme qui me transporte, j’intensifie une dernière fois mes coups de reins. Cette fois ci, je mets beaucoup plus de force à chaque pénétration. J’écrase mon bassin contre l’entrée de ton vagin, donnant par la même occasion plus d’impact à ma verge qui vient s’écraser lourdement au fin fond de ton intimité. Et j’y marque une pause, d’une ou deux secondes, avant de repartir à l’assaut de ta forteresse dont j’ai fait voler en éclats, depuis longtemps, les systèmes de défense.

Je te lime à fond !

Je te martèle comme il se doit.

Il n’y a pas un coin, une parcelle de ton intérieur que je ne peux pilonner, insatiable.

 

Tu gémis, hurle à nouveau, m’enlaces le dos nerveusement. Tu sembles vouloir signifier par ces cris d’arrêter, et pourtant je peux lire dans tes yeux qu’il n’en est rien, qu’au contraire tu me supplies de continuer.

 

Des bouffées de chaleur te saisissent à nouveau, une douleur aigue, mais si agréable te transperce les entrailles. Ton corps est secoué maintenant de spasmes, qui se propagent en ondes ondulatoires.

Tu mouilles abondamment…

La vue de tes seins se ballotant au gré de mes allées et venues, telles deux superbes noix de coco, et la vue de ton regard perdu dans les abîmes de la jouissance sont trop intenses et finissent par me faire lâcher prise et à me faire revenir sur terre.

C'est alors que dans un profond râle, je décharge profondément en toi, une fois, deux fois, puis une troisième fois, le tout secoué de légers tremblements. Ma semence déborde de ton orifice béant. Elle ressemble à du lait de coco, et pour cause, elle en a la couleur et l’odeur.

 

La pluie a cessé de tomber, presque aussi subitement qu’elle est venue. Un parfum subtil de terre, humidifié, lessivé, parvient jusqu’à nos narines. C’est une sensation étrange. D’aussi loin que se porte le regard, l’on peut voir une vapeur légère qui s’élève au dessus du sol.

L’air est encore frais.

Pendant un temps, je reste à l'intérieur de toi, puis d'un geste du regard, tu me fais signe de me retirer.

C'est avec un certain regret que j'obtempère.

Je voudrai pourtant tellement y retourner, semblable au bébé, expulsé trop tôt qui aimerait rentrer d’où il est sorti.

Mais me serrant très fort dans tes bras, tu me murmures à l'oreille :

 « C’aurait pu être plus long, mais Dieu que ce fut bon ! Jamais l’on ne m’a baisé avec autant de désirs ! »

 

Et je peux le constater, en voyant ton plaisir mêlé au mien, répandu entre tes cuisses, trempant cette partie du drap, lieu de nos ébats amoureux, de notre bonheur liquéfié.

Et là, je suis heureux, car je t'ai arraché plus d'un cri de satisfaction, je t'ai arraché à ce monde.

 

Oui, le bonheur est parfois simple comme deux amants qui se donnent l'un à l'autre sans autre forme de retenue, sans autre forme de pensée, que celle de la recherche de la jouissance absolue.

Mais, tes yeux fixent à nouveau mon membre, diminué, exténué. La petite moue de tes lèvres en dit long sur tes intentions futures.

Est-ce le signe d’un départ immédiat pour une nouvelle excursion nocturne ?!

 

Je reviens à moi, troublé par cette vision, qui avait l’air si réelle.

 

Je file sans plus attendre aux toilettes me soulager, l’avant de mon boxer est déjà imbibé de sperme…

 

 
Signé : Jean Ph.
 
 
Sophie : je n’ai pas l’habitude de répondre aux textes qui me sont envoyés. Mais puisque je suis « mise en scène », avec mon accord, bien sur, je ne peux que te dire : « Bravo. »
 
Tu as parfaitement décris aussi ce que je pourrais être, comment je pourrais me comporter avec toi. Et tes lignes font monter en moi une excitation lente mais profonde et intense... Quel dommage que tu ne viennes pas passer tes vacances sur ta terre natale, là où je suis pourtant…
 

 

Par Jean Ph. - Publié dans : Vos contributions - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Commentaires

Quelle femme ne reverait pas d'une telle ode ! Sophie, cet homme te merite très surement !
commentaire n° :1 posté par : Amélie le: 08/07/2011 à 21h32

Je le pense aussi.. mais il est en France. Et comme tu le constates, en manque !!! Si des jeunes femmes "ouvertes d'esprit" étaient disponibles pour le rencontrer, ce serait super...

réponse de : Sophie de R. le: 10/07/2011 à 16h47
Jean, tu dis tout ce ue je n'ai jamais osé dire à Sophie. Et avec quelle classe! Bravo, c'est merveilleux !
commentaire n° :2 posté par : Michel de Lyon le: 08/07/2011 à 22h15

Merci Michel, j'aime particulièrement ce texte...

