Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Bon, en effet, au début, je l'avoue, peut-être est-ce que j'ai abusé. Peut-être que j'y ai été trop rapidement, trop fort, trop... Peut-être ai-je dépassé les bornes... Peut-être. Parce qu'elle a aimé ça; la salope, elle a vraiment aimé ça ! Et bon, quoi ? C'était bien ce qu'elle voulait ! Et moi, était-ce aussi ce que je voulais ? En tout cas, je l'ai eue, cette petite garce... quoique... bon, messieurs les policiers, vous voulez vraiment que je vous dise tout ? Mais vraiment tout ? … D'accord...
Je raconte. Anna travaillait avec moi, au bistrot. C'était une petite brunette, aux seins pointus et aux cuisses chaudes. Elle s'habillait toujours de manière sexy, vraiment, elle mettait toujours son corps en valeur, pour qu'on mate son décolleté ou bien ses cuisses. Ses jupes de jeans moulait ses petites fesses rondes, ses chemisiers éclataient toujours aux boutons, ses seins semblaient durs et lourds! Vraiment, cette petite Anna, je voulais la baiser. Mais comme nous n'étions pas souvent ensemble sur le même quart de travail, je ne pouvais la travailler au corps. Elle était nouvelle en ville, allait à l'université je crois, en Haute Études...
Mais il y a eu un party d'employés, nous nous sommes retrouvés assis l'un à côté de l'autre, au bistrot. Je sentais son odeur, elle rigolait et bougeait sur sa chaise comme si elle avait le feu au cul, et je ne faisais que la reluquer. Je voulais lui mordre la clavicule, lui déchirer sa petite chemise de soie, relever la jupe de salope et la baiser à fond ! Et dans le cul en plus.
J'étais certain qu'elle crierait de plaisir, et qu'elle en redemanderait ! Mais les conventions sociales ne me permettaient pas d'agir de la sorte. Nous parlions. Nous nous apercevions aimer la même musique, et que j'avais un album d'un groupe du musique qu'elle n'avait pas. Elle me dit, si je voulais bien, qu'elle passerait chez moi le lendemain chercher l'album...
« Ça marche », j'ai répondu.
Je l'avais ferrée, et c'était elle qui avait ouvert la porte, la garce. Son sourire était encore plus beau et plus coquin avec ses fossettes qui se creusaient. Elle semblait une gentille fille, distinguée, un peu « fille-à-papa », une femme dans un corps d'ado, mais quelle corps !
A la fin de la soirée, nous nous sommes dit au revoir, nous nous sommes embrassés sur les joues, mais la commissures de ses lèvres étaient trop proche des miennes. Elle était chaude, la Anna, et voulais se faire prendre, j'en étais certain. Elle partit, donc, et ses fesses sous sa jupe me saluaient en dansant.
Elle était belle, je vous l'ai déjà dit, messieurs les policiers, menue, presque fragile; ses seins enchantaient le paysage, et son visage encadré par ses beaux cheveux brun ne méritait que de se faire embrasser avec la langue... Ooooh... Je la désirai terriblement ! Et le lendemain de la soirée d'employés, elle cogna à ma porte... supposément pour venir cherche un CD de musique...
Malgré ce que je dirai, messieurs les policiers, vous voyez bien, hein, ma bonne foi ? Et voyez-vous comment je suis maintenant ? Hein ? Ne l'oubliez pas, par la suite...
Donc, cette sauterelle a cogné à la porte. Je lui ai ouvert, elle sourit, elle était encore en jupe la petite pute ! Et en chemise noire sans manche. Son décolleté était embelli par une longue chaîne qui descendait sur ses seins. Sa peau était belle. Elle semblait gênée :
« Salut.
- Salut! »
Je l'ai fais entrer. J’ai fermé la porte. L'ai verrouillée. Elle se retourna, ses cheveux volant dans l'air. Qu'elle était belle !
« Ca va ? Qu'elle m'a dit, souriante.
- Oui. »
J'attaquai. M'approchai d'elle, lui enlevai son sac à main. Elle me regarda, incertaine. Trop tard. Je la poussai par les hanches vers le divan, elle se débattit un peu :
« Mais qu'est-ce que tu fais ?
- Tu vas aimer, je te dis.
- Mais arrête ! »
Elle s'assied en tombant lourdement sur le divan sous la pression de mes mains, et je la maintenais assise. Elle dit mon nom :
« Arrête, c'est pas drôle !
