Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Sophie
J’ai trouvé cette liste amusante, et je vous invite à découvrir quel « pervers » vous êtes… Harpaxophile ? Somnophile ? ou peut-être bouboupiste ??? A vous de trouver, et de le dire !!!
La zoophilie, du Grec ancien ζωον (zôon, « animal ») et φιλία (philia, « amitié » ou « amour »), est l'attirance sexuelle d'un être humain pour un ou plusieurs animaux. Elle est éventuellement affective, étymologiquement parlant. Généralement considérée comme une déviance ou une perversion sexuelle, elle devient véritablement une paraphilie si elle remplit ces critères ; bien qu'elle ne soit plus listée depuis 1980 dans le Manuel diagnostic et statistique des troubles mentaux (DSM), la référence américaine et mondiale psychiatrique en matière de pathologies mentales.
Apparu au XIXe siècle, le mot zoophilie provient de racines grecques. Il était autrefois connu sous le nom de « bestialité ».
Aujourd'hui ce terme est souvent utilisé pour désigner le passage à l'acte sexuel effectif qui peut découler d'une attirance zoophile. On parle aussi d' « actes zoophiles ».
La liste des différentes attirances étant longue, les suivantes ne sont que définies :
L'acomoclitisme, ou l'attirance sexuelle pour les pubis rasés.
L'acrotomophilie, ou l'excitation par l'idée d'avoir des relations sexuelles avec une personne amputée.
L'apodysophilie, dans laquelle le sujet éprouve le besoin de se déshabiller entièrement et de se montrer nu dans n'importe quel endroit.
L'asthénéophilie, ou excitation sexuelle provoquée par le fait d'être malade.
L'autonepiophilie est l'attirance sexuelle pour les couches-culottes et par le désir d'être traité comme un enfant.
L'axilisme, ou l'attirance sexuelle pour les aisselles.
Le bouboupisme : excitation provoquée par le pincement des tétons par un partenaire ou par soi-même
Le candaulisme : excitation provoquée par le spectacle d'une relation sexuelle de son partenaire habituel avec une tierce personne (ou plusieurs).
La chronophilie, ou l'attirance pour un partenaire d'âge complètement différent.
La cryophilie, excitation due au froid.
La dendrophilie, excitation sexuelle provoquée par le fait d'avoir des relations sexuelles en contact avec les arbres et les plantes.
L'échangisme, ou la sexualité de groupe avec échange de partenaire.
L'émétophilie, ou l'excitation sexuelle pour le vomi.
L'excessivophilie, ou l'excitation sexuelle provoquée par des pratiques à l'origine « normales » mais portées à un degré excessif.
L'exobiophilie, ou le fantasme d'avoir des relations avec une créature extraterrestre. (cf Alien)
Le fist-fucking, ou l'insertion de la main ou du poing fermé dans le vagin ou l'anus.
La gérontophilie, c'est-à-dire l'attirance sexuelle pour les personnes âgées.
Le godivisme, pulsion conduisant à s'exhiber à cheval et qui peut être considérée comme l'une des formes de l'apodysophilie. Par extension, amateur/voyeur de cavalières nues (le mot est construit en référence à la légende de Lady Godiva). L'exhibition à bicyclette peut être considérée comme une forme de godivisme.
L'harpaxophilie, ou l’excitation sexuelle à l’idée d’un vol.
L' hybristophilie, (du grec hybrizein, « commettre un outrage contre quelqu'un » et de phile, « qui aime »),
ou l'attirance pour les personnes ayant commis des crimes (vol, viol, meurtre).
L'hygrophilie (comprenant la nasomycinophilie, la dacryphilie, la salirophilie, l'urophilie, la coprophilie, etc.), ou l'attirance pour les sécrétions corporelles humides, gluantes ou
visqueuses.
L'infantilisme, ou l'excitation ressentie en jouant le rôle d'un enfant ou d'un bébé.
La knismolagnie, ou excitation sexuelle par des chatouilles.
La lactophilie, ou l'attirance sexuelle pour les femmes allaitantes.
La maïeusophilie, ou l'attirance sexuelle pour les femmes enceintes.
Le mélangisme, ou la sexualité de groupe sans échange de partenaire.
La météorophilie, ou excitation sexuelle provoquée par le fait d'être suspendu.
La nanophilie, ou l'attirance sexuelle pour les gens de petite taille.
La nécrodendrophilie, ou l'excitation provoquée par les actes sexuels en contact avec les arbres morts.
La pédiophilie, ou l'attirance sexuelle pour les poupées, les ours en peluche et autres jouets zoomorphes ou anthropomorphes.
La podophilie, ou le fait d'être excité par les pieds.
La pygmalionisme, ou le fétichisme des statues.
La schoïnopentaxophilie, ou l'attirance pour les cordes de pendus.
La scopophilie, ou l'attirance fortement marquée pour tous les spectacles sexuels : en support média (revues, cinéma, vidéo, internet, …) ou en réel (strip-tease, peep show, …) ; le scopophile ne cherche pas à se cacher ni à surprendre et se distingue en cela du voyeur.
La sitophilie, ou l'utilisation de la nourriture à des fins sexuelles.
La somnophilie, excitation érotique provoquée par une personne qui dort, attirance sexuelle pour cette personne.
La spermophilie, attirance sexuelle du sperme (et par extension de sa manipulation et de son ingestion).
La tératophilie, ou l'attirance pour des êtres socialement considérés comme difformes, monstrueux, voire inhumains.
La trichophilie, ou l'excitation sexuelle par les poils, les cheveux.
La trimammophilie, ou le fantasme de la femme à trois seins.
Le vampirisme, ou excitation sexuelle provoquée à l'idée de sucer le sang de son/sa partenaire (ou vice versa) pendant l'acte sexuel.
La vorarephilie (ou voraphilie), excitation sexuelle à l'idée de manger une autre personne ou d'être mangé(e) par elle.
Source wikipedia ; Richard von Krafft-Ebing Psychopathia Sexualis I,II et III ; Gaëtan Gatian de Clérambault Archives d’anthropologie criminelle ; Esquirol, Des maladies mentales, tom. XIV, p. 32 ; Paris, 1828
ça y est mon imagination galope !
J'aimais les pubis glabres, c'est plus doux, plus beau à voir aussi.
J'aimais être nu, tout le temps et n'importe où..
Je me moquais complètement de l'âge de mes partenaires, la seule chose qui importait était que ce soit des personnes majeures.
J'étais très sensible à la beauté d'un pied féminin.
Je n'éprouvais aucune gêne à mater sans me cacher pour le faire.
Gourmand, j'aimais garnir ma partenaire de fruits ou de légumes, pour un repas très érotique.
Bisexuel, j'adorais le sperme des autres.
J'étais et je suis toujours, échangiste et/ou mélangiste suivant les circonstances.
Urophile aussi parfois. Et puis bien préparé j'apprécie d'être «victime» d'un fist fucking.
Et puis voilà ma chère Sophie que maintenant je me découvre amateur d'acomoclitisme.
Que je suis atteint d'apodysophilie.
Ainsi que de chronophilie.
Et comme si cela ne suffisait pas j'ai aussi des traces de podophilie, de scopophilie et cerise sur le gâteau (si j'ose dire) de sitophilie.
Diable ! Je me sens un peu comme Monsieur Jourdain qui faisait de la prose sans le savoir.
bises
http://www.lempiredelaperversion;fr
Tu ne publies jamais d'histoires ?
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