Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Comme vous en avez maintenant l’habitude, je publie ce très beau et long récit en deux fois. Un extrait ici-même, pour vous donner un aperçu, le récit en entier dans la rubrique « page ». Cliquez à gauche, pour le lire en entier !!!
Ce texte m’a été envoyé par Nicolas et Emilie, après qu’ils aient publié en commentaire dans le très beau blog d’Olga : http://philetolga.erog.fr (le lien est à gauche aussi…)
Bonne lecture à tous !
(...)
Philippe était debout à côté de nous, et nous proposa de retourner au bateau pour prendre l’apéritif et préparer le repas du soir. Le temps de rassembler nos affaires et de retourner au bateau, le soleil était déjà bas sur l’horizon. Nous sommes retournés dans notre cabine et avons pris une douche. Émilie et moi en avons profité ensuite pour nous passer de la crème hydratante.
Alors qu’elle me mettait de la crème dans le dos, je sentais ses caresses plus sensuelles qu’à l’accoutumée, mais je ne dis rien. J’attendis que ce soit à mon tour de lui hydrater le dos pour la questionner sur les discussions qu’elle avait pu avoir avec Philippe dans la journée. Elle me dit qu’il s’était confié sur sa nature de célibataire, et qu’il aimait prendre le plaisir là où il était, sans se créer d’attache.
Selon ses dires, il nous trouvait être un beau couple et voyait qu’on était amoureux, mais le mariage ne lui disait rien. Alors que j’arrivais en bas du dos d’Émilie, pris dans un tourbillon de fantasmes qui me renvoyait l’image de ma femme dans les bras de Philippe, je passai un doigt dans la raie de ses fesses, en demandant à son oreille si elle aussi voulait prendre le plaisir là où il était.
J’avais une érection presque douloureuse à cette pensée, à imaginer ma femme les yeux presque révulsés, le corps s’abandonnant au contact de cet homme, prendre un plaisir immense. Mais en même temps cette pensée me faisait peur, et l’idée de ne pas assumer tout ça me traversa l’esprit.
Mon geste entre ses fesses lui extirpa un léger râle, et elle me répondit qu’elle préférait attendre après le repas que Philippe soit couché, pour que l’on fasse l’amour tranquillement tous les deux. La réalité me rattrapa rapidement à cet instant, comprenant qu’elle ne pensait pas la même chose que moi, ce qui quelque part me rassura. Mais le fantasme restait très présent.
Émilie enfila une petite robe rose et blanche qui lui allait à merveille et qui lui donnait un air mi fatal, mi décontracté. Après avoir à mon tour enfilé un bermuda et un tee-shirt, nous sommes remontés sur le pont, où Philippe avait déjà préparé trois ti punch maison. Encore une fois, il me sembla que l’apéritif fut l’occasion d’échanges de regards entre Philippe et Émilie. Nous sommes ensuite passés à table, et les discussions ont continué sur nos vies, nos jeunesses, etc. Nous avons terminé le repas en décidant de partir vers La Barbade dès le lendemain matin, avec pour objectif d’y être en début de soirée.
Après avoir aidé Philippe à débarrasser la table, nous avons regagné notre cabine, l’esprit un peu embrumé par l’alcool. Ça a été ce soir-là un feu d’artifice de sensualité et de sexe à l’état pur. Émilie avait quelque chose d’animal dans son regard, et à peine la porte de notre cabine refermée, elle m’embrassa dans un long baiser fougueux, frottant l’intégralité de son corps contre le mien.
Elle avait la peau chaude, et tout en elle respirait les plaisirs du sexe. J’ai commencé à lui caresser le dos, alors qu’elle prenait mon sexe dans sa main à travers le bermuda. J’allais lui écarter les bretelles de sa robe pour la lui enlever, quand elle m’a repoussé pour m’asseoir sur le bord du lit.
Elle m’a regardé droit dans les yeux avec un regard de félin malicieux, et m’a dit de me laisser faire, que ce soir c’était elle la dompteuse, et qu’elle allait m’en faire voir de toutes les couleurs. Elle a alors commencé à bouger légèrement sur le rythme d’une musique intérieure, frottant son petit cul contre la porte, de manière à ce que sa robe remonte et dévoile son string humide.
Puis elle s’est mise à titiller ses tétons, qui n’avaient pas attendu pour se dresser fièrement. Lentement, elle s’est baissée, et sans me quitter des yeux, elle s’est retrouvée à quatre pattes, m’approchant lentement telle une lionne approchant sa proie. Elle a caressé ses cheveux sur mes jambes, remontant lentement le long de mes mollets puis de mes cuisses. En s’approchant de mon sexe, elle a donné un coup de langue sur mon bermuda, ce qui a eu pour effet de m’électriser encore plus.
J’étais à ce moment précis dans un état d’excitation comme je n’avais jamais été, totalement à la merci de ma femme. Elle a lentement déboutonné mon bermuda puis me l’a retiré, enlevant au passage mon boxer pour que je me retrouve complètement nu.
Me caressant le torse de ses mains, elle a commencé à donner des coups de langue tout autour de mon sexe turgescent. J’étais vraiment très dur et très épais à cause de toute cette excitation, chose qu’elle n’hésita pas à me faire remarquer. Ses coups de langue et ses caresses se sont précisés petit à petit, jusqu’à ce qu’elle joue avec une perle d’excitation qui pointait au bout de mon sexe.
Elle l’a alors englouti doucement et goulûment, le caressant avec sa langue à l’intérieur de sa bouche.
