Le blog en détails...

  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

Derniers Commentaires

Recherche

Recommandez ce blog à vos amis

Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Comme il est d'usage, je vais me présenter. Je me prénomme Caroline et j’ai vingt ans. Chevelure noire mi-longue qui contraste avec un teint pâle et des yeux d'un bleu lagon. Ajoutez à cela un joli 95C en pomme, un petit cul rebondi fréquemment regardé et enfin un sexe entièrement épilé par souci esthétique. Vous avez mon portrait complet.

Je vais vous raconter ce qui m'est arrivé il y a peu de temps. Une aventure inoubliable, qui m'a laissée à la fois de bons et de mauvais souvenirs. Une découverte percutante avec la sexualité bestiale et de groupe. Une entreprise de démolition personnelle, par trois mâles extrêmement virils, et même brutaux.

Avant cette expérience, je n'avais connu qu'un seul homme, mon compagnon. Notre vie sexuelle se passe dans la plus parfaite sensualité, la plus parfaite complicité. Je ne savais donc pas le moins du monde à quoi m'attendre. Ce fut exactement tout le contraire de ce à quoi j'avais été habituée en près de quatre ans.

Jusqu'à ce fameux soir, je n’avais jamais fait le moindre écart. Pourtant, mon compagnon est régulièrement absent durant plusieurs mois en raison de son activité professionnelle.

Les occasions de tromper sa confiance ne manquent pas. Mais nous nous étions promis une totale fidélité. Autant dire que c'en est terminé. Ma morale a volé en éclat.

Expatriée à Budapest depuis septembre dans le cadre de mes études universitaires, j’y ai fait quelques connaissances. Je les côtoie de temps à autre lorsque je ne me consacre pas pleinement à mes très prenantes études. Frantz et Helmut sont de ceux-là.

Respectivement vingt-neuf et trente-trois ans. Tous deux grands, athlétiques, je dirai même musculeux. Cheveux très courts, moyennement poilus. Des visages et des expressions qui ne reflètent pas l'amabilité, même s'ils s'étaient jusqu'alors montrés corrects avec moi. Jusqu'alors seulement...

Tout de même, j'avais bien remarqué que je ne les laissais pas indifférents. Qu'ils me scrutaient de haut en bas. Mais ce n'étaient et ce ne sont toujours pas les seuls dans ce cas. Alors, je n'y prêtais pas grande attention. Je me suis lourdement trompée. Quoiqu'il en soit, par amour mais aussi par respect envers mon compagnon, je ne comptais pas me donner à un autre que lui.

À peine revenue de mes vacances passées auprès de mes parents, je reçois un appel de Helmut qui m'invite à diner à son appartement vendredi soir suivant. Ce n'était pas une première, j'acceptais avant même de savoir que Frantz serait également présent, en compagnie aussi d'un de leurs amis, pour moi inconnu.

Ce n'était après tout qu'un nouveau repas chez Helmut. Je décide de m'y rendre dans une tenue légère dont je suis coutumière. Chaussures noires à talons légers, jupette noire arrivant un poil plus haut que mi-cuisse, débardeur cache-cœur seyant de couleur jaune. Comme seul sous-vêtement, un string ficelle lui aussi jaune. Et pas pour plaire aux hommes, mais pour me plaire.

Prête à partir, j'enfile une courte veste, quitte mon appartement et rejoins la rue. Il fait frisquet, je grelotte mais les dix bonnes minutes de marche qui m'attendent me donneront l'occasion de me réchauffer. Oh surprise ! je sens quelques regards inquisiteurs se poser sur mon accoutrement, peu habituel à cette époque de l'année. Peu importe. Finalement, j'atteins l'immeuble où réside Helmut.

À peine ai-je sonné à l'interphone qu'il descend les trois étages le séparant de la porte d'entrée. Il m'accueille gentiment, me souriant et me complimentant. Nous nous faisons la bise puis rejoignons son appartement. Nous y attend Frantz qui m'embrasse (sur la joue, évidemment) et se montre attentif à ma tenue. Helmut ôte ma veste et l'accroche à un cintre. Mais ne m'a-t-il pas lentement effleuré l'épaule du bout des doigts ?

Je préfère reporter mon attention sur l'inconnu. Il m'est présenté par Helmut comme Otto, quarante-cinq ans. Son visage, scrutateur, ne m'inspire guère confiance, pas plus que sa bedaine prononcée ne risque de me faire de l'effet. Mais, après tout, il est peut-être sympathique.

