Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Mois de mars 2007, je remonte sur Paris, en TGV depuis la gare du Creusot. Il est environ dix-huit heures en plein milieu de semaine et hors d'une période de congé. Le train, contrairement à son habitude, n'est pas plein. Je me trouve en bout d'un wagon qui forme une sorte de compartiment avec une porte coulissante. Il y a une douzaine de fauteuils dont seuls cinq sont occupés.
Un homme qui, comme moi, frise la soixantaine, s'assied à la place voisine de la mienne. Il s'installe, ouvre son attaché-case et sans aucune gêne (il ne me connait pas, j'aurais pu être un gars coincé) sort une revue d'annonces libertines dont je tairais le nom. Je suis moi-même abonné à cette revue. Mon voisin donc range son attaché-case ouvre sa revue et la lit consciencieusement. A la main un crayon pour noter celles des annonces qui lui plaisent.
Du coup, je ferme ma revue de mots croisés et sans aucune discrétion, j'essaie de voir les annonces qui lui plaisent. Il se rend compte enfin de mon attitude, tourne son visage vers moi, je le regarde en souriant et lui dit :
« Très intéressant ce magazine, j'y suis moi-même abonné. »
Il esquisse alors un sourire. Il m'avouera plus tard qu'il avait craint un moment de tomber sur quelqu'un qui lui aurait fait les pires reproches. Nous nous présentons. Il se prénomme Benoit. Il est marié. Sa femme et lui pratiquent régulièrement l'échangisme ou plutôt le mélangisme, car ils ne leur viendraient pas à l'idée de faire cela chacun de leur côté, sans que l'autre ne participe.
J'approuve totalement sa façon de voir la chose. A sa question je réponds que oui, je suis moi-même annonceur. Je lui donne ma référence. Il feuillette alors en vitesse sa revue pour la trouver. Elle est illustrée d'une photo où je suis avec un couple, en 69 avec Madame tandis que Monsieur m'encule. Et je suis facilement reconnaissable. Benoit lit attentivement mon annonce, se tourne vers moi, me regarde un moment, et avec un grand sourire me tend la main et dit :
« Bienvenue au Club, ma femme et moi aussi sommes bisexuels ! »
Tout le reste du voyage se passa à nous raconter des anecdotes sur « Le » sujet qui nous intéressait. Benoit et sa femme Thérèse vivaient dans une grande maison de Boulogne, en région parisienne, non loin du Stade Roland Garros.
Là, ils organisaient des soirées chaudes.
En nous quittant Gare de Lyon, Benoit m'invita pour la soirée qu'il organisait chez lui dans quinze jours. Bien entendu, j'acceptai avec joie et le remerciai.
Le jour de la soirée, je me rends chez lui, il est aux alentours de vingt heures. Il m'avait informé que cette sauterie, où tout le monde était bisexuel, serait précédée d'un diner. Diner au cours duquel il n'était pas interdit, bien au contraire, de lutiner son ou sa voisine. Cela pimenterait le repas et rappellerait un peu les orgies romaines qui ont fait rêver plus d'une personne libertine.
Thérèse, notre Hôtesse, que je n'avais encore jamais vue, était une femme d'environ cinquante ans, brune, un beau visage souriant et un corps très légèrement enrobé qui dégageait une grande sensualité. Elle était très élégamment dévêtue d'une robe très courte qui, pour vous la décrire, ressemblait à un filet à larges mailles. Elle ne portait aucun dessous.
Son pubis, vierge de toute broussaille, nous permettait d'admirer une fort belle chatte aux lèvres qui semblaient déjà gonflées de désirs. C'est ainsi que je fus accueilli. Avouez que pour être immédiatement dans l'ambiance, on ne peut rêver mieux.
Thérèse me reçoit avec un grand sourire, une bise gentillette sur les lèvres et me fait entrer dans une grande salle où est dressée une table immense. Une vingtaine de personnes des deux sexes se trouve déjà là.
Je m'approche de chacun des invités et me présente. Il y a des hommes et des femmes de tous les âges, au physique d'une normalité très banale. Le sourire et les plaisanteries fusent de toutes parts. Je m'empresse de me mettre à l'unisson en prenant une flûte de champagne. Les festivités démarrent comme dans tous les cocktails dits mondains, où chacun enfonce des portes ouvertes d'un air pénétré devant des gens qui s'en moquent totalement, mais qui font comme si...