- Anna, que je lui répondis, tu n'es pas venue pour rien... »
Mes hanches étaient au niveau de son visage, elle me regarda en essayant de se relever, je la maintins par les épaules et elle perdit un peu l'équilibre.
« Hey! qu'elle cria, je suis juste venue chercher un CD ! »
- Oh non ! »
Elle tenta encore de se lever, je raffermis ma prise en prenant ses cheveux et en tirant un peu. Elle ferma les yeux et sa tête suivit la direction que prenait ma main tenant ses beaux cheveux bruns. Je vis tout ce que je pouvais faire avec elle. Est-ce que les tétons de ses seins durcirent ? J’en étais certain. Je bandais dur. En lui tirant ses cheveux, et en l'amenant à se coucher, elle souleva une jambe et j'en profitai pour y glisser une main. Je touchai sa culotte, mais ne pouvais pas affirmer qu'elle mouillait. Pourtant...
« Non !
- Anna, détache ma ceinture sinon je te fais mal...
- Non ! »
Je tirai ses cheveux, elle cria et ferma ses yeux sous la douleur.
« Aye ! Arrête !
- Oh non... »
J'insérai quelques doigts sous sa culotte; et tentai de la pénétrer. Ça n'a pas marché.
« Détache ma ceinture ! »
Elle ne répondit pas, et tenta de se dégager de l'emprise de ma main dans ses cheveux, et gigota ses jambes pour ne pas que je m'insinue en elle. J'ai cru avoir le temps, j'en ai profité. Je la lâchai et rapidement, détachai moi-même ma ceinture. Anna, qui n'était plus maintenue par ma force, se redressa. Elle était toujours assise et hop, se retrouva avec ma queue bien dure devant son visage. Elle s'en rendit compte, tenta à nouveau de se dégager en disant, me semble, un autre « Arrête, non! », mais je repris ses cheveux en main, et de l'autre, mis ma queue sur son visage.
Elle ferma la bouche et les yeux, la tête tirée par derrière. Oh, image de rêve que de voir mon pénis sur un si beau visage! Je lui donnai quelques coups de pénis sur ses lèvres et sur les joues tout en lui tirant les cheveux.
« Suce ! »
Elle n'ouvrit pas la bouche, je tirai ses cheveux.
« Suce ! »
Je tirai encore, elle cria :
« Ah! » et j'insérai mon pénis dans sa bouche.
Ah, que c'est bon, c'est chaud, c'est doux ! Elle aspira, je fis coulisser ma queue entre ses lèvres, je fis sûrement un râle de satisfaction, puisqu'elle leva les yeux vers moi. Oh, nouvelles images de rêve, ses yeux de biche m'implorant je ne sais quoi, de la satisfaire seulement sûrement. Je m'enfonçai un peu plus et elle tenta de se retirer. Ma queue sortit de sa bouche et je n'étais pas content, je voulu y retourner le plus tôt, le plus vite possible. Elle respira un coup, pas question d'arrêter ça.
« Suce ! »
Elle ouvrit elle-même la bouche, la salope, et ma main força sa tête à avancer vers ma queue, pour qu'elle m'englobe au complet, ooooh, oui, je lui baisai la bouche, c'était bon ! Je lui donnai des coups de hanche, sa tête, sa bouche n'étaient plus que des objets, oooh, oui... Elle tenta, de ses deux mains, de retenir mes hanches, mes cuisses, elle me caressait la petite pute, je savais qu'elle en voulait, qu'elle en veut, et qu'elle en voudrait !
Je la regardai. Ma queue entièrement dans sa bouche, Anna pleurait, elle pleurait de désir et de plaisir, oooh la garce ! Je sortis de sa bouche, elle se retira, elle s'affaissa sur le divan, le dos au dossier, elle repris son souffle, oh oui, elle pleurait vraiment ! Et maintenant, elle me regardait implorant je ne sais qui, respirant avec difficulté. Elle s'est recroquevillée sur le divan, elle dit mon nom, puis :
« Je ne veux pas... je.. non ! »
J'ai enlevé mon pantalon au complet, et je tenais toujours ma queue mouillée par sa salive. Qu'est-ce qu'elle a dû en sucer des queues, la Anna ! Je grimpai sur le divan, debout, elle assise, et lui remis la queue en bouche, elle la prit comme si c'état tout ce qu'elle désirait, tout ce qu'elle savait faire. Je la baisai à nouveau, je sentis sa langue sur mon membre, ses lèvres l'englobant merveilleusement bien. Je sortis et lui mis les couilles en bouche, elle les lécha par habitude ou envie, je ne sais, ou peut-être par « obligation ».
