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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

1.
Florence est allongée sur le lit, jambes écartées. Elle se soulève à l'aide de ses avant-bras pour mieux se cambrer, et se caresse le bout des seins. Ils sont durs, ultra sensibles… C'est son deuxième orgasme de la matinée.
« Ah… ah… salaud… Comme tu me chattes… vas-y… rentre bien ta langue… bien profond... bien sur mon clitoris… ah… tu ne veux bien être mon amant… Pourquoi tu ne me réponds pas ? »
Le jeune labrador ne peut pas répondre, mais il comprend. Il replonge sa tête entre les
cuisses pleine de mouille de la jeune femme. Florence repense à cette merveilleuse nuit qu'il lui a fait passer. 

En effet, cette nuit là....

2.
A la suite à une violente altercation à la sortie d’une boite de nuit, Douéna, une jeune roumaine de dix-neuf ans, est emmenée à la gendarmerie de la ville comme témoin. Elle est accueillie par Florence, une inspectrice arriviste, récemment mutée dans la région. Sa spécialité : les interrogatoires musclés. C'est une jolie femme de vingt-huit ans, qui ne recule devant rien pour obtenir des aveux. Absolument rien.


« Tiens, dit-elle, belle pièce que voilà », s’exclame-t-elle quand elle voit la jolie roumaine debout devant son bureau.
Les deux gendarmes force  Douéna à s'asseoir. Ils expliquent la situation, et repartent en patrouille, laissant seules les deux jeunes femmes. Florence est vêtue de la traditionnelle jupe bleue marine, et de la chemise bleu ciel. Mais l’austère uniforme ne cache pas la silhouette harmonieuse et pleine. D’ailleurs, un des gendarmes ne peut s’empêcher de chuchoter « quel canon, cette femme, une vraie bombe de sexe ! »

3.
« Alors, dit Florence en s'asseyant au bord du bureau. Comment çà c'est passé ?
- Va te faire foutre, répond la roumaine. 
Douéna ne voit pas arriver la gifle, tellement appuyée qu'elle porte la main à son oreille.
- Tu n’as pas bien compris ma question, on dirait. Allez, je recommence. »


Douéna nargue ouvertement la jeune inspectrice. Elle évite la seconde gifle, ce qui a pour effet de déséquilibrer Florence. Elle tombe, et se retrouve assise, le dos appuyé au mur, à moitié groggy. Sans hésiter, Douéna se lève, et saisit rapidement les menottes qui trainent sur le bureau, et l'attache, mains dans les dos.

4.
Une fois immobilisé, Douéna lui envoie une violente paire de gifles. Les deux femmes
se défient du regard.
« Tu vas voir le rapport que je vais te faire, connasse, dit Florence.
- Des menaces, répond Douéna, détends-toi. On va s'amuser un peu toutes les deux, tu veux ? »

Florence est inquiète. La brigade est déserte, elle est à la merci de cette jeune folle, qui lui inspire quelques craintes…
Douéna jette un regard circulaire, et se dirige vers le bureau. Elle fouille dans un tiroir, en sort un cutter, et vient s'accroupir devant l'inspectrice. Elle lui déboutonne la chemise, libérant la magnifique poitrine de Florence. Sans hésiter une seule seconde, elle prend le cutter, et sectionne le soutien gorge, entre les deux seins. Ceux-ci, enfi libérés de leur carcan, jaillissent au visage de Douéna

5.
« Putain… qu'ils sont beaux, s'extasie Douéna. Quels bouts ! Tu dois aimer te les faire avaler, ma chérie !
Elle prend plaisir à caresser le galbe parfait des seins, faisant rouler les tétons durcis entre ses doigts.
« Arrête, gronde Florence. Tu sais que tu es en train de garnir copieusement ton casier, petite garce ? »
La jeune roumaine la regarde en souriant. Elle n’a visiblement rien à faire des menaces de la gendarmette. Elle déboucle la ceinture de la jupe, et découpe cette dernière de l'entre jambe au nombril. Elle l'ouvre en deux, et donne un coup de cutter sur l'élastique du string.
Florence se retrouve ainsi entièrement nue, soumise de force à l’entière volonté de la roumaine. Douéna lui écarte les jambes, et ôte le restant du tissu.
« Ben voilà, tu es plus à l'aise comme çà ? J'ai tout ce qu'il me faut, des seins, et ta petite chatte.
- Profites-en bien, poursuit Florence, la bravant du regard, parce qu’à la prochaine occasion, je ne vais pas te manquer ! Tu paieras cher pour ce que tu me fais subir ! »


6.
Douéna glisse une main entre les cuisses ouvertes de Florence, et commence à caresser la chatte bien épilée.
Doucement, elle joue avec le clitoris qu'elle a pris soin de bien dégagé, écarte les lèvres, et la pénètre de son index et de son majeur.
«  Arrête çà, tu vas voir la raclée que je vais te mettre, sale pute.
- Sale pute ? sourit Douéna, mais c'est pas moi qui aie deux doigts dans la chatte.
Douéna sort ses doigts, et les sent.
- Je me disais aussi, elle est bien sèche ! C'est qu’elle n’a pas servi aujourd'hui. La pauvre, tu vas voir, je  vais te la faire mouiller. Tu veux bien ?  Tu vas voir comme c'est bon. Tu vas me supplier après…. »