Par chance, Thérèse met fin à tout ça en nous priant de passer à table. Le seul protocole étant que chaque femme soit encadrée par deux hommes, par pure galanterie d'ailleurs, puisque tous les invités sont bisexuels. Le repas se déroule dans une ambiance qui va grandissant.
Avant qu'arrive la fin du repas, les convives avaient commencé à se dissiper. Des bouches parcouraient le corps de la personne voisine, des mains faisaient des expéditions de reconnaissance. Si bien que quand arriva le moment du dessert, nous avions tous perdu nos vêtements.
Ma voisine de droite était aussi belle et féline que peut l'être une asiatique quand elle a résolu d'être belle et féline. Sa peau ambrée semblait du satin tant elle était douce. Mes mains lui caressaient le dos durant qu'elle me suçait avec une délicatesse infinie qui augmentait encore mon envie d'exploser. Ce fut difficile de me retenir longtemps car ma « petite fleur de printemps » qui se prénommait Maï sut me faire craquer. J'ai joui dans sa bouche au moment où, justement, les pâtisseries étaient arrivées. Ma jolie pompeuse se pencha, bouche pleine vers son voisin de droite et l'embrassa à pleine bouche, lui faisant partager mon sperme. Il eut l'air d'en apprécier le goût, car il me regarda avec un petit sourire et me dit :
« J'aime beaucoup le goût de votre crème mon cher !
- Mais à charge de revanche, cher ami, nous verrons cela un peu plus tard dans la soirée, lui ai-je répondu .
- Je ne manquerai de vous le rappeler ! »
Cet homme, appelons-le Paul, car il avait l'attitude et le vocabulaire pince sans rire et anachronique de ce formidable acteur qu'était Paul Meurisse. Il aimait par dessus tout conserver une attitude digne et employer des termes ...euh... aristocratiques, dirais-je, pour pimenter les situations les plus étranges, ou comme ici, les plus pornos. Moi, j'adore ces situations-là.
Maï se remit bien en place sur sa chaise, et choisit un gâteau parmi les pâtisseries placées devant elles. Elle prit dans mon assiette l'éclair que j'y avais mis. Avec toujours la même délicatesse et la même grâce qu'elle mettait en toute chose, elle fit entrer le premier quart de mon éclair dans sa chatte dont elle avait écarté les lèvres. Je vis mon gâteau faire quelques aller et retours dans son vagin, puis elle approcha mon éclair de ma bouche en me disant gentiment avec un sourire coquin :
« Pour te remercier de m'avoir donné ton sperme ! »
Attention charmante qui m'a fait rebander aussitôt. La mouille de Maï donna une saveur particulière et fort agréable à mon éclair. Je me promis alors de la retrouver un peu plus tard dans la soirée, bien décidé à la boire. Elle avait la jouissance légèrement sucrée, c'était délicieux. J'allais me lever pour rejoindre un groupe qui un peu plus loin allait s'adonner à un plaisir que j'apprécie beaucoup, les jeux Uros. Je n'eus pas le temps de me lever de ma chaise, car mon voisin de gauche, qui se nommait Étienne, me caressait la queue avec beaucoup de délicatesse.
Comment résister ? Je me tourne vers lui, lui souris. Je vois qu'il bande et que sa queue est une de ces jolies choses qui sont la raison de ma bisexualité. En effet, je vois une verge, bien droite, longue et épaisse où l'on peut voir des veines. Et puis, atout important, il est totalement glabre, comme la mienne. Je me sens vraiment tenu de le sucer, c'est vraiment trop tentant.
J'entreprends alors cette jolie chose qui visiblement n'attendait que ça si j'en crois le soupir d'aise que pousse Étienne.
La délicieuse Maï s'en est allée vers d'autres jeux, et Paul, s'approchant de moi, me dit avec sa façon très particulière de parler :
« Mon cher Bruno, votre sphincter me semble des plus attirants, me permettez-vous de l'occuper un moment, après m'être couvert, bien entendu ?
- Mais je vous en prie mon cher Paul, entrez donc, faites comme chez vous ! » lui ai-je répondu sur le même ton. Puis je ne pus m'empêcher d'éclater de rire, immédiatement accompagné d'Étienne. L'incongruité de la scène était irrésistible.
Alors, je repris sa queue en bouche tandis que Paul m'enculait de la belle manière. Décidément, la soirée s'annonçait bien. Nous avons ainsi joué tous les trois, un long moment, mes deux complices étant particulièrement endurants. Cela me convenait parfaitement, la queue de Paul avait une agréable façon de me limer, et celle d'Étienne avait tout ce qu'il fallait pour que j’aie envie que cela dure.