Il me fait la bise, et après avoir échangé quelques paroles tout à fait respectueuses, nous attendons que le dîner soit servi. Aucun commentaire ne m'évoque le sort que je vais connaître en cette soirée. Nous passons à table. Ces messieurs prennent un repas copieux, arrosé de bières, mais ils restent en complète possession de leurs moyens. Quant à moi, je me contente d'un repas frugal, faisant toujours très attention à ma ligne.

Au cours du repas, le temps passant, les commentaires osés font leur apparition. Les blagues vaseuses aussi. Ce qui a le don de me mettre mal à l'aise et je constate qu'ils s'en aperçoivent mais ne s'arrêtent pas pour autant. Tout au plus se montrent-ils sérieux l'espace de quelques secondes.

 
 


Au bout d'un certain temps, ils décident de gagner le canapé. Je les y suis, m'installant entre Otto et Frantz, Helmut nous faisant face, les coudes posés sur le dos d'une chaise. La discussion me semble plus accessible quoique les allusions sexuelles, mais non orientées vers ma personne, se font encore fréquentes. Je me garde bien de laisser transparaître un sentiment de gêne, pourtant très présent.

Leurs regards se font de nouveau plus scrutateurs. Finalement, je sens la main droite de Frantz se poser sur ma cuisse gauche. Ce qui fait esquisser un sourire à ses deux compères. Sa main se laisse repousser sans difficulté par la mienne. Tout cela pour finalement me saisir aux poignets et les retenir fermement collés au canapé. Quelque peu tremblante, je leur demande d'une voix faible et hésitante d'arrêter ce petit jeu. Ma demande est accueillie par des rires moqueurs.

Je suis tétanisée, mon regard commence à s'emplir de panique. Je me dis qu'ils ne peuvent pas m'y contraindre. Pas ça ! Alors que Frantz laisse le soin à Otto de me maintenir les poignets pour se rendre en direction de la cuisine, Helmut m'explique de quoi il en retourne. Son vocabulaire se fait beaucoup plus irrespectueux qu'à l'habitude. Il m'annonce d'emblée que ce soir, ils m'imposeraient mon seul rôle naturel, celui d'une chienne à bites.

Ils se réjouissent de la peur que me procurent ces paroles. Mais je suis incapable de parler, aucun son ne sort d'entre mes lèvres.

Sur ce, Frantz revient, tenant une paire de ciseaux en main. Il arbore un sourire ... inquiétant. Il se saisit de mon débardeur par le bas, et à l'aide des ciseaux, le coupe progressivement. De bas en haut, puis les manches.

Ils voient ainsi mon buste, ma poitrine nue. Pour m'humilier, ils se moquent de mes seins, selon eux à peine dignes d'une gamine. Helmut quitte sa chaise et me fait face, debout, tout comme Frantz. Il me gifle une fois chaque sein avec virulence, les faisant rougir. Mes tétons, assez gros, pointant après ces claques. Ils rient entre eux tandis que je tremble de peur. Otto approche son visage du mien et me crache dessus, juste sous l'œil droit.

Aussitôt fait, Helmut me saisit par les cheveux et me laisse tomber au sol, à genoux. Il continue à se cramponner à moi et les deux autres en profitent pour ouvrir leurs braguettes. Frantz m'annonce que je vais être traitée de et comme une chienne. Les deux chibres sont déjà durs et impressionnants. Pas tant par la taille, mais par l'épaisseur. Ce qui a le don de me terrifier. Mais étrangement, cela éveille une pointe d'excitation.

Je les regarde tour à tour et je ne sais pourquoi, ma panique se dissipe progressivement. À son tour, le pieu d’Helmut est sorti. Il est plus long que les deux autres mais celui d’Otto est vraiment le plus épais. Me qualifiant de pétasse, Helmut me demande de faire mon travail de pompeuse de queues. J'hésite, et une gifle sans aucune retenue me rappelle à l'ordre. Il m'est demandé d'obéir.