« Lèche, continue à lécher ! »
Je pris sa tête et l'obligeai à se pencher. Elle descendis un peu sur le divan, ses cheveux enchevêtré sur le dossier, et toujours la tenant, je lui mis mon anus sur sa bouche.
« Lèche je t'ai dit ! »
Et elle lécha ! J'ai toujours aimé me faire lécher mon trou de cul, et je me masturbai devant le mur, alors qu'une des plus belles filles de la ville laissait aller sa langue autour et dans mon anus. Oooooh !!!
Mais bien que je la tenais bien, peut-être dans un petit moment d'inattention de ma part, Anna en profita pour se glisser entre mes jambes, et elle couru en direction de la porte. Mais je suis habile et rapide, je me retournai et la rejoignis. Je la fis tomber, elle cria, je lui agrippai le pied, le mollet, ses jambes étaient douces, elle tenta de me donner de coups de pieds, mais je l'évitai, et je relevai sa jupe, je vis enfin ses petites fesses rondes, et sa culotte de salope, c'est rien, presque pas de tissu, je tirai dessus, Anna cria encore, se débattit, je baissai tout de même sa culotte maintenant à ses genoux, qu'est-ce qu'elle est belle! Je grimpai sur elle, et lui fis une clé de bras, elle cria, elle pleura, oh la geignarde !
« Lève-toi ! »
Elle obéit, coincé les bras dans le dos, le corps penché vers l'avant, ses cheveux tombant par-dessus ses épaules. Je la ramenai vers le divan, le divan qu'elle n'aurait jamais dû quitter et la poussai, elle s'effondra, couché sur le ventre, elle essaya d'avancer, mais tout ce qu'elle a réussi à faire, c'est de se mettre à quatre pattes.
Je lui enlevai entièrement sa culotte, lui empoignai les fesse, elle tenta de se dégager, mais je la maintenu par les hanches, puis par les cheveux, et son cul m'était offert comme je l'avais tant désiré. Et je forçai, je bougeai, je forçai, je bougeai, et sentis mon gland pénétrer ses grandes lèvres, je sortis, revins, et je sentis mon gland pénétrer ses petites lèvres, je lui tirai les cheveux à la Anna, qui en fait ne bougeait plus, pleurait seulement, et je la baisai.
Et vlan et vlan et vlan, je la maintenais par les cheveux et m'enfonçai dans sa chatte bien chaude et bien humide et oooh, que j'étais content, comme j'étais bien à l'aise ! Vision de rêve de la voir à ma merci, ma queue dans sa chatte, elle encore habillée, la jupe de jeans relevée, sa chemise en désordre, ses cheveux en bataille, et moi, vainqueur de ce corps si menu, si fragile, si rêvé et désiré.
Et vlan et vlan et vlan, j'éjaculai en elle, et donnai un dernier coup de rein, restai un peu en elle, avant de me dégager... repu.
Alors, je suis parti dans la cuisine, fumer une cigarette et me faire un café. Je la reluquai un peu. Elle était effondrée, gémissait, je crois qu'elle pleurait un peu, elle a tellement aimé ça ! Elle était belle ! Mon appareil photo n'était pas loin et je la pris en photo, dans une telle position de soumise, que je rebandai un peu.
Lorsque je vais regarder cette photo, je pourrai me remémorer de cette baise extraordinaire qu’Anna recherchait tant, en venant ici... ah, le disque aussi ! Le café fut prêt.
« Tu veux un café ? »
Elle leva un peu les yeux vers moi, elle pleurait encore.
« Non ? Alors, prend le disque que tu voulais, il est sur la petite table et dégage ! Je te rappellerai! »
Je me retournai vers le comptoir pour préparer mon café, elle, elle bougea, je me retournai, juste assez pour la voir prendre son sac, baisser sa jupe et remettre sa chemise en place et quitter mon appartement. Oh ! La salope, elle n'avait même pas pris le disque de musique et elle a laissé sa culotte. La petite pute, elle voulait seulement se faire tringler, elle ne voulait même pas de musique ! Je bus mon café à petite gorgée, et je me masturbai, sa culotte autour de ma queue, que c'était doux et excitant.