Étienne finit tout de même par exploser, et je m'empressai de tout garder en bouche et d'avaler sa crème. Paul, quant à lui, n'en finissait pas, je crains qu'il ait eu des difficultés à conclure. Il trouva lui-même un prétexte plausible pour s'arrêter et s'en aller. Je pus ainsi me mettre à la recherche de Thérèse, la maîtresse de maison.
Je me devais de mettre en application l'un des préceptes de la bonne éducation, à savoir présenter mes hommages à notre hôtesse. Mais ma sainte femme de mère n'a jamais donné le même sens que moi au mot « hommage ». Qu'importe, l'essentiel finalement est que cela se fasse, n'est-ce pas ?
Thérèse était dans un salon où le centre avait été vidé de ces meubles pour en faire un vaste baisodrome, confortable puisque de nombreux matelas servaient de tapis. Notre hôtesse était là entièrement nue, debout, bien campée sur ses jambes, semblant une reine dominant des sujets prosternés à ces pieds. Les sujets en question étaient en pleine baise, à ne plus savoir qui prenait qui.
Beau spectacle très excitant, ma foi. Au moment où j'arrive, Thérèse ses mains sur sa chatte, annonce qu'elle a envie de pisser, et propose de faire plaisir à qui aime ça. La chance est avec moi donc, je me précipite vers elle pour la boire.
« Oh ! Tu sais ce n'est qu'une toute petite envie ! » me dit-elle comme pour s'excuser à l'avance de la trop petite quantité à laquelle je vais avoir droit. Je lui dis que ce n'est pas grave, l'essentiel étant qu'elle le fasse dans ma bouche.
Effectivement je n'eus droit qu'à quelques gouttes, mais qui me permirent d'une part de faire connaissance avec notre hôtesse, et d'autre part, de déguster sa chatte. Ses lèvres étaient naturellement gonflées telles une pâtisserie, et donnaient envie de mordre dedans. Moi être grand gourmand, alors moi dévorer belle chatte humide. Et ceci au grand plaisir de Thérèse qui poussait des petits soupirs que soulignaient ses « Oh ! Oui ! Comme ça ! »
Ou alors « Ah ! Non ! C'est trop fort ! Continue ! »
Puis elle se mit soudain à jouir en poussant des cris puissants qui n'étonnèrent que moi, le nouveau petit vicieux de la bande. On me confirma plus tard que Thérèse était connue pour l'étonnante force de ses cris de jouissances. Entendre une femme hurler son plaisir est très flatteur pour notre égo de mâle.
Je me promenais ensuite, butinant de ci delà, caressant un cul bien rebondi, suçant une queue qui n'attendait que ça, broutant une chatte, doigtant délicatement un anus tentant. Je finis par trouver Benoît, notre hôte. Il était allongé sur un matelas de coussins en grande conversation manuelle avec ma voisine de table la délicieuse Maï. Je m'approchais et m'allongeais prés d’eux. Ma petite asiatique avait la bouche occupée à déguster la bite de Benoit Celle-ci était de taille moyenne, mais semblait en parfait état de marche. Je me mis à lécher cette tige en duo avec Maï. Ayant l'expérience toute récente de ses talents de suceuse, je finis par la laisser faire pour m'occuper de sa chatte.
Quel beau petit bijou elle avait entre ses jambes… Sa chatte semblait minuscule, avec des lèvres très fines. Pour un peu, on ne la verrait pas. Mais curieusement, elle avait un clito suffisamment long pour dépasser au dessus de son fendu. Et l'absence totale de poil la rendait encore plus belle et attirante. Il m'a attiré comme un aimant, et je l'ai pris en bouche.
Quand une chatte est belle comme la sienne, j'adore prendre mon temps et la lécher doucement pour en profiter au maximum. Et c'est ce que je fais avec le petit bijou de Maï. Elle a l'air d'apprécier mon traitement, car je la sens frémir et gémir de plus en plus.
Elle pousse son bassin en avant avec des mouvements de plus en plus rapides, et j'ai le museau de plus en plus barbouillé de la mouille de la Belle.
Elle jouit abondamment, et se redresse, change de position et vient s'empaler sur moi. Je suis obligé de la freiner et de la faire se retirer, le temps pour moi d'enfiler une Kpote. Maï semble pressée et se replace aussitôt sur ma queue et se trémousse en gémissant. Thérèse, notre hôtesse qui assistait à la scène, se penche vers moi et avec sa langue, me nettoie le visage de la mouille de Maï. Elle paraît en apprécier le goût, et roule une pelle goulue à ma jolie asiatique, qui lui répond avec frénésie.