J'effectue ce que je sais faire habituellement, bien que je reste encore assez paniquée. Je le branle lentement puis donne des coups de langue sur son gland jusqu'à le prendre légèrement en bouche. Le temps d'effectuer quelques lents va-et-vient, il ressort de ma bouche et me gifle une nouvelle fois. Ébranlée, je tombe sur le côté droit mais me ressaisissant par les cheveux, il m'agenouille de nouveau et me traite de moins que rien sur un ton très méprisant. Pourtant, je donne mon maximum…


Il se baisse et me crache au visage, en travers du nez. Mon visage d'ange, selon lui, risque de finir totalement souillé si je continue à me comporter comme une débutante. Alors, il s'y prend lui même, et me tenant par les cheveux des deux côtés du visage, il s'empale dans ma bouche. D'un seul trait, gênant considérablement ma respiration. Il n'est qu'à un peu plus de mi-longueur, son chibre serré entre mes lèvres. Je bave abondamment lorsqu'il presse sur ma tête, s'enfonçant petit à petit.

Mon visage rougit, par manque d'oxygène mais il progresse. Arrivé à ma luette, son gland me fait vomir de la bile. Il ressort une nouvelle fois, regarde les dégâts, m'adresse un regard méprisant alors que je tousse. Sans gêne aucune, il se réinsère en moi, me contraignant à tout ravaler. Il se contente de quelques rapides allers-retours puis laisse sa place. Il me fouette le visage avec sa queue, y étalant ma salive. Ma respiration, elle, est haletante. Les larmes me sont venues aux yeux. Ma première gorge profonde...

Vient le tour de Frantz, qui a ôté ses vêtements pour se trouver plus à l'aise. Il me saisit d'une manière identique à Helmut et part à l'assaut de ma gorge, pour la dévaster selon ses propres mots. Je ne cesse de laisser échapper de la bave, qui s'accumule sur mon menton, dégouline sur ma poitrine et de là sur mon ventre. Lui aussi semble décider à aller jusqu'au bout de la gorge profonde. Alors que je me trouve au bord de l'inconscience, ses boules viennent heurter mon menton. Il laisse échapper un râle de plaisir. Il reste ainsi quelques secondes avant que je ne puisse tousser et respirer de nouveau tandis qu'il étale lui aussi ma salive sur mon visage.

Otto ne me laisse pas de répit, et après m'avoir de nouveau craché au visage, sur la joue gauche, il place une main sur ma tête, l'autre sous le menton et s'introduit en moi. Il parvient difficilement à trouver place entre mes lèvres mais il en force le passage. Alors Otto me baise la bouche, à une cadence soutenue. J'éprouve de plus en plus de mal à soutenir leurs assauts mais il ne me vient pourtant plus à l'idée de les repousser. Pour la deuxième fois, un chibre s'introduit entièrement en moi. J'en pleure. Il se retire et s'aidant de mes cheveux, me retient tête en arrière, bouche ouverte. Bouche où il crache. Je dois avaler avec dégout sa salive.

Mon visage est luisant de fluides. Cela semble les motiver encore plus à continuer leur démolition buccale. Ma mâchoire est très douloureuse, mais je ne suis pas au bout de mes peines. Frantz et Helmut me relèvent et me retirent mes derniers vêtements : jupette, string, chaussures. Sur le canapé, ils m'allongent sur le dos, jambes en l'air et tête forcément penchée, contre le rebord inférieur. Leurs bites sont ainsi en surplomb. C'est Helmut qui se remet à la tâche et s'enfonce dans ma bouche. Les mains sous ma tête, il appuie dessus pour cette fois s'enfoncer entièrement. Sans succès. Je ne sens que de la bile revenir en bouche... Il me gifle les seins par désappointement.

Lui succèdent Frantz et Otto qui parviennent une nouvelle fois à s'enfoncer dans leur totalité. Les boules frappent à tour de rôle mon visage, je les sens heurter mon nez. Je ne m'arrête plus de baver, et ils répandent toujours la salive sur mon visage. Le souffle court, je me trouve devant une nouvelle épreuve. Frantz présente ses boules devant ma bouche. Je comprends. J'y hasarde des coups de langue mais profitant de ma bouche ouverte, il y insère l'une de ses boules que je me charge de lécher.

 
 


Il laisse sa place à Helmut qui me présente aussi ses grosses couilles, tandis qu'il place sa main autour de mon cou, le serrant fortement. Quant à Otto, il me précise que je ne suis que leur vide-couilles et qu'ils se foutent totalement de mon plaisir. Et c'est vrai qu'ils ne font rien pour y remédier, me frustrant. Finalement, ils décident d'explorer d'autres parties de mon corps. Ils me font descendre du canapé et installer en levrette au milieu de la pièce. Je dois avouer qu'à ce moment-là, mon excitation forte, était mêlée d'appréhension. Mais, après tout, j'étais déjà tant souillée.