Au moment de l'éjaculation, l'idée m'est venue :
« J'ai peut-être violée, Anna... »
Mais la jouissance était si forte que j'ai oublié immédiatement cette pensée. Puis, je léchai mon sperme sur ma main, et fis passer le tout par une gorgée de café...
* * *
Deux-trois jours ont passé. Je ne suis pas retourné travailler. J'avais un peu honte, je dois dire. Un collègue m'a appelé, je lui ai fais savoir que j'étais un peu malade. Nous avons parlé, il m'a dit qu'au bistrot, ça allait vraiment pas, que les patrons manquaient de personnel
« Je suis malade et Anna n'est pas rentrée travailler non plus ! On ne l'a plus revue depuis la soirée des employés ! »
Nous avons raccroché. J'ai continué à me masturber avec la culotte de Anna en écoutant l'album du musique qu'elle n'avait toujours pas, et en regardant la photo prise. La prochaine fois, je l'enculerai. J'attendais son appel de femme soumise qui veut seulement se faire baiser. Il ne venait pas... j'allais l'appeler pour l'obliger à venir chez moi (j'avais besoin de la mettre) mais non, c'est elle qui m'a appelé. Au bout du fil, elle a dit mon nom, puis :
« Tu veux venir chez moi?
- Tout de suite?
- Oui.
- D'accord, mais quand j'arriverai, je veux que tu sois en sous-vêtement. Uniquement en sous-vêtement... et arrange-toi pour que je puisse les déchirer...
- D'accord, c'est comme tu veux... »
C'était comme je voulais ! Oooh la salope ! Elle m'a donné une adresse, et un numéro d'appartement, c'était dans le quarter chaud de la ville. Elle a dû arrêter de travailler au bistrot pour reprendre sa vie de prostituée, ça devait être ça !
Je me suis précipité chez elle. J'ai cogné à la porte, mais je n'ai pas attendu qu'elle m'ouvre, je suis entré.
Aaaaah ! Vision de rêve que de la voir, cette ravissante Anna, sur un lit au centre de la pièce principale. Et aux deux extrémités du lit, des barres de bois. Anna était à genoux, en soutif noir, et en petite culotte noire aussi, en dentelle presque transparente. Ses cheveux descendaient sur ses épaules, ses seins étaient gonflés comme ma queue qui déjà se pressait de sortir de mon pantalon. Elle me souriait la Anna, malgré ou à cause de l'incroyable baise que je lui ai fais subir... et elle tenait des menottes... ooooh, elle était à moi !
Je m'avançai rapidement, enlevant mon pantalon durant la marche, Anna recula un peu, toujours souriante, petite coquine.... Et... alors que j'enlevai mon t-shirt, que je le lançai à travers la pièce, que j'enlevai aussi mon boxer et que je mis mon premier genou sur le lit, Anna sauta en bas de ce lit, et moi, je me sentis pousser contre le matelas.
J'étais à poil, et une force incroyable me maintenait immobile. Je tentai de bouger, mais quelqu'un s'était assis sur moi et m'empoigna le bras droit. J'entendis le cliquetis des menottes. Je criais : « Non non non! ! »
Mais trop tard, on m'avait bel et bien attaché, premier bras, deuxième bras ! Ce n'était pas possible ! Je sentais un genou dans mon dos, on m'a relié une jambe et on l'a menottée aussi, puis la deuxième jambe. Je criais, je voulais me dégager, mais j'étais véritablement pris au piège, complètement à la merci de cette salope qui s'approchait de moi, de mon visage... Elle s'était accroupie, je sentais sa chaleur sexuelle, et son intention. Elle me souriait... et j'étais couché sur le ventre, mains et pieds liés. Je la regardai, en lui demandant de me détacher... mais non, au contraire :
« Alors, tu te sens bien comme ça ? C'est comme ça que tu voulais me tenir hein ?
- Anna, arrête, libère moi !
- M'as-tu écoutée, la dernière fois, lorsque je te demandais la même chose...? »
Je n'ai pas répondu, je savais alors que, peut-être, avais-je été trop loin. J'aurais pourtant juré que c'était ce qu'elle désirait !