Maï et moi continuons notre petit voyage vers le jouissance. Cette fille est d'une souplesse rare et d'une ardeur peu commune. J'ai, il y a peu, joui dans la bouche de Maï, et mon âge me permet de tenir plus longtemps que de coutume au délicieux traitement que ma partenaire me fait subir. J'ai adoré ce moment là, car je sentais le plaisir envahir mon corps jusqu'au moment où j'ai pu exploser et remplir ma kapote de mon sperme. J'aurai pourtant bien aimé le répandre dans le ventre de Maï. Je me retire et m'allonge sur le dos, tenant toujours la belle contre moi. Elle me retire délicatement le préservatif, et de sa langue, me nettoie la bite du jus collé contre elle. Et en bonne copine, elle me prend la bouche pour partager avec moi.
Maï est une petite « liane » très souple et très câline. Elle a une manière bien à elle de se lover contre mon corps en imprimant des mouvements qui sont des caresses de tout son corps sur le mien. Ah ! Si tous les supplices chinois pouvaient être comme celui que me fait subir Maï !!! Nous sommes restés un moment enlacés. Nous trouvions tellement plus agréable de récupérer un peu de cette manière.
Nous n'étions pas là pour roucouler, mais bien plutôt pour partouzer. Il fallait que je retrouve Etienne, j'avais dans la bouche le souvenir de sa bite. Un engin comme le sien, long, épais, bien droit aux veines apparentes et à qui l'absence de poils accentuait encore l'impression d'épaisseur. J'avais une furieuse envie de lui faire visiter mon ventre. Je vais de pièce en pièce et finis par l'apercevoir affalé sur un sofa, un verre à la main. Seul et l'air pensif.
« Hello Etienne ! Ca va bien ?
- Oui, oui, Bruno, je te remercie, je viens de me faire sauter et je récupère en solitaire.
- Ah ! OK. Et là tu as la forme, on dirait ! Tu pourrais peut-être me faire ce qu'on vient de te faire.
- Alors là, ça marche ! »
Je me mets alors à genoux aux pieds du sofa je prends sa queue qui repose mollement sur sa cuisse et la branle doucement. Aussitôt, elle commence à réagir. J'arrête mon mouvement pour la prendre en bouche. J'ai toujours aimé sentir une bite grossir dans ma bouche pendant que je la suce. Je trouve cela génial. Et celle d'Etienne bien longue et épaisse, ce fut un régal de la sentir prendre forme. Je l'ai sucée ainsi un long moment, les soupirs qu'il poussait me disaient qu'il appréciait ma pipe.
De mon côté, j'avais l'anus qui palpitait tant j'avais envie d'être sodomisé. Etienne avait envie lui aussi et il arrêta ma sucette. Je le fis alors se relever et j'ai pris sa place sur le sofa. Couché sur le dos et jambes relevées et écartées, c'est dans cette position que j'aime me faire sodomiser. J'aime « faire face à l'ennemi », voir ses mouvement, lire sur son visage la progression de plaisir. Et puis, installé ainsi, je peux aussi voir passer les autres convives.
Et soudain, pendant qu'Etienne visitait mon intérieur, je vois passer un couple. Elle est une jeune fille d'environ vingt cinq ans, rousse, très mince, à l'allure élancée. Elle a un beau visage, et sa bouche est d'une sensualité rare. Lui doit avoir la bonne quarantaine
Vu d'où je suis, il semble grand, et sa bite épaisse et courte repose sur une paire de couilles imposantes. Je les arrête au passage et leur fais signe d'approcher.
La jolie rousse, j'apprendrai plus tard qu'elle se prénomme Lise, paraît émoustillée par le spectacle qu'Etienne et moi lui offrons. Je lui offre ma queue à sucer pendant que j'attrape son partenaire par la sienne pour le prendre en bouche. Il ne tarde pas à bander.
Je ne m'étais pas trompé, sa queue n'est pas longue mais très épaisse. Elle dégage une odeur forte mais agréable. C'est sans doute un mélange de tous ceux et celles avec qui il a baisé ce soir. Ça doit être un peu aphrodisiaque car je me sens un peu plus excité. Et la bouche de Lise n'est pas étrangère non plus à ce que je ressens. Cette fille a l'art de sucer pour donner beaucoup de plaisir et en même temps retarder sa venue... C'est génial comme effet.