réponse de : Sophie de R. le: 10/07/2011 à 16h48
Quel magnifique texte, ma Sophie! Tu mérites vraiment cet ode qui t'est offert et de connaitre un tel désir et autant de plaisir. C'est ce que je te souhaite en tout cas, ma belle!
commentaire n° :3 posté par : Olga le: 09/07/2011 à 08h09

Merci Olga, ce etxte est superbe, et pour moi, très excitant. Et dire que son auteur est originaire de ma region, mais vit en France. helas pour moi...

réponse de : Sophie de R. le: 10/07/2011 à 16h49
tres beau il a ecrit ce que je ressent quel reve
commentaire n° :4 posté par : romain57 le: 09/07/2011 à 14h35

J'en suis ravie...

réponse de : Sophie de R. le: 18/07/2011 à 18h07
Beau récit, bien écrit. Comme j'aurais aimé être ce narrateur qui t'a donné tant de jouissance et pouvoir, enfin te boire.
commentaire n° :5 posté par : brunobi le: 09/07/2011 à 22h54

Jean Ph ets très doué pour écrire, mais tu n'as rien à liui envier ! vous etes d'excellents narrateurs tous les deux !

réponse de : Sophie de R. le: 18/07/2011 à 18h28
Tout d'abord merci pour vos commentaires. Vous ne savez pas le plaisir que cela me procure. Si quelqu'un m'avait dit un jour que j'écrirai un texte érotique, j'aurai bien ri. Comme quoi, il ne faut jamais dire fontaine je ne boirai pas de ton eau. Je l'ai écrit une nuit où j'étais effectivement en manque et j'ai pensé à Sophie. J'ai imaginé ce qu'elle pourrait ressentir dans une telle relation et mon imagination a fait le reste. J'écris beaucoup de poésies, de scénarios de films, ça m'a grandement aidé. J'ai également voulu donner une p'tite touche exotique à ce récit, histoire d'y mettre un peu plus de piment. Mais ma plus grande réussite, c'est d'avoir pu donner envie à Sophie. Qui sait, si un jour on ne sera pas amené à se rencontrer?

Ben, du coup, je crois que je vais me lancer dans ce genre d'écrit. J'ai quelques pistes intéressantes.

@Michel: oui, je te comprends. Elle le méritait bien ce texte depuis le temps. Mais, j'aimerai tellement le lui faire mériter concrètement! C'est vrai que je la désire...

@brunobi et @romain57 : ravi d’avoir pu exprimer les sentiments que vous aimeriez adresser à notre Sophie chérie.

@Amélie et @Olga: elle le mérite. Mais toute femme mérite d’être autant désirée..

@Sophie: je n'arrive pas à lire toute la phrase que tu as écrite juste sous le texte. Mais pour le peu que j'arrive à lire, merci beaucoup. Et ravi que ce texte puisse autant te plaire.
commentaire n° :6 posté par : Jean Ph le: 14/07/2011 à 22h56

Tu vois,  tu as de nompbreux fans, et j'espèe que tu nous feras la gràace d'ecrire des nouvelles du meme genre...

La phrase complète est :

Sophie : je n’ai pas l’habitude de répondre aux textes qui me sont envoyés. Mais puisque 
je suis « mise en scène », avec mon accord, bien sur, je ne peux que te dire : « Bravo. »
 
Tu as parfaitement décris aussi ce que je pourrais être, comment je pourrais me comporter avec toi. 
Et tes lignes font monter en moi une excitation lente mais profonde et intense...
Quel dommage que tu ne viennes pas passer tes vacances sur ta terre natale, là où je suis pourtant…

 

réponse de : Sophie de R. le: 18/07/2011 à 18h39
Merci Sophie!
J’ai commencé à plancher sur d'autres écrits. Ça foisonne dans ma tête, je dois canaliser cette "énergie imaginative"! Lol. On finira par se rencontrer, t’inquiètes pas.
commentaire n° :7 posté par : Jean Ph le: 19/07/2011 à 00h35

Mais j'y compte bien !!!! Quant à ton énergie, laisse-là dévaler, tu feras le tri après !

réponse de : Sophie de R. le: 25/07/2011 à 14h38
"Mais j'y compte bien!!!" Attention Sophie, car le jour où l'on se rencontrera, je risque d'avoir très faim. Et y'a quelques années, dans une situation quasi-identique de famine sexuelle, j'ai "dévoré" une jeune fille avec qui je sortais depuis peu. 6 mois d'abstinence m'avait donné une telle énergie que j'y suis pas allé avec le dos de la cuillère. Elle a hurlé de plaisir et les draps s'en souviennent encore. Donc, prépare toi!
commentaire n° :8 posté par : Jean Ph le: 04/08/2011 à 23h34

Je me rerépète : je t'attends de pied ferme,n que tu me "devores" tout à loisir...

réponse de : Sophie de R. le: 07/08/2011 à 16h18
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