Après quelques va-et-vient, elle a replongé son regard dans le mien et s’est mise à faire tournoyer sa langue autour de mon gland. Je trouvais ma femme splendide et envoûtante, et jamais je ne l’avais vue comme ça auparavant. Elle m’a ensuite léché les bourses, est revenue prendre mon sexe en bouche, tout en me caressant avec son autre main.
Puis en me gardant en bouche et en serrant ses lèvres, elle a alors cherché mon anus de son autre main. Elle avait décidé de me faire la totale, elle y allait vraiment sans retenue. Mon sexe toujours prisonnier dans son écrin chaud et humide, elle a fait tourner lentement son index sur mon anneau pour le détendre.
Je me suis naturellement rapproché du bord du lit pour lui faciliter l’accès, et après quelques minutes de ce traitement, elle avait son doigt immiscé en moi. J’adorais cette sensation et elle le savait. D’ailleurs elle n’hésitait pas à me caresser l’anus pendant nos ébats, ce qui avait pour effet de faire grossir mon sexe, et de lui donner plus de plaisir. Mais cette fois-ci, la sensation était décuplée par l’érotisme du moment et la fellation dont elle me gratifiait.
Elle a laissé son doigt en moi alors qu’elle reprenait ses mouvements autour de mon sexe. Puis ce va-et-vient a été accompagné par le même mouvement dans mon anus, faisant vaciller tous mes sens. Je ne savais plus ce qu’il se passait, je n’avais plus conscience de notre environnement, la promiscuité des lieux… seuls persistaient dans mon esprit Émilie et le plaisir. J’étais au bord de l’explosion, il me fallait faire une pause pour ne pas m’effondrer, j’ai donc pris les épaules d’Émilie pour le lui faire comprendre. Mais contrairement à l’habitude, elle a résisté, puis gardant mon sexe en bouche, m’a lancé son regard le plus indécent possible et m’a fait un clin d’œil.
Avant même que je ne comprenne le message qu’elle voulait me faire passer, elle avait repris sa caresse buccale de plus belle. Malgré ma volonté de faire durer cet instant le plus longtemps possible, je me suis répandu dans sa bouche dans un souffle rauque et profond, lâchant le cran de sécurité, la soupape qui me maintenait sous pression. Émilie eut un mouvement en arrière, puis laissa du sperme s’échapper de la commissure de ses lèvres. Le temps que je reprenne mes esprits, je la trouvai toujours entre mes jambes, me caressant d’une main le sexe, et de l’autre se pelotant le sein gauche, la robe à moitié débraillée.
Elle me fit un large sourire en me demandant si j’avais aimé, puis me fit comprendre que c’était à mon tour de lui donner du plaisir, en se frottant la main par-dessus son string. Je ne fus pas long à la détente et je l’attirai vers moi. Après quelques nouveaux échanges de baisers au goût de sexe, je la couchai sur le lit et lui retirai son string. Je pris le temps de laper son corps, de le recouvrir de tendres caresses, avant de plonger dans son entrejambe chaud et trempé. Mon majeur n’eut aucun problème pour entrer dans son intimité, alors que ma langue jouait avec son clitoris. Mon majeur bien mouillé, je voulus tenter à mon tour une descente vers son petit trou. Bien que nous ayons essayé une ou deux fois la sodomie, Émilie n’était pas adepte de cette pratique, non pas qu’elle lui faisait mal, mais elle n’y prenait pas de plaisir. Un éclair de raison fit que je me retins, pour ne pas la froisser et détruire cette si douce atmosphère en lui donnant une sensation négative. Je me contentai donc de prendre son clitoris en bouche et de le sucer comme un petit bonbon.
Elle se redressa presque brusquement en me disant qu’elle voulait que je la pénètre, et qu’elle espérait que mon sexe était aussi gros que tout à l’heure. Elle me mit sur le dos, et vint s’empaler sur mon membre qui avait retrouvé sa forme. Dans cette position, je pus littéralement lui dévorer les seins, ce que j’adore et qui intensifie ses orgasmes. D’ailleurs elle fut rapide à venir, le souffle court, la tête en arrière, tel un pantin désarticulé à force de monter et descendre sur mon sexe. Elle s’écroula haletante sur mon épaule, alors que je continuais à bouger lentement au fond d’elle et à lui caresser les épaules et le dos. Elle prit le temps de récupérer son souffle, et me lécha tendrement l’oreille avant de la mordiller et de souffler doucement dessus. Intense sensation qui traversa tout mon corps.
Puis, toujours calée sur mon sexe encore dur, elle me chauffa en disant qu’il fallait qu’elle finisse de s’occuper de lui. Elle se mit à genoux sur le lit, les seins plaqués contre le mur de la cabine, la tête de côté. Elle me demanda de la pénétrer doucement dans cette position. Je me mis à genoux derrière elle et entrai doucement dans sa vulve toujours aussi chaude. La sensation de ses fesses contre mon pubis multipliait mon plaisir pendant le coït. Je voyais son visage refléter son plaisir à quelques centimètres de mes lèvres, et lui déposai de petits bisous dans la base du cou.
C’est alors qu’elle me demanda entre deux souffles si ça m’excitait de l’imaginer se faire prendre par Philippe devant moi. Ce murmure à peine audible eut un effet dévastateur qui me fit jouir presque instantanément. Je la vis sourire et se mordre doucement les lèvres, alors que je ne trouvais plus la force de bouger. Nous nous sommes écroulés sur le lit et nous sommes endormis dans la foulée, sans même avoir le temps de parler de son estocade.
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