Etienne de son côté continue de me ramoner. J'adore ce qu'il me fait, car il est très endurant. Il sort de temps en temps sa grosse queue un peu noueuse de mon ventre, pour y rentrer à nouveau d'un coup sec. J'adore ça. La sensation est un bref instant douloureuse, mais ça disparaît aussitôt pour faire place à la jouissance.
Et Lise qui me suce comme une reine… Sa bouche est aussi délicate qu'un papillon, elle parcourt ma tige en l'effleurant, sa langue de son côté joue avec mon gland. Je me sens d'autant plus au paradis, que dans ma bouche, il y a toujours une bite épaisse. Je m'efforce de faire comme Lise, en tentant d'imiter sa technique. Je ne sais si je l'égale, mais le propriétaire de la bite semble bien apprécier.
Je mets deux doigts de ma main gauche dans son anus, et les fais aller et venir. Mon sucé aime tellement cela que sans que je l'ai senti venir, il jouit. Peur qu'il se recule alors je le retiens pour ne pas perdre une goutte de son sperme. Lise voit ce qui se passe et arrête de me sucer pour mendier un peu du jus que j'ai en bouche. Je partage avec elle, mais ma queue, elle, elle est privée. Je le fais remarquer à Lise.
Elle me quitte alors un bref instant et nous rejoint avec un préservatif qu'elle m'enfile.
Elle s'allonge sur moi pour que je la prenne. Sucer a du l'émoustiller passablement si j'en juge par l'ardeur qu'elle met avec son bassin autour de ma bite. Bien entendu tout ça m'a empêche de me retenir plus longtemps et j'ai joui à mon tour. Lise qui a senti mon éjaculation accélère son mouvement pour prendre elle aussi son pied.
Mon sucé, agréable à pratiquer mais sans une once de gratitude, nous quitte sans un mot. Lise quant à elle, est restée prés d'Etienne et moi. Et tout en le regardant m'enculer, elle retire la capote de ma queue et me lèche avec autant de gourmandise que de méticulosité. Elle dit que ce qu'elle a senti sur sa langue lui paraît agréable alors, elle vide ma capote dans sa bouche.
Au moment où j'allais lui demandais de venir partager avec moi, Etienne la tire à lui et l'embrasse. En embrassant Lise et en dégustant mon jus il se déconcentre un moment et jouit à son tour. Il décharge une grosse quantité de sperme dans sa capote. Il continue encore un moment ses allées retours en moi, au ralenti puis se retire. Lise se hâte de vider la capote dans son joli bec, mais là, je suis plus rapide qu'Etienne et attire Lise à moi pour consommer un peu du sperme.
Décidément, je ne me lasserai jamais de consommer le « jus de couilles ». C'est délicieux.
Puis tous les trois, nous nous dirigeons vers le buffet, pour reprendre quelques forces. Etienne et Lise sont deux charmantes personnes, avec qui il est agréable de converser, « aussi ». Ensuite, je les quitte pour rejoindre mes hôtes, Thérèse et Benoit.
Je dois les saluer et les remercier de cette plus qu'agréable soirée à laquelle ils m'ont permis de participer. Je retrouve Benoit assis sagement dans un fauteuil en grande conversation avec quelqu'un. Je le remercie chaleureusement, et nous nous quittons sur un : « Tu reviens quand tu veux, Bruno ! »
Je poursuis ma recherche et trouve enfin Thérèse. Elle est à la cuisine. C'est une vaste pièce. Elle est là avec deux hommes et une femme. Tous les quatre s'emploient consciencieusement à faire pipi dans un grand récipient à Sangria. Cela me rappelle que j'ai envie moi aussi et me joins à eux. Une fois soulagés et le récipient plein, je dis à Thérèse que je suis venu la remercier car je rentre chez moi.
« Ah ! Mon cher Bruno tu ne partiras pas sans boire le verre de l'amitié…. »
Elle ouvre un placard, sort cinq verres, qu'elle remplit de notre cocktail pipi et nous en tend un. Nous trinquons à l'amitié et aux plaisirs du sexe en sirotant notre liquide commun. J'adore. Ensuite je salue embrasse mes partenaires et les quitte.
Malgré les grèves à répétitions et souvent injustifiées, malgré les retards fréquents sur certaines lignes, j'aurai toujours une tendresse particulière pour les trains. On y fait souvent des rencontres intéressantes.
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