« T'es con tu sais ? Si tu n'avais pas agi comme tu l'as fait, en m'obligeant, j'étais prête à faire l'amour avec toi, tu sais ? Tu aurais même pu m'enculer, parce que j'aaaaadore ça... Mais non, t'as voulu faire le con, et voilà ce qui t'arrive ! Luc, viens ici... »
Je vis un homme en slip. A l'intérieur de ce slip, sa queue semblait bien dure. Je ne voyais pas son visage, seulement ses jambes, son torse et sa queue bien bandée...
« Fais-toi sucer, lui dit Anna.
Il répondit :
- Mmm, je ne lui fais pas confiance, j'aurais peur qu'il me morde... »
Et Anna de répondre :
« Je comprends... alors mets-toi derrière lui...
- Je préfère cela, Anna... »
Le Luc en question fit le tour du lit, et grimpa dessus. Je vis Anna s'attacher un gode-ceinture noir autour de la taille, sourire et se toucher. Qu'elle était belle, on aurait dit une trans, avec une queue noire... Elle gémissait en feignant de se masturber et elle s'approcha de moi... tandis que dans mon dos, Luc se mit à cheval sur mes cuisses et jouait avec mes fesses.
Il claqua sa queue contre ma raie. Je tentais de crier, je me trémoussais, tentais de me libérer mais non, j'étais vraiment pris. Luc m'écarta les fesses de ses deux mains, avec ses pouces à l'intérieur, près de mon anus. Je levai la tête, et Anna m'enfonça son faux pénis dans la bouche. Elle était déjà ouverte de peur, ma bouche, et là, elle était pleine. J'ai salivé, et Anna me baisa comme je l'avais baisée :
« Vas-y Luc, vas-y... »
Et lui de me pénétrer. Ah... quelle humiliation pour moi! Il s'enfonça en moi, avait dû enduire sa queue d'huile ou de gel, car je le sentis loin en moi. Et il bougea, et elle bougea et les deux bougèrent en rythme et en cadence. J'étais violé à mon tour et je sentis un feu grandir en moi... Pour moins avoir mal, je soulevais mes hanches et Luc m'encula de plus belle...
« Oooh la petite pute, qu'il dit à Anna, il aime ça regarde, il tente de jouir par le cul ! »
Et oui, je bandais ! Et j'appréciais ce qu'ils me faisaient!
« Allez, maintenant on change, » que Anna lui répondit.
Elle sortit son gode de ma bouche, lui aussi sortit de mon cul et ils changèrent de position. Quand il arriva devant moi, la queue de Luc puait et Anna me dit :
« Ne t'avise pas de le mordre... car moi je ne contrôle pas tout à fait ma queue... et je peux te faire très mal... »
Elle partit à rire et j'ouvris la bouche... Luc y mit son gland et fit des va et vient dans ma bouche. Il se retira et Anna s'introduisit dans mon cul en faisant des Hi-Ah ! de cow boy, de cow girl, et elle bougeait vite, rapidement. Luc revint dans ma bouche et je jouis du cul, une sensation incroyable, messieurs les policiers... vraiment... et lui, il a éjaculé sur mon visage en riant et en disant :
« Que c'est bon Anna, je t'aime ! »
Bon, j'ai peut-être été trop loin au début... oui, d'accord, mais elle ! Elle !
Je me suis réveillé plus tard, bien plus tard. Ils ont recommencé. Ils ont aussi baisé devant moi. Ooooh vision sublime que de voir Anna se faire enculer par Luc... Je leur ai demandé de me détacher, je leur ai dit que je ferais ce qu'ils voudraient... ils ont accepté, et Anna s'est bien amusée avec mon cul, elle m'encula deux à trois fois par jour. Luc aussi...
Ils partaient travailler, je les attendais dans cette prison... et quand ils revenaient, ils s'amusaient de moi. J'ai bien essayé de fuir, mais Luc était trop fort, et Anna bien protégée...
Ils sont venus à quatre, une fois. J'y suis passé. Hommes et femme se sont amusés... C'est comme ça que vous m'avez trouvé, messieurs les policiers... Le cul en sang, plus ou moins content de vous voir arriver... je ne sais combien de temps je suis resté dans cette pièce...
Mais qu'est-ce que vous faites ? Non, non, pas vous aussi ? Remettez vos pantalons, messieurs ! Vous êtes... vous êtes... six ?
Martine
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