Florence, vaincue, ferme les yeux comme si elle acceptait son sort. Elle sent ses lèvres intimes qui commencent à s'humidifier contre sa volonté. Elle lâche même un léger soupir d’excitation. Elle sent ses seins gonfler, ses aréoles durcir. Les deux doigts font des va et vient dans sa chatte maintenant pleine de mouille. Douéna la sent prête à jouir.
« Mais c'est que l’inspectrice se régale, sourit-elle, tu sens mon ongle sur ton clito... Hum... tu aimes, hein ?
- Oh oui… que c'est bon, bon sang… comme tu me chattes… je vais jouir, là… Vas-y… ha.... gratte bien mon petit bouton...
Douéna sort ses doigts imbibé par l'abondante mouille, et les porte à la bouche de Florence.
-Tiens, dit-elle, goute comme c'est bon. De la mouille de flic. »


8.
Le portable de Douéna sonne. Elle décroche.
« Je suis à la gendarmerie, dit-elle. Oui, tu peux venir… bien sur… non, ils sont tous en patrouille.. A tout de suite.
- C'est mon frère, il va venir nous rejoindre, tu n'y vois pas d'inconvénient ?
- Qu'est-ce-que vous allez me faire ? s'inquiète Florence. »

Cornel, le frère de Douéna, âgé de vingt et un ans, arrive à la gendarmerie, accompagné de son jeune labrador.
« Wouaou, joli morceau, dit-il en voyant Florence nue. Je me la ferais bien. »
Mais le deux comparses ne sont pas là pour çà. Ils cherchent plutôt des dossiers compromettant. Il abandonne la jeune femme à son sort, pour aller dans la salle des archives. Ils l’ont laissée sous la bonne garde du labrador.

9.
Ils sont dans la salle des archives, quand soudain, ils entendent des plaintes venant de la salle d’interrogatoire..
« Salaud, gémit Florence, c'est ma mouille qui t'a attiré… Vas-y… lèche bien ma petite chatte... oh… Comme tu as décalotté mon clitoris, suce-le lui aussi… tu vas me faire jouir... vas-y… Rentre bien ta langue...ha...Ha...oui...Ouii !!! »

Douéna et Cornet sont sidérés remontent quatre à quatre, et découvrent la scène du chien léchant copieusement l’a gendarmette. Ils sont sidérés ! Jamais ils n’auraient imaginé une telle situation…. Le museau du jeune labrador fouille l'intimité trempée de l'inspectrice. Et ils ne sont pas au bout de leurs surprises.

En effet, dans un ultime effort, Florence parvient à se mettre à quatre pattes, appuyées sur les mains. Elle est avide de sexe, de bite. Celle du chien fera bien l’affaire !!!
« Monte-moi mon chien… Vas-y nique moi… je voudrais bien de caresser, mais je suis attachée... oh...vicieux...Tu veux me prendre par le petit trou ? Tu feras ma petite chatte après, hein? Vicieux, comme tu m'encules… Salaud... bourre-moi le con... Baise-moi à fond, défonce mon cul de chienne ! »

10.
Douéna, amusée de voir le chien dominer la policière, s'avance et libère la jeune inspectrice. Celle-ci la remercie d'un sourire.
« Allez, amusez vous, dit-elle. On est à côté. Si t'as besoin, tu nous appelles, la pute. Ou plutôt, la chienne, vu ce que qu’il se passe ici !!! »


Florence gémit de plaisir. Elle est allongée, cul à cul avec le chien. Ils sont collés l’un à l'autre. D'une main passée entre ses cuisses, elle lui serre la queue au niveau du knot. Le chien la besogne à fond, brutalement. Florence ahane sous les coups violents du chien. Il a un soubresaut, et, interminablement, le jeune labrador se vide dans les entrailles de Florence.
« Waou..waou..waou.woua, couine le chien.
- Ah...oui... crache mon chéri… remplis bien ma petite chatte… quel amant... tu me nettoieras le cul après… et moi ta queue ! »


Les deux roumains font un premier voyage de dossiers à la voiture. Quand ils reviennent, Florence est en train de nettoyer goulument l'énorme bite du labrador. Elle le pompe sans relâche, avale la grosse bite rouge en entier. On dirait qu’elle n’en n’a jamais assez !
« Ben dis-donc, elle y a pris gout, la pute ! Tu veux venir passer le week-end à la maison ? On a une chambre d'amis.  Tu pourras l'occuper avec le chien, et te faire mettre des coups de queues tout ton saoul !!!  Et quand tu n’en pourras plus, c’est mon frère qui te niquera, et tous ses potes… tu vas ne voir plein tes trous, ma chérie ! »

 

Florence ne peut qu’accepter cette proposition. Elle est comme folle, avide de sexe hard comme rarement auparavant. Elle est prête à tout pour se faire prendre dans tous les sens, par des hommes, des femmes, des chiens…

Le lendemain, Douéna sort pour faire son jogging. Florence est à demi-allongée sur le canapé, jambes écartées en train de sa faire bouffer la chatte et le cul par le jeune labrador. Cornel, debout, un pied posé sur l'accoudoir, se fait tailler une pipe. Putain, çà c'est du week-end.

 

Et ce n’est que le début…

 

Par L'Amoureux et Sophie - Publié dans : Zoophilie - Communauté : Zoo en fête
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