La suite dans la page dédiée, cliquez ci-contre, vous lirez la totalité de texte long !!!

Par Sophie de R. - Publié dans : Trash - Communauté : plaisirs SM
Donnez votre avis... - Lisez les 16 messages
Retour à l'accueil

Commentaires

L'histoire est très bien écrite, comme toujours. Ces types sont des salopards. Ayant aussi subi des expériences de soumission, je sais qu'un moment donné combien on peut se laisser entrainer par les réactions de sa libido, jusqu'à trouver du plaisir dans l'inacceptable
commentaire n° :1 posté par : Olga le: 03/02/2010 à 06h48
J'adore, j'adore ! Mais ce texte était déjà dans les textes longs.

Cette dépravation forcée, mais finalement appréciée. Hummmm

C'est 3 belles bites qui usent et abusent de tous les horifices !

L'humiliation ! ! !

Bravo
commentaire n° :2 posté par : Lolita le: 03/02/2010 à 07h32
Tu as raison... En partie. Ici, je publie uniquement le début. mais comme je savais que je ne serais pas dipso pour publier ce matin,  j'ai prévu la publication avant, à 6 heures ce matin. On peut le faire pour les articles, pas pour les pages. J'ai donc publié ce jour-là la page entière....
Tu es très observatrice !!!
Bisouxxx ma belle
réponse de : Sophie de R. le: 03/02/2010 à 22h32
je suis d'accord, avec Olga. quel que soit le plaisir finalement éprouvé, ce qui a été fait est inacceptable. Et je dirai même que pénalement cela équivaut à un viol, à mon avis.
Mais peut-être suis je un indécrottable "vieux con"
commentaire n° :3 posté par : brunobi le: 03/02/2010 à 09h59
Tu as raison, et je vais publier demain dans mon autre blog un article sur la limite entre les deux, redigé par le Vicomte de Valmont.
réponse de : Sophie de R. le: 03/02/2010 à 22h29
j'ai hâte de le lire
commentaire n° :4 posté par : " chjauffer les sangs" de cette manière le: 04/02/2010 à 07h46
Il est publié, mon cher Bruno... Big bisouxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
réponse de : Sophie de R. le: 04/02/2010 à 20h19
Vraiment assez rude, comme histoire.. C'est de la soumission ou de l'humiliation ?
mais malgré tout, ca m'excite pas mal...
commentaire n° :5 posté par : Jonathan le: 04/02/2010 à 22h26
Un nouveau commentaire injurieux, reçu, avec un faux nom bien sur.
Mais là, la personne a fait le faux-pas de trop !!! Elle usurpe l'identité de... ma cousine germaine !!! Cette fois-ci, la plainte est assurée, pour usurpation d'identité de façon publique !
commentaire n° :6 posté par : Sophie de Rawensky le: 04/02/2010 à 22h34
Bonsoir Sophie, si tu as un peu de temps, donne moi en messagerie privée quelques indications, généralement, ce genre d'inividus sévissent sur plus sieurs blogs, à l'image de "duchesse du Berry" et "baronne du marais"
Ce sont des folles furieuses!
commentaire n° :7 posté par : Olga le: 04/02/2010 à 23h44
Je le fais dans quelques minutes...
réponse de : Sophie de R. le: 05/02/2010 à 00h36
un beau recit mais ces hommes sont tous repugnant je trouve que ce n est pas bien ce qu il ont fait pour moi c est un viol
commentaire n° :8 posté par : romain57 le: 06/02/2010 à 12h08
C'est vrai que là, la limite est foue...
réponse de : Sophie de R. le: 09/02/2010 à 14h58
Je découvre ce blog par hasard, et je tenais à vous féliciter pour la qualité des textes (les vôtres, mais aussi ceux de vos contributeurs). C'est une denrée rare, en temps que lectrice assidue de blogs érotiques j'apprécie tout particulièrement les histoires bien écrites! Merci et bonne continuation.
commentaire n° :9 posté par : April Charm le: 08/02/2010 à 10h59
Merci April de tes paroles élogieuses ! C'ets un parti pris que de rester dans l'écrit, mais on ne peut pas toujours plarie à tout le monde !
réponse de : Sophie de R. le: 09/02/2010 à 14h35
Alors là, c'ets franchement hard. C'est vrai, c'est à la limite du viol... Mais elle semble y avoir pris du plaisir malgré tout...
commentaire n° :10 posté par : JP le: 11/02/2010 à 15h07
Bon bah je suis un mec mais cette histoire m'a fait pleurer !!

Stp Sophie, dis moi que cette histoire est une fiction. C'est tout bonnement horrible. Pour moi c'est juste un viol. Je me suis forcé à finir le texte pour savoir si elle portait plainte mais non...
Franchement si elle aime le sexe violent et l'humiliation, fait le avec des gens que tu choisis et non pas des violeur beudonnant qui ne te méritent pas...
commentaire n° :11 posté par : Majora le: 12/02/2010 à 05h04
Tout n'est que fiction, sois en rassuré... Les seules histoires vraies sont soit celles classées dans "mes experiences" soit celles des contributeurs... Tout du moins, quand ils disent l'avoir vécu !
réponse de : Sophie de R. le: 12/02/2010 à 05h30
:) :) :) merci Sophie, je t'adore, tu soulage mon âme. Dommage que tu n'es pas près de moi sinon je te ferais un gros calin lol.


Peut être qu'un jour tu auras droit a une de mes expérience croustillante ;)
commentaire n° :12 posté par : Majora le: 12/02/2010 à 14h51
J'aurais apprécié tes calins... je suis en manque, en ce moment...
Et j'espère lire très bientot ton histoire !
réponse de : Sophie de R. le: 12/02/2010 à 21h17
Hummm ne me fais pas trop d'avance sinon tu risques de devoir décrire nôtre rencontre ici dans quelque temps ;)

Tu es où actuellement ?
commentaire n° :13 posté par : Majora le: 01/03/2010 à 17h00
Je vis en Amazonie. Et pourquoi ne le ferai-je pas.? Meme si je me doute que tu vis très loiin de moi !
réponse de : Sophie de R. le: 01/03/2010 à 23h01
Oui parce qu'on vit très très loin... alors si tu viens en métropole ;) je suis vraiment curieux de savoir à quoi tu ressembles...

ou si tu as une photo...
commentaire n° :14 posté par : Majora le: 02/03/2010 à 11h04
Je ne viens plus en France depuis des années. je m'y sens trop mal.
Quant à la photo, c'et toujours non...  ;-)
1, je déteste les photos,
2- on ne sait jamais où elles vont atterrir et ce que son destinataire en fera...
Désolée pour le manque de confiance, mais je me méfie comme de la peste de ces choses-là. Des vies ont été détruites pour une photo.
Bisouxx à toi, Sophie
réponse de : Sophie de R. le: 03/03/2010 à 23h35
T'en fais pas ma réflexion n'était pas réelement une demande. Les photos c'est pas trop mon truc, tout comme le virtuel, rien ne vaut les vrais rencontres...

Et donc tu n'aimes plus la France ? Moi qui suis un parisien pur et dur j'ai du mal à comprendre mais d'accord, tu vas m'obliger a venir te voir :)
commentaire n° :15 posté par : Majora le: 05/03/2010 à 10h58
je t'assure que le jour où tu as gouté à la vie ici, tu n'en pars plus !
Quant à vivreà Paris, je l'ai fait 4 ans. Quatre ans parmi les pires de ma vie : ciel gris et bas, pollution, anonymat total, individualisme forcené, metro qui pue, embouteillages monstres, bruit permanent et infenral. L'horreur ! Les quelques rares avanatges ne compensent pas toute les vicissitudes de la vie à Paris !
Mais gare à toi, si tu viens, tu ne repars plus ! Nombreux sont ceux qui se font "piéger" !
réponse de : Sophie de R. le: 06/03/2010 à 19h50
Piégé par ta bouche ? Un vrai piège à loup ;)

Moi Paris me manquerait, cette ville est vraiment magnifique et son architecture me touche autant que la nature peut t'émouvoir.. et puis trop de monde me manquerait si je partais... Je reviens à peine de 4 mois en Australie et la France me manquait déjà...
commentaire n° :16 posté par : Majora le: 08/03/2010 à 16